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Critiques de Lawrence Durrell (142)
Le Quatuor d'Alexandrie

Un des livres les plus envoutants, sinon le plus, que j'ai lus.

Alexandrie, et ses personnages si attachants qui se croisent dans un ensemble de récits flamboyants.

La littérature dans toute sa séduction et une langue dont la musique sensuelle vous emporte..A lire et à relire !
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Le quatuor d'Alexandrie, tome 3 : Mountolive

La saga d'Alexandrie se développe et s'ancre un peu plus profondément dans le drame dans ce troisième volet du "Quatuor" .

L'intrigue nous confronte à la fin tragique de Pursewarden , le poète et écrivain qui finit par se suicider au cyanure . Le complot de Nessim , le richissime copte amoureux de Justine la reine de beauté juive , se développe et prend corps . Il ne s'agit plus d'un aimable cercle de doux étudiants de la Kabbale , mais bien de dangereux comploteurs qui trafiquent des armes pour en procurer aux colons israéliens pour leur permettre de se battre contre les Palestiniens qui se retrouvaient à l'époque en position de force au départ des Anglais .

" Toute notre fortune a passé dans la lutte qui est sur le point de s'engager ici ...Les Anglais et les Français nous aident , ils n'y voient pas malice ... Ils sont dans une situation lamentable parce qu'ils n'ont plus de désir de se battre , ni même de penser ... Les juifs au contraire , représentent un élément jeune: ils sont le poste avancé de l'Europe dans ces marécages croupissants d'une race moribonde ." Déjà !?

" Nous savons , dit encore Durrell , que nos jous sont comptés depuis que les Français et les Anglais ont perdu le contrôle au Moyen-Orient . Nous , les communautés étrangères , avec tout ce que nous avons édifié ici , nous sommes petit à petit absorbés par la poussée arabe , la marée musulmane ..." Déjà!?

Nous voilà bien loin de l'aimable adagio du début de la saga . Nous sommes en plein drame : le complot est découvert , le frère de Nessim en paiera de sa vie les frais .

Quand à David Mountolive , le jeune et fringant diplomate britannique qui donne son nom au titre , c'est en fait un personnage secondaire . Il a quitté Alexandrie assez jeune pour mener une brillante carrière dans divers ambassades et bien longtemps après , pour revenir au Caire et à Alexandrie pour y voir toutes ses illusions et ses amours sombrer ...

Un livre magnifique qui donne à réfléchir sur la vanité des choses et les dérisoires efforts des hommes pour s'inscrire dans la longueur du temps historique . Les tendances lourdes des évènements majeurs ont toujours leurs racines bien loin en arrière ...
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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Citrons acides





Deux scènes me font pouffer : celle où Durrell désarme l’hostilité du berger anglophobe en prétendant que son frère est mort aux Thermopyles et celle de l’achat de sa maison chez le négociant turc. Sa description de la campagne chypriote et de ses habitants est pleine de saveur et d’humanité, les personnages hauts en couleurs, d’une gentillesse inégalable.. Dans la deuxième partie du livre, la situation politique se détériore. Durrell engagé dans l’administration britannique, doit quitter Bellapais pour Nicosie. Le gâchis de la décolonisation le rend ame
Lien : http://miriampanigel.blog.le..
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Le quatuor d'Alexandrie, tome 4 : Clea

Si À la recherche du temps perdu s'achève sur le Temps retrouvé, on peut dire, en paraphrasant Pursewarden, figure de l'écrivain lucide et un brin cynique, alter ego romanesque de Lawrence Durell, que Cléa, ultime opus du quatuor d'Alexandrie, est le Temps délivré.



Ce dernier volume est d'un contenu conceptuel plus riche avec ses considérations sur la littérature, par le biais d'extraits du carnet de Pursewarden, ultime pirouette de ce personnage qui a eu le bon goût de quitter ce théâtre d'ombre en s'administrant fort proprement une dose de cyanure . Et en effet à part l'ultime mouture amoureuse entre le narrateur des deux premiers volumes et l'héroïne éponyme, qui a endossé à son tour le rôle de déniaiseuse auprès de ce dernier, lui révélant les ultimes turpitudes qu'il ignorait, les personnages principaux qui supportaient toute cette architecture n'apparaissent plus que comme de furtives ombres, le courant de la narration s'amenuisant progressivement, tel un modeste cours d'eau qui se perdrai dans les sables du désert qui enserre la ville cosmopolite d'Alexandrie.



