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Hercule Poirot - Romans tome 30 sur 33

Michel Averlant (Traducteur)
EAN : 9782702429778
315 pages
Le Masque (24/11/1999)
3.54/5   364 notes
Résumé :
- Voyons - dit Poirot - asseyez-vous, détendez-vous et racontez-moi tout.
- Je ne pense pas... Oh ! mon dieu... je ne sais comment... C'est tellement compliqué... j'ai... j'ai changé d'avis... je ne voudrais pas paraître grossière mais , vraiment... je crois que je ferais mieux de partir.
- Allons, courage ?
- Non, c'est impossible! Je pensais que je pourrais vous demander, conseil... mais, c'est impossible, vous comprenez ? C'est tellement diff... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (51) Voir plus Ajouter une critique
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👩‍👩‍Nouvelle enquête d'Hercule Poirot... le VIEUX détective !👩‍👩‍


De bon matin, Hercule savoure son petit déjeuner dans le calme et la quiétude digne de cette activité lorsque George lui annonce la visite d'une jeune femme. Celle-ci, perdue et perturbée refuse de donner son identité et affirme avoir peut-être commis un meurtre avant de s'en aller sous prétexte qu'elle ne pensait pas que le détective était si VIEUX. Notre pauvre Hercule Poirot, désappointé et offusqué décide cependant de prouver à cette jeune idiote qu'il n'est pas encore à la retraite et, mène son enquête afin de découvrir qui elle est, et qui elle aurait tuée...


Cette nouvelle aventure commence de manière plutôt drôle avec Hercule Poirot se complaisant dans sa perfection et l'arrivée tonitruante d'une jeune fille lui assénant qu'il est vieux. Cette entrée en matière décalée amène ensuite sur une enquête complexe où notre détective doit retrouver sa cliente, et le crime. Rapidement aider de Mrs Oliver, l'alter ego d'Agatha Christie dans le roman, nous suivons nos personnages dans leurs investigations.


Côté enquête, dans l'ensemble c'est captivant et sympathique. Certes, certains éléments comme la feuille tombée inopinément du meuble secrétaire lorsque Mrs Oliver passe devant est un peu gros comme indice pour y croire, mais l'enquête se tient. Agatha Christie nous offre ici une pelote énigmatique des plus plaisante. du complexe, du lourd, des rebondissements et au final, la révélation qui sidère le lecteur.

Par contre, soyons honnêtes, les personnages et leurs psychologies ne sont pas la tasse de thé d'Agatha Christie. Pour l'époque cela pouvait peut-être passé de se contenter de personnages fades et vides, voire de stéréotypes, mais aujourd'hui, cet aspect est primordial à un bon roman policier. Ici, le personnage de Norma Restarick donne plutôt envie de la secouer pour la réveiller que de la sauver , David Baker est loin d'être un adonis et j'en passe. Mais bon, on ne touche pas à l'oeuvre culte d'Agatha Christie comme à la recette de mon moelleux au chocolat !!😜


Au final, un bon roman policier qui ne vous laissera pas de glace.😉
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Mais que se passe t-il donc dans la tête de cette jeune femme qui vient troubler Poirot alors qu'il est en train de petitdéjeuner?
Ce ne sont pas des manières, d'autant qu'après avoir déclaré qu'il lui semblait avoir commis un meurtre, en regardant Poirot plus attentivement, elle lui dit qu'il est trop vieux pour l'aider!
Nom d'un petit bonhomme en bois. Poirot trop vieux? Fichtre, faut oser.
Dépité, retourné, baba qu'il est le détective. On le serait à moins, tout du moins lui.
Il court donc s'en entretenir avec son amie, la romancière Ariadne Oliver, qui devant un excellent chocolat chaud et une brioche tout autant, décide de lui donner un coup de main dans la résolution de ce mystère, jeune femme et meurtre également.
Chose peu aisée car les deux acolytes ne partent sinon de rien, de pas grand chose
L'identité de la jeune femme dit plus ou moins quelque chose à la romancière qui, aidée par son relationnel, arrivera à trouver son domicile londonien, qu'elle occupe en co-location avec deux autres filles (ici justificatif du titre : la troisième co-locataire).
Il s'ensuit une enquête autour de cette jeune personne, de ses proches et de ses amis.

