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EAN : 9782491521004
192 pages
Les Avrils (08/04/2020)
3.22/5   49 notes
Résumé :
Marcus et Rose s'aiment et voudraient un enfant. Malheureusement la grossesse se fait attendre et la jeune femme sombre dans le chagrin. Son compagnon partage sa peine qu'il ressent physiquement. Le médecin diagnostique une couvade par solidarité mais face à l'importance des symptômes, il apparaît que Marcus serait le premier homme à porter un enfant. Premier roman.
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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• Pourquoi cette lecture ?

> J'ai apprécié 'Les grandes occasions' (Alexandra Matine) publié par cette jeune maison d'édition, 'Les Avrils'. Ce roman a même été mon premier coup de coeur de l'année.

> Les questions autour du "genre" m'intéressent, et en particulier la transidentité.
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• Pourquoi 1 seule étoile ?

> Impression de lire un vieil auteur périmé. Qui parle encore de 'waters' pour 'toilettes' et de 'rendre' pour 'vomir' ? Comment être amoureux du tango et d'une femme qui porte des robes en mousseline, qui sent bon 'le linge frais et la violette' ? Et ces prénoms : Rose, Marcus, Jacinthe...
Allô, mère Denis ? Y a trop d'adoucissant chimique !

> On est à Paris, d'accord, mais quand ? le regard sur les personnes transgenres a évolué. Plus ouvert ? je ne sais pas, mais plus habitué, mieux éduqué, plus respectueux. Quelle femme, travaillant dans un cabinet de gynéco, va faire un malaise en voyant un homme (ou une femme barbue) passer une échographie ?

> Cette façon de décrire les femmes (des êtres fragiles, frêles, qui 'tambourinent de leurs petits poings' pour exprimer leur colère), tous ces clichés à la louche. Et ce 'genrisme'.
Ce couple fusionnel, comme dans 'Bojangles' (Bourdeaut). Je déteste l'idée de fusion entre adultes, je n'y crois pas. Elle est passagère (thérapeutique) ou mortifère...
Cette découverte de la grossesse, ces descriptions tellement basiques, ternes, éloignées du ressenti d'une femme enceinte.

> Rose et Marcus ressemblent à ces personnages de papier sans consistance décrits page 26 :
« Nous avions le sentiment que tout avait déjà été écrit, pensé par un auteur lunatique agissant quelque part dans l'ombre, et, tirant à sa guise, au gré de son humeur, les ficelles qui nous animaient. Jusqu'ici, il avait un peu négligé nos deux personnages, mais brutalement, je me demande bien pourquoi, brutalement, il avait décidé de nous sortir de l'ombre, de nous bousculer vers la lumière [et...] en cinq années, nous n'avions plus cessé de danser. »
Voilà ! Je visualise des pantins mous, fins, blêmes, transparents...
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• Pour résumer : empathie zéro pour le personnage central, adhésion nulle au style suranné et au côté fable / conte musical. Je suis complètement passée à côté, je n'ai pas compris l'intention de l'auteur - réflexions intimes ou pierre à l'édifice ? J'ai bien noté qu'il se posait des questions sur le genre et la parentalité, pendant une grossesse gémellaire de sa compagne.
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• Sur la transidentité : 'Mon neveu Jeanne' (Patrick Bard), et tant d'autres... Sur la grossesse (maternelle) : La femme brouillon (Amandine Dhée)...
Pour les contes musicaux inventifs : Mathias Malzieu.
Sur les hommes enceints, je n'ai pas lu de romans, mais des articles. Cela existe - personne déclarée 'fille' à la naissance, qui se voit/sent/vit comme un garçon, puis un homme, et a changé d'état civil, voire d'apparence, en conservant ses organes génitaux féminins, et donc apte à mener une grossesse à terme.


