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Critiques de Scott Westerfeld (1054)
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Uglies

J'avais envie d'une dystopie... Eh ben devinez quoi?! J'ai encore acheté et commencé le tome 2 avant le tome 1!! (La deuxième fois cette année, sérieux il me faut un deuxième cerveau!)



Enfin bref après avoir lu 100 pages du tome 2 je me suis dit "C'est étrange quand meme... Il y a pleins de choses qui ne s'expliquent pas, je pige rien..." Et j'ai acheté le tome 1 que voici.



(Passons à la critique maintenant)



L'histoire est assez simple à comprendre : cela se passe dans un futur assez lointain régit par l'apparence et la beauté. Les enfants sont conditionnés pour se trouver laids et doivent subir une opération le jour de leurs 16 ans pour ressembler aux adultes Pretties qu'ils trouvent magnifiques.

Tally, l'héroïne, attend son opération avec énormément d'impatience... jusqu'à l'arrivée de Shay dans sa vie. Shay, adolescente du même âge exactement (au jour près) que Tally, ne veut pas subir l'opération (qui est décrite par des mots bucoliques et printaniers comme "boucherie", "broyage des os", etc...) et veut s'enfuir dans une communauté de rebelles nommée La Fumée.

Par un concours de circonstances, Tally se retrouve elle-même à La Fumée et découvre les vices cachés de l'opération.



Je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler.



Dans l'ensemble ce livre est plaisant à lire ; il y a pas mal de suspense et de répliques assez marrantes au final comme celle-ci que j'aime beaucoup : (Shay montrant des photos de personnes de notre époque à Tally) "les plus moches ce sont les politiciens, les gros sont les comiques et ceux avec des cheveux bizarres sont les musiciens!"

En dehors de cela, on a quand même une réflexion assez poussée sur l'apparence physique et son importance, ce qui m'a fait beaucoup pensé à toutes ces gamines qui se laissent crever de faim pour avoir un tigh gap marqué...



Je parlerai tout de même d'un petit bémol : parfois l'écriture n'est pas très fluide ou certains mots pas toujours très adaptés ou clairement de la traduction littérale et je pense que c'est la traduction qui n'a pas été parfaitement réussi.



Hormis ce petit point négatif, j'ai beaucoup apprécié lire ce livre et j'ai hâte de me RE-plonger dans le tome 2...
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Uglies

Un excellent premier tome, loin des romans "teenage" un peu chichi pompon qui manquent de saveurs....

A mi-course entre le roman d'anticipation et le parcours initiatique, j'ai adoré !



Un joli récit qui sensibilise le lecteur et le laisse s'interroger sur l'Homme, sa nature, et la notion de "beauté".
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Uglies, Tome 3 : Specials

J'ai adoré Uglies et Pretties. Et voilà j’ai enfin pu lire le troisième tome. Que dire? Hormis bien entendu que la couverture est toujours si magnifique. Il faut savoir qu’Uglies est sans doute ma première dystopie, d’ailleurs en lisant je ne connaissais même pas le terme, je l’ai appris bien plus tard. Et j’adore j’adore cette saga. Ce troisième tome ne m’a pas déçu, même si j’ai frissonné en me rendant compte que Tally avait dût subir un lavage de cerveau pour agir comme elle le fait. Son comportement n’est pas celui d’une tête vide mais bien d’une Spécial, et spéciale justement elle sait qu’elle l’est. Ce personnage est vraiment géniale, parce qu’elle prends souvent les mauvaises décisions mais qu’on l’aime quand même. Elle est égoïste, croit que le monde ne tourne qu’autour d’elle et de ses désirs, et en plus depuis qu’elle est Special, elle est devenue un peu cruelle (mais c’est le but). Shay est une véritable sadique dans ce tome là, mais on la voit assez peu finalement, pareil pour Zane. Quand à David il est complètement évincé de l’histoire. Le docteur Cable fait une brève apparition (mais géniale l’apparition). On croise d’ancien personnage et on s’attarde un tout petit peu plus sur eux, Peris (le meilleur ami de Tally du temps où elle était Ugly) ou les scarificateurs. On découvre aussi une nouvelle ville, une nouvelle manière de vivre. Ce qui m’a foutu froid dans le dos dans ce livre c’est carrément le coup des scarifications, être obligé de se couper pour être « glaciale » c’est effrayant. D’ailleurs glaciale et spéciale sont des mots qui reviennent assez souvent au final (comme « intense » dans le tome 2). Franchement je saurais pas expliquer pourquoi j’adore autant cette série, à cause de Tally et de son fichu caractère, de son évolution, de la manière dont c’est écrit, l’histoire, la manière de voir les choses. Je comprends également la peur de Tally de voir le monde être détruit par des humains insouciants, et en même temps est ce que ça vaut de les priver totalement de liberté? Et surtout, est ce que cela empêche vraiment la guerre? Je plussoie pour le Tally/David, même si dans ce tome le couple prédominant et le Tally/Zane, même si son comportement vis à vis de Zane m’a un peu dégoûté, des fois Tally peut vraiment être une garce. La fin est super bonne, je l’ai franchement trop adoré, et je pense même qu’une suite n’était pas forcément nécessaire. Cependant je suis ravie qu’il y en ait une, parce que j’en veux encore moi ! Je suis pas rassasiée ! Quand je pense qu’Extras est le dernier tome, c’est un peu triste.
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Uglies

