Premier tome de la série héritée de ma mère qui a sûrement un lien avec mon amour des littératures du monde, on suit l'arrivée de Bente Winther au pensionnat d'Egebord, Danemark, son père aimant mais veuf devant aller travailler au Chili, et comment elle prend le surnom affectueux de Puck. Les quatre filles de la chambre du trèfle à quatre feuilles ne sont pas encore unies parce que Karen est une "enfant à complexes" (le livre date de 1957), Annelise la joyeuse fille gâtée débarque en voisine, Tapage et Piocheur taquinent, et nous on profite de la forêt autour du lac de ce pensionnat plein de belles valeurs éducatives.
C'est évidemment daté (les grands du pensionnat sont autorisés à fumer des cigarettes !) mais ma tendresse pour ces aventures où Puck court après un voleur (et autres événements "palpitants" comme dit Navire) ne change pas. :-)
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La vie est bizarre. On ne peut pas dire que le bien soit toujours récompensé. Et, voyez-vous, il y a des personnes qui sont trop lâches pour être les amies de leur prochain! L'amitié exige autant de courage que la sincérité. Elle exige qu'on soit capable de voir — et de reconnaître bravement — ses propres défauts. Ceux qui ont du courage — et vous en avez, vous, Puck — peuvent s'en féliciter!