PS : pourquoi quand même 1 étoile ? pour l'inquiétude de cet homme qui craint de fuir ses responsabilités lorsque l'enfant s'annoncera, comme le fit son père.
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Marcus aime Rose. Rose aime Marcus. de leur petit studio où ils blottissent leur amour, ils ne sortent que le soir pour gagner les bords de Seine et se rapprocher encore en dansant le tango. La vie est simple et douce pour Marcus qui, de son propre aveu, préfère "rester à l'écart. Observer les nuages, [se] perdre dans leur épaisseur, [s']imaginer de jolies histoires. Contourner le monde. Fleurir la réalité, tenir en respect le réel, son âpreté ainsi que sa pesanteur" (p.10). Rien ne devrait changer afin que cet équilibre parfait soit maintenu.
Mais voilà qu'un jour, Marcus et le tango ne suffisent plus à Rose. Voilà qu'elle souhaite avoir un bébé ! Un bébé ! Pour Marcus, ce serait "mettre en péril [leur] petite musique, découper à grands coups de ciseaux [leur] fil soyeux, et le jeter dans la Seine." (p.20) Mais face au chagrin de Rose, il cède. Il nous raconte avec une once de dérision les échecs répétés "parce que faire un bébé, figurez-vous, il faut encore y parvenir." (p.30). le ventre de Rose reste désespérément plat alors que celui de Marcus prend de plus en plus d'ampleur. Une "couvade" affirme le médecin. Face à ce qu'elle considère comme une provocation égoïste, Rose s'en va...
Et je n'en dis pas plus pour laisser aux lecteurs le plaisir de découvrir la suite des évènements !
Je n'irai pas par quatre chemins : j'ai eu un véritable coup de coeur pour ce si joli roman, pour ce conte d'aujourd'hui qui par la voix de Marcus nous parle de la vision stéréotypée que chacun de nous (quoi qu'il en ait) plaque sur le masculin et le féminin. Sur un ton espiègle qui fait la part belle à l'ironie pour démonter les clichés sur la partition des genres, Raphaël Alix nous raconte une histoire pleine de fantaisie et de tendresse. En adoptant le point de vue masculin de Marcus, il prend certes le risque que l'ironie ne soit pas perçue et que le discours soit pris au premier degré. Mais la construction du personnage de Marcus, l'utilisation des figures de style et la connivence subtilement instaurée avec le lecteur déjouent cette possibilité. "Voici le canevas, débrouillez-vous comme vous voudrez : un homme, ça se conjugue au verbe avoir, un homme ça a du cran, ça a des couilles, ça a la force, les biceps, le bagout, la voiture. Une femme, ça se conjugue au verbe être, une femme c'est joli, c'est soigné, affectueux, sensible, salope. Et enceinte. Chacun son camp : soit tu as un pénis, soit tu n'en as pas. le sexe détermine le genre." (p.101)
L'aventure de Marcus et Rose brasse allègrement les notions de genre et tout ce qu'elles portent d'artificiellement figé. J'ai ressenti cela comme une profonde bouffée d'air frais, comme un balayage salutaire des idées reçues et des conditionnements séculaires. Oui c'est un conte, une fable à laquelle j'ai adoré croire jusqu'à l'ultime page ! Vous l'avouerai-je ? Ce n'est pas sans un peu d'eau au bord des paupières que j'ai laissé partir Marcus et Rose.
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Pour aborder ce premier roman plutôt original, mieux vaut laisser son esprit cartésien au repos et accepter le postulat de l'auteur qui prend grand soin de ne pas tomber dans la science-fiction. Car la science, la possibilité qu'un jour cette hypothèse de romancier devienne réalité ne sont pas son propos ; il s'agit pour lui de trouver un point de départ à l'exploration de la question du genre et de l'identité. Notamment de la masculinité. Alors va pour cette "première mondiale"...

Rose et Marcus sont amoureux, et unis par une même passion, le tango argentin. Chaque soir, ils dansent sur les quais de la Seine et font l'admiration du public et des autres danseurs. Leur bonheur semble sans nuage jusqu'à ce que Rose désire avoir un enfant. Les mois passent, son ventre reste désespérément creux, elle dépérit, Marcus aussi de la voir si malheureuse, leur tango se désunit. Et puis enfin, les nausées matinales, les vertiges... sauf que ces phénomènes bien connus ne se produisent pas chez Rose mais chez Marcus. Couvade, diagnostique d'abord le médecin avant de se rendre à l'évidence : Marcus est enceint. Colère de Rose qui claque la porte, désarroi de Marcus face à cette situation inédite et improbable qu'il pressent source de pas mal d'ennuis...

"Alors imaginez, après une vie passée à essayer d'être un homme, un vrai, un dur, me retrouver dans cette situation".

Ce postulat permet de questionner de façon malicieuse les places assignées par la société aux hommes et aux femmes en bousculant l'ordre établi. Chamboulement chez les protagonistes, le premier réflexe de Rose étant de penser que Marcus lui pique son rôle tandis que ce dernier s'imagine peut-être subir une transformation irréversible et devenir femme. Gros choc également dans l'opinion, avec des références à tous les débats actuels autour du couple et des enfants, que l'auteur traite par des situations et des réactions assez cocasses. le cheminement de Marcus lui permet de trouver des clés de compréhension, transcendé par l'amour qu'il porte à Rose, et nourri par l'expérimentation de sa nouvelle condition qui lui permet d'appréhender quelques spécificités de la condition féminine.