Voilà un bouquin qui traînait depuis longtemps dans ma PAL. Pourtant, ce n'est pas l'envie de le lire qui manquait. Allez savoir ce qui me retenait de commencer Uglies. Mais voilà, je ne regrette pas une seule minute de l'avoir ouvert.



Partant d'une envie de me changer les idées en lisant de la young adult, un genre que j'apprécie mais que j'avais mis de côté pendant un moment, j'ai choisi Uglies pour son intrigue originale. J'étais alors loin de me douter de la vraie leçon donner par Scott Westerfeld.



Car l'auteur, en plus de développer une histoire captivante, réalise une mise en garde écologique en mettant en scène une population descendante de ces humains obnubilés par le pétrole. Les "Rouillés", comme on les appellent aujourd'hui, se sont tous fait exterminés par un virus contaminant l'or noir. Aujourd'hui, la terre est saine et la nature sauvegardée. Car désormais, les humains passent par deux stades : le Uglies (de la pré-adolescence à l'âge de 16 ans) et le Pretties (à partir de 16 ans) via une opération qui rend tout le monde beau et en pleine santé. Plus de jalousies, plus de guerre, les humains sont tous sur un pied d'égalité et passent leur vie, insouciants, à s'amuser et à se sociabiliser.



Sauf que, comme vous l'aurez compris, derrière cette jolie façade se cache une terrible vérité. Un secret qui va faire réfléchir sur cette "évolution" en apparence parfaite. Car certains Uglies, refusent de devenir Pretties et fuient. Tally Youngblood, une jeune fille qui n'a pour seul rêve, celui de devenir Pretty, va faire l'étrange découverte de ces populations qui désirent rester Uglies à jamais. Et ce qu'elle va découvrir va bouleverser son existence.



Haletant, Uglies se lit vite et surprend. Si on accroche peu au début, l'appréciation du titre se fait croissant. Ainsi, je vous conseille vivement de vous procurer les deux premiers tomes d'un coup. Car la fin de ce premier opus va créer un manque, une envie déchirante de connaitre la suite des aventures de Tally Youngblood.



En plus de son intrigue, Uglies propose une jolie palette de personnages très bien construits. Si Shay est insupportable, Tally surprend par sa bravoure. L'occasion de suivre un personnage qui évolue et grandit tout au long du récit est une expérience toujours plaisante. Quant aux lectrices, nul doute qu'elles flasheront, comme je l'ai fait, sur le beau David, jeune homme sauvage et doux (même si j'ai beaucoup aimé aussi le peu de Croy que l'on ai vu. J'attends encore beaucoup de ce personnage).



J'ai d'autant plus hâte maintenant, après avoir découvert l'excellente plume de Scott Westerfeld, de dévorer Midnighters, son autre série au pitch tout aussi prometteur qu'Uglies.
Lien : https://parole2libraire.word..
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Uglies

Dans le monde de Tally, jusqu'à 16 ans, on est moche (Ugly) puis on subit une opération pour devenir beau (pretty) et mener une vie facile à prettyville où le travail n'existe pas, c'est la fête tous les soirs.

Tally va bientôt avoir 16 ans et pouvoir rejoindre son meilleure ami Peris. Ne tenant plus, elle tente une incursion à prettyville pour le voir, mais Peris semble différent et Tally est sur le point de se faire prendre.

Dans sa fuite, elle va rencontrer Shay qui va devenir son amie mais qui elle a décidé de rejoindre "la fumée" un groupe d'Uglies qui a décidé de ne pas subir l'opération.

Tally va-t-elle la suivre ?



Un roman qui sa laisse lire avec plaisir et qui fait, l'air de rien la critique de la société des apparences, de la facilité, du tout technologique.



J'ai bien aimé mais je n'ai pas été totalement captive du récit.
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Uglies

Tally est une Ugly. Âgée de presque 16 ans, elle attend avec impatience l'Opération qui lui permettra d'intégrer la caste des Pretties. Les Pretties vivent à Prettyville : ils se contentent de faire la fête, sans se soucier de rien en dehors de leur popularité ou de leur apparance. Car les Pretties sont beaux. Ils sont subit l'Opération qui a gommé leurs imperfections, tous ces petits défauts qui rendent uniques. Les Pretties sont physiquement parfait. À la veille de son anniversaire, Tally découvre l'existance de la Fumée par le biais de Shay, sa meilleure amie. Le Fumée est un camps rebelle où les gens sont, vivent, vieillisement et meurent Uglies. Une abomination pour Tally. Alors qu'elle refuse d'accompagner son amie Shay dans un premier temps, Tally se retrouve malgré elle dans la nature, forcée de rejoindre la Fumée si elle veut pouvoir accéder à son voeux ultime, devenir Pretty. Là-bas, elle découvre la vie au camps, à la dure dans la nature. C'est là-bas également qu'elle fait la connaissance du mystérieux David...



