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L'ouvrage que nous propose l'auteur portugais est, d'après l'encyclopédie en ligne, inspiré de la vie de Calouste Gulbenkian, un arménien roi du pétrole et autodidacte de la pensée artistique raffinée et libérée. Tous les commentaires qui suivent concernent donc le personnage fictif de Kaloust Sarkisian, héros de ce roman très bien écrit.
Si vous souhaitez le lire, stoppez ici, sinon c'est du divulgâchis.

Un beau roman sur la turpitude en somme.
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Lors de la Masse Critique du 11 septembre 2019, j'ai postulé pour plusieurs titres et j'ai coché celui-ci pour plusieurs raisons :

- Attirée tout d'abord pas la couverture et la photo de cette magnifique broche de Femme Libellule de René Lalique que j'ai eu la chance de voir à la Fondation Calouste Gulbekian à Lisbonne.

J'étais donc intriguée de découvrir la vie de ce millionnaire qui a rassemblé tant de richesses dans ce musée extraordinaire.

Autre raison d'avoir postulé pour ce livre, la ville légendaire de Constantinople et de toute la richesse de cette ville que j'ai eu aussi la chance de visiter.

J'étais donc très heureuse d'avoir obtenu ce livre, merci à Babelio et aux éditions Hervé Chopin et j'étais curieuse de découvrir la vie de Calouste Gulbekian.

Le livre débute avec la mort de Calouste Gulbekian et dans la fiction de JR Dos Santos ce sont les mémoires que le père à laisser à son fils Krikor qui vont nous permettent de découvrir la vie de cet homme.

Nous remontons le temps en découvrant l'enfance de Calouste dans une première partie s'intitulant "L'Orient" .

"La vie est l'enfance de notre immortalité " Goethe

Né à Trézibonde de parents arméniens, ils vont très vite s'installer à Constantinople, ville de tous les possibles.

L'enfance de Calouste n'est pas forcément très douce et même si le niveau de vie de la famille est aisée, leur condition d'Arménien chrétien va vite être un problème au sein d'une communauté essentiellement musulmane.

Son père est extrêmement exigeant, Calouste doit viser la perfection et jamais se contenter d'être deuxième et encore moins d'être moyen ! Nous comprenons que cette enfance exigeante va façonner un homme certes intelligent mais très dur !

J'ai aimé cette première partie à la découverte de son enfance et de l'histoire des arméniens à Constantinople. (l'histoire se répète encore...).

Par contre si l'enfant qu'il était m'a attirée, j'ai beaucoup moins aimé l'homme qui en est né.

Non, avouons que cet homme ne m'a pas charmé, loin de là ! Toute sa vie est tournée vers sa réussite sociale et les moyens pour y parvenir me sont apparus quelque peu détestables.

Se marier pour obtenir uniquement un rang dans la "bonne" société. Une vision de la femme dégradante (certes lié fortement à l'époque mais quand même ... Même si le milieu des affaires actuellement n'est peut être pas encore si éloigné de ça...).

Ainsi, si j'ai aimé suivre l'enfant, j'ai eu beaucoup plus de mal à m'attacher à cet homme froid et calculateur à bien des niveaux.

Côté sentiment on ne peu que rester en manque. Calouste finira par se marier et avoir un fils , Krikor. Calouste reproduira l'éducation qu'il a eu... Krikor prendra-t-il le même chemin que son père...

Dans l'homme de Constantinople on se retrouve au coeur de tractations politico-financières. Nous sommes aussi en pleine évolution d'un monde qui va prendre le virage du pétrole.

Comme je l'ai indiqué au début de mon billet je pensais trouver ici des réponses quant à la naissance de ce collectionneur d'art. Si nous en avons les prémices ici c'est avant tout dans ce livre la construction de cet homme qui va devenir millionnaire.

Mes réponses se trouveront dans le tome suivant annoncé en fin de livre : " Une millionnaire à Lisbonne ".

