Pourquoi aimons-nous regarder certaines formes plus que d’autres, écouter certaines suites de sons (les mélodies, éventuellement) plutôt que d’autres? Sous peine de circularité, on ne peut répondre : « Parce qu’elles sont plus belles ». Ces préférences sont-elles ancrées dans la structure même de notre cognition, comme le prétendaient autrefois les philosophes, et aujourd’hui les neurologues? Ce livre présente l’état actuel de la question (Sibley, Goldman) tout en s... >Voir plus