Scott Westerfeld

C'est d'un roman tout à fait original dont je vais vous parler aujourd'hui. Je l'ai emprunté à la médiathèque sur un coup de tête, car je connaissais l'auteur, grâce à une autre de ses sagas dont le premier tome m'avait fait rêver, et parce que le résumé était tout à fait intriguant. En le lisant, je me suis dit que cette histoire risquait de ne pas être banale. Et j'avais raison.



En ce moment, je recherche des histoires hors du commun, loin de la jeune fille qui se retrouve dans une ville et qui rencontre un homme mystérieux. Des histoires qui ne nous présentent pas un monde futuriste donnant l'impression d'être parfait, mais qui cache bien son jeu. J'adore ce genre d'histoires, mais j'avais besoin d'un peu de fraîcheur, un livre « différent ». Et j'ai trouvé ça dans ce premier tome de Midnighters.



Bien que le style soit clairement orienté jeunesse, avec des personnages qui donnent l'impression parfois d'être plus jeunes que l'âge qu'ils ont officiellement dans le livre, j'ai trouvé cette intrigue réellement recherchée et fourmillant d'idées. Qui n'a pas rêvé d'avoir une heure de plus dans une journée, une heure magique où, seule, vous pourriez faire ce que vous voulez sans vous préoccuper du regard des autres ? Une heure où vous seriez le centre du monde ?



Jessica a cette chance ! Mais pendant cette heure secrète, la vingt-cinquième heure de la journée, Jessica est en danger, et doit découvrir comment se protéger, et découvrir pourquoi les darklings veulent s'en prendre à elle. La trame peut paraître simpliste, mais elle est redoutablement efficace. le lecteur est emporté dans une histoire à 100 km/h, et ne peut pas lâcher le livre, tant le mystère imprègne ce roman.



Notons également que l'auteur a su doter ses personnages de personnalités tout à fait atypiques qui permettent de donner du corps à l'histoire. Et je n'ai même pas encore mentionné le cliffhanger de ce roman ! Bref, j'ai hâte de lire la suite !
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Cela faisait quelques temps que j'hésitais à me lancer dans cette saga, puis finalement j'ai sauté le pas et je ne le regrette pas, bien au contraire ! Ce livre est presque un coup de cœur, et je pense que je ne vais pas tarder à me procurer les 4 tomes suivants afin de pouvoir poursuivre et terminer la saga.



Nous suivons ici les aventures de Tally, jeune Ugly qui va bientôt avoir 16 ans. Cet anniversaire est très spécial dans ce monde futuriste, puisqu'il marque le passage du stade d'Ugly à celui de Pretty. Les Pretties sont tous des êtres absolument magnifiques, parfaits en tous points, jusque dans la symétrie de leur visage. Ils passent leur temps à s'amuser et à faire la fête. Tally attend ce jour avec une grande impatience, jusqu'à sa rencontre avec Shay, une jeune Ugly qui doit subir l'Opération le même jour que Tally. Mais des secrets vont être révélés : que se cache-t-il derrière la perfection des Pretties ? Tally va devoir choisir son camp...



