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sur 1599 notes
Après nous avoir fait vivre l'effondrement de notre civilisation dans ravages, Barjavel nous invite à un voyage dans le temps.
Tout commence dans un bataillon pyrénéen au sein duquel Pierre Saint Menoux, professeur de mathématiques, a été mobilisé.
Alors que son unité est prise dans la débâcle des armées françaises, Saint Menoux rencontre Noël Essaillon, un savant fantasque et sa fille Annette.
Débutent alors progