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EAN : 9782749128429
512 pages
Le Cherche midi (22/08/2013)
3.08/5   58 notes
Résumé :
Fin des années 1980, DeKalb, Illinois. Eddie Hobson, Ailene, et leurs quatre enfants, ont toujours formé un clan très soudé. Mais lorsque Eddie est frappé par une étrange maladie, la mécanique familiale se dérègle et les secrets de ce père pas comme les autres font peu à peu surface.

Pourquoi ce professeur d’Histoire charismatique a-t-il élevé ses enfants, aujourd’hui adultes, dans l’amour de la culture, du divertissement des énigmes et des jeux d’e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Chez Richard Powers, les familles fonctionnent en autonomie, noyau dur isolé du reste du monde. Pourquoi? Parce que c'est une famille dirigée par un père inadapté, visionnaire et fragile qui entraîne femme et enfants dans un cocon de culture, d'art et de questionnements sur ce monde trop douloureux. le père - Eddie Senior, le Vieux - en sait trop. Et comme lui, son fils ainé, Artie, se demande comment on peut continuer à vivre, à avancer face à la tragédie vers laquelle on s'avance. Guerre, massacres, bombe atomique et des gouvernements cyniques et manipulateurs.

Les Hobson sont clairement une famille à part - tout comme celle du Temps où nous chantions, roman magnifique - . Trop intelligents et du coup, complètement barrés, pour certains d'entre eux du moins. le père est malade, subit des crises qui l'affaiblissent, mais ça fait des années que ça dure. Thanksgiving et le miracle, il accepte enfin de se rendre à l'hôpital. Pendant ce temps, sa progéniture s'interroge et se dispute autour des raisons de cette maladie particulière, et Artie, pour cette raison, fouille dans sa mémoire, tente de répondre aux énigmes de son père - messages codés qui le feront avancer dans son enquête- et veut en savoir plus sur Hobsville, création secrète à laquelle son père s'est attelé depuis le début des symptômes.
C'est un roman à la fois familial et historique, l'histoire des Etats-Unis de 1939 à 1979 avec la deuxième guerre mondiale et le Japon comme axe principal. On y découvre un Walt Disney revisité par le père, figure fantasmatique et un brin inquiétante. le récit est foisonnant, intriguant et souvent compliqué en particulier par ces non-dits frustrants. J'ai préféré le Temps où nous chantions parce que je l'ai trouvé plus fluide, mais le Dilemme du prisonnier reste une sacrée expérience.
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L'histoire :

De Kalb, Illinois. Rien ne va plus dans la famille Hobson. le père, professeur d'histoire charismatique et cultivé, amateur d'énigmes en tout genre, souffre depuis quelques années d'une étrange maladie. Ses quatre enfants devenus adultes cherchent à percer le mystère de la personnalité originale et déroutante de leur géniteur, lequel semble avoir toute sa vie dissimulé quelque lourd et envahissant secret. Et si la source de leurs maux était à chercher dans le passé d'Eddie Hobson ? de l'Exposition Universelle de New York en 1939 aux camps érigés par les Américains pour y interner leurs compatriotes d'origine japonaise pendant la Seconde Guerre Mondiale, en passant par les films de Walt Disney et la contribution d'Hollywood à l'effort de guerre, c'est tout un pan de l'Histoire récente des Etats-Unis qui ressurgit alors sous forme de flash-backs.


L'opinion de Miss Léo :

J'avais été littéralement époustouflée par "Gains", petit bijou d'intelligence et d'émotion entremêlées, dont je conserve à ce jour un souvenir très puissant, tout juste un an après en avoir terminé la lecture. Aussi n'ai-je pas hésité bien longtemps lorsque j'ai découvert que le présent opus faisait partie de la liste proposée par Babelio pour la dernière édition de Masse Critique. J'ai ainsi eu la chance d'être choisie pour recevoir "Le Dilemne du Prisonnier", qui marque mes retrouvailles avec Richard Powers, dont les anciens romans sont peu à peu traduits et publiés en français, sous l'impulsion des éditions du Cherche Midi.