Mon avis sur cette lecture est mitigé. Si le première partie du livre, les deux autres (le livre compte trois parties) m'ont plus ennuyées. Toutes les tractations financières et politiques en compagnie d'un homme qui se révèle dur et calculateur et ceci dans tous les domaines.

Un rapport aux femmes répugnant, avec une épouse qui est seulement une dote et un rang social et des maîtresses qui sont des femmes achetées à coup de diamants pour raison de santé et écartées quand trop vieilles (au dessus de 18 ans !). Ici pas de sentiments d'amour... La beauté n'est que matérielle chez lui en somme ?

Un homme pour qui acheter et obtenir restent l'essentiel de sa vie.

L'écriture de JR Dos Santos est néanmoins agréable et visuelle et j'ai apprécié me promener en plein Constantinople ou en voyage à bord de L'orient express.

J'espère que le deuxième tome nous révélera un homme plus humain ...

" A quoi ne forces-tu pas le coeur de l'homme, maudite soif de l'or ?" Virgile

Merci encore à Babelio et aux Éditions Hervé Chopin pour ce cadeau !



Lien : https://imagimots.blogspot.c..
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L'Homme de Constantinople est publié depuis 2013 en portugais et il a fallu attendre 2019 pour qu'une version française soit éditée. José Rodrigues Dos Santos raconte la vie de Caloust Gulbekian, appelé Kaloust Sarkisian dans le roman. On le suit de sa plus tendre enfance à son lit de mort. C'est un vrai roman historique qui traite de nombreux sujets politiques et sociaux. La première partie se passe en Turquie et nous présente la rivalité qui divise les Turcs et les chrétiens arméniens. Ces derniers sont persécutés à cause de leur religion et l'on comprend les fondements du génocide de 1915-1917. Pour ses études, les parents du jeune Kaloust l'envoient en Europe.  Il passe d'abord par Marseille avant d'atterrir à Londres. Là-bas, il se lance dans les affaires et s'assure le mariage qu'il veut grâce à des manigances bien pensées. Kaloust est un homme auquel rien ne résiste. Son intelligence et sa perception du monde lui ouvrent les portes de la réussite : mariage, affaires, politique. 

La deuxième partie du roman aborde des thèmes plus économiques : Kaloust investit dans le pétrole, l'or noir qui fait sa fortune, en même temps qu'il développe une sensibilité à l'art. On fait la connaissance de grands noms de l'époque, tel que Winston Churchill, alors Premier Lord de l'Amirauté. Comme Ken Follett, Dos Santos fait parler d'augustes personnages, ce qui rend le récit réaliste. Les interminables discussions politiciennes sur le pétrole et les capitaux des compagnies pétrolières sont très intéressantes et nous plongent au coeur des problématiques nationalistes de l'époque car le but de l'Angleterre est d'évincer l'Allemagne de la scène internationale. 

C'est un roman aux thèmes différents, des descriptions de Constantinople aux modes de vie londoniens, en passant par les politiques commerciales du début du siècle dernier. Laissez-vous happer par le style à la fois romanesque et journaliste de Dos Santos, et dévorez L'Homme de Constantinople

Seul regret que j'ai eu pendant ma lecture : que l'attrait de Kaloust pour l'art ne soit pas davantage développé. Mais une suite est prévue...

Plus de chroniques littéraires sur :
Lien : http://raisonlectureetsentim..
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L'auteur J.R. dos Santos a l'habitude de nous offrir des gros pavés littéraires. Il suffit de regarder « Signe de vie » ou tout simplement son dernier livre (« L'homme de Constantinople ») dont je vais vous parler ici, pour s'en rendre compte. Richement documenté, c'est tout un univers qu'il nous livre.

