Déjà le titre m'a séduit.
Et que dire du sous-titre "l'anti-métronome", qui me ravit !
Désolé @
Lorànt Deutsch mais je suis foncièrement anti-royaliste (même si en 2020, un "roi de circonstance" est au pouvoir).
Bon, pas besoin de propos liminaires, je suis un rouge teinté de noir.
Communiste ?
Si nous parlons des biens communes, alors oui sans aucune hésitation.
Mais, si nous parlons de Trotski ou
Lénine, alors non.
Anarchiste ?
Oui, en partie.
Mais revenons au titre !
Anecdote personnelle, j'ai quitté (et bien m'en a pris !) Paris début 1996, après la grande grève de 1995.
J'habitais Yerres et était en mission à Charenton-le-pont mais aussi en audit à Garges-les gonesses.
Je venais au travail vers 5h30 (avec un pote imprimeur) et repartais chez moi vers 21h (avec un autre pote, vétérinaire à Maison-Alfort).
La boîte qui employait mes compétences d'expert IT m'avait accordé la semaine de 3j (merci à eux... Banques Populaires, pour les citer).
J'ai toujours été en soutien avec le mouvement, même si j'ai déploré l'individualisme du tout-venant des usagers (RER/RATP).
Bref, revenons à ce titre.
Bien sûr, je suis comme un "poisson dans l'eau" dans ces histoires de révoltes ou simples rébellions.
Les autrices sont d'excellentes passeuses de savoir ! Sisi !
Leurs expertises teintent mes pauvres connaissances ;-)
Et mon côté Monk (ce besoin de noter, tracer les liens entres les acteurs et les événements) a été très efficacement réduit grâce au site https://maitron.fr/
Bref, 24 ans après mon exil de Paris, cette balade, via le métro, dans la capitale m'a procuré un réel plaisir (et remonté des souvenirs joyeux).
Aucune envie de revenir de manière pérenne dans cette ville, mais dans mes visites ponctuelles, ce titre sera dans ma mémoire (voire ma poche).
Merci sincère aux autrices