J'étais particulièrement enthousiaste en débutant ma lecture, mais je reste toutefois sur un avis mitigé, ainsi que sur un léger sentiment de frustration. J'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal à rassembler mes idées pour rédiger une critique cohérente, et cela fait maintenant presque dix jours que ce billet est en cours de rédaction ! Ce roman m'a plu dans les grandes lignes : je l'ai trouvé intéressant, et j'ai une nouvelle fois pu apprécier à sa juste valeur la grande richesse thématique de l'oeuvre du romancier américain. La partie "historique" du récit est fascinante, et offre un regard éclairé sur des événements clés de l'histoire américaine , dont le jeune Eddie Hobson fut jadis le témoin : internement des ressortissants japonais, développement de l'industrie du divertissement, films de propagande, premier essai nucléaire à Los Alamos... Autant de sujets qui me passionnent, et qui témoignent de l'extraordinaire polyvalence de Powers, lequel s'intéresse tout autant aux sciences qu'à l'art, à l'économie ou à la politique. J'ai aimé les références à Frank Capra et au cinéma hollywoodien, et j'ai trouvé que le rôle joué par Walt Disney dans le récit était plutôt original. Dans un tout autre registre, j'ai également apprécié la façon dont Richard Powers décrit la cellule familiale, qui vacille davantage à chaque crise du père, mais dont les relations n'en demeurent pas moins empreintes de tendresse. C'est là l'une des grandes forces de l'auteur, lequel entremêle harmonieusement Histoire universelle et destins individuels, imbriqués au sein d'une seule et même intrigue ; son imagination foisonnante, doublée d'une formidable érudition, ne l'empêche pas de développer par ailleurs une remarquable sensibilité, et les scènes intimistes sont tout aussi réussies que les chapitres envisageant avec une rigueur quasi encyclopédique les faits marquants du siècle passé. Pour toutes ces raisons, son roman reste constamment à échelle humaine, ce qui en rend la lecture très agréable.

"Le Dilemne du Prisonnier", deuxième roman de Powers, se révèle toutefois moins convaincant que "Gains", dans lequel le procédé trouvait en quelque sorte son aboutissement. Les enjeux dramatiques y étaient autrement plus poignants, et il s'en dégageait une impression de force et de cohérence que je n'ai malheureusement pas retrouvée ici. J'ai pourtant lu relativement facilement les presque cinq-cents pages qui constituent le présent opus, mais j'ai parfois eu la sensation de "décrocher", de rester en dehors de l'intrigue. La construction est assez déroutante, et l'entrée en matière abrupte ne facilite pas la tâche du lecteur, qui se retrouve immergé sans le moindre repère dans un univers pour le moins hermétique. Il est parfois difficile d'identifier ce qui est du domaine du rêve, du récit circonstancié ou des souvenirs, et la narration souvent complexe, voire confuse, fait que l'on a parfois du mal à saisir le pourquoi du comment. Pour être honnête, on s'y perd un peu, et j'ai le sentiment de ne pas avoir tout compris, d'être passée à côté de certains aspects du récit ! Bref, tout cela est fort déconcertant, et, si j'ai apprécié la trame générale du roman, je reste malgré tout dubitative quant à certains développements de l'intrigue.

Pour l'anecdote, sachez que le titre trouve son origine dans une expérience menée dans le cadre de la théorie des jeux, appliquée aux sciences sociales et à la psychologie, dans le but d'illustrer le conflit entre intérêt individuel et intérêt collectif (tout cela est d'ailleurs fort bien expliqué par Powers).

Pour conclure, je dirais que "Le Dilemne du Prisonnier" n'est pas un roman inintéressant (bien au contraire), mais qu'il s'agit sans doute d'un texte mineur dans l'oeuvre du romancier. Il faudrait évidemment que j'en lise d'autres pour affiner mon point de vue !


Un Richard Powers inégal, passionnant à bien des égards, cependant assez confus dans sa construction, et finalement assez difficile d'accès. Je vous recommande de commencer par un autre titre si vous souhaitez découvrir l'auteur !


Je remercie Babelio et Le Cherche Midi pour cette lecture enrichissante.

Lien : http://leslecturesdeleo.blog..
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Tout est parti d' une critique de ce roman sur Babelio. Enthousiasmée par l'engouement du lecteur duquel j'avais lu l'avis, j'ai cédé à la tentation.


Je me suis donc retrouvée embarquée au côté d'une famille américaine, un couple et quatre enfants. L'épouse m'a paru discrète, effacée. Il faut dire que son mari focalise l'attention sur lui mais bien malgré lui. Eddie Senior est atteint d'un mal mystérieux (évanouissements, absence, saignements). Alors l'épouse veille et tous semblent vivre bon gré mal gré avec les désordres du cerveau paternel. Les enfants sont différents les uns des autres mais ont cependant des points communs : l'amour qu'ils portent à leurs parents dut-il passer par le sarcasme ou la moquerie ; leur gentillesse.