J'ai été transportée par ce récit. Ce monde futuriste est très étonnant : j'aurais bien voulu me balader en planche ! L'idée que toute la population soit formatée selon un mode de pensée unique fait froid dans le dos, et malheureusement, on peut imaginer sans peine que cela arrive d'ici quelques décennies dans le monde réel... Tally est un personnage très attachant, avec ses certitudes et ses doutes, Shay et David sont eux aussi des personnages très intéressants. La superficialité des Pretties est déconcertante, et il est très drôle de voir comment notre époque actuelle est vue par ces jeunes du futur. Néanmoins, j'aurais aimé que l'auteur explique plus en profondeur le fonctionnement de la Fumée. La fin, bien qu'un peu rapide, est un véritable cliffhanger et j'ai hâte de savoir dans quelles aventures nos héros vont réussir à se fourrer !
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J'ai commencé ce roman avec une grande appréhension. J'aime les anticipations et je trouvais l'idée de départ très pauvre. Des moches, des beaux. Quel intérêt d'amener une histoire sur une telle distinction? Mais en lisant, oui, j'ai compris: l'idée était très bien amenée. D'abord car faire de quelqu'un un Pretty, c'est le faire rentrer dans le moule, le faire ressembler à tout le monde, faire qu'il n'aie plus aucune personnalité. Et ensuite, l'auteur a su amener tout un monde, tout un univers derrière cette idée simplette. En tournant les premières pages de ce roman je ne m'attendais pas à tant d'aventures, de tels retournements de situations, à des personnages avec de telles personnalités, aux thèmes de l'amitié sincère, de la trahison ou du courage. Ce fut une belle découverte, une énorme surprise et un véritable coup de coeur!
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Après avoir découvert la dystopie avec Hunger Games, j'ai décidé de m'attaquer à une autre saga dystopique dont j'en avais longtemps parlé mais dont par paresse ou par hésitation, je n'ai pu le lire. J'ai donc décidé de franchir le cap.

Tally est une jeune fille normale, comme les autres. A un détail près : à seize ans, elle devra subir une opération pouvant la rendre plus belle. Car dans son futur, la beauté est devenue la norme et les moches sont relégués jusqu'au à la future chirurgie ou pendant le temps passant, ils se font traiter de gros nez, de bigleuse...Elle devient amie avec une autre fille, Shay qui disparaît mystérieusement.Mais la veille de la fameuse opération, elle doit enquête sur Shay et poursuivant ses pas, découvrira la ville des rebelles et fera face à un choix cornélien.

Evidemment , l'auteur veut signaler les dangers qu'es de trop uniformiser la beauté des gens : si on devient tous pareils, on perds nos libertés.

J'ai bien aimée le système du monde de Tally notamment les terribles Specials qui m'ont donné la chair de poule.

L'écriture est bonne, sans fautes et plutôt sympathique.

Si vous voulez commencer une dystopie en dehors de Hunger Games, commencer Uglies !

Depuis le temps que je vois ms filles le lire, le relire ... je suis tombé dedans. On retrouve les ingrédients qui fonctionnent bien dans la littérature ado: une héroïne qui n'a aucune conscience de sa supériorité et qui ne veut qu'une chose, vivre paisiblement, un brin d'écologie, un soupçon d'anticipation technologique, de l'amitié, des méchants, une intrigue bourrée d'imagination. Et hop, vous voilà embarqués sur une planche, à tenter de trouver la Fumée, tout en rêvant au jour où on deviendra Pretty ..



Même mon mari le lit, c'est pour dire !

Après un long mois de lecture passé sur ce livre, je le termine enfin avec un avis plutôt mitigé.

Je n'ai tout simplement pas réussi à accrocher à l'histoire, ne pouvant rester concentrée dans ma lecture plus d'une demi-heure, faisant sans cesse des pauses d'une semaine ou plus.

Le début est longuet, la fin précipitée.

Les personnages, Tally en particulier, ne m'ont pas convaincu non plus. Je l'ai trouvé naïve, lâche, frustrante… en un mot franchement agaçante.

Ce roman compte pourtant de nombreuses qualités : la jolie écriture de Scott Westerfeld très descriptive parfois même un peu trop à mon goût, ce monde dystopique inhabituel dont on connaît tous les détails, une idée originale et un sujet brûlant. Un futur où l'apparence est primordiale, où tout le monde acquiert la beauté extérieure, intéressent non ?

