Les Fourmis

PARFAIT.
Comment mieux résumer ce livre ? Les fourmis me dégouttaient avant de lire ce livre mais une fois que je l'eu terminé, je me suis renseigné pour faire un élevage. Quel monde fascinant que celui de ces petits êtres. Ce livre allie fiction, thriller et science (dans des proportions modérées) pour nous faire frémir ou sourire à chaque page. Après avoir lu ce livre, vous ne vous amuserez plus (si vous êtes jeunes) à détruire ces fragiles mégapole que sont les fourmilières et si vous êtes moins jeunes, vous hésiterez à placer ce piège à fourmis diffusant des odeurs agréables pour mieux empoisonner ces pauvres petites bêtes. C'est à travers les pages de ce livre que nous nous rendons compte que si l'homme et les fourmis parviennent à communiquer, ce serait une avancée considérable pour la cohabitation de ces deux espèces omniprésentes et dominant, chacune à sa manière, la terre.
J'ai eu un vrai coup de coeur pour cette oeuvre et c'est pour cela que [je la recommande à tous à partir de 14 ans].

Gros coup de coeur pour ce roman qui en plus de nous tenir en haleine jusqu'à la fin avec deux intrigues parallèles, une fédération de fourmis et une cave étrange, nous permet d'en apprendre énormément sur des petites bêtes dont on ne fait généralement pas plus attention que ça. Qui après la fin de ce roman n'a pas eu envie de sa petite fourmilière en verre et de jouer à dieu? On peut forcément y trouver des défauts, comme la cave qui ne trouvera de réponse qu'en fin de livre et ce fait attendre (trop) longuement ainsi que des êtres humains dont à du mal à s'attacher mais cela n'enlève en rien la qualité globale du livre.

Depuis l'épisode de Mc Gyver avec les fourmis ,je ne regardais déjà plus les fourmis de la même façon ...mais là je suis partagée entre fascination et frissons !
le livre est très bien construit ,alternant le point de vu de fourmis et celui d'une famille qui hérite d'une cave dont personne ne remonte ....
Du coup on en apprend des tonnes sur les fourmis ,on ne nous épargne aucun détails ,tout comme pour tous les adversaires qu'elles croisent ( les escargots qui se reproduisent ça vaut le coup ^^) et c'est vraiment intéressant . le scénario est plein de rebondissements et de suspens qui font qu'on ne peut plus lâcher le livre .
Un vrai régal !

Ce classique n'est plus à rpésenter, tout le monde connaît le sujet de ce roman alors pourquoi le chroniquer?

Parce que, pour les profanes comme moi de cet auteur, il faut savoir que la manière de traiter le thème est complètement inattendue. Ici, l'histoire se passe sur deux plans: celui des hommes et celui des fourmis. Cela signifie que l'histoire est divisée en deux.

Côté Hommes, nous assistons à la découverte par Jonathan du fait qu'il a hérité d'une maison et à sa nouvelle vie. Son oncle, Edmond, était un brillant scientifique passionné d'entomologie et Jonathan est donc intrigué par ce legs qui bien que bienvenu, étant la situation précaire dans laquelle il se trouve, reste inattendu.

Côté fourmis, l'auteur a choisi de présenter leur intrigue comme si elles étaient des être humains et curieusement, cette personnification fonctionne. Et il en fait de même pour les araignées, les pucerons, les termites, etc.

En leur attribuant une façon de raisonner similaire à la nôtre, Bernard Werber réussit le pari de nous faire nous intéresser au monde des fourmis.

De plus, il instaure un mystère si captivant qu'on dévore Les fourmis comme un roman policier.

[Avis complet sur mon blog]
Lien : http://lesentierdesmots.word..

J'avoue avoir eu du mal à me plonger dans cette lecture.
Elle est tellement différente de toutes mes autres...
J'appréhendais beaucoup, au point de sans cesse reculer, un peu peur que ce soit trop documentaire.
Et pourtant elle s'avère encore plus différente que je l'imaginais, dans le bon sens !

C'est un chef d'oeuvre tout simplement !
Un documentaire sur les fourmis sous forme de roman... impressionnant.
Un travail incroyable.
Il est divisé en seulement quatre longs chapitres.

Nous sommes dans une fourmilière de fourmis rousses, plus précisément dans la cité de Bel-o-Kan.
Nous suivons le 327e mâle qui, après une expédition, se met en quête de connaître l'origine du génocide de ses compagnons de voyage, étant le seul survivant de ce mystère.
Est-ce une autre espèce de fourmis, les naines ? Ou les termites ? Ou encore un autre mystère ?
Tellement de questions pour cette petite fourmi.
Il trouvera l'amitié avec la 56e princesse et la 103 683e soldate.
Sous forme en quelque sorte d'enquête, nous restons en haleine pour découvrir l'avancée du complot.

En parallèle nous arpentons avec la famille Wells (donc humaine !) la cave de l'oncle défunt.
Celui-ci y a laissé son « Encyclopédie du savoir relatif et absolu », avec des annotations scientifiques.
Fort en suspense, nous aimerions tellement connaître de suite ce qu'il se passe dans cette cave « interdite ».
Ces passages sont toujours très courts mais tout aussi percutants.
L'attente est insoutenable !
J'avais hâte de lire un autre passage de cette cave.

J'ai littéralement adoré cette lecture, je me demande comment j'ai pu mettre autant de temps à l'ouvrir et à tourner mes pages.
C'est un très beau roman, plein de morales, de tristesses, d'incompréhensions, de fusions avec les fourmis, et aussi de suspenses.
Les fourmis... certainement fascinantes, intelligentes mais quand même aussi effrayantes en un sens !