Même si le personnage principal, Calouste Gulbenkian a réellement existé, j'avoue que je n'en avais jamais entendu parler et je ne pense pas être la seule dans ce cas. Véritable saga familiale, les pages défilent comme un roman d'aventure. J'ai apprécié découvrir un pan de l'histoire du peuple arménien dont je ne connais finalement que très peu de choses. L'histoire de l'Empire Ottoman et de l'évolution de l'importance du pétrole n'ont finalement presque (oui quand même ;-)) plus de secrets pour moi.

Kaloust, notre héros de l'histoire a véritablement su toujours prendre les bonnes décisions aux moments opportuns. Parfois, il ne s'agit que d'une question de timing, de bonnes rencontres mais parfois aussi de savoir prendre des risques quand il le faut.

C'est très riche en descriptions et les personnages historiques évoluent au fil des pages. On ne peut que se rendre compte aisément de tout le travail de recherches et de documentations qui a dû être nécessaire à l'auteur pour nous offrir une telle oeuvre littéraire !

Même si globalement, ce bouquin m'a plu, je l'ai parfois mis de côté pour passer à d'autres lectures. Vu qu'on évolue au fil des années en grandissant avec Kaloust, je n'ai pas eu du mal à m'y retrouver et à reprendre le cours du récit.

Merci à Agnès Chalnot pour sa confiance renouvelée et aux Editions Hervé Chopin pour l'envoi de ce livre.
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Mais comment me suis-je retrouvé à lire la biographie romancée de Calouste Gulbenkian ?
C'est très simple, Babelio est passé par là. Merci à Masse Critique Littératures et les éditions Hervé Chopin pour l'envoi de cet excellent bouquin :)
Maintenant, j'attends avec très (très) grande impatience la traduction de O Setimo Selo et La Mano del Diablo !

Oubliez le Dos Santos sur la couverture, L'Homme de Constantinople n'a pas plus à voir avec les Tomàs Noronha qu'avec les Harry Potter (même si on reconnait les accents historiques du codex 632).
Ici, point de course-poursuite avec le Big Bang ou la bombe atomique en toile de fond, mais l'ascension fulgurante de Kaloust Sarkisian, jeune homme que personne ne connaissait, qui voit sa carrière décoller après s'être découvert une étrange passion pour l'argent (et sa prof de français), jusqu'aux plus hauts sommets de la géopolitique mondiale.
Toute ressemblance avec un président s'arrête là, puisque les seuls projeeeeets de Kaloust sont d'avoir main-basse sur le pétrole et les plus grands chefs-d'oeuvre artistiques. En deux volumes, J.R.Dos Santos compte bien retracer avec précision l'épopée Sarkisian.

Amoureux de livre d'action, passez votre chemin. le bouquin fait presque 500 pages mais il ne se passe RIEN. le seul moment où le suspense décolle un peu, c'est quand l'Orient-Express a une heure de retard par rapport au planning prévu. Mais qu'a-t-il bien pu se passer ?? Il a déraillé ?? Quelle catastrophe !!! (vérifiez par vous-même si vous ne me croyez pas, c'est vers la page 250). Dès que Kaloust ouvre la bouche, c'est pour parler pétrole, pétrole, pétrole ou art. D'ailleurs, le bouquin ouvre une perspective de réponse très intéressante sur la question Peut-on apprécier les oeuvres d'un auteur lui-même imparfait ? Et clore enfin le débat Céline ou pas Céline.

Personnellement, j'ai adoré ce livre. le pétrole, d'habitude je m'en bats l'oeil et le flanc gauche, mais comme c'est Dos Santos qui est aux manettes, ça change tout. C'est frais, pétillant et délicieux, et c'est plus sain que du Coca. Que ceux qui reprochent à l'auteur sa prose peu talentueuse dans Tomas Noronha lisent L'Homme de Constantinople ! Moi-même, j'ai été étonné, les métaphores ne sont pas forcément la tasse de thé de l'auteur dans les oeuvres précédemment éditées. Je souhaite qu'il poursuive dans cette voie d'écriture, c'est génial !