Agatha Christie nous dresse avec ce roman assez tardif dans sa production une satyre de la jeunesse anglaise de l'époque, cheveux longs pour les garçons, goûts vestimentaires douteux, vision moderne de cette jeunesse qui s'affiche et s'émancipe, chamboulant pas mal le conformisme de la reine du crime et, ici, de ses personnages récurrents .
L'enquête est croquignolesque à souhaits, drôle mais toujours passionnante due au fait de l'humour britannique de l'auteure certes mais également du rôle de la romancière Miss Oliver dont les changements de tenues et de coiffures sont irrésistiblement contés.
Pour la première fois depuis que je lis cette auteure, le détective Hercule Poirot convie le lecteur à partager ses petites cellules grises, assis et réfléchissant qu'il est dans un fauteuil cubique. J'avoue que ce passage est plus qu'étonnant sur les capacités à raisonner de Poirot et aide le lecteur dans ses propres recherches de la vérité même si au final, ce dernier, passe encore cette fois-ci, à côté de la plaque, comme d'habitude.

Je n'ai pas lu la totalité des ouvrages d'Agatha Christie, loin s'en faut mais je reconnais que, pour ma part, c'est, certainement, celui qui m'a le plus plu.

Je conseille cette lecture.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Nom d'un petit bonhomme, qui ose déranger Hercule Poirot tranquillement assis devant un divin chocolat chaud accompagné d'une succulente petite brioche, douceurs constituant son petit déjeuner ?
Toussotant, son valet, l'impeccable Georges, lui annonce qu'une jeune personne désire une entrevue pour un meurtre qu'il semblerait qu'elle ait commis. Interloqué, Poirot accepte de la recevoir avec sa courtoisie habituelle qui sera récompensée par une surprenante déclaration ainsi formulée « Vous êtes trop vieux. »
Blessé, il trouve réconfort chez son amie romancière Mrs Oliver qui le reçoit avec une énorme tasse de chocolat surmonté de crème Chantilly.
Le duo explosif entre en scène pour découvrir l'identité de cette jeune fille, sa situation familiale et cet appartement londonien qu'elle partage en colocation avec deux autres jeunes femmes. Sur cette scène, un vieil oncle passablement gâteux, une belle-mère haïe, un Paon, un crasseux et une vision moderne d'une jeunesse en pleine évolution et aux goûts vestimentaires douteux.

Face à l'immobilisme de Poirot qui convoque ses petites cellules grises, enfoncé dans son fauteuil cubique, Mrs Oliver déploie son verbiage ininterrompu avec un débit extraordinaire. Elle bricole même ses extravagantes coiffures pour s'essayer à une filature !
Son impétuosité, son dynamisme égayent les pages où dame Agatha répète tout de même souvent les faits de ses personnages. Mais je ne peux lui en tenir rigueur car elle nous tire des ficelles, les laisse en suspens et sait habilement noyer le poisson et sa lectrice avec. Hop, tout le monde dans le même bouillon !

Ce que j'apprécie par-dessus tout dans les petits polars d'Agatha Christie, c'est d'avoir l'impression de chausser de vieilles pantoufles et de revenir à chaque lecture dans un milieu bien connu et réconfortant. Je sais que j'y retrouve des expressions oubliées que je savoure avec ce goût de l'ancien temps, des dialogues francs et parsemés d'humour, l'emphase et les remarquables moustaches du petit belge, ses bonnes manières et ses traditionnelles courbettes.

Alors, est-il trop vieux le meilleur détective de tous les temps ? Il a du mal à tirer un ensemble satisfaisant de cet embrouillamini de faits mais il est de notoriété publique que Poirot désapprouve le meurtre, nom de nom !
Alors c'est en sirotant un sirop de cassis qu'il donne à son auditoire toutes les précisions et, en parfait gentleman, en attribue tous les lauriers à sa chère Ariadne Oliver.
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Le roman démarre sous de bons auspices avec la jeune Norma qui vient consulter Hercule Poirot parce qu'elle pense avoir commis un meurtre mais qui renonce car elle trouve le détective trop... vieux !
C'est non seulement comique mais aussi très mystérieux car elle n'est pas certaine d'avoir tué quelqu'un.

Hélas, le roman ne tient pas ses promesses. L'enquête patine, il ne se passe presque rien, les ficelles sont hyper grosses et Hercule Poirot est étrangement à côté de la plaque.
Certes, le récit reste agréable à lire mais j'ai lu des bouquins d'Agatha Christie bien meilleurs que celui-là.

Heureusement qu'il y a Ariadne Oliver pour relever ce plat un peu fade. Sa candeur et ses réparties insolites font tout le sel de ce roman qui traîne en longueur.

CHALLENGE AGATHA CHRISTIE
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De prime abord, je l'ai trouvée un peu plus épaisse que de coutume cette enquête. Ayant Poirot ET Mrs Oliver, elle avait tout pour me plaire. A cela s'ajoute le détail original : une jeune fille pense avoir commis un meurtre... On retrouve les ingrédients qui font un bon point de départ pour une enquête signée Agatha Christie.
Le détail qui tue : la jeune "coupable" pense Poirot trop vieux! Il n'en faut pas plus pour piquer au vif la vanité de notre détective!

L'intrigue en elle-même recèle l'humour coutumier des enquêtes d'Agatha Christie, en cela possible avec nos deux protagonistes, drôles chacun à sa manière. On y trouve un petit nombre de suspects sur qui peut se porter nos choix.
L'ayant déjà lu, j'avais quelques réminiscences mais sans me rappeler toute l'enquête en elle-même.

Sur le principe, on passe un bon moment, comme avec toutes les intrigues d'Agatha Christie. Pour autant, peut-être l'autrice voulait elle absolument rendre perceptible le piétinement de Poirot. Quoiqu'il en soit des longueurs dans l'enquête sont visibles et m'ont un peu sortie de ma lecture.
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Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
Hercule Poirot était assis devant son petit déjeuner. À portée de sa main se trouvait une tasse de chocolat fumant. Il avait toujours été gourmand. Une brioche accompagnait le chocolat. Il approuva de la tête. Il avait essayé trois établissements avant de pouvoir déguster une bonne brioche et découvert finalement une pâtisserie danoise, infiniment supérieure à celle qui se prétendait française, située non loin de chez lui, et qui, en fait, n’était rien moins qu’une imposture.
Au point de vue gastronomique, il s’estimait satisfait. Son estomac était en paix… Son esprit aussi… peut-être un peu trop. Il avait terminé son « Œuvre maîtresse », une analyse des maîtres du roman policier. Il avait eu la hardiesse de parler d’une manière acerbe d’Edgar Allan Poe, s’était plaint du manque d’ordre et de méthode de Wilkie Collins dans ses effusions romanesques, avait chanté les louanges de deux auteurs américains pratiquement inconnus, en bref, avait rendu hommage à ceux qui le méritaient, et refusé rigoureusement cet honneur à ceux qui, à ses yeux, n’en étaient pas dignes. Il avait personnellement dirigé l’impression du volume, étudié les bonnes feuilles et, sans tenir compte du nombre incroyable de fautes d’impression, déclaré que c’était parfait. Il s’était beaucoup plu à poursuivre cet effort littéraire, à consacrer de longues heures aux lectures nécessaires à sa documentation, à renifler de mépris en jetant un livre loin de lui (n’oubliant pas, cependant, de se lever, de ramasser l’ouvrage indigne et de le placer soigneusement dans la corbeille à papier), à hocher la tête de satisfaction, dans les rares circonstances justifiant une telle approbation. Et maintenant ? Il avait profité d’une agréable détente, indispensable après son effort cérébral. Mais, on ne saurait se reposer éternellement, on a besoin de passer à ce qui suit. Malheureusement, Poirot n’avait aucune idée de ce qui allait suivre. Une nouvelle étude littéraire ? Il ne le pensait pas. Faire une chose bien et ne plus y toucher, c’était là sa maxime. À dire vrai, il s’ennuyait. Toute cette activité intellectuelle assidue à laquelle il s’était consacré… avait trop duré. Il en avait contracté de mauvaises habitudes et particulièrement, une certaine agitation.
Poirot sirota une nouvelle gorgée de chocolat.
La porte s’ouvrit. George, son domestique si parfaitement stylé, entra. Il affichait une attitude respectueuse, teintée d’admiration.
Il toussa puis, murmura :
— Une, il hésita, une jeune personne s’est présentée.
Poirot le regarda avec une surprise irritée.
— Je ne reçois pas à cette heure, remarqua-t-il d’un ton de reproche.
— Non, Monsieur, approuva George.
Le maître et le domestique se regardèrent. Il leur était parfois difficile de communiquer entre eux. Par une inflexion de voix ou une légère insinuation ou bien encore le choix d’un mot, George essayait de faire entendre que quelque chose pourrait être tiré au clair si la bonne question lui était posée. Poirot réfléchit à ce que pourrait être la bonne question dans le cas présent.