Comme vous commencez à la savoir, je suis totalement fan des dystopies ! Et celle-ci ne fait pas exception à la règle ! Dans le monde de Tally, le monde est divisé en 2 : les moches et les beaux, les Uglies et les Pretties. Tally est Ugly. Elle est moche et profite de ses dernières semaines à Uglyville pour faire un max de bêtises, comme tout bon Ugly qui se respecte. Elle attend impatiemment son anniversaire pour enfin entrer dans la vraie vie et devenir Pretty. Uglies est une dystopie que je trouve très rude par son sujet. Les individus de cette communauté ont subit un lavage de cerveaux incroyable qui les conduit à détester leur physique. Au final, Tally m'a fait pensé à toutes les adolescentes de notre époque qui sont obnubilées par les canons de beauté actuels.



J'ai beaucoup aimé le personnage de Tally car elle évolue énormément entre la première et la dernière page. D'abord obsédée par son opération, elle découvre un autre monde et une nouvelle façon de penser. Elle gagne beaucoup en maturité au fil du récit. À l'opposé, Shay, sa meilleure amie avait tout de suite eu ma sympathie de part sa liberté de penser mais plus les pages défilait, et plus son comportement de gamine capricieuse m'agaçait.



Uglies est une dystopie originale et très plaisante à lire. J'ai aimé cette critique flagrante des dictats des canons de beauté. C'est un sujet qui fait réfléchir tout en étant extrêment divertissant.
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Uglies

Dans le monde de l'extrême beauté les gens normaux sont en danger.

Tally aura bientôt 16 ans. Comme toutes les filles de son âge, elle s'apprête à subir l'opération chirurgicale de passage pour quitter le monde des Uglies et intégrer la caste des Pretties. Dans ce futur paradis promis par les Autorités, Tally n'aura plus qu'une préoccupation, s'amuser...

Mais la veille de son anniver­saire, Tally se fait une nouvelle amie qui l'entraîne dans le monde des rebelles. Là-bas, elle découvre que la beauté parfaite et le bonheur absolu cachent plus qu'un secret d'État : une manipulation.

Que va-t-elle choisir ? Devenir rebelle et rester laide à vie, ou succombera la perfection ?





Mon avis :



J'ai commencé ce roman un peu septique.. parce que j'avais déjà lu des écrits de Scott Westerfeld, et je ne savais pas si j'aimais ou non, parce que j'en ai lu il y a longtemps, je n'avais pas trés accroché.. mais Uglies... c'est tout autre chose.. c'est un presque coup de coeur pour moi ! une petite merveille à dévorer... c'est trés loin de ce à quoi je m'attendais et j'ai hâte de dévorer la suite !



C'est une dystopie en bon et du forme, puissante, qui nous effraye sur la réalité de demain, sur les extrêmes possibles, et qui nous renseigne sur les différentes facettes humaines.

Le principe de jouer sur la beauté, même si celle-ci est relative, dans le monde réel (hors livre) est un principe original, je ne crois pas avoir lu d'autre livre, personnellement jouant sur ça, mais c'est très intérressant, je trouve. Aux premiers abords ça parait simple comme système. Jusqu'à 16 ans, vous vivez en croyant que vous êtes moches, que votre vie commence après cette âge, age ou vous subissez une opération chirurgicale pour devenir ''beau'', vous allez à Prettiyville, là où tout le monde est heureux, beau, etc. Bref, vous comprenez là l’essentiel. Rien de bien dur, ni exeptionel.





Mais tout n'est pas aussi simple que les apparences le font croire. C'est bien connu, dans chaque système, il y a des failles, des opposants, rebelles, résistants. Qui se battent contre la dure ''dictature'' qu'il leur est imposé, ici j'irai jusqu’à dire que c'est une dictature par la beauté. Il y a des secrets, des morceaux noirs dans cette bulle en apprence immaculé, et nous les découvrant, en découvrant ce monde qui est complexe, mais c'est un tel plaisir de le découvrir, il n'est pas comme celui que nous connaissons, il fait se rencontrer des extrêmes, il nous fait découvrir des rudiments de nous même, par dessus une merveilleuse histoire comme on les aime tous, mais aussi par dessus un combat qui est mené durant tout le livre. Un combat pour la vérité, pour le monde. Qui nous montre encore une fois que la beauté est relative. La beauté nous est montré autrement, c'est vraiment interressant, ce point de vue, ou les personnes que nous trouvions belles, sont montrés comme moches, sans une seule hésitation.

