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sur 4417 notes
Raphaël de Valentin, un jeune homme ruiné, souhaite mettre fin à ses jours. Désespéré, il entre dans la boutique d'un vieux marchand. Ce dernier possède une peau qui exauce les désirs de son détenteur. Raphaël, dans l'impasse de la pauvreté, n'écoute pas les mises en garde du vieillard sur la nocivité de l'objet fabuleux, et emporte la peau de chagrin.

J'ai bien aimé. Ce livre nous fait réfléchir sur les thèmes assez classiques et récurrents chez les auteurs du XIXe siècle : l'argent et l'amour. Mais au-delà de ces deux thématiques, l'ouvrage nous offre également une réflexion intéressante sur la manière d'appréhender notre mort. En effet, à plusieurs reprises, le personnage est confronté à l'effroyable question de sa propre fin. Jeune, il croit d'abord à sa longévité mais la Faucheuse s'impose à lui dans le roman, sous différentes formes : lente et pénible agonie, suicide désespéré, anéantissement dans la débauche et les drogues.
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Je n'ai pas foncé sur du Balzac par plaisir, mais plutôt car j'en avais besoin pour mes cours, et vu la réputation qu'on m'a faite du livre, je n'y allais pas avec envie, mais…
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On entre dans le livre, Raphaël de Valentin est un homme désargenté qui vient de perdre son dernier sou et aspire à se jeter dans la Seine.
Mais bon, il ne fait pas encore assez nuit, voyez-vous donc, il décide d'aller jeter un oeil chez l'antiquaire. Et, la fameuse description de la boutique de l'antiquaire, qu'on m'a vendu comme interminable (20 pages en même temps !), est passée toute seule. Si vous voulez vous y mettre, je vous donne mon astuce : je me suis imaginé une pièce vide que je remplissais au fur et à mesure, et grâce à ce petit jeu, je ne me suis pas ennuyée :). Bref, Raphaël y trouve une peau de chagrin, capable d'exaucer n'importe lequel de ses voeux. Mais à chaque souhait, elle se réduit, et la mort de son propriétaire se rapproche…
Raphaël n'y croit pas, mais essaie un premier voeu : un banquet fastueux. Et… c'est ce qu'il se passe ensuite. Cette scène « du banquet » est plutôt contestée pour sa longueur à l'époque de la parution de l'ouvrage. Pour ma part, je me suis juste un peu perdue entre les références aux gens de l'époque et au contexte historique. Il faut donc vraiment être calé en histoire du XIXᵉ/ XXᵉ siècle (et la politique à l'époque n'est vraiment pas évidente) pour être bien dedans, mais sinon, ça se lit toujours ;).
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J'avoue, après, j'ai commencé à un peu m'ennuyer : la partie « La Femme sans coeur », qui est en réalité un monologue de Raphaël où il fait une rétrospective sur toute sa vie à son ami, est plutôt longue. Sa vie d'avant est contrastée entre sa jeunesse, plongée dans l'étude (énergie créatrice) puis la débauche qu'il entreprend avec son ami Rastignac (énergie destructrice). Il rencontre alors deux femmes : Pauline, belle, mais… pauvre, fille de la femme à qui Raphaël loue sa chambre et Foedora, riche, séduisante, mais qui ne compte offrir son coeur à personne. Foedora est une femme très importante dans l'histoire. Elle est aussi un miroir de la société, se montrant toujours éclatante mais… sans coeur. Bon en revanche, le regard porté sur les femmes... il est important de se remettre dans le contexte de l'époque, on va dire…
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Lorsqu'on retrouve l'histoire en elle-même, dans la troisième et dernière partie « L'Agonie », Raphaël fait le voeu de devenir éminemment riche, voeu aussitôt exaucé. Mais quand il voit la peau se réduire, il décide de redevenir sage, s'achète un incroyable hôtel particulier et vit une vie monotone et redondante, presque cloitré.
Sauf que bon, ce serait trop facile si on s'arrêtait là… L'ancien précepteur de Raphaël (lui est d'ailleurs devenu marquis de Valentin), lui rend visite et, par politesse, Raphaël lui souhaite le succès… Aie. Deuxième événement, il sort à l'Opéra un soir et y croise Pauline. Celle-ci est devenue riche… et les deux jeunes gens décident de se revoir. Ensuite, par colère, Raphaël va jeter la peau dans un puits et, s'en croyant débarrassé, vit une vie passionnée avec Pauline. Mais un jour, la peau resurgit, grandement diminuée… Il décide alors de quitter Pauline, et d'aller voir les scientifiques afin de comprendre le pouvoir de la peau… les scientifiques sont démunis. Même la science la plus pointue ne peut rien contre ce talisman. La notion d'irréel où le fantastique côtoie le réalisme est ici très présente. Finalement, Raphaël commence à tomber malade. Il va consulter des médecins ; encore une fois, ils n'y peuvent rien, mais lui conseille une cure dans les bains des montagnes. Finalement, il ne trouve là-bas que des gens n'ayant aucune pitié. Il va végéter quelques jours chez des paysans avant de retourner à Paris. Là, il retrouve Pauline, lui explique le pouvoir de la peau (alors pas plus grande qu'une « feuille de pervenche »). Quand elle comprend que c'est elle qui va le tuer, par les désirs qu'elle provoque chez lui, elle tente de se suicider, mais c'est trop tard… Une fin digne des héros romantiques dans un roman fantastique d'un auteur chef de fil des réalistes…
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Le dilemme entre vie intense, mais éphémère ou longue, mais monotone, est présent, cependant pas beaucoup intellectualisé comme je m'y attendais… Finalement, ce sont plus les thèmes de l'Énergie (créatrice, destructrice) qui sont réfléchis et mis en scène.
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Je n'ai pas l'habitude de lire une écriture aussi travaillée, aussi détaillée, mais il est incontestable que c'est très très bien écrit… C'est vrai, la plume est chargée, mais le résultat est impressionnant ! Cependant, il faut de la patience pour observer et apprécier tous les détails :)
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Bref, certes, c'est lourd et long à lire, mais ça vaut le détour !
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"La peau de chagrin ", c'est le thème éternel de l'homme prêt à tout pour vivre riche et heureux.