— Elle est jolie, cette jeune personne ? s’enquit-il prudemment.
— À mon avis… non, Monsieur, mais des goûts et des couleurs, on ne discute pas.
Poirot médita sur cette réponse. Il se souvint de la légère hésitation qu’avait eue George avant de prononcer « Jeune personne ». Le domestique jugeait la société avec délicatesse.
N’ayant pu déterminer à quel rang la visiteuse appartenait, il lui avait cependant accordé le bénéfice du doute.
— Dirons-nous, George, que nous avons affaire à une demoiselle plutôt qu’à une jeune personne ?
— Oui, Monsieur, bien que ce ne soit pas toujours facile à déterminer de nos jours.
Il s’exprimait avec un sincère regret dans la voix.
— A-t-elle donné la raison la poussant à souhaiter me voir ?
— Elle a dit – George articula les mots avec une certaine répugnance, s’excusant ainsi par avance de devoir les prononcer – … qu’elle voulait vous consulter à propos d’un crime qu’elle aurait pu commettre.
Hercule Poirot ouvrit de grands yeux.
— Pu commettre ? Ne le sait-elle pas ?
— C’est ce qu’elle dit, Monsieur.
— Peu convaincant mais peut-être intéressant.
— Il pourrait s’agir… d’une plaisanterie, Monsieur, avança George, fort réticent.
— Tout est possible, concéda Poirot, Toutefois, il est difficile d’admettre… Il leva sa tasse.
Faites-la venir dans cinq minutes.
Il avala la dernière gorgée de chocolat, repoussa la tasse et, se levant, marcha jusqu’à la cheminée où il lissa ses moustaches avec précaution dans le miroir placé au-dessus du manteau. Satisfait, il retourna à son fauteuil pour accueillir sa visiteuse. Il ne savait pas très bien ce qui l’attendait…
Peut-être espérait-il quelque chose se rapprochant...
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- Qui a parlé de vous à cette fille, Mr Poirot ?
- Autant que je sache, personne. Elle a forcément entendu parler de moi.
Mrs Oliver pensa que ce « forcément » manquait de modestie. Poirot se croyait universellement connu. En vérité, nombreux seraient ceux qui ne comprendraient rien à votre discours, si vous faisiez allusion à Hercule Poirot, plus particulièrement dans la jeune génération. « Mais, comment lui faire admettre ça, se demandait Mrs Oliver, sans le vexer ? » Elle s’y risqua avec prudence.
- Je crois que vous vous trompez, mon ami. Les jeunes filles… et les jeunes gens actuels, ne savent pas grand-chose des détectives et de ce qui les concerne. Ils n’en entendent pas parler autour d’eux.
- Tout le monde doit avoir entendu parler d’Hercule Poirot ! protesta le petit détective.
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C’est ainsi que les jeunes filles aiment à vivre, à présent. C’est mieux qu’une pension de famille. La première loue l’appartement meublé et se dispose à en partager le loyer. La seconde est habituellement une de ses amies. Ensemble, si elles ne connaissent personne, elles en trouvent une troisième par les petites annonces. Et comme vous le voyez, très souvent, elles arrivent à caser une quatrième locataire dans l’appartement. La première garde la meilleure pièce, la seconde paie un loyer moins élevé, la troisième presque rien mais niche dans une alcôve. Elles décident entre elles, laquelle aura la jouissance du logement, une soirée par semaine… Ce système marche généralement assez bien.
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— [ … ] Et comment avez-vous su qui j’étais, si je puis me permettre ? Qu’est-ce qui vous a fait me reconnaître ?
— Vos moustaches, répondit aussitôt Norma. On ne peut les confondre avec nulles autres.
Flatté par la remarque, il les lissa avec un orgueil et une volupté que lui seul également était capable de manifester en de telles occasions :
— Oh ! non, c’est bien vrai. Non, on ne voit guère de moustaches aussi splendides que les miennes. Elles sont magnifiques, n’est-ce pas ?
— Oui… euh… enfin, j’imagine que oui.
— Ah ! sans doute n’êtes-vous pas très ferrée dans le domaine de la moustache, mais je peux vous affirmer, miss Restarick — miss Norma Restarick, n’est-il pas vrai ? — que les miennes sont en tous points remarquables.
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[...]Les vieux – vous ne devez pas l’oublier – s’ils sont tenus pour incapables d’agir, ont cependant une grande expérience de laquelle on peut utilement tirer partie.
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