En somme, vive Sarkisian, et vive Dos Santos.
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Après Signe de vie paru en France en 2018 chez HC Editions (2017 au Portugal dans la version originale), l'auteur portugais et présentateur vedette du JT José Rodrigues dos Santos revient avec L'homme de Constantinople. Cette fois, l'auteur nous surprend et change tout. Exit son personnage favori, exit les enquêtes historico-scientifico-religieuses. Lettres it be vous dit tout sur ce nouveau livre !

# La bande-annonce

Quelle est cette force qui peut porter un homme jusqu'aux sommets du pouvoir ? Comment un jeune Arménien, né peu avant le déclin de l'Empire ottoman et les prémices du génocide, a-t-il pu devenir l'homme le plus riche du monde, régnant sur le monde naissant du pétrole pendant plus d'un demi-siècle ? Et pour quelle raison cet homme d'affaires intraitable, surnommé « Monsieur 5 % », devient-il le plus grand collectionneur d'art de tous les temps ?

Alors qu'il est sur le point de rendre l'âme, c'est à son fils que ce multimillionnaire si secret va tenter d'expliquer ce qui l'a toujours fait avancer. Cette question qui l'a poursuivi toute sa vie et qu'il pose une dernière fois : « Qu'est-ce que la beauté ? ».

Inspiré de la vie de Calouste Gulbenkian, L'Homme de Constantinople relate le parcours exceptionnel de cet Arménien méconnu qui a pourtant régné sur la géopolitique mondiale – et consacre définitivement J.R. dos Santos comme l'un des grands auteurs contemporains.

# L'avis de Lettres it be

C'est l'un de nos auteurs favoris chez Lettres it be. José Rodrigues dos Santos est un cas à part. Avec La formule de Dieu sorti en 2006 au Portugal et 2013 en France, dos Santos réalisait l'un des plus grands best-sellers de ces 10 dernières années en librairie. Depuis, l'auteur n'a jamais cessé de proposer des textes riches, haletants, fouillés… Une somme incroyable de travail et de recherche pour offrir aux lecteurs une mine d'informations, de curiosités et d'apprentissages. le tout noyé dans des intrigues on ne peut plus rythmées autour du personnage, désormais célèbre, de Tomas Noronha, professeur d'histoire spécialiste en cryptologie qui n'est pas sans rappeler le Robert Langdon de Dan Brown. Et, effectivement, les similitudes sont nombreuses entre les livres de Dan Brown et ceux de José Rodrigues dos Santos. Et si le portugais remportait définitivement la bagarre avec son nouveau livre ?

Une histoire hors du commun, un personnage peu connu du grand public malgré une large empreinte laissée sur son siècle… Dans L'homme de Constantinople, José Rodrigues dos Santos relate de façon fictionnelle la vie du financier arménien Calouste Gulbenkian né en 1869 à Scutari. Comme toujours sous la plume de l'auteur, tout est vrai mais emballé dans un cadre fictionnel extrêmement bien construit. L'auteur quitte ses habitudes pour nous faire découvrir une histoire particulière. Un véritable pari, réussi haut la main !

C'est le retour d'un géant. Un géant du thriller qui montre cette fois une véritable prise de risque en sortant du cadre développé avec plusieurs livres déjà autour de son personnage fétiche Tomas Noronha. Difficile de garder notre objectivité au sujet de J.R. dos Santos après avoir tant adoré Signe de vie, Furie divine ou encore La formule de Dieu. Dans L'homme de Constantinople, José Rodrigues dos Santos change tout en proposant une histoire différente, indépendante de tout le reste. En se concentrant sur l'existence passionnante de Calouste Gulbenkian, l'auteur portugais montre, si cela était encore nécessaire, toute sa maîtrise dans la gestion du rythme, dans la narration et l'enchevêtrement des événements. Une fois n'est pas coutume, on apprend une incroyable quantité de choses au contact de ce livre qui est en vérité un premier volet dont la suite sera à retrouver en librairie l'année prochaine. On a hâte !

