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sur 14396 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
C'est le premier audiolivre que je suis jusqu'au bout (temps où je cuisine rentabilisé, et temps de promenade).
J'en avais évidemment beaucoup entendu parler depuis le temps que je voulais le lire, je n'ai pas été déçue, ce qu'on y apprend est assez incroyable : j'ai été impressionnée par le principe de la trophallaxie et l'existence du jabot social.
Le parallèle entre cette société de fourmis (qui communique, qui enquête, qui vit, bâtit, invente, survit, surmonte) et celle des hommes (entre autres à travers la famille Wells : l'oncle les a étudiées, le neveu et son fils descendent dans la cave qui mène à leur monde sur les traces de l'oncle) permet de relativiser la supériorité que toujours les humains pensent détenir sur les autres espèces.
Le finish sur la cruauté des enfants m'a mise ma l à l'aise, c'est quelque chose avec quoi j'ai beaucoup de peine, toute vie étant précieuse et souvent plus encore chez ceux qu'on appelle les bêtes.
Un bémol sur le principe de l'audiolivre : la voix m'a beaucoup irritée et la récurrence toutes les 10 minutes de la phrase "encyclopédie du savoir relatif et absolu" m'a gâché une partie du plaisir.
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Aucune déception. Surprenant, intéressant.
J'ai surtout apprécié la construction de la narration, alternant le monde des fourmis et celui des humains, avec une intrigue dont le dénouement a été pour moi tout à fait imprévisible.
Je n'en suis pas au point de me jeter sur le tome deux, mais je sais que je le lirai avec envie.
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Premier livre de cette serie sur les fourmis , Bernard Weber nous fait decouvrir un monde minuscule et meconnu celui des fourmis.

Que se passe t'il dans la cave de Jonathan Wells ?
Cette maison il l'a hérite de son oncle mais ce n'est pour autant que son oncle le lui a explique.

Seul recommandation faite par son oncle: n'entre pas dans la cave .

Mais voila parfois la curiosité est un vilain défaut .

Vous apprendrez beaucoup sur la vie des fourmis et leur organisation .

après avoir referme ce livre vous ne verrez plus les fourmis de la même façon .

Un roman que j'ai trouve excellent
Mais je ne suis pas encore sure de lire la suite car j'ai vu des avis de lecteurs qui disaient être decus des deux autres tomes.

Si vous ne l'avez jamais lu allez y c'est tout de même Bernard Werber qui écrit !!!


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Cette semaine, direction la forêt de Fontainebleau pour découvrir la cultissime Trilogie des Fourmis et son premier tome : Les Fourmis paru en France en 1991 aux éditions Albin Michel. Une philosophie fiction au coeur des fourmilières.

Le livre s'ouvre au 3, rue des Sybarites. Jonathan Wells, sa femme Lucie et leur fils Nicolas s'installent dans leur nouvelle demeure, un héritage laissé par l'oncle Edmond. En plus de cet appartement, l'oncle Edmond a laissé une enveloppe contenant un feuillet froissé avec comme seule inscription : « Surtout ne jamais aller à la cave ! ». Débute alors le grand mystère autour de la cave du 3, rue des Sybarites.
En parallèle, nous découvrons Bel-O-Kan, la plus grande ville de la région et ses 18 millions d'habitants. Peuplée de ces insectes sociaux, Bel-O-Kan se réveille petit à petit de la période d'hibernation.

Après avoir dévoré la trilogie « Troisième Humanité », il me tardait de découvrir le plus gros succès de Bernard Werber au plus de 20 millions d'exemplaires vendus. Malheureusement, je n'ai pas accroché à l'histoire et à l'intrigue. Pourtant, tout semblait réuni pour me plaire : un roman composé de deux univers parallèles : celui des humains et ce mystère autour de la cave et celui des fourmis avec la vie d'une soldate et celle d'une nouvelle reine. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas réussi à entrer dans ce roman : le héros, Jonathan Wells n'a pas attiré ma sympathie, j'ai trouvé qu'il y avait trop de longueurs. L'alternance entre l'histoire des deux univers m'a un peu perdue. Peut-être que je devrais relire ce roman dans quelques années et mon point de vue sera différent. Une critique à réécrire dans un « temps relatif et non absolu ».

Même si ce roman n'est pas un coup de coeur, j'ai apprécié beaucoup d'aspects du roman. J'ai adoré les passages de l'Encyclopédie du savoir relatif et absolu d'Edmond Wells. Ces passages sont toujours une source de connaissances qui tombent toujours au bon moment. D'ailleurs, j'ai apprécié en apprendre davantage sur ces insectes qui ne sont finalement pas si différents de nous, les humains. Que dire de l'énigme des allumettes ? Elle est peut-être la raison pour laquelle je n'ai pas accroché à ce roman. Bien trop occupée à réfléchir à l'énigme, je n'ai pas saisi la subtilité de ce roman. J'ai d'ailleurs apprécié me triturer les méninges pour percer cette énigme. Je reconnais le talent de l'auteur et l'originalité de ses thèmes et la façon dont il les aborde. C'est un livre très intéressant et très instructif, mais j'aurais apprécié que l'intrigue des humains soit un peu plus présente. Bon après tout… le roman se nomme les fourmis et non les humains.
Lien : https://juliegorsky.wordpres..
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J'ai découvert l'auteur avec ce livre que l'on m'a tant conseillé de lire. Je peux dire que je n'ai pas été déçue. Lire ce roman a été très plaisant. La balance entre le monde des humains et celui des fourmis était un choix intéressant, même si j'avoue avoir moins adhéré aux chapitres consacrés aux humains. Il existe également une balance entre le réel et le fictif avec des passages où l'on se laisse emporter par une histoire digne d'un roman d'aventure ; tandis qu'à d'autres moments, nous prenons plaisir à mieux connaître les fourmis. A cela, s'ajoute une petite dose de suspense. Tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment.
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« Celui qui pose une question est bête cinq minutes, celui qui n'en pose pas l'est toute sa vie. »