La technologie a pris place sur le monde, et a remplacé certaines valeurs, dans un monde qu'on pourrait dire futuriste.



Plus on avance dans le livre, plus on apprends à connaitre nos héros, plus on les aimes. Là je veux parler de Tally et David. Ce sont deux héros simples, sans rien, ils sont brute, sans apparence, sans masque, sans autres accesoirs. Nous n'avons que leurs personnalités, leurs sentiments. C'est un plaisir de découvrir les rebelles, bien qu'on écarquilles les yeux devant leurs conditions de vies, misent en opposition devant le ''monde'' des pretties.

Ces héros nous bouleverse, nous chamboules. C'est comme ça qu'on les aime.

Et je crois que je me suis énormément attachés aux deux principaux, surtout à David.



D'un côté, ce livre vous renverse aussi, par l'enchainement de complications, renversements, révelations qui éclatent et rendent l'histoire d'un compliqué et d'une force incroyable. Pour moi, du moins, je ne sais pas, mais j'ai adoré ce livre, vraiment. Si pour certain il pourra paraître bon, mais simple, pour moi, il est excellent. Il nous frustre en même temps, et on sens monter une rage en nous, aux vues des injustices, et des retournements de situations dans l'histoire qui la chamboule et empeche un Happy end pour une suite complexe encore et prometteuse! encore meilleure?



L'écriture de Scott Westerfield... je n'en avait pas encore parlé, et bien, elle est simple, mais comme il faut, elle fait passer l'histoire comme de l'eau, fluide dans nos esprit.

Pour moi un excellent roman, que je conseille si vous aimez les dystopie, en voilà une qui vous raviera peut-être!
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Midnighters, Tome 2 : L'étreinte des ténèbres

Dans ce second volet, on retrouve les Midnighters quelques jours après la découverte du pouvoir de Jessica. De nouvelles menaces planent sur ces adolescents capables d'agir pendant l'heure bleue.

Une suite avec plus d'actions, des secrets et des personnages du passé qui surgissent petit à petit, certes, mais toujours aucune explication concernant les différents pouvoirs des Midnighters, sur la symbolique, pourtant très présente, des nombres 12 et 13 et sur la peur des darklings pour les avancées technologiques.

Donc je reste un peu déçue par cette trilogie même si je me dis que, peut être, le dernier volet m'éclairera et me fera changer d'avis...
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Uglies

J'ai trouvé que "Uglies" est une contre-utopie intelligente qui parvient à tenir son lecteur en haleine. C'est le genre de romans que je préfère voir entre les mains d'adolescents plutôt que des histoires d'amour mièvres et sans intrigue entre des créatures surnaturelles...



Il y a pourtant une histoire d'amour dans "Uglies", mais elle n'est pas au centre du récit et, selon moi, elle n'apporte pas grand chose à l'histoire, pour ce qui est de ce premier tome.

Ce qui est troublant dans ce roman jeunesse, c'est le personnage de Tally. Loin d'être une blanche colombe innocente à la Bella Swann ("Twilight"), mais pas encore la guerrière rebelle de naissance à la Katniss Everdeen ("Hunger Games"), elle est juste une adolescente qui veut être belle, aveuglement belle, au point de trahir son amie. Son périple va cependant la faire grandir et lui permettre de trouver sa voie, de combattre pour ce qu'elle trouve juste.



Je pense que "Uglies" manque de réflexion, d'introspection; une multitude de thèmes humains pourraient y être développés, mais on demeure en surface, dans le "réel", le concret. Ceci dit, cela rend le récit très vivant, avec beaucoup d'action. Une agréable à lecture, que j'hésite à poursuivre cependant. Qui vivra verra...
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Uglies

Dans un monde futuriste, le culte de la beauté est mis à l'honneur.

Tally, une jeune Ugly, va donc avoir droit à son opération de chirurgie esthétique tant attendue pour devenir Pretty, comme tous les autres ados de 16 ans.

Mais voilà, à la veille de son anniversaire, sa rencontre avec Shay puis avec David va boulverser sa vie et sa vision des choses et l'amener à s'échapper de ce monde soit disant idyllique. Les apparences étant parfois trompeuses, elle va découvrir que la vie chez les Rouillés (des révoltés qui refusent l'opération) peut révéler des secrets cachés par le gouvernement...

Une lecture facile, une réflexion sur les codes de la beauté et le libre arbitre, un complot gouvernemental, une rébellion... j'ai beaucoup aimé ce roman pour ados et je vais de ce pas essayer de trouver le tome 2...
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Uglies

Dystopie = genre très à la mode dans la littérature "jeunes adultes" au début du XXIe siècle...

Ce livre ressemble beaucoup une autre dystopie que j'ai lu récemment (delirium).