Loin d'être transcendant, ce roman reste intrigant.
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Goliath est le troisième et dernier tome de la trilogie de Scott Westerfeld : Léviathan, publiée aux Editions PKJ. Ce dernier tome fait 530 pages, mais paraît imposant avec son papier épais. La police est toujours assez grande ce qui fait les pages se tourner rapidement. Et le roman est toujours imagé, un point positif car l’univers steampunk que nous propose l’auteur mérite bien quelques dessins pour imaginer ses astronefs baleines…



Que dire, sinon que ce tome 3 conclut très bien la saga ? Nous y retrouvons nos héros et les différents personnages secondaires auxquels nous nous sommes attachés. Nous avons de l’action, des rebondissements, du suspens, de l’émotion… Bref, un cocktail parfait pour un dernier tome !



La fin est sympa mais je n’aurais pas été contre un épilogue montrant le devenir de nos différents personnages quelques années plus tard.



Mon avis sur la saga



Cette saga est la première saga steampunk que je lisais et j’ai totalement été emballée par le charme des personnages et l’univers totalement bizarroïde que nous propose l’auteur. Heureusement, des dessins sont là pour nous illustrer les idées un peu farfelues de l’auteur. Je me demande où celui-ci va chercher de telles inventions !

J’ai trouvé que tous les tomes de cette saga se valaient : pas un mieux ou moins bien que l’autre. Je leur ai mis un 4/5 tous les trois ! Nos personnages sont attachants, leur quête est vraiment sympa. Dresser l’histoire sous fond de première guerre mondiale m’a bien plu, même s’il ne faut pas oublier que tout ce que dit l’auteur n’est pas historique (mais il y a un petit récap historique à la fin de chaque tome). C’est une saga avec de l’action, des rebondissements… Bref, une saga qui nous tient en haleine ! Les pages comportent beaucoup de dialogues et la police de caractère étant assez grosse, les livres se lisent rapidement !

Bref, c’est vraiment une saga que j’ai pris plaisir à lire et que je vous recommande, à ceux qui s’asseyent au genre ou aux autres =) Scott Westerfeld saura vous épater !
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Un monde où la beauté est devenue la norme, où chacun ressemble aux autres après avoir subi une opération qui lui permet de devenir 'beau': une fiction?

Certes, ce roman est à la base dédié à des adolescents, qui accordent (comme je l'ai fait moi aussi quand j'ai lu Uglies pour la première fois) plus d'importance aux péripéties qu'aux réflexions sous-jacentes. En effet, ce roman raconte principalement l'aventure de Tally, qui découvre un moyen de contourner l'Opération et se met ainsi en danger, de même que ses amis.

Mais avec le recul, je me dis que l'auteur a aussi essayé de faire passer un message. Et en fait, son explication est plutôt rationnelle. Tel qu'il présente les choses, notre société actuelle mène tout droit à ce monde totalement fou où tout le monde subit des interventions chirurgicales pour rentrer dans le rang. Et quand on y pense, ça ne parait pas si impossible que ça.

Je crois que c'est la force de cette trilogie: ça parait possible. Et le monde que nous présente Scott Westerfeld pourrait bien être le notre dans quelques années...

Tally aura bientôt 16 ans. Comme tous les adolescents de son âge, elle a hâte de subir l'opération chirurgicale de passage pour quitter le monde des Uglies et intégrer la classe des Pretties. Dans ce paradis Tally n'aura plus comme seule préoccupation que de s'amuser. Mais la veille de son anniversaire, Tally rencontre Shay qui va l'entrainer dans le monde des rebelles, de ceux qui refusent l'opération et ce paradis un peu trop parfait.

Scott Westerfeld nous décrit un monde parfait et lisse, sans laideur, où on ne fait que s'amuser, un monde qui raisonne beaucoup avec le nôtre obnubilé par ses stars à la vie facile, retouchées à la palette graphique. Sa turbulente héroïne, toujours à l'affut d'une nouvelle expérience, nous entraine alors dans une aventure à la recherche de la face cachée de Prettyville.

De l'action, du suspense, un excellent roman pour les 4e-3e.

