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EAN : 9782070379194
224 pages
Gallimard (22/02/1988)
3.29/5   550 notes
Résumé :
Avec ses seize ans en bandoulière, Virgile veut désormais vivre tout haut et non plus chuchoter sa vie dans les couloirs d'une école. Adolescent charmeur, doué d'une gaieté infernale, il séduit une amie de son père fort riche : Clara. Mariée et fortunée, Clara retrouve dans cette folle aventure la fièvre des premières passions.
De nuits d'amour dans les hôtels, où on les prend pour mère et fils, en descentes dans les magasins de jouets, où Virgile dévalise le... >Voir plus
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Alexandre Jardin est un auteur que j'adore et que je déteste, selon mon humeur, les moments de l'année, le fil de l'actualité, etc. Ceci dit, je suis toujours curieux de lire ses ouvrages et j'ai finalement mis fin (redondance volontaire) à un manquement dans sa bibliographie : la lecture de Bille en tête, son premier roman. Dès les premières pages, j'ai été conquis. Ce jeune homme, Virgile (j'adore ce prénom), un jeune homme de seize ans, plein de verve, d'énergie, d'illusions et même temps pédant, sûr de lui malgré une inexpérience de la vie dans laquelle il veut mordre à pleine dent. C'est un morveux adorable !

C'est ce que j'adore de cette jeunesse, quelle soit parisienne, de province, ou même de l'étranger. Tout sauf ces êtres blasés à vingt. Bref, Virgile ose. Et, rien que pour ça, il mérite certains égards. Il quitte sa pension à Évreux « une ville pour les sans-destin » contre la volonté de son père et rejoint la capitale française. Exit le monde de l'enfance ! Mais attention, il ne cherche pas un petit boulot, une amourette avec une écolière à défleurir, non ! Il jette son dévolu sur Clara, une femme de vingt ans son aînée. Et Clara cède.

Est-ce Virgile qui est persuasif et plein de charmes ou bien est-ce Clara qui est une cougar à la recherche d'un jeune homme fougeux qui saura répondre à ses besoins ? Besoins que, visiblement, son riche mari ne peut satisfaire. Allez, pourquoi tant de questions, je me laisse emporter par ce tourbillon de folie. Et l'écriture d'Alexandre Jardin m'aide beaucoup. Elle est nerveuse, agitée, à la parfaite image du protagoniste.

Malheureusement, plus l'histoire avance, plus mon désenchantement se fait sentir. Elle devient de plus en plus improbable. J'ai de la difficulté à croire qu'une femme de la haute société comme Clara prenne le risque de tout foutre en l'air pour une amourette. Elle invite Virgile à dormir chez elle alors que son mari s'y trouve ! Et ce dernier réagit à peine ! Quant au père du jeune homme, fâché, il pourrait la dénoncer à la police pour abus de mineur ! Je ne peux en conclure que Clara est réellement amoureuse. Surtout qu'elle suit son amant à Rome, ce que j'ai trouvé absurde. Au moins, le dénouement inévitable est plus crédible mais, rendu là, il est trop tard pour racheter toutes les invraisemblances passées.

Et que dire de Virgile lui-même ? Son ignorance me laisse pantois. Il semblait vif d'esprit mais peut-on vraiment ne pas connaître Shakespeare (qu'il prononce Chaquèspeuare) et copier ses poèmes sans croire un moment que son enseignant ne s'en drendra pas compte ? Et que dire de cette référence au « regrettable incident du Golgotha ». Un athée et même quelqu'un d'une confession autre que chrétienne ne peut réduire à une vulgaire note de bas de page un événement aussi crucial que la crucifixion pour la suite de l'histoire de l'humanité !

Évidemment, Alexandre Jardin est coupable d'avoir écrit un premier roman et, comme tous les jeunes auteurs, il a voulu trop en mettre. C'est rempli de mièvreries (quoique ça colle assez bien au personnage arrogant du jeune premier), de clichés, de jolis jeux de mots mis pour épater la galerie. Un peu comme certains font de la peinture à numéro. « Je découvrais l'Italie du bout de ma fourchette et ce pays me parut al dente. » Vraiment ?