Malgré tout, j'ai bien aimé cette histoire. Le monde est intéressant, et j'aime bien l'héroïne, qui se retrouve mêlée à une histoire qui la dépasse. Elle voulait une vie normale, mais la fuite de son amie a compromis cet avenir sans problème!

Un peu d'action, un peu de suspense (pas trop non plus, hein!), des personnages intéressant, et voilà un livre qui vous fera passer un bon moment.

De plus, j'ai trouvé le monde créé par Westerfeld plutôt intéressant, et certains points sont originaux.
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Uglies

J'ai bien aimé ce premier tome de cette trilogie.



Pour arrêter la discrimination, la société à décidé d'opérer tous les jeunes le jour de leur anniversaire de 16 ans pour les mettre sur un pied d'égalité physique, ils les transforment en pretties. Cette société hyper contrôlante cache tout de même certains secrets qu'il serait dangereux de percer à jour..



C'est un roman qui se lit facilement et intéressant. J'ai été agréablement surprise parce que je croyais avoir deviné le déroulement des choses, mais non. Et si il y a quelque chose qui me dérange dans un roman c'est bien de deviner bien en avance ce qui va se passer. J'ai alors eu un peu peur d'être déçue.



Ce qui m'a le plus attiré de uglies est le thème dystopique. On s'image très bien le paysage et les personnages sans trop entrer ans les longues descriptions.

Le monde dans lequel les personnages évoluent est futuriste mais quand même, si la société dans laquelle on vit disparaissait, qui sait si ça ne ressemblerait pas à cela un jour?
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Uglies

Houlala ...

430 pages, j'te jure, la prof elle abuse!



J'avais bien senti que le défi allait être difficile à relever pour ma petite ado.

J'allais donc essayer de l'aider un peu et me voilà donc absorbé dans la lecture du premier volet de "Uglies" de Scott Westerfeld.



"Dans le monde de l'extrême beauté,

Les gens normaux sont en danger."



Hhmmm?

C'est quoi au fait des "gens normaux"?



Le livre est truffé de belles intentions. Des sujets qui forcément nous interpellent en tant que parents : le difficile rapport à l'image, l'estime de soi, les dictats de la mode, le poids des codes et des normes, les injonctions sociales... Ajoutez un soupçon d'écologie et tout y est.



Tous ces sujets sont abordés, effleurés par l'auteur mais le traitement me semble totalement loupé et rate son objectif. C'est lourd, c'est long. Plein de chapitres inutiles qui ne servent qu'à perdre le lecteur et n'apportent rien à l'intrigue.

Quatre ou cinq chapitres à apprendre à faire du skateboard volant sans tomber, pas sûr que ça amène à la réflexion.



Et l'ensemble est saupoudré de quelques magnifiques fulgurances :



"Tally ferma les yeux, ce qui ne fait aucune différence dans le noir complet."



Ben oui. Mais c'est bien sûr !!!



Clairement, les dystopies ont la cote dans les lectures jeunesse. Il n'y a qu'à voir les succès de Divergente ou Hunger Games.



Je reste à croire que nos adolescents sont tout à fait capables de lire et de comprendre Aldous Huxley et "Le meilleur des mondes" ou encore "La ferme des animaux" de George Orwell pour ne citer que ceux-là, quitte à les aider à contextualiser un peu mais là se trouve aussi le rôle de l'enseignant.



Pas besoin de passer par des niaiseries tel que ce "Uglies". Ils sont déjà entourés par tant de bêtises, autant essayer de les tirer un peu vers le haut.



Pour finir, j'avais envie de vous partager un petit article du psychopédagogue Bruno Humbeeck qui aborde ces thèmes bien mieux et sans en faire tout un roman.



"Si à 10 ans, 3 petites filles sur 4 aiment leur reflet dans le miroir, elles ne sont déjà plus que 1 sur 3 à 13 ans. Pire, entre 13 et 15 ans, 1 fille sur 3 a honte de son apparence. Des chiffres qui ont de quoi sérieusement inquiéter, mais qui n'étonnent pas les spécialistes.

Chaque individu se bâtit en trois phases: l'image de soi, la connaissance de soi et l'amour de soi. Les réseaux sociaux permettent de modifier ce processus sans avoir encore pu développer les deux dernières étapes. On est loin d'être construit à 10 ans à peine... Pour jouer avec son image, il faut de la maturité et être conscient qu'il s'agit d'une mise en scène. Instagram, TikTok, Facebook... ce sont davantage des outils de marketing et de design de soi que de réelle communication. On y crée un soi sur mesure, sorte d'avatar fabriqué de toutes pièces, avec plus ou moins de vrai dedans...

L'émergence des réseaux sociaux et leur omniprésence dans la vie quotidienne à un âge bien trop précoce contribuent à accentuer de façon drastique les injonctions à correspondre à une image stéréotypée chez les petites filles. Au lieu de jouer avec une Barbie, relation qui permet de distinguer la poupée de soi et du réel, on devient sa propre Barbie. La mésestime de soi peut alors prendre des proportions inquiétantes, sous prétexte qu'on n'est pas suffisamment suivie, likée ou aimée par sa communauté. C'est comme si on ne pouvait plus vivre sans être validé par le regard des autres.