Cela faisait tellement longtemps que je me demandais si j'allais lire cette série (je n'en ai pas entendu que du bien, notamment sur les suites), que maintenant que j'ai lu le 1er tome, et adoré celui-ci, j'ai vraiment l'envie de continuer.

Le début est un peu lent selon moi, mais je me suis ensuite retrouvée entrainée dans l'histoire et quelle belle découverte ce fut!

Tally est une sacrée héroïne que l'on suit avec plaisir tout au long du roman dans ce monde dystopique assez original. Elle qui avait rêvé tout sa vie de devenir une Pretty se retrouve entrainée dans un autre univers, pas par choix, un endroit où les gens choisissent de rester Ugly. Elle va ainsi découvrir une autre façon de penser que celle qui a façonnée toute son enfance. Un roman vraiment très bien écrit, sur un monde où les apparences ont pris le dessus sur tout.

J’avais lu pas mal d’avis positifs sur cette saga et pourtant j’hésitais encore à la commencer. En effet, j’avais peur que l’environnement soit vraiment trop jeunesse et surtout superficiel. En effet, en lisant le résumé qui parlait de Pretty et Ugly, ça me paraissait très porte sur l’apparence et en même temps un peu simpliste comme concept. Un monde où tout le monde se trouve moche du coup à 16 ans tout le monde subit des opérations de chirurgie esthétique ?

Finalement, quelle surprise ! Le livre est loin d’être aussi superficiel que ce que j’avais craint, et bien qu’il y a des éléments très prévisibles et que l’on devine facilement – comme le grand secret d’Etat sur les opérations – j’ai trouvé que c’était bien écrit et qu’on ne s’ennuyait pas !

J’ai trouvé le concept intéressant: parce qu’avant il y avait des gens beaux et d’autres non, cela entrainait de la jalousie et des guerres. Alors que si tout le monde est beau, tous les problèmes sont réglés ! C’est en tout cas ce qu’on enseigne aux plus jeunes dans le monde de Tally. En gros, tout le monde fini avec la même tête à l’âge de 16 ans !

Tally est un personnage attachant et finalement plus réfléchie qu’elle n’en a l’air au début. Quand le livre commence, elle veut vraiment devenir Pretty et ses arguments ne sont vraiment pas si bêtes. Bien qu’elle ne fait que réciter de la propagande retenue dans ses cours de classes, j’ai trouvé que ce n’était pas juste devenir beau pour devenir beau, mais il y avait derrière tout ça quelque chose de réfléchi et travaillé. Vous l’aurez compris, Tally est un personnage classique de dystopie qui accepte son monde tel qu’il est et ne pense pas une seule seconde qu’il pourrait être différent.

On est loin d’avoir beaucoup de surprises dans l’histoire en elle-même car le schéma est assez classique, mais j’ai beaucoup apprécié Tally et le voyage qu’elle entreprend pour rejoindre Shay. J’avais l’impression d’être un peu dans Hunger Games en mode survie dans les bois ! Je pense que c’est d’ailleurs la partie que j’ai préféré, cette quête dans la nature et sa découverte de ce qu’il y a au-delà de la ville. Je me dis d’ailleurs qu’elle s’en sort plutôt bien pour quelqu’un qui n’était jamais sorti de son confort !

Malgré quelques défauts qui ne gâchent en rien la lecture, c’est un livre qui se lit bien et qui nous plonge dans un environnement agréable. Je n’ai pas eu l’impression de lire une énième dystopie et je suis rentrée facilement dans le monde d’Uglies !
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Troisième tome des aventures de Tally, qui cette fois-ci a été opérée pour devenir Specials. Elle fait partie de la branche des Scarificateurs, dirigés par Shay, obligée de s'auto-mutiler pour éprouver des sensations, glaciale la plupart du temps et ennemie de la Nouvelle Fumée...

Mais comme dans les deux tomes précédents, l'enchaînement des événements volontaires ou accidentels va la pousser à se rebeller, d'autant plus qu'à la Nouvelle Fumée, entrée en résistance active, on s'active pour diffuser le remède de la mère de David.