On le trouve d'abord dans "L'étrange histoire de Peter Schlemihl " de von Chamisso (1813) : Peter Schlemihl a vendu son "ombre" au diable qui n'a de cesse de lui voler son âme, après avoir vécu l'opprobre de ceux qui méprisent la "différence" essaye en vain de la récupérer, chez Faust (1802 , puis 1832) " parabole de l'Humanité souffrante, tiraillée entre pensée et action. "
On peut aussi ajouter à cette liste "Le portrait de Dorian Gray"(1890), dans lequel le héros vit éternellement beau et jeune tandis que son portrait révèle la noirceur de son âme. Plus tard Boulgakov abordera le sujet dans le Maître et Marguerite. (1928/1936)

La peau de Chagrin, publié en 1831 a donc trait à un sujet contemporain. Plus communément de nos jours, l'industrie des cosmétiques et la chirurgie esthétique tentent de vendre une prolongation de la jeunesse, rêve de l'être humain, aussi fort que celui de voler.

Il semblerait que ce roman soit considéré comme le premier roman dans lequel Balzac montre sa valeur. Il est peut-être dommage qu'il se soit cantonné par la suite à la "Comédie humaine".

Je ne sais...
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Lu au lycée, ce roman m'avait beaucoup marquée. Je me souviens l'avoir très vite lu, captivée par l'ambiance, et par l'issue inéluctable.

C'est l'une des oeuvres qui m'ont ouverte au fantastique
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J'ai tout aimé dans ce livre !! Je retrouve tout ce que j'aime dans les classiques... L'histoire fantastique sert de prétexte ... C'est mon premier Balzac mais certainement pas le dernier ! Je suis tombée amoureuse de sa plume ... ça c'est fait ! Il ne me reste plus qu'à découvrir d'autres oeuvres de cet auteur !
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Par un hasard étonnant, je n'avais jamais lu La Peau de Chagrin. A mon âge (que vous ne connaissez pas) n'est-ce pas une honte ? Bref, j'ai voulu remédier à cette lacune quand j'ai exhumé de ma bibliothèque une vieille édition de 1936.

Je ne crois pas que l'édition y soit pour quelque chose, car il est douteux que l'on change la pagination d'un auteur, mais j'ai été surpris par la longueur des paragraphes (plusieurs pages parfois) qui donne l'impression de lire un texte sous apnée. Nul moment, ou très rarement, pour reprendre sa respiration et souffler avant de repartir. Il faut avancer comme dans une dense forêt, se frayer un chemin à la machette et la tenir bien en main sous peine d'abandonner. La structure du roman est du reste à l'avenant : 3 chapitres pour 254 pages (pour cette édition).

Même chose pour les dialogues, en particulier dans le second chapitre qui n'est qu'un long monologue du héros, à peine interrompu ici et là par de courtes interventions de ceux qui l'écoutent raconter sa vie, parfois sur cinq ou six pages en continue. Seul le troisième et dernier chapitre est plus aéré.