Avec Cléa, le Quatuor d'Alexandrie s'achève dans un certain essoufflement. Il semblerait que l'auteur projetait un cinquième volume ayant comme figure principale Capodistria, dont la mort apparente ne cachait qu'une fuite face à ses débiteurs et qui dans son nouvel exil s'adonnait fébrilement aux prestiges de l'alchimie. En l'absence de ce volume putatif, le lecteur reste assez désemparé eu égard à l'effort qu'a demandé cette grande machine qu'est le Quatuor, comme un ambitieux château de cartes qui s'effondre. C'est le cœur de cette tétralogie qui remporte le suffrage de votre serviteur à savoir, Balthazar et Mountolive.

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Le quatuor d'Alexandrie, tome 3 : Mountolive

Mountolive est le troisième mouvement du Quatuor d'Alexandrie. Par le biais d'un regard externe et omniscient la narration se concentre sur le personnage éponyme, ambassadeur britannique au Caire, dont la figure était à peine esquissée jusque-là dans les deux premiers volumes. Ce faisant le récit remonte aux origines, à des événements antérieurs à ceux qui occupent Justine et Balthazar. Ainsi, l'intrigue nous apparaît sous un prisme différent, le dévoilement se fait plus précis, mais le lecteur quelque peu échaudé devine que peut-être il n'en a pas fini avec tout ce jeu des apparences, ce chausse-trappe narratif. Plusieurs personnages dont l'ambassadeur en sont eux-mêmes pour leurs frais. Ce qui semblait n'être qu'intrigues amoureuses et tromperies triviales, bien que surprenantes, prend le tour d'un vaste complot politiques mettant aux prises les autorités égyptiennes, les représentants de la couronne britannique et certains notables coptes.



Mountolive propose donc un éclairage nouveau sur les évènements qui marquent les deux premiers volets du Quatuor en présentant les ressorts profonds qui ont conduits les figures de ce vaste palimpseste littéraire à leurs actes fatals. A l'orée du dernier opus, Cléa, le lecteur, une nouvelle fois désarçonné, se campe derechef sur ses jambes, préparé à l'ultime assaut, attendant le signal de l'arbitre Durell : « En garde ! », « Prêts ? », « Allez ! ».
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Le sourire du Tao

Je pense que ce livre est à lire plusieurs fois pour bien en comprendre la substance et arriver à entrer dans la pensée développée par l'auteur.

J'ai apprécié la première partie où Lawrence Durrell raconte son expérience avec Jolan Chang. J'ai aimé cette approche de la vie de ce chinois sexagénaire aux allures adolescentes qui montre que la "vie éternelle est possible" à condition d'avoir une hygiène de vie en accord avec son propre corps.

Cela rejoint les principes du Yin et du Yang qui est important dans la culture taoiste.

En revanche, la partie dédiée à Véga et aux recherches sur Nietsche a été beaucoup plus obscure et j'ai eu du mal à comprendre où voulait en venir l'auteur.

Un bilan en demi-teinte pour moi sur cette lecture.
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Le quatuor d'Alexandrie, tome 3 : Mountolive

Je globalise ma critique aux quatre tomes que j'ai lus reliés en un seul volume, chez Buchet Chastel, 1997, 1029 pages. En reprenant l'ensemble afin de me remémorer les sensations éprouvées il y a une bonne vingtaine d'années, j'ai renoué avec l'incandescence romantique, l'exotisme d'une Égypte révolue, les passions exacerbées ou rentrées, la beauté d'une écriture dense, évocatrice et charnelle. L''envie est là de relire, mais n'est-ce pas du temps perdu... J'avais mis plus d'un an à lire un de mes romans préférés.

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Le quatuor d'Alexandrie, tome 1 : Justine

Je globalise ma critique aux quatre tomes que j'ai lus reliés en un seul volume, chez Buchet Chastel, 1997, 1029 pages. En reprenant l'ensemble afin de me remémorer les sensations éprouvées il y a une bonne vingtaine d'années, j'ai renoué avec l'incandescence romantique, l'exotisme d'une Égypte révolue, les passions exacerbées ou rentrées, la beauté d'une écriture dense, évocatrice et charnelle. L''envie est là de relire, mais n'est-ce pas du temps perdu... J'avais mis plus d'un an à lire un de mes romans préférés.



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Correspondance (1935-1980) : Lawrence Durre..

45 ans de correspondance et 750 pages. Difficile de donner un avis.



Comme le dit @5Arabella cette lecture est indispensable pour les admirateurs de Miller et de Durrell.



Plusieurs éléments peuvent vous intéresser dans ce livre au-delà de la découverte de la relation entre ces deux écrivains et de leur vie :

- des réflexions sur ce qu'est l'amitié et quel est le rôle de la correspondance dans ce cadre ;

- des réflexions sur la pauvreté et la richesse ;

- des réflexions sur ce qu'est être un écrivain et sur ce qu'est l'acte d'écrire ;

- des réflexions sur l'état de l'art et la littérature au XXe ;

- des analyses et des commentaires géo-politiques sur la France et d'autres pays et sur les relations internationales ;

- des descriptions magnifiques de lieux et d'ambiance.