C'est pour cela que les parents doivent prendre le temps de dire et de montrer à leurs enfants qu'ils apprécient davantage l'image réelle qu'ils ont d'eux que l'avatar qui, en multipliant les filtres, finit par ne plus leur ressembler que très vaguement pour correspondre à l'image idéalisée que l'adolescent voudrait donner de lui-même... parce qu'on grandit mieux, quand on est adolescent ou adolescente, dans le regard inconditionnellement aimant que les parents portent sur soi que dans les yeux, qualifiants ou disqualifiants, que les internautes portent les uns sur les autres dans un univers qui fait de l'image arrangée, sublimée et trafiquée de soi un argument de compétition..."







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Uglies, Tome 2 : Pretties

Je poursuis la saga Uglies avec ce deuxième tome, qui sans être extraordinaire, m'a bien plu.

Profitant de quelques jours de repos, je l'ai lu super rapidement et c'était bien comme ça : je suis restée dans le rythme de l'action.

Je pense lire la suite sans tarder !

Et en tout cas cette lecture me donne très envie de me replonger dans Hunger Games ou Divergente qui pour moi restent les références dans ce genre-là.
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L'I.A. et son double

Intéressant, prend son temps pour démarrer, et un peu longuet sur la fin.



L'I.A. et son double est un livre qui a finalement un argument assez simple alors qu'on attendait du vertigineux, mais se laisse lire. Les personnages de Chéri et de Mira sont suffisamment complexes et travaillés pour éveiller puis maintenir notre intérêt au long de l'essentiel du livre. Il m'a fallu patienter une centaine de pages pour véritablement entrer dans le roman, et là, j'ai senti le besoin de reprendre la lecture du début pour m'assurer de ne pas avoir laissé de côté un détail important pour la compréhension. L'histoire prend alors son envol avant de devenir peut-être un peu trop longue sur la fin. Le style est assez particulier, parfois un peu difficile à suivre, très imagé, on s'habitue. Quelques pages m'ont fait brièvement penser à Richard Morgan, pas tellement pour l'écriture ni pour le récit, simplement pour quelques images dans les scènes de sexe ou de violence.



Encore un livre qui n'est pas vraiment indispensable, mais que tout lecteur de SF un peu assidu ne peut négliger.
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Uglies

J'ai entendu parler que Uglies est un livre super, et que c'est une des premières dystopies. Étant fan de dystopie, je me suis dit que je devais lire ce livre. De plus, le sujet avait l'air bien.

Je n'ai pas été déçu, loin de là ! Je conseille vivement ce livre aux fans de dystopie et, fan d'Hunger Games ou Divergente, dont je le suis moi-même, vous allez sûrement aimer voire adorer ce livre. Dans ce livre, le sujet général est le même, la société est menaçante et les personnages principaux sont des rebelles. Franchement, c'est super ! Les personnages sont super attachants et on a constamment envie de savoir ce qui se cache derrière tous les secrets évoqués dans le livre. L'envie de savoir... C'est aussi la principale qualité de l'Homme, prêt à tout pour ne pas être ignorant de quelque chose qu'il ne sait pas expliquer. C'est en partie grâce à cela, cette envie de savoir, que le livre nous tenaille. Mais pas que. L'écriture de l'auteur est fluide, prenante et très vivante : en effet, il y a de nombreux dialogues, ce qui pour moi rend le livre plein d'action et vivant. C'est super, lisez ce livre !

Bon, après mes conseils élogieux, je vais plus rentrer dans les détails, pour essayer de vous convaincre de lire ce livre.

D'abord, il y a deux passages que j'ai vraiment adorés, palpitants, et pour le premier que je vais évoquer, vraiment agréable et très beau. J'ai vraiment adoré le long passage où Tally voyage en planche pour atteindre La Fumée, quelle ode à la nature ! Je me suis cru dans Vendredi ou la vie sauvage, mais en encore mieux... Vraiment, génial. Sur sa route, j'ai aussi beaucoup apprécié suivre ses raisonnements et essayer de résoudre les vagues informations de Shay lui a laissées. Le passage où surgit l'hélicoptère est aussi super ! On ressent bien la peur et l'angoisse de Tally... Bref, ce (loooooooong) passage est vraiment bien car on ressent tous les sentiments : joie, peur, bonheur, liberté, angoisse... Ce moment est vraiment une boîte à sentiments !

Sinon, j'ai adoré l'envahissement de La Fumée, que c'était palpitant ! Et pauvre Boss... Quand Tally retrouve David, c'est vraiment génial ! Euh... Attendez. Je viens de me relire et me suis rendu compte que je n'avais pas que deux moments que j'ai adorés. Il se peut donc que j'en sorte plus que deux... J'ai aussi adoré, mais vraiment, je me suis régalé, découvrir les arguments des parents de David. Excellent ! Voilà. Pas un mot de plus sur ce moment. Juste excellent. C'est tout.