Résumé :



Dans ce roman, l'oncle Edmond est décédé et il lègue son appartement à son neveu et sa famille, une seule consigne, ne surtout pas entrer dans la cave ! Et que fait-on quand on nous dit de ne pas penser à un éléphant ? On pense à un éléphant. C'est donc tout naturellement Jonathan, le neveu susmentionné se rend dans la cave interdite. Il ne sera pas le dernier à y entrer.


En parallèle, il est tout de même question de fourmis. Écrire du point de vue d'une fourmi n'est pas chose aisée, mais le résultat est là, elles sont à peine anthropomorphiques, il y a une réelle immersion dans la fourmilière pour le lecteur. L'auteur nous fait évoluer dans les sombres galeries et dans le grand monde extérieur principalement dans l'esprit de 3 fourmis, 327, le mâle reproducteur, 56 la princesse promise au destin de reine et 103 683, la soldate.



Mon avis :



Il s'agissait d'une relecture pour moi, j'avais lu ce livre, il y a une quinzaine d'années, mais je l'avais sans doute survolé, car il ne m'avait pas laissé une grande impression. Hors-mis quelques passages, je ne me souvenais de rien. C'est avec un oeil presque neuf donc que j'ai redécouvert ce livre. Sur la forme, le roman est très rythmé, on passe des Hommes aux fourmis souvent sans transitions.



Sur le fond, et concernant la partie « humaine », j'ai trouvé le tout un peu grotesque, les personnages sont toujours dans la caricature, les dialogues rocambolesques, rien d'hyperréaliste en soi, mais ça ne m'a pas dérangé. le seul humain que j'ai vraiment trouvé attachant est décédé au départ, il s'agit de l'oncle Edmond, un homme plein de bon sens.



Quant aux fourmis, il y a eu attachement immédiat, les scènes de batailles m'ont laissé très désoeuvrée tant, l'auteur a écrit les fourmis si différentes de nous, de nos pensées et de nos moeurs. Mais comment ne pas s'attacher à ces petites-choses ? En toute honnêteté, après cette relecture, je ne regarderai plus les fourmis de la même façon.






Mes plus :



- Originalité du point de vue



- Rythme du roman



- Instructif






Mes moins :



- Humains rocambolesques




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Lecture terminée de ce premier tome d'une saga dont j'ai beaucoup entendu parlé. Saga qui ne m'attirait pas du tout, je dois le reconnaître, parce que je déteste les insectes et honnêtement je ne pensais pas que cette lecture serait pour moi. Mais bon comme il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, je me suis lancée quand même et c'est une agréable surprise. Alors pas de coup de coeur comme la majorité des lecteurs, mais l'histoire est rythmée et prenante, le contexte est original, écrire un roman sur les fourmis aussi bien détaillé et instructif avec une histoire bien ficelée et des personnages auxquels on s'attache malgré tout, il fallait oser ! Je file lire la suite.
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Ce livre m'a plus parce qu'il est très intéressant.
Tout d'abord, le sujet principal du livre, les fourmis, est passionnant car, très peu de personnes le savent mais la société des fourmis ressemble beaucoup à la nôtre.
Ensuite, ce livre est aussi très captivant parce que l'auteur parle souvent de la cave des Wells mais ce qu'il y a au fond reste un mystère, il fallait toujours lire plus pour avoir des réponses.
Cependant, ce roman devient facilement long car il n'y a que quatre chapitres mais ils sont très longs, j'aurai préféré qu'ils soient plus courts de façon à pouvoir faire des pauses régulièrement.
Je conseille ce livre à ceux qui aiment apprendre, qui s'intéressent au monde extérieur et à la nature et qui aiment la science.
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Si vous aimiez la SVT au collège et les thrillers, foncez ce livre est pour vous. J'avais entendu parler de ce roman à sa sortie lorsque j'étais encore au Lycée et qu' il avait époustouflé mes camarades de l'époque. Et c'est seulement maintenant après avoir entendu un podcast de Bernard Werber que je découvre son premier roman. Et bien je ne suis absolument pas déçue par ce mélange des genres ! Il est à la fois une mine d'informations sur la vie des fourmis et d'un certain nombre d'autres insectes mais aussi un formidable thriller ! Mais que peut-il bien se passer au fond de cette cave ? Et puis au fil des pages, les aventures des protagonistes se rejoignent et tout fait sens. Et bien au delà de l'intrigue ce livre m'a ouvert de belles réflexions sur la place de chacun sur notre belle planète. Ce tome ouvre le bal d'une trilogie dont j'ai hâte de lire la suite.
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Un livre digne de son succès. Ayant des connaissances en biologie et particulièrement en entomologie, on découvre un monde de fourmi plus complexe qu'il n'y parait. Leurs interactions sont extravagantes et dépassent notre univers d'humain qui se limite à 5 sens primaires. Une pépite à déguster car on est vite absorbé et tenté de conclure l'histoire d'une traite.
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