Au moins, j'ai beaucoup ri et souri. Parfois, malgré l'auteur, d'autres fois avec sa connivence. Après Virgile, le personnage de la grand-mère, l'Arquebuse, était très bien réussi. J'y ai reconnu ma propre aïeule, pleine de cette énergie inébranlable, de cette confiance aveugle et de cette volonté de fer auxquelles rien ni personne ne peuvent quoi que ce soit. Au final, je me souviendrai de Bille en tête essentiellement pour ses personnages attachants et haut en couleur.
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Comme il est complexe de noter ce livre... Côté pile, il y a l'âge d'Alexandre Jardin lorsqu'il écrit Bille en Tête. 20 ans, même pas... Qu'aurais-je écrit à 20 ans...? Une sacrée plume, que l'on aime ou que l'on aime pas. Roman primé, ce qui est un rude héritage lorsqu'on signe son premier roman.

Côté face, Virgile, le jeune héros du roman, a 16 ans, il est bourré d'orgueil, de morgue, d'insouciance et de ce sentiment que tout lui appartient dès qu'il l'a décidé. Il ressemble tellement à Alexandre Jardin, du moins à l'idée que je m'en fait à partir de l'image qu'il projette..., que j'ai eu bien du mal à me détacher de mes a priori, j'ai détesté le Zèbre.

Virgile tombe amoureux. Mais pas de n'importe qui. de Clara, une femme de 20 ans son aînée. Dans la série "Emmanuel rencontre Brigitte"... le coup de foudre de Virgile le pousse à s'émanciper. A devenir adulte. A pousser Clara dans ses derniers retranchements. Et le coup de foudre, autant qu'on en puisse juger, est réciproque. Actuellement, on parlerait de Clara comme d'une cougar. Mais leur amour semble pur et réciproque, ce qui séduit le lecteur immanquablement. Virgile séduit Clara, il ne la force pas. Et vice versa. On pourrait dire "deux adultes consentants", bien que Virgile n'a que 16 ans.

Au-delà de cet orgueil imbuvable de Virgile, qui m'a horripilé, il m'a manqué la vision globale. Jardin ne regarde que Virgile. Son amour pour Clara, le souhait de défier son père, l'attachement à ses racines que constitue sa grand-mère, son amitié pour Claude... c'est bien, mais cela ne m'a pas suffi. La lorgnette de Virgile ne m'a pas suffi. Il reste un aspect superficiel, propre à l'auteur ou à l'adolescence qu'il raconte. Jardin soulève des questions intéressantes, mais ne les traite pas. L'acceptation de la société, la jalousie du père, la relation de couple, etc. Evidemment à 20 ans, Alexandre Jardin se contente de traiter ce qu'il connaît; le désir de liberté d'un jeune homme qui veut grandir vite car l'âge adulte est la terre de tous les possibles.

Récit de passage, d'émancipation, de liberté, Bille en tête a un côté attachant. Si on n'est pas insouciant à 16 ans, quand le sera-t-on?
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N°95
Février 1992



BILLE EN TETEAlexandre Jardin – Éditions Gallimard.