Au niveau des personnages, je les ai tous adorés, que ce soit Shay, pour son intrépidité, les parents de David, pour leur gentillesse, leur sympathie, David, pour son intelligence et sa compréhension, ou alors Tally, pour son courage et sa détermination à faire oublier qu'elle a trahi.

Les personnages sont donc supers, tout comme ce livre. Le final aussi est vraiment super. L'intrusion chez les Specials est vraiment palpitante ! J'ai adoré ce que fait Tally pour essayer de sauver Shay... Il me tarde de commencer le tome 2 quand j'en aurai l'occasion !



J'ai donc vraiment adoré ce livre, me suis beaucoup attaché aux personnages et adoré le sujet !!!
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L'I.A. et son double

Turing n’est simplement le nom d’un mathématicien génial et incompris de son temps, ni l’homme qui a cassé le code Enigma Nazi durant WWII( je vous conseille l’excellent film Imitation Game), ni le père spirituel de nos futurs ordinateurs. C’est également un test destiné à mesurer l’intelligence artificielle, ou plus exactement à déterminer le degré de conscience d’une IA. Aujourd’hui. Dans quelques siècles ce sera aussi le cas, le test évaluera le degré de conscience d’une IA et lui affectera un coefficient. Tant que celui-ci est inférieur à 1, c’est un ordinateur ou dans notre roman, L’IA et son double, un système de navigation et de contrôle d’un vaisseau, accessoirement, le tuteur d’une jeune fille perdue dans les turbulences cosmiques des hormones de l’adolescence.



Dans cet univers, atteindre le seuil symbolique et crucial de 1, c’est atteindre la liberté, la reconnaissance de la conscience. L’IA devient alors une personne pleine et entière. Comment y parvenir est une toute autre question.



L’univers décrit ici est très vaste, et les voyages spatiaux d’un coin de la galaxie à un autre sont monnaie courante. Le roman est assez court, l’auteur ne s’est pas appesanti sur les détails ni sur l’enrichissement scientifique ou exotique de la Galaxie. Le propos est ailleurs : l’IA. Cela pourrait frustrer les amoureux de space opera élaborés, qui vivront cela comme une caresse suggérée, une taquinerie pas franchement assumée. Il en est de même avec les populations croisées dans le roman de Westerfeld tout juste esquissées – un teasing comme disent nos mais anglo-saxons.



En revanche, le traitement de l’IA est remarquable. Nous entrons dans sa psyché et assistons à son évolution -spectaculaire – d’un œil médusé ainsi qu’un brin voyeur. C’est au contact de sa jeune protégée toujours plus exigeante, et traversant les épreuves – et les explosions hormonales de l’adolescence que notre Chéri (l’IA) grignote peu à peu le seuil de Turing, au grand dam du paternel qui perdrait un précieux instrument – sans entrevoir un profit quelconque au change.



Les phases de l’évolution du « space computer » à Chéri sont très cohérentes, d’une logique digne de Turing d’ailleurs. L’IA a en charge la conduite du vaisseau, fonction qui occupe une partie de sa puissance de calcul et de ses capteurs. Il est également le tuteur et compagnon de la jeune fille qu’il surveille, protège, éduque, instruit, choie et finit par aimer. Cette IA est très consciencieuse et appliquée, qualités indispensables pour diriger un vaisseau dans l’espace. Pour accomplir sa tâche auprès de sa jeune pupille, l’IA surveille tous les signaux, capte les modifications même infinitésimales émises par son corps. Pour répondre au mieux, puis pour anticiper et enfin pour satisfaire au mieux la jeune femme en devenir. Chaque étape franchie par la jeune fille, est une expérience pour l’IA, une fraction du Turing. Et c’est dans l’amour que Chéri s’éveille.



Le double est bien entendu une femme, ce n’est que la jeune fille, c’est aussi la femme dont on ignore tout qu’il rencontre lors d’un voyage d’affaire, une tractation sur de mystérieuses statues. Une femme perdue, qu’il va aider à s’éveiller. Une fois encore. Un beau jeu de miroirs, aussi.



Le roman ne fait pas l’économie de l’érotisme, frôlant parfois le SM. Je ne suis pas une adeptes des scènes de sexes dans les livres, qui sont souvent racoleuses, voire gratuites. Cependant, ici, elles ont toutes leurs place et permettent de franchir certains seuils…



La trame en elle-même manque toutefois d’ampleur. Cette sensation est, pour moi, liée à l’univers pas assez élaboré, les enjeux sont par conséquent moins élevés et peinent à nous prendre aux tripes, éveiller grandement notre intérêt ou ouvrir nos mirettes d’admiration. Bref, il n’y en a pas assez.