Par ailleurs, même si elle est peu mentionnée, on en apprend un peu plus sur Anaïs Nin. A la lecture de certains propos, on lit différemment ces journaux.



L'ensemble de ces entrées rend la lecture très plaisante. On regrette parfois le sort de l'histoire et la perte de certaines lettres de la correspondance.
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Petite musique pour amoureux

'' Petite musique pour amoureux " est le premier roman écrit par Lawrence Durrell, dans lequel il fait le récit, à peine déguisé, de son enfance en Inde du Nord, dans les contreforts de l'Himalaya, où il vécut heureux près de son père, libre dans une nature luxuriante, dont il gardera la nostalgie toute sa vie. Roman d'apprentissage, il évoque ensuite ses débuts difficiles dans l'Angleterre froide, humide, et brumeuse des années 20, où il aura bien du mal à trouver ses marques. Ce livre est aussi le récit d'un premier amour qui viendra illuminer sa vie, un émerveillement douloureux, dont il connaîtra le terme, et dont il n'aura de cesse de retrouver la perfection dans ses amours futures. Un joli livre, écrit avec finesse et sensibilité, où l'acuité psychologique de l'auteur est déjà présente dans ses descriptions, de même que ses interrogations sur le sens à donner à nos vies. Une oeuvre de jeunesse intéressante, à recommander aux fans de cet auteur si talentueux, dans l'attente de ses œuvres majeures.
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Les Iles grecques

Lawrence Durrell, l'auteur du célèbre "quatuor d'Alexandrie" a séjourné à plusieurs reprises dans les îles grecques. cet ouvrage, rédigé dans les années 1970 relate des rencontres, des découvertes faites en Grèce dès les années 1940. L'écriture est belle et relevée.
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Sébastian ou les passions souveraines

Roman d'amour et de violence, de folie, "Sébastian" est avant tout une interrogation angoissée sur le sens de l'existence humaine dans un monde livré à la décadence du sacré, où les idéologies réduites à l'absurde s'affrontent en vains combats Des visions d'une intense poésie et des personnages inoubliables.
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Cefalû

Les anglais sont passés maîtres dans l'art d'exploiter des veines riches et fertiles ne provenant pas de leur pays si plat et monochrome. Ils ont inventé l'alpinisme alors que le point culminant de l'Angleterre est à moins de 900 mètres, ont restauré nos vieilles fermes à l'abandon dans les campagnes du Sud de la France, et dans ce charmant roman à tiroir, Lawrence Durrell se sert des paysages crétois pour développer son récit. Plus qu'un cadre fini et référencé et vaguement évocateur d'une ancienne civilisation disparue, le décor joue le rôle d'un protagoniste à part entière. Les lieux attirent ou chassent les personnages, les piègent ou les révèlent à eux-mêmes. Ils ne sont jamais neutres et aboutissent toujours quelques part, même si le chemin est un labyrinthe façonné dans la roche et ayant la fâcheuse habitude de s'écrouler au passage des visiteurs.

Ces pérégrinations typiquement victoriennes donnent lieu à de véritables voyages intérieurs. Les lieux portent en eux la présence des symboles agrégés dans l'imaginaire de l'homme, de l'antiquité jusqu'à nos jours. Imbibé de pensées psychanalytiques et de réflexions sur l'état du monde en totale déliquescence (le roman est écrit dans l'immédiate après-guerre), la force du livre réside toutefois dans sa simplicité calme et lumineuse.
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Correspondance (1935-1980) : Lawrence Durre..

Ces lettres sont vraiment étonnantes. Je ne soupçonnais pas que les deux hommes furent proches à ce point. Et ce qui je trouve le plus surprenant, c'est que leur amitié fut surtout épistolaire, les périodes où ils se sont fréquetés pour de vrai, ont été l'exception et non la règle.



Tout commence en 1935 par une lettre que le jeune Durrell ( il a environ 20 ans de moins que le maître) envoie à Miller, pour lui dire son admiration. Et Miller lui répond, et qui plus est lui dit que personne n'a jusque maintenant compris son oeuvre comme lui.