Des rebondissements inattendus, de l'action, des personnages qui s'affirment au fil des pages... qui m'ont donné envie de découvrir le quatrième tome...

L'histoire est basée sur des faits réels (la première guerre mondiale) mais dans un monde alternatif où la base des puissances repose soit sur des modifications génétiques (les darwinistes) soit sur des machines (les clankers). Et bien sûr les deux camps vont s'affronter . Au cœur de cet affrontement ,une fille déguisée en garçon et un prince héritier qui vont faire cause commune bien qu'appartement à priori à deux camps opposés.



J'ai adoré ce genre (steampunk) qui allie le réel à un monde alternatif dans lequel les anciens rapports se retrouvent (l'aristocratie/le peuple) tout en étant dans un monde complétement moderne ,qui sera peut être notre futur : des machines incroyables, des animaux modifiés pour nous servir...c'est incroyable tout ce qu'il est possible de faire !! C'est donc un univers très riche , original et ce premier tome m'a surtout donné envie de lire la suite au plus vite...!

Un livre super critique et intéressant de la société actuelle par le biais d'une opinion prononcée qur le sujet de la beauté. Un style d'écriture plutôt fluide et poignant mais des moments plutôt longuet malgré les successions d'aventures du personnage principal, Tally.

Tally est d'ailleurs le centre de l'histoire, c'est elle qui tient votre attention tout le long de la lecture. Ses pensées sont assez changeantes et font évoluer l'histoire et basculer le dénouement.

Le monde originale dans lequel sont les personnages est particulièrement bien pensé et attise la curiosité du lecteur.

Un sujet jusqu'à maintenant inexploité sous cette forme, m'a permis de ne pas m'ennuyer et de rémédier à mon impression de déjà vu dans mes précédentes lectures.

Je suis comblée, cependant j'avoue que les créatures surnaturelles me manquent affreusement...

J'aime bien cette série.

Pretties, le tome 2 de la série Uglies, m'a même semblé meilleur que le premier parce qu'il y a plus d'actions et de rebondissements.



On replonge facilement dans l'univers dystopique de Tally, qui maintenant est pretty. Elle doit lutter contre les instincts superficiels qui sont venu avec l'opération, si elle veut réussir à continuer d'évoluer comme elle l'avait prévu avant de se rendre.



Scott Westerfeld est un de ces auteurs qui réussi à créer un univers complet pour ses personnages, ce qui rends la lecture des plus agréable.



Je suis contente d'avoir la suite sous la main car, je la commencerai à l'instant!

Une fois de plus nous retrouvons Tally, cette fois elle est aux côtés de son amie Shay et elle est très spéciale. Après une troisième Opération, notre héroïne à rejoint les rangs des Scarificateurs, une branche particulière des Special Circumtances. Elle est plus forte, plus rapide et plus glacial que jamais. Elle a donc changé de camps en même temps que d’apparence et part à la poursuite des Nouveaux-Fumants pour mettre fin à la prolifération des pilules de Maddy.



Dans ce tome, nous avons droit a beaucoup d’aventure et d’action plus folles les unes que les autres. Même si certaines sont tirer par les cheveux, j’ai aimé suivre les changements qui s’opèrent chez Tally. Elle n’agit jamais comme les autres voudraient, elle pense à elle en premier, et les conséquences sont plus que jamais dévastatrice. Mais peut importe ce que les médecins lui font, elle reste égale à elle-même.



J’ai trouvée beaucoup plus d’émotions dans ce tome, notamment grâce à Zane qui arrive une fois de plus à faire prendre conscience des choses à Tally.

J’espère que le gros bouleversement dans la vie de Tally est une grosse blague car si ce n’est pas le cas, l’élément que je préfère dans cette saga aura disparu. J’attends de voir ce qu’il en est pour cela.