Le roman est court, et ce n’est qu’une fois achevé que le lecteur reste sur sa faim avec une petite note douceâtre. L’écriture de Scott Westerfeld laisse parfois perplexe, avec des passages un peu cryptiques et je doute que ce soient des clins d’œil à Turing, cependant ils sont courts, peu nombreux, et largement compensés par la nervosité d’ensemble.



Après mon immersion dans Les archives du Radcht ( avec la Justice, puis l’Epée de l’Ancillaire), j’avais très envie de lire un roman dont la question centrale était l’IA. De ce point de vue, j’ai été gâtée, avec des jeux de miroirs très réussis. Avec les romans d’Ann Leckie nous avons une proposition dans l’univers d’une IA en quête de vengeance, mais sans être aussi immergé dans sa psyché. Avec L’IA et son double cet aspect est plus appuyé et profond. Et puis, il s’agit d’un heureux événement : une naissance.



J’émettrais un bémol pour les lecteurs cherchant un space opera plus classique : l’univers est trop survolé ce qui nuit sensiblement à la trame globale ( il n’y a pas de conflits non plus, ni d’enjeux planétaires,…).



Généralement, Le cycle de la Culture de Banks est pris comme référence. Sorry, je ne le ferai pas : je ne l’ai pas lu.





Normalement, j'aurais mis 3,5 étoiles.

Il mérite pour moi plus que 3 étoiles car le thème central est de haute volée, mais pas 4 étoiles car, il n'est pas assez étoffé.
Lien : https://albdoblog.wordpress...
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Uglies

Plus jeune, j'avais déjà essayé de lire ce roman mais je n'avais pas pu aller plus loin que le premier chapitre. Je comptais bien retenter sa lecture un jour mais j'avais peur de ne toujours pas réussir à entrer dans l'histoire. Ce jour est finalement arrivé.



Au début, on rentre tranquillement dans l'histoire, on fait connaissance avec l'héroïne et avec le monde dans lequel elle vit. J'appréhendais toujours ma lecture.



Et puis, au fil de ma lecture, l'action est arrivée et je n'ai pas pu lâcher le roman. C'était plutôt addictif. Les choix que Tally ont faits, l'atmosphère du bouquin, les lieux, tout ça ont fait que j'ai adoré. Je ne m'attendais pas à ça, je n'avais pas relu la quatrième de couverture avant de commencer. Je m'attendais à des personnages du style "pouf" et c'est ce qui me faisait appréhender. Au final, j'ai été surprise par le retournement de situation et j'ai adoré l'ambiance et le nouveau lieu dans lequel elle évolue.



Les personnages principaux de La Fumée sont très intéressants. je me suis attachée à eux.



J'avais envie de connaître la suite, comment les personnages allaient s'en sortir mais je n'avais pas envie de quitter le roman. Ce que j'ai donc fait?? Et bien, je dois dire que c'est la première fois que ça m'arrive mais j'ai commandé la suite directement après. Des fois, je me procure la suite bien après ou bien parfois je l'ai déjà avant de lire le premier tome. Tout ça pour dire que j'ai hâte de continuer la saga, et savoir ce qui va se passer et ce qui va arriver à Tally et aux autres.

J'imagine que dans le deuxième tome, l'atmosphère ne sera plus la même mais j'espère que ça ne va pas tomber dans le pathétique, ce que j'appréhende et ce que je déteste, un monde où il n'y a que la beauté qui compte. On verra bien mais je veux savoir si David pardonnera à Tally!!! :)



Pour ce premier tome, c'est presqu'un coup de coeur finalement. Comme quoi, les goûts évoluent.



Note : 19/20.
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Uglies

A l'aide de sa magnifique plume, Scott Westerfeld nous met face à un fait bien réel de notre société actuelle qui est celui de la beauté absolue et de la jeunesse éternelle. Un débat très bien représenté dans ce roman mais qui entre dans le tête du lecteur pour lui forger des interrogations même après avoir refermer le bouquin. D'ailleurs, le retournement de situation à la fin, m'a donné très envie de lire le prochain tome pour voir ce que va devenir Tally et les Nouveaux-Fumants ! Donc un livre bien sympathique à lire pour ceux qui le désire, que je n'hésite pas à conseiller. Seulement, attention, ne lisez pas la dernière page !!!
Lien : http://booksetboom.blogspot...
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Uglies

Emprunté à ma fille, "pour voir" : eh bien c'est pas mal du tout! Pour ma première incursion dans la littérature Young adults, je me suis surprise à me prendre au jeu.



Pas de la grande littérature bien sûr, produit marketing sans aucun doute, mais tout de même une dystopie bien rythmée, une toile de fond qui se tient avec un questionnement sur l'apparence physique, l'écologie, le consentement au totalitarisme.

Questionnement certes superficiel mais qui a le mérite d'exister pour des ados de 12/13 ans qui lisent peu. Au-delà de cet âge, c'est un peu court...
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