Et je dois l'avouer, moi qui aime l'aération, l'épure et la simplicité (raison pour laquelle je n'ai jamais vraiment accroché avec les auteurs russes), ce fut dur au début. J'ai même cru (oserais-je l'avouer ?) que j'allais abandonner. Mais il y a un fil que l'on tient malgré tout, et que l'on ne veut pas lâcher. L'art du romancier y est certainement pour beaucoup.
Le style est étonnant, certes. Foisonnant à l'extrême, exubérant, grandiloquent, bourré de références littéraires, mythologiques, sociales et politiques, avec des phrases parfois interminables structurées en multiples niveaux, il dégage une vitalité et une ardeur peu commune. Un peu trop pour moi (pour être très franc). Mais impressionnant.

Comme j'avais relu il y a peu madame Bovary et très impressionné par le style de Flaubert, je lui avoue une préférence pour sa plus grande délicatesse, sa plus grande discrétion et sa plus grande subtilité. Mais ce Balzac, nom d'un chien, emporte tout sur son passage comme un ouragan, c'est sa force.

Et de quoi s'agit-il donc dans cette peau de Chagrin ? Une aventure bien étrange à la frontière du fantastique, plutôt une sorte de conte philosophique qu'un roman, où sont brassés pêle-mêle des thèmes universels, dont celui du désir qui brûle l'âme et la dévore jusqu'à la mort. Vaut-il mieux vivre rétréci, sans affect, dans un calme plat ennuyeux, ou se vautrer dans la société jusqu'à l'avilissement pour arracher des parcelles de vie, de plaisir et de richesse ?
Feodora répond à la question à sa manière. Elle est froide, dure, implacable, impénétrable, manipulatrice, insensible, mais surtout finalement horriblement superficielle, toute en façade, seulement préoccupée par sa seule image. Elle est un reflet cruel de la société qui l'entoure où tout est factice. Elle ne désire rien ni personne, seule sa place l'intéresse.
Pauline est pure, vraie et sincère, et son désir lui paraît si inaccessible qu'elle ne le revendique même pas. Elle vit sans Peau de chagrin, dans une attente modeste et discrète. Son bonheur lui revient trop tard quand Raphael aura été diaboliquement perverti par la recherche de ses chimères. Car sa quête perpétuelle de l'inaccessible, son âpreté dans le désir le détruit peu à peu, et son échec puis finalement sa chute vient d'une réussite imméritée, où ni le travail ni le mérite ni la sincérité n'a eu de part.
Il ne mérite pas ce qu'il désire et aperçoit trop tard celle qui lui était destinée (Pauline), le véritable amour, si proche et si simple en vérité, mais dédaignée au moment où tout était en encore possible. le temps ne se rattrape pas, il rétrécit comme une Peau de chagrin et nous entraine vers notre propre disparition.
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Raphaël de Valentin est au bord du gouffre. N'ayant plus un sou, il songe au suicide lorsqu'un jour, chez un vieil antiquaire, il découvre un étrange parchemin. le vieil homme lui explique alors qu'il s'agit d'une « peau de chagrin », capable d'accomplir le moindre de ses désirs. Mais ce pouvoir d'exaucer les voeux ne se fait pas sans contrepartie pour son propriétaire : « Si tu me possèdes, tu posséderas tout, mais ta vie m'appartiendra ». En effet, à mesure que Raphaël exprimera un voeu, la peau de chagrin diminuera, à l'image de la durée de sa vie. le jeune homme, désespéré, ne prend guère en compte les avertissements de l'antiquaire et accepte ce pacte diabolique qui pour lui, lui donne accès au monde des nantis…