J'ai déjà écrit qu'Alexandre Jardin est un des écrivains qui ont l'extraordinaire pouvoir de m'étonner (et ils ne sont pas si nombreux !). Raison de plus pour poursuivre l'étude de son oeuvre. Après la lecture passionnée du Zèbre (La Feuille Volante n°25)et de Fanfan (La Feuille Volante n°61), quoi de plus naturel que de se pencher sur son premier roman écrit à 21 ans et qui ne m'a pas déçu.
Comme toujours, cet auteur précoce accroche son lecteur dès la première ligne : « Chaque famille a son vilain petit canard. A la maison ce rôle me revenait de droit. Je fus expédié à Evreux en pension… Evreux, ville où l'on est sûr de n'avoir aucun destin. ».
Dès lors, le ton est donné, le décor planté, celui de l'adolescence. Virgile, brisé par la mort prématurée de sa mère veut se battre contre cette absence mais on l'envoie sur la touche dans un pensionnat de province. Tracassé par son avenir, il s'y étiole. Nous sommes nombreux à être passés par ces affres et à avoir regardé pensivement les hauts murs d'un collège en se demandant comment on pourrait bien faire pour en sortir. Alors, un jour, il part à l'aventure, sans plan, avec le seul projet de s'échapper de cet univers malsain, des rêves d'adolescent de seize ans pleins la tête, des fantasmes aussi, l'envie de devenir grand et la certitude d'avoir rendez-vous avec le destin. C'est que, dans le langage des adultes, cela s'appelle une fugue que n'excusent ni le fait d'être à l'étroit dans sa peau d'enfant, ni l'intuition d'être appelé à des fonctions supérieures.
Et puis, tout va très vite, coincé entre la volonté de conserver son enfance et celle de s'en débarrasser, il choisit Clara pour maîtresse. La chance le servira au début, à grands renforts de caresses. L'amour fou, il le connaîtra à seize ans, avec une femme qui aurait pu être sa mère (au moins la tradition est-elle respectée !) Alors, que voudrait-on qu'il fît en de telles circonstances ? Qu'il jouât ! Il joua donc son rôle, dans un costume manifestement trop grand pour lui. Il joua avec Clara au jeu de l'amour, avec son père à celui de l'adolescent gourmand de la vie, à l'affranchi aussi quand il déclara tout de go à une interlocutrice interloquée : «  Les femmes, c'est comme les voyages, ça forme la jeunesse ! ». Il joua aussi avec Jean, le mari de Clara, en mesurant à chaque geste le gouffre qui les sépare, comme il le fit avec l'un de ses professeurs, célibataire endurci à qui il expliqua, gigolo convaincu, les bienfaits d'avoir une maîtresse.
Jouant de plus en plus mal son rôle, il voulait entrer dans la vie par la grande porte, celle des femmes…et vite, mais en ayant soin de garder une fenêtre ouverte sur son enfance.
Tôt privé d'amour par la mort de sa mère, c'est vers deux femmes qu'il se tournera pour combler ce manque. Vers l'Arquebuse, sa grand-mère, chaud symbole de sa jeunesse insouciante et vers Clara sa maîtresse… Mais tout n'est pas si simple et les faits se chargent de vous infliger des désillusions comme on prend une claque. le monde des adultes que Virgile veut si bien connaître est fait de compromissions comme celui des adolescents de rêves et d'élans spontanés. Parfois ils se rencontrent, mais rarement pour longtemps. Tout passe, les foucades comme les amours…
Longtemps coincé entre deux mondes, il finira quand même par choisir celui des adultes qui s'offrira enfin à lui pour de bon, mais pas comme il l'avait prévu. La mort de sa grand-mère, l'abandon de Clara, deux symboles opposés et pourtant si semblables sonnent pour lui l'entrée dans la cour des grands.
Il ne lui reste plus qu'à vivre et à travailler à Paris ou « l'air contient en suspension un grand nombre de particules d'ambitions. », qu'à vivre bille en tête.


© Hervé GAUTIER.
Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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J'ai ce livre depuis un bon moment dans ma bibliothèque mais je n'arrivais pas à me décider. La faute à la couverture que je trouve vraiment très laide. Venu le temps des challenges de lecteurs et de l'item enfant d'un écrivain, il fallait bien que je me lance.
Et bien, ça s'est plutôt bien passé ! Nous avons Virgile, un jeune de 16 ans qui ne rêve que de grandir, de vivre, de conquérir Paris, d'avoir un destin et de coucher avec des femmes. Curieux bonhomme en totale opposition à son père en deuil qui éloigne son fils de lui parce qu'il est trop vivant.
Lors d'un dîner, Virgile fait la connaissance de la riche Clara et devient son amant parce qu'il l'a fait rêver alors que son mari Jean l'ennuie.
Virgile veut grandir mais replonge volontiers en enfance, y compris en demandant à son rival (le mari de Clara !) de lui réparer son train électrique.
Ce roman n'est pas qu'une histoire d'amour ou de sexe entre un jeune et une femme. L'homosexualité y est abordée, la relation père enfant quand un des parents décède. Virgile épingle aussi la bourgeoisie et ses travers.
On en est presque content d'être fauché.
J'ai bien aimé le personnage de la grand mère, Arquemuse, haut en couleur, qui l'aime inconditionnellement. J'ai eu un peu de mal au début à croire que Virgile pourrait mettre clara dans son lit aussi facilement et même d'habiter chez elle le week end en compagnie du mari. J'ai apprécié aussi la manière de s'exprimer de Virgile. Certaines tournures de phrases m'ont bien amusée. Il n'a vraiment pas sa langue dans sa poche.
3.5.
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Pour un coup d'essai, voilà un coup de maître. Écrire un tel roman à vingt ans n'est certes pas donné à tout le monde. Un bon dosage entre sérieux, ironie, et émotion. Servi par un style impeccable, mi-léger mi-châtié, capable de se moquer de lui même comme on peut le deviner dans le recours à des allitérations amusantes et percutantes à la fois ("sa bouche était rouillée et verrouillée par tant d'années de non-dits").

Tout a été dit ou presque sur ce bouquin, histoire d'amour qui ne finit ni mal ni bien, histoire d'entrée dans l'âge adulte. Ce que j'ai apprécié pourtant est la peinture de la société que l'on y devine en filigrane. Pourquoi la riche Clara s'entiche t'elle d'un ado deux fois plus jeune qu'elle? Parce qu'elle s'ennuie. Elle a besoin de divertissement.