La plume de Raphaël Alix est légère, le ton équilibré. L'auteur ne cherche pas à démontrer, il reste sur une ligne étroite qui hésite entre fable et fantaisie mais ne tombe jamais dans l'excès. le renversement des rôles est finement mené, les préjugés valsent au gré de tribulations parfois rock'n roll, la fraîcheur de l'ensemble donne autant à sourire qu'à réfléchir. Il suffit d'entrer dans la danse.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Dans ce conte fantaisiste, Raphaël Alix se joue des contraintes de la biologie et, du même coup, bouscule les codes sociaux et culturels. Et si l'homme et la femme étaient interchangeables ? La frontière marquant la différence ne serait-elle pas plus fluctuante que la revendication d'appartenance à un genre ou l'autre voudrait nous le faire croire ?


L'auteur s'y prend habilement pour embarquer le lecteur dans une histoire perturbante, aussi inédite qu'impossible.
Tout commence par des pas de tango, danse que pratiquent avec régularité et passion Rose et Marcus. Bien trouvé ! Quel meilleur choix que ces figures éminemment sensuelles pour déboucher sur un rapprochement fusionnel, et nous conduire in fine à cette histoire de confusion des genres absolument abracadabrantesque?


L'imagination de l'auteur et l'adhésion du lecteur vont faire le reste...

Tout en restant conscient que le Premier Homme du Monde s'apparente à la littérature fantastique (d'aucuns, plus portés sur l'interprétation psychanalytique, diraient même fantasmatique- à juste titre sans doute), le lecteur a quand même envie de croire possible cette aventure extravagante (les romans existeraient -ils si on ne consentait pas à se faire piéger ?).
Il est bien aidé en cela par les observations pertinentes de l'auteur et la justesse des réflexions qu'il met dans l'esprit d'un homme devant temporairement assumer une condition par essence féminine. Les péripéties rondement menées et la plume agréable sont aussi des éléments qui expliquent le ralliement du lecteur à une situation qu'il sait pourtant totalement irréaliste.


On peut seulement regretter que la fin du roman n'ait pas été à la hauteur de ce qu'on pouvait en attendre.

Plus on avance dans la lecture et plus on se sent impatient de découvrir par quel stratagème l'auteur a bien pu se sortir de la situation inextricable qu'il a élaborée.
En écho à l'invraisemblance du propos, je m'attendais pour ma part à une surprise. Tout était possible , au mieux un feu d'artifice d'invention, au minimum une fin ouverte qui laisserait libre cours à mon propre imaginaire.
C'est une option bien différente que Raphaël Alix a prise en proposant un dénouement biologiquement cohérent (si tant est qu'on puisse dire cela ici) et en nous laissant entrevoir une suite de vie "sur les rails". Une douche froide, une folie débouchant sur un brusque retour dans la réalité. Cette fin m'a fait l'effet d'un soufflé prometteur qui retombe juste avant d'être servi.

Ce qui m'a gênée aussi, c'est la volonté sous-jacente de l'auteur de se servir du dénouement pour démontrer que les formes de masculinité/féminité qui enferment chaque genre dans un rôle et une fonction déterminés sont à réinventer et que les hommes, notamment, ont encore quelques progrès à faire pour déconstruire leurs schémas traditionnels de virilité.
Rien de choquant en cela. de nos jours , seuls quelques barbons d'un autre temps s'offusqueront de ces idées. Comprenez-moi, les opinions de Raphaël Alix ne sont en rien dans mon insatisfaction, il ne s'agit que d'une question littéraire. C'est ce virage à la fin du roman, dans lequel il m'est apparu que l'auteur sacrifiait la fantaisie pour la défense d'une cause, aussi noble et justifiée soit-elle.
Il n'en va pas en littérature comme entre l'homme et la femme, le mélange des genres ne fonctionne pas toujours aussi bien!
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Marcus n'est autre que le narrateur de ce roman, un brin loufoque, parfois burlesque, d'une fraîcheur et d'une modernité sans égal. C'est donc par le filtre de son regard que, le temps d'une lecture, nous allons nous plonger dans le corps, et les neurones, de ce garçon que la virilité ne va pas manquer d'être ébranlée.

Ne vous méprenez pas, ce n'est pas parce que le scénario prête à rire qu'il ne porte pas sur des sujets graves.