Ce conte fantastique, qui rappelle l'histoire de Faust, montre le conflit entre le désir et la vie elle-même. Raphaël est conscient que sa vie diminue à chaque souhait formulé. Pour autant, il ne peut réfréner ses désirs et n'a pas assez de volonté face à la possibilité d'accomplir tous ses rêves. Balzac montre ainsi le dilemme qui s'impose à tout être humain : vaut-il mieux vivre une vie courte dans l'abondance et le plaisir ou bien une vie longue dans la privation et le combat. Telle est la question qui fait le noeud de l'intrigue. D'autre part, comme il aime à le faire, Balzac dresse un tableau de la haute société du 19e siècle pour qui l'apparence et l'argent sont primordiaux.
Voici un très bon classique qui, par son intrigue, se laisse lire avec bonheur.
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J'ai relu ce livre que j'avais découvert durant mes études de lettres. Cette fois-ci c'est dans le cadre du changement d'oeuvres au programme pour les 1ères dans l'objet d'étude du roman. J'avais le choix entre "Manon Lescaut" de l'abbé Prévost (choix abandonné tout de suite), "Sido" et "Les vrilles de la vigne" de Colette (choix du coeur) et "La peau de chagrin" (choix stratégique étant donné mes élèves).
Pour être bien sûr de mon choix j'ai effectué cette relecture et au final je ne suis pas déçu ! Tout y est : du réalisme, un peu de romantisme et du fantastique. Bien sûr, les descriptions sont parfois longues mais c'est une caractéristique De Balzac.
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Luxe et luxure auront notre peau : quel chagrin !
Et les sentiments les plus beaux n'y peuvent rien.
L'envie qui rôde et ronge détruit le souverain bien :
Ce bonheur qui loge au coeur de l'être humain.
Qui ferait par l'amour tisser un souverain lien
Nous connaître en égaux, en amant, en frères, en voisins,
Reste un horizon trop haut, tel sera le destin
D'une espèce que les feux de la renommée a éteint
En son âme les vertus, et pousse ses deux mains
A ne vouloir que l'or… C'est vivre pour rien.
Raphaël porte nom d'ange, mais chutera sans fin
Il a même nom d'empereur, d'amour : Valentin.
Mais succombe encore, au vice, aux catins.
Pauline, elle, est parfaite, lui sacrifierait main
Bras, tête, et même avec entrain
Pour celui qu'elle adore et qui ne la voit point
Tout occupé de lui comme tous ceux qui sans fin
Ne sont que pour paraître et mangent sans faim,
Jamais rassasiés car jamais n'ont atteint
Les limites d'envies qui puisent toujours plus loin.
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De tous les romans de Honoré de Balzac que j'ai lus et aimés, " La Peau de Chagrin" est l'un de ceux qui marque . Je viens de le refermer, après une troisième lecture et j'en suis encore captive.
Le roman s'ouvre sur une maison de jeu dans laquelle jouent et se perdent d'inquiétants joueurs aux mines maladives, des habitués rusés, un public assoiffé du désespoir des perdants. Raphaël de Valentin, pâle archange un peu faible, entre et joue son dernier argent. Il perd... et décide qu'il est temps de mourir. Il se jettera dans la Seine, mais avant il déambule dans un Paris crépusculaire et froid. Pour se réchauffer une dernière fois, il entre dans la boutique d'un antiquaire qui recèle de multiples merveilles, vestiges d'anciennes civilisations ou de contrées exotiques, chères aux romantiques. L'antiquaire, homme mystérieux mas qui deviendra finalement très humain plus tard dans le roman, vend à Raphaël une peau de chagrin. Objet magique, inquiétant, elle a le pouvoir de réaliser tous les voeux de son propriétaire mais à chaque souhait exaucé, elle réduit et ajourne la vie de celui qui la possède... Ainsi commence "La Peau de Chagrin", par un jeune homme désespéré et un pacte qui n'est pas sans évoquer Faust.
Le roman se divise en trois parties: la première court de la maison de jeu à une ahurissante soirée, fruit de la peau. La seconde constitue un récit de Raphaël lui-même qui explique à un ami ce que fut son enfance et sa jeunesse. La troisième, elle, moins resserrée, narre la suite du destin de Raphaël.
Ce que le roman a de particulier est avant tout ce mélange de réalisme et de fantastique qui le nimbe. Balzac peint la société des années 1830 avec une finesse et une acuité dont il ne se dépare jamais: les conversations des convives du dîner, les avancées scientifiques et les théories... On y trouve même les traces des soubresauts politiques de l'époque. Pourtant, au coeur de ce tableau qui rappelle parfois "Le Père Goriot", il y a cette peau inquiétante qui réalise les voeux, que rien ne peut détruire (ni la chimie, ni la physique, ni la mécanique). Même dans la réalisation des plaisirs, des désirs, elle n'a rien d'une magie bienfaisante, rassurante. Non, elle agit avec une profusion malaisante, étouffante... Raphael lui-même ne s'y trompe pas.
Autre point fort du roman: ses personnages. le marquis de Valentin est complexe: j'ai souvent envie de le secouer tant il est mol, pleurnichard, naïf. Il est pourtant désarmant de pureté et la folie qui l'étreint à la fin du roman le rend digne d'un personnage de Byron et lui confère une belle épaisseur. Les personnages féminins sont moins complexes mais cohérents, bien construits: la douce Pauline bien sûr mais aussi et surtout Feodora (suis-je la seule qui aimerait en savoir plus sur elle? Son passé? Son avenir?). Rastignac est également de la partie, différent de ce qu'il sera par la suite, mais toujours extrêmement vivant, combatif. A titre personnel, j'ai un faible pour le père de Raphaël qu'on vit peu mais qui me touche beaucoup pourtant...
Enfin, un mot de la langue De Balzac, riche, opulente, chatoyante. Une langue toute romantique finalement, au service d'un intrigue troublante et des questionnements philosophiques qui lui étaient chers: peut-on tout posséder? Peut-on être heureux quand on a tout? Peut-on vivre vraiment? Pouvoir ou vouloir?
Un roman complexe, profond et très beau. Un grand Balzac... même s'il ne me bouleverse pas autant que "Illusions Perdues"...
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