Mon avis : ce roman est dense, varié, bien écrit, avec des passages ardus qui ne m'ont pas du tout rebutée. Je n'ai pas du aimé tous les passages en italiques qui doivent composer la moitié du roman. J'ai eu du mal à comprendre qui parlait lors de chacun des passages. Et pourtant j'ai beaucoup aimé ce roman. Je l'ai trouvé confortable, je m'y suis plu comme s'il était un cocon, un refuge douillet ; je n'avais pas envie de le quitter, de les quitter ; je voulais rester avec cette famille dont le père est un peu déjanté tout comme ses enfants, ai-je trouvé. L'union de la famille malgré des membres complètement différents et zinzins y sont pour beaucoup comme si rien ne pouvait faire éclater cette cellule familiale qui se serait prémunie des attaques extérieures par un filet ou une toile invisible. Bien que je n'aie pas aimé voir le récit s'interrompre par ces chapitres en italiques, je les ai tout de même lus dans l'attente de pouvoir découvrir le chapitre suivant qui me ramènerait au milieu de la famille, dans leur réel. Je les ai considérés comme un passage nécessaire entre un chapitre et un autre. J'ai suivi les Hobson et me suis laissée porter par eux sans chercher à tout décortiquer, à tout comprendre, en leur faisant une confiance aveugle.
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Ce livre m'a demandé de l'application, mes modestes neurones ont été sollicités.
Pour faire appel à une analogie entre ce livre et le milieu automobile : « Avec une 2 chevaux et une Ferrari vous pouvez rouler à 110 km/h mais arrivée sur circuit la Ferrari est la seule à pouvoir dépasser les 200 km/h », et bien avec ce roman vous évoluez à plus de 200 km/h en toute sécurité.. .

La technique de Richard Powers est bluffante dans chaque phrase nous retrouvons la même importance des mots employés. La construction du roman en lui-même, passant de l'histoire d'une famille américaine à l'Histoire avec un grand « H » tout court, est un ravissement.
Les détails dans les petites choses sont décrits avec forte application, tous nos sens sont stimulés malgré leur évocation en deux dimensions couchée sur la page blanche où l'encre s'est répandue. Déroutant !

Pour l'histoire en elle-même, cela m'a fait penser a deux préceptes : Premièrement, « les enfants sont fous lorsqu'ils pensent que leurs parents seront toujours là, immortels ». Et deuxièmement, « nous nous devons de vivre chaque instant, chaque seconde de ce cadeau qui nous a été fait, la vie ! » Nous sommes à la fin des années 70, la famille Hobson sur laquelle repose le roman habite de kalb dans la région de Chicago. Les 6 membres semblent vivre en quarantaine dans leur maison, elle se compose de 6 personnes :
Le père, Eddie qui a « L'espoir que tout pouvait encore s'arranger à condition de ne pas broncher, de tout minimiser, et de se faire aussi petit que possible », « Adepte des guérisons accomplies par négligence calculée, retour à la normale », retranché dans son invention « Hobsville » ;
La mère, Ailene impossible de dire « Ton père est malade », elle se retranche dans « Ton père ne va pas bien », épuisée ;
Les 4 enfants, Artie, Lily, Rachel et Eddie junior « Ils avaient tous contracté, au contact du père, la part contagieuse du mal. L'espoir que tout pouvait encore s'arranger à condition de ne pas broncher, de tout minimiser et de se faire aussi petit que possible » mais la révolte gronde.

Dans cette nécessité de penser historiquement, nous appréhendons de 1939 à 1979 : Les effets de l'exposition internationale de New-York, Walt Disney et son personnage fétiche, les conditions d'entrée en guerre des États-Unis, L'éveil de l'exubérance Américaine, l'avènement du monde nucléaire… Thanksgiving et la magie de Noël…

Et en profondeur « le dilemme du prisonnier, jeu de trahison et de coopération », une recherche, un pèlerinage oserais je dire, une énième devinette d'Eddie sénior.

Enfin posés après tous ces émois vous vous pensez stables, vous reprenez votre souffle et paf…
Mais on parle de quelle famille dans ce livre ?
L'auteur se joue de nous, extrapolation, mystification, trahison, rédemption, ascension, animation, résurrection…
Habile conteur qu'est Richard Powers, qui nous fait voyager dans « son mode du monde » à nous étourdir mais qui est qui ? Vous le découvrirez en vous jetant à corps perdu dans ce roman qui ne vous laissera pas indifférents, parole de Grybouille qui en a perdu quelques plumes.

Ha, oui ! « No pain, no gain » comme disent nos frères Américains, accrochez-vous !
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Selon Wikipedia "Le dilemme du prisonnier, énoncé en 1950 par Albert W. Tucker à Princeton, caractérise en théorie des jeux une situation où deux joueurs auraient intérêt à coopérer, mais où, en l'absence de communication entre les deux joueurs, chacun choisira de trahir l'autre si le jeu n'est joué qu'une fois. La raison est que si l'un coopère et que l'autre trahit, le coopérateur est fortement pénalisé. Pourtant, si les deux joueurs trahissent, le résultat leur est moins favorable que si les deux avaient choisi de coopérer."