Raphaël ALIX ne va rien laisser au hasard dans ce roman foisonnant, à commencer par le tango, une danse qui, au tout début du XXème siècle, a puisé sa force et son énergie dans la mixité des danseurs. C'est à cette époque que les danses de Blancs et de Noirs se mélangent, elles s'inspirent les unes des autres, s'imitent, se singent, le métissage est à l'oeuvre pour donner ce que nous connaissons aujourd'hui, une danse aux mille et une tonalités, largement pratiquée dans les salles de bal du monde entier.

Pourquoi le XXIème siècle ne serait-il pas, lui, celui de la pamernité ?

L'auteur consacre son tout premier roman à la question de la procréation largement médiatisée en France ces dernières années et qui ne laisse pas indifférent, dans la réalité comme dans la fiction. Raphaël ALIX va confronter avec espièglerie son personnage principal aux normes de notre société. Il y a des moments absolument truculents qui vous feront peut-être pleurer, de rire, à moins que ça ne soit de chagrin sur ce que nous sommes, des êtres obtus.

Aujourd'hui, ne serait-ce que le vocabulaire, rien n'est prévu dans la langue française pour conjuguer la grossesse au masculin. Si le terme « paternité » est aujourd'hui largement prononcé, il l'est en référence au congé accordé au père depuis 2002 dans le code du travail. Raphaël ALIX s'exerce, lui, à prononcer le mot enceint pour qualifier l'état de Marcus, et il a bien raison.

D'un point de vue biologique, il ne vous a pas échappé que l'homme se différentie de l'hippocampe, le seul poisson et mâle du genre animal à assurer naturellement la gestation. Pour autant, certains hommes peuvent porter un enfant. Etre enceint est donc possible, c'est le cas de certains transgenres. Evoquer cette hypothèse dans un roman permet, a minima, de porter au grand nu des pratiques qui à défaut, risquent d'être réalisées sous le manteau et vécues dans le plus grand anonymat.

Du point de l'éthique, toutefois, il n'y a qu'un pas que les scientifiques ne sont pas prêts de s'aventurer à franchir, il en va notamment de la vie du père, mais pas que. le simple fait d'être enceint vient rebattre les cartes de notre société et fragiliser ses fondations en revisitant la question du genre.

Si Raphaël ALIX initie un souffle d'autodérision dans son roman avec le personnage de Marcus, obligé de se grimer en femme, de se travestir pour sortir de chez lui et espérer une vie normale, il n'est, en réalité, plus simplement question pour un garçon de jouer à la dinette et/ou de pouvoir porter du rose, une robe, et tous autres artifices habituellement dédiés aux filles. Non, il s'agit de donner la vie.

Plus que le genre, c'est finalement une question d'identité à laquelle il s'agit de répondre. Vous voilà plongés, bon gré mal gré, dans un bain philosophique dans lequel il ne vous reste plus qu'à nager !
Lien : http://tlivrestarts.over-blo..
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Depuis toujours, j'avais peur de mon histoire. Peur qu'un jour un enfant se présente, peur de l'abandonner aussi vite qu'il serait arrivé, de les abandonner lui et sa mère, sans vergogne, dans un mouvement de répétition, de singerie de mon propre père : merci pour tout, mais une autre vie m'attend ailleurs.
Ton père est parti, m'avait un jour dit ma mère. Quand il a su pour toi, quand je lui ai dit que tu arrivais, il a fait son sac (...).
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Que pouvait bien comprendre un danseur de salsa ou de rock, je me l'étais souvent demandé, et je ne parle même pas des danseurs bretons, que pouvaient-ils comprendre, tous, au tango argentin ? Rien, probablement, rien de plus que ce que je comprenais moi-même de leurs curieux sautillements.
(p. 13)
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J'eus des envies de femme enceinte. J'avais beau être un homme, j'avais des envies de femme enceinte. Ou devrais-je plutôt dire d'homme enceint. Il faudrait voir. Se renseigner auprès de ces messieurs de l'académie française. Bref, des envies que l'on aurait pas sans être dans cet état là, enceint je veux dire, que l'on soit un homme ou une femme.
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Puisque de toute évidence, vous ne l’êtes pas, une femme je veux dire, et qu𠆞nceinte vous l’êtes encore moins, ajouta-t-il en se frottant cette fois-ci le ventre avec la paume de la main, je dirais que vous faites une sorte de couvade, par compassion, par solidarité avec votre épouse, votre inconscient réalise dans votre corps le désir de votre femme.
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Voici le canevas, débrouillez-vous comme vous voudrez : un homme, ça se conjugue au verbe avoir, un homme ça a du cran, ça a des couilles, ça a la force, les biceps, le bagout, la voiture. Une femme, ça se conjugue au verbe être, une femme, c𠆞st joli, c𠆞st soigné, affectueux, sensible, salope. Et enceinte.
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