On pourrait se dire qu'à 21 ans on a un peu passé l'âge des aventures de notre cher espion français.
Que nenni surtout quand il fait 28 degré dedans cinq de plus dehors et qu'on a peu la migraine; c'est le remontant idéal.
Une histoire pas trop compliqué mais bien ficelée, du dynamisme, de l'humour et de la repartie, et un petit soupçon de nostalgie, et le tour est joué.
Bref même si je reconnais que ce livre n'est pas exceptionnel, il n'en est pas moins agréable, et m'a fait oublié l'espace de deux heures les affres de la canicule.
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Aucune cause ne vaut plus cher que les valeurs qu'elle représente. Si une cause ne peut être sauvée que par des moyens indignes, elle n'est pas digne d'être sauvée.
- Il n'y a plus de riches dans notre pays. Ce grand palais à votre droite, avec les cariatides, renfeme le Tribunal du Travail. Si vos chefs estiment que vous ne travaillez pas assez, c'est là que vous passez en jugement.
- Et à quoi vous condamne-t-on ?
- À travailler plus, dit Kh'tkorn sobrement.
Un jour, ce pays sera sauvé. Pas par moi, peut-être, car je peux me faire tuer demain. Mais par cette flamme d’espérance que j’y aurai entretenue.
À l'occasion de la parution du premier tome des "Aventuriers de l'étrange", Bertrand Puard revient pour Hachette.fr sur cette toute nouvelle création de la Bibliothèque Verte. Une série notamment inspirée par les livres de cette mythique collection, d'Agathe Christie à Alfred Hitchcock en passant par Vladimir Volkoff, et dont le doublement primé à Cognac fut lui-même lecteur.