Ce jeu est joué à plusieurs reprises dans le roman entre le père et ses enfants. Un père atypique, extrêmement intelligent et mystérieux qui cache à son entourage une maladie qui provoque des evanouissements, des délires ponctuels et un lointain secret.
Ses quatre enfants, eux aussi brillants et inadaptés à la vie en société cherchent à percer le secret de ce père charismatique.


L'histoire de l'Amérique est longuement évoquée dans le récit, par des chapitres intermittents entre italiques qui alternent avec le quotidien de la famille, des événements comme l'Exposition universelle de New York en 1939, les essais nucléaires et l'avènement de Walt Disney annonçant l'entrée du monde dans l'ère du spectacle et de la consommation. Se pose alors la question du progrès et de la place de l'homme dans une telle société.

Cette famille brillante et atypique appartient à l'univers de Richard Powers, qui a vécu ce type de relation avec son père.

Mais s'il était facile d'y entrer dans ses autres romans, celle-ci m'a semble plus cloisonnée et plus difficile à approcher. Comme si le rythme du recit laissait davantage le lecteur à distance.
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critiques presse (4)
LeMonde
02 janvier 2015
Magnifique portrait de père sur fond de famille dysfonctionnelle, ce roman revisite un demi-siècle d’histoire américaine, de l’exposition universelle de New York (1939) aux essais nucléaires de Los Alamos en passant par Disneyland et l’industrie du divertissement.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Telerama
22 octobre 2014
[...] une belle œuvre de jeunesse, un hommage au père disparu qui savait raconter les constellations à ses enfants comme s'il s'agissait d'un conte de fées.
Lire la critique sur le site : Telerama
Lexpress
30 septembre 2013
Un livre certes mineur sous la plume de Powers, mais indispensable pour découvrir l'une des sources de son inspiration.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LeFigaro
20 septembre 2013
Abîmé par la guerre, Eddie Hobson se retranche dans un monde parallèle, fait d'astuces, de devinettes, d'histoires, qu'il transmet à ses enfants. Walt Disney appellerait cela de «la poussière de fées», pour consoler des camps, des bombardements et de cette étrange maladie qui a frappé Eddie. Richard Powers a un autre mot pour ça, tout aussi merveilleux: roman.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
Comment les gens parvenaient-ils à aller de l'avant? Pourtant, ils avançaient, alors même que s'amoncelaient les gros titres, dépassant toute intelligence. Artie restait figé, les nerfs en alerte sous l'effet de cette insoutenable crise de beauté.
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L’homme derrière la souris ne possède pas le quart de sa notoriété. Disney produit le couinement aigu connu à travers le monde, mais au téléphone, sa propre voix passe inaperçue. Il apparaît en photo dans des centaines de magazines, de journaux et de films d’actualité, mais toujours en compagnie de sa créature. Sans Mickey à ses côtés, d’innombrables admirateurs à qui il a rendu le présent supportable le croisent dans la rue sans se douter de rien.
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On ne pourrait pas le respecter si sa grande révolte contre la société avait pris une forme banale comme l'alcoolisme ou une pathologie cardiaque. Non. Il nous a élevés dans la conviction que l'ordinaire était notre ennemi, et nous devons combattre à sa manière. D'une façon extraordinaire.
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On dit que pour savoir ce que deviendra le fils ,il faut regarder le père.En d'autres termes, si tu m'épouses - et j'ai l'intention de te pourrir la vie jusqu'à ce que tu le fasses, et sans doute après aussi?- je serai affalé sous la véranda dans trente ans ,comme le grand machin.J'aurai du bide jusque-là , les bras et les jambes tout maigres. Et je serai en partance pour l'hosto.Alléchant, non?
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Combien pèse une voix ? Tout dépend de ce pour quoi on vote. S’il s’agit de la voix qui permet à la loi sur la conscription de passer d’une commission interparlementaire au Congrès réuni en séance plénière, alors une voix fait toute la différence : au terme d’une bataille inoubliable pour qui y a assisté, elle marque le début de la fin des traités isolationnistes.
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Quand vous regardez les arbres autour de vous, que voyez-vous ? Je veux dire : que voyez-vous vraiment ? Si vous savez rêver, c'est l'avenir de l'humanité que vous contemplez en regardant les arbres.
L'arbre-monde de Richard Powers, c'est un grand roman à découvrir en poche chez 10/18.
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