J'ai tout fait pour trouver les fameux quatre triangles équilatéraux avec mes six allumettes, j'étais contente d'avoir la solution avant que celle-ci ne soit donnée !! Oufff ! Me voilà moi aussi dans l'antre !!

S'il est un genre "littéraire" repoussoir dans lequel je répugne à me fourvoyer, c'est ce mixte délirant et "sectaire" de la SF nimbée de spiritualité gourouesque et d'ésotérisme de supermarché pour gogos en quête d'identité.
Je me méfiais donc de Bernard Werber et de son - Les Fourmis -, à qui ces étiquettes me semblaient - et j'avais tort - parfaitement coller à l'oeuvre et à l'homme.
Qui n'a pas été fasciné dès l'enfance par les fourmis et qui n'a pas - honte à moi ! - démoli à coup de pompes immaturément assassines ces merveilleuses structures "labyrinthiques" que sont les fourmilières ?
Poussé par l'irrésistible curiosité de voir ce que Werber nous en disait, j'ai plongé.
Quel voyage humain, épique et entomologique !
Un pur bonheur que cette aventure un peu polar, un peu thriller, un peu SF et beaucoup "éthologique" !
Ce livre se lit avec un appétit jamais rassasié; une réelle jubilation et un apprentissage merveilleusement ludique.
Il est écrit pour tous ou presque, et à l'issue de ce voyage, de ses rencontres et de ses découvertes, vous n'avez plus envie de focaliser uniquement votre imaginaire sur une éventuelle rencontre du 3ème type - certes, croiser ET ... je ne dis pas non -, car passer quelques heures avec ces petits êtres intraterrestres suffit à vous faire comprendre que le merveilleux est à portée de nous, et surtout, surtout, il ne vous sera jamais plus possible de voir les fourmis "comme avant" !
Une très belle leçon de vie et d'humanité !

On se plonge rarement dans une fourmilière quand on lit un livre !

Face à tous les inconditionnels de Bernard Werber qui ne jurent que par Les Fourmis, il était décidément temps que je fasse l'expérience du "best seller" de l'auteur. J'ai trouvé l'idée très originale, sans toutefois parvenir à accrocher à l'histoire.

Ces insectes sont très intelligents. Tout a un sens, jusqu'aux raisons de l'existence de chaque fourmi car la Reine pond quand il manque de la main d'oeuvre. A la lecture du roman, on comprend que c'est une espèce qui déploie une organisation extraordinaire.

Les recherches qu'a dû faire Bernard Werber pour analyser chaque situation ont certainement été titanesques. Que doit faire une fourmi face à telle ou telle situation ? Quelles phéromones produire ? Quel message envoyer ? Etc. On sent bien que chaque action est réfléchie et que l'auteur a abattu un travail presque journalistique pour être toujours dans le vrai. La fascination de l'auteur pour cette espèce est évidente.

Je comprends donc mal pourquoi il ne s'est pas concentré sur le monde des fourmis. Il a décidé d'alterner deux intrigues : l'une avec des humains, l'autre avec les fourmis. Sans doute était-ce un moyen de rythmer son récit et de rassurer un lecteur perdu dans cet univers qu'est celui d'une fourmilière sans quelque humain auquel se raccrocher. Pourtant ces deux récits finissent par traîner en longueur et en deviennent presque inintéressants quant à la substance de l'histoire. Les fourmis sont menacées pendant que Jonathan Wells explore dangereusement la cave de son oncle. Arrivée à la moitié du roman, lassée d'une intrigue qui n'avait jamais décollé selon moi, j'ai arrêté la lecture, bien déçue de n'y avoir trouvé ce que tant d'autres avaient apprécié.

Plus de chroniques littéraires sur :
Lien : http://raisonlectureetsentim..

Etrangement intéressant pour un livre qui parle de quotidien de fourmis, j'ai adoré !
Ce qui m'a tout de suite plu, est la narrateur extérieur, j'avais l'impression de lire un scientifique devant un vivarium. La cave n'est pas plus intrigante que ça au début, j'ai préféré les phases avec les fourmis. D'ailleurs l'idée de connaître un peu mieux certaines d'entre elles, de les personnifier les rend plus attachantes (sauf ce moment avec l'oiseau qui se fait dévorer de l'intérieur).
Puis l'histoire avance, et cette cave devient indispensable à l'histoire, un lien entre deux mondes, pour moi c'est la touche Werber du livre. Il aurait pu se contenter de mettre en relation insectes et humains en gardant le point de vue de l'humain, mais il a fait l'inverse et c'est pour ça qu'il est génial.

Un rien que je ne sais expliquer dans le ton me dérange, ou dans le style... On a beaucoup glosé sur ce livre et sur son auteur, et sur les suites de ce livre et de cet auteur. Il n'en reste pas moins que ce livre est fort intéressant, on se laisse prendre au jeu, même si bon un certain côté factice résiste quand on parle de l'humain, enfin des personnages humains disons.
Ce que j'apprécie c'est que c'est un livre, sans images, sans sons, sans odeurs, donc ça passe par notre filtre et la crudité des scènes peuvent être sublimées contrairement à ce que provoquerait et proposerait un documentaire audiovisuel... Cette distance si merveilleuse de la lecture.
Mais quand même un livre plus qu'acceptable.
Pour la peine je donne 4 stars.

Un livre très passionnant et fascinant sur nos amis les fourmis !
J'ai réussi à m'imaginer que j'étais ces milliers de fourmis comme quoi le monde est petit ahah !
Cependant je trouve ça un peu répétitif les répétitions des phrases de Edmond Wells de l'Encyclopédie du savoir absolu. Mais ce livre est à lire vous allez vous voir petit comparer à le livre que vous tenez entre vos mains ahah ! Je recommande