Les descriptions des repas sont savoureuses (si j'ose dire). Chez la grand-mère, il s'agit de se pourlécher les babines, de bâfrer, de manger avec les doigts des nourritures populaires et roboratives: saucissons, poulets froids, épaisses tartines de pâté de canard... La conversation y est sincère et pleine d'amour. Avec Clara, au contraire, un verre de champagne à la main, au milieu d'un aréopage de courtisans, fagotés en smoking, on en est réduit à échanger des banalités convenues - semées d'un peu d'anglais pour faire original - avec de pauvres riches, à essayer d'épater la galerie, pour tenter de fuir la monotonie de l'existence...

Le clergé en prend aussi pour son grade. Dès la première page, le narrateur se voit expédié dans un pensionnat "chrétien dans la forme, où on enseigne l'amour à coups de trique". Il prendra sa revanche à la fin, chassant à coups de fusil le curé venu en soutane administrer les derniers sacrements à la grand-mère.

Dans cette histoire, ce n'est donc pas la liaison de Clara et de Virgile qui fait scandale, mais l'incapacité finale de cette dernière à sortir de sa caste. "Je crois qu'elle n'abusait que de la sagesse malgré l'apparent dérèglement de ses amours".
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Citations et extraits (45) Voir plus Ajouter une citation
Il fallait grandir en douceur, ne pas brûler les étapes, s'épanouir, disaient-ils. L'affaire était entendue. On avait même inventé un mot épatant, vide de sens donc utile, pour justifier les prolongations : l'adolescence. Ça se rajoute après la puberté et ça permet aux vieilles personnes de nous empêcher de parler plus haut qu'elles. Et moi qui ne rêvais que de pousser comme une plante pour me rapprocher du soleil. Quand donc serais-je grand ?
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Dehors, au-delà des murs, il y avait l'Amérique à découvrir, Paris à conquérir. À l'aube de ma vie que je devinais déjà riche, le désir m'habitait. Désir de voir, de tout voir. Je voulais explorer tout ce qu'il était possible d'explorer : la tendresse, la peau des femme, la foi des curés, l'ivresse de l'argent, le vertige du talent. J'avais une fleur dans le coeur et cette fleur voulait voir le soleil. Je voulais connaître Dieu en moi, et Satan aussi. Faire l'ange et puis la bête, en démontant mes ailes.
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Seule la ville, la grande ville, m'excitait. Une seule d'ailleurs me faisait saliver : Paris et sa tour Eiffel en forme de sexe qui domine la cité. C'est à Paris que se trouve le plus grand arc de Triomphe. Je désirais cette capitale comme on a envie d'une femme. Je voulais la séduire, la posséder, l'étonner et recevoir d'elle finalement une rue à mon nom.
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Incipit

Chaque famille a son vilain canard. A la maison, ce rôle me revenait de droit. J'y voyais une distinction. En contrepartie de cet avantage, je fus expédiée à Évreux en pension. Évreux, ville où l'on est sûr de n'avoir aucun destin. Véritable banlieue de l'Histoire. Les réussites y sont lentes. La province a toujours fait de l'ombre aux ambitieux.
Derrière les hauts murs de la cour de récréation, je fulminais contre mon père. En m'exilant il me privait d'oxygène. En me faisant quitter Paris il confisquait mes rêves de grandeur. Je dépérissais. Durant les rares weekends où je rentrais à Paris, je respirais l'air de la capitale, l'air du temps. Mais les dimanches soir arrivaient toujours. Je devais retourner au collège faire l'enfant. Quand donc serais-je grand ? Je voulais vivre tout haut et non plus chuchoter ma vie dans les couloirs d'une école.
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Le salon de Clara se remplissait de murmures à mesure que le flot des invités grossissait. Tous ces gens semblaient se reconnaître plus qu'ils ne se connaissaient. Autour des coupes de champagne, on échangeait des idées reçues, si possible les dernières. L'œil aux aguets, chacun paraissait vérifier que les siennes étaient bien à jour. Ce travail dérisoire exigeait une grande adresse. Il fallait s'informer des derniers potins parisiens tout en ayant l'air d'être au courant, trouver le mot original qui habillerait de neuf une idée vulgaire. Les convives les plus habiles parvenaient même à donner de l'importance aux plus légères futilités en les chuchotant gravement sur un ton de confidence.
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