J'ai été surprise de voir à quel point les deux hommes admiraient leur travail respectif, compte tenu de la grande différence de leurs oeuvres, qui paraissent appartenir à des univers vraiment différents. Ils parlent bien sûr d'autres écrivains, d'autres artistes, sont parfois d'accord parfois pas, sans jamais pour autant se disputer, et toujours dans le respect de l'opinion de chacun. Le manque d'argent, la difficulté d'être édité, ont marqué leurs vies, presque jusqu'à la fin, mais ils en parlent avec un certain humour, c'est en quelque sorte le prix à payer pour une véritable indépendance artistique. C'est presque la reconnaissance de la fin de leur vie qui est la plus difficile à supporter, avec son lot de solliciteurs de tout genre qui envahissent leur intimité, Miller ayant beaucoup plus de mal à dire non, à éconduire. En fait, le portrait de ce dernier que donnent ces lettres, est celui d'un homme d'une gentillesse presque sans limites, capables de faire presque n'importe quoi pour obliger un ami.



Un livre indispensable pour tous les admirateurs de Durrell ou Miller, car il donne d'importants éléments pour comprendre leurs oeuvres, et donne une image surprenante des hommes qu'ils furent.

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Vénus et la mer

Décidément, Lawrence DURRELL décrit merveilleuse bien les îles grecques. Après la Crête des "Citrons acides", Corfou de "l'île de Prospero", voici Rhodes.

Ceci est encore un récit.

L'auteur y décrit la grande et petite géographie (minérale, végétale, maritime), l'âme, les divinités, L Histoire dans ses grandes époques, les amis, les habitants, les coutumes et les costumes, les fêtes et les drames.

Comme à son habitude, l'écriture est somptueuse (et somptueusement traduit). On se laisse bercer par le rythme méditerranéen et réveiller par les tempêtes.

Quand on referme le ivre, on a l'impression merveilleuse d'avoir fait ce voyage avec l'auteur et ses amis.
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Monsieur ou le Prince des Ténèbres

S'il est vrai qu'on ne devrait pas lire un livre qu'on n'aura pas envie de relire, faut-il lire un livre qu'on doit relire?

"Monsieur" ne se révèle qu'à la relecture, après qu'on ait suivi tout le circuit de ce "quintette d'Avignon" (Livia, Constance, Sébastian, Quinte). Ces romans sont disposés en quinconce de miroirs et, pris ensemble, forment le roman du roman du roman par lequel on a commencé : dans "Monsieur", l’histoire qu’on croit racontée par l’auteur est un « roman » miroir écrit par un auteur à la vie compliquée qui, lui-même, est le double déformé du romancier célèbre qu’il ne cesse de vilipender, romancier dont la vie compliquée est en large partie l'objet de la série…

Les orgasmes métaphysiques de Constance me laissent aussi froid que ce personnage abstrait sur lequel tout finit par se centrer.

Malgré la gnose, j'avais aimé le "quatuor d'Alexandrie" et le jeu des regards entre les quatre. J'espérais que le "quintette" serait encore mieux mais quand j'ai relu (c'est-à-dire lu puisqu'une ligne sur deux se trouve dans les autres volumes) "Monsieur", j'ai eu la satisfaction intellectuelle de compléter un puzzle mais peu de plaisir.

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Le sourire du Tao

Personne ne se réjouit de la naissance d'une fille.... bien sûr mais pourquoi donc alors allez chercher ce genre de croyances.... A moins de ne pas aimer les femmes.
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Le quatuor d'Alexandrie, tome 1 : Justine

awrence Durrell écrivain britannique nous fait voyager à Alexandrie et nous imprègne de son atmosphère au début du XXème siècle ! le héros dont finalement nous ne connaîtrons pas le nom raconte son histoire : professeur séduisant peu argenté passant d' une vie entre les nantis (leurs réceptions et leur mode de vie) et les habitants ordinaires de cette ville !



Roman à la fois léger et fleuri, philosophique et prégnant !
Lien : http://bibliothequeouillon.o..
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Vénus et la mer

Vénus de la Mer est le plus charmant et le plus littéraire des guides qu’on peut emporter sur l’île de Rhodes (Livre de Poche mince 280p). peinture impressionisten histoire récente ou passée, mythes et croyances populaires…Ecrit en 1945 par Durrell, un peu agent secret, un peu journaliste, au service de sa Majesté britannique
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Le quatuor d'Alexandrie, tome 3 : Mountolive

Je referme ce livre une larme à l'oeil. Les mots sont beaux, les mots sont forts.

J'ai adoré ce 3ème volume du Quatuor d'Alexandrie. On y découvre la vie de la famille Hosnani à travers Mountlolive, diplomate anglais tombé amoureux de l'Egypte dans ses jeunes années.

Les différents tomes du Quatuor racontent une même histoire vue par des personnages différents... C'est au lecteur de mettre ces 3 premiers tomes en parallèle pour essayer de les comprendre...

Je suis impatiente de lire le 4ème volume pour voir s'il y a une clé...
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