J’ai été beaucoup plus absorber par ce tome qui décrit bien les sensations et les émotions de Tally. Elle est forte physiquement, mais a tout de même des faiblesses mentalement, ce qui la rend, elle et l’histoire plus crédible.
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Darcy Patel a l'âme d'un grand écrivain, l'ambition tout du moins. À seulement 18 ans, elle est sur le point de publier son premier roman, Afterworlds, qu'elle a écrit en un mois. Après voir mis l'université de côté, elle se consacre donc pleinement à sa toute nouvelle carrière à New York...





Les chapitres sont alternés entre la vie de Darcy depuis l'envoi de son manuscrit à un éditeur et la vie de Lizzie, l'héroïne de son roman. Un mélange de réel et de fantastique.

On suit donc la vie de Darcy Patel, jeune auteure qui est sur le point d'être publiée pour la première fois. Pour travailler, elle part s'installer à New York et on découvre son tout nouveau mode de vie à mesure qu'elle avance, professionnellement et personnellement : la réécriture d'Afterworlds, ses rencontres avec d'autres jeunes auteurs et des personnes de l'édition, sa vie amoureuse, etc., jusqu'à la publication de son roman.

En parallèle, on découvre l'univers d'Afterworlds un chapitre sur deux. L'histoire de Lizzie, une ado de 18 ans, seule survivante d'une attaque terroriste dans un aéroport dont elle a échappé de peu en simulant la mort. Mais elle s'est tellement prise au jeu de cette simulation, qu'elle en est venue à découvrir un tout autre monde que le nôtre, un endroit entre la vie et la mort, où elle a désormais sa place dès qu'elle le désire car une certaine mission l'y attend...





Clairement, je n'ai pas très bien compris l'intérêt de ce roman... On passe un bon moment certes, mais je 'en ai pas compris le but principal... 670 pages pour juste suivre le train-train quotidien d'une toute nouvelle auteure et son roman en parallèle ? C'est toujours un minimum intéressant mais je m'attendais complètement à autre chose !

En lisant la quatrième de couverture et la phrase d'accroche, je pensais que Lizzie, l'héroïne du roman de Darcy, devenait réelle, en quelque sorte, et vivait ce que Darcy avait écrit (un peu dans le style de L'histoire sans fin, pour ceux qui connaissent) mais non, on découvre simplement son roman en parallèle de son évolution dans le monde de l'édition, et ça ne donne pas le même effet à la lecture finalement...





Il y a tout de même des côtés positifs car certains passages sont très prenants, autant pour ce qui concerne Lizzie que Darcy. Comme cette dernière parle beaucoup de son livre et des modifications qu'elle y apporte régulièrement, on peut suivre son roman et ses explications quasiment en même temps que sa fiction, ce qui donne de vrais débats entre différents personnages quand Darcy discute avec d'autres auteurs. Des débats, il y en a d'ailleurs de toutes sortes dans ce roman, autant en ce qui concerne l'histoire d'Afterworlds que la vie de Darcy, les personnages soulevant parfois de bonnes questions sur la vie en général.





La plume de Scott Westerfeld est toujours aussi agréable à lire et très fluide, on ne voit pas le temps passer et encore moins les pages défilées malgré quelques passages un peu longuets.





En bref, on prend un certain plaisir à se plonger dans ces deux vies peu différentes l'une de l'autre, dans le fond. On est captivé par de nombreux passages et on se laisse facilement entraîner mais j'ai ressenti un goût de manque pour ce qui est de l'histoire globale, elle aurait pu ne jamais avoir de fin et continuer comme ça indéfiniment... Toutefois, je ne peux pas dire que ce roman me déçoive complètement pour autant, je suis plutôt mitigée : il se lit bien et vite, il sait plus souvent accrocher qu'ennuyer, je ne peux pas dire qu'il ne s'y passe rien non plus et à aucun moment je n'ai envie d'arrêter ma lecture. Simplement, je pense qu'il ne faut rien en attendre de particulier.
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Tally a accepté de devenir Pretty afin de tester les pilules qui peuvent potentiellement réparer le cerveau des Pretties.