Retrouvez la chronique en intégralité sur Lettres it be
Lien : https://www.lettres-it-be.fr..
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L'homme de Constantinople précède Un milliardaire à Lisbonne lu précédemment. On peut lire ces livres séparément sans souci de l'ordre de parution qui est aussi celui du déroulement des histoires.
J'avais beaucoup apprécié Un milliardaire à Lisbonne et me suis donc plongé dans L'homme de Constantinople avec plaisir. Aucune déception. On suit là le jeune Calouste Gulbenkian jusqu'à son ascension dans la fortune. Ce sont des pages de l'histoire des arméniens qui sont la trame de fond du roman. Et l'on s'attache aux personnages de la famille facilement. Il y a le monde des affaires, les relations amoureuses et les autres, la découverte de l'art. C'est tout simplement très bon.
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Karoust Sarkisian est né en 1869. Il est le fils unique de Vahan Sarkisian qui a fait fortune dans le commerce du tapis d'Orient. Un père dur et intolérant, qui exige de sa progéniture qu'elle excelle en toutes matières, voire qu'elle soit la meilleure de son école arménienne. Ils vivent à Trebizonde (en Turquie)

Lorsque Vahan Sarkisian va découvrir l'existence de la lampe à pétrole, progrès infiniment précieux de l'époque, son fils Karoust va avoir son premier contact avec le fruit de sa future ascension professionnelle et sociale : « l'or noir » … Élevé dans des conditions particulièrement strictes, il deviendra un homme d'affaires impitoyable, ne se reconnaissant qu'une seule et unique faiblesse : une immense passion pour l'art et la beauté qu'il engendre …

JR Dos Santos a construit les deux tomes de façon identique : Krikor apprend que son père est mourant et se remémore à cette occasion les années écoulées.

Un bon roman découvert avec grand plaisir – même si j'ai eu une petite préférence pour le second opus (« un millionnaire à Lisbonne ») lu juste avant. Une enfance qui m'a finalement éclairée sur les causes de l'intransigeance de « Monsieur 5% » à l'égard de Krikor, son propre fils.
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JR Dos Santos a coutume de rappeler que la fiction est plus puissante que le journalisme pour dire la vérité. Et bien il le prouve sur cette première partie d'une biographie d'un homme qui a bouleversé le marché du pétrole dès la fin du XIXe Siècle et dont le parcours pourrait certainement être passionnant sans même en rajouter.
J'ai pris énormément de plaisir à découvrir ce personnage dont je n'avais jamais entendu parler.
L'histoire de l'histoire : Kaloust Sarkisian a écrit ses mémoires et son fils, au moment où son père va mourir, les découvre avec nous. de sa jeunesse à ses premières affaires, de sa découverte de l'art aux jeux politiques en Arménie, en Angleterre, en Europe et dans le monde, tout enchaîne et le lien que nous tisse JR Dos Santos est tendu juste comme il faut pour avoir un vrai roman accrocheur.
Un roman historique donc, au coeur de l'Histoire et des marchés, qui se finira en 2020 car la vie de cet homme secret est tellement riche qu'il fallait bien plus d'un seul tome pour nous le faire découvrir.
Un excellent 9/10 dans mon échelle de goût, et bien éloigné de mon échelle habituelle de polars sanguinolents.
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L'auteur José Rodriguez Dos Santos revient avec une nouvelle intrigue historique et laisse un peu de coté son personnage phare Thomas Noronha. Dans cette passionnante histoire, nous retraçons la vie du mystérieux financier arménien Calouste Gulbenkian qui a régné sur le monde du pétrole et de l'art pendant le XXe siècle.
Un récit passionnant et surtout plein de faits historiques, j'avoue que j'ai appris énormément sur l'histoire de l'empire Ottoman ainsi que du pétrole grâce à la belle plume de l'auteur.
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