Mais tout ne se passe pas comme prévu (sinon, ça ne serait pas drôle). Pour commencer, Tally, prettisifiée, a oublié la plupart de sa vie d’Ugly, sa mission, David… Elle cherche simplement à se faire introduire dans les Crims, des Pretties qui ont fait les 400 coups en étant Uglies. Elle rencontre alors Zane et ensemble ils décident de devenir plus « intenses ». Un mois après sa transformation, les Nouveaux-fumants arrivent à la contacter (plus ou moins) et elle partage avec Zane une pilule qui doit réparer les lésions de son cerveau. Ils n’ont alors plus qu’un seul objectif, quitter Prettytown et retrouver les Nouveaux-fumants.



J’ai également beaucoup aimé ce second tome. Encore une fois Tally est une héroïne qui incarne tout ce qu’elle va décrier par la suite, on assiste à une nouvelle transformation mentale. De plus, les évolutions des personnages secondaires (Zane, David, Shay, le Docteur Cable) est intéressante et on découvre peu à peu le monde qui entoure Uglyville et Prettytown.



Bref, un bon second tome, malgré un déroulement assez similaire, il y a assez d’originalité et on ne s’ennuie pas !
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Succession végétait depuis plusieurs années dans ma PAL. Un petit challenge pour l’en sortir. Autant le dire tout de suite Succession est un space opera très divertissant.



Les personnages ont tous une petite faille, une petite blessure qui permet de s’attacher à eux. Face aux héros il y a un ennemi, l’Empereur, qui est prêt à tout pour garder le secret de l’immortalité. Avec Succession on se retrouve dans un monde ultra-technologique. Les combats spatiaux se font par le biais de drones de la taille d’un ongle, les gens ont une vision secondaire qui leur permet d’accéder à plus d’informations en temps réel. Les vaisseaux spatiaux font deux kilomètres de long et sont mus par des procédés dangereux mais efficaces ( j’avoue que les histoires entre les différentes gravité m’ont paru peu abordables). J’aurai préféré qu’il y ait plus d’explications sur les différences entre temps relatifs et temps absolu. Il y a bien sûr une inévitable amourette entre le militaire et la sénatrice qui conditionne une grande partie du déroulement du récit. Par contre l’amour entre une Rix et son otage est un élément asse inattendu et assez improbable dans le récit.



Succession est un diptyque assez riche en inventions, bourré de rebondissements et d’action. C’est du space opera fait pour divertir et il fait cela très bien.

*Attention il s'agit du 2e tome d'une saga, présence de spoilers sur le tome précédent*



Dans « Pretties », second tome de la saga, Tally est devenue une Prettie, afin de tester sur elle-même les pilules sensées les guérir de leur superficialité. Malheureusement, elle n’a quasiment aucun souvenir de son passé de rebelle. Elle a intégré les Crims, une bande très en vue chez les jeunes pretties. Parmi eux, Peris, son ami d’enfance, Shay, et surtout Zane, leur chef, particulièrement intense. Mais la mémoire, et les désirs de liberté, lui reviennent peu à peu. Avec Zane, ils tenteront de rejoindre les rebelles de la Nouvelle-Fumée.



« Pretties », est un roman d’une qualité un peu moindre que son prédecesseur, « Uglies ». Les réflexions sur l’écologie ou la beauté sont moins nombreuses. L’action est également un peu lente, alors que le lecteur a hâte que Tally quitte la ville. Cependant, on finit par se laisser emporter. L’évasion des Crims de la ville, en montgolfière, est particulièrement spectaculaire. De plus, les sentiments des personnages sont davantage développés. Le monde créé par l’auteur tient toujours la route, et le roman m’a suffisamment plu pour me donner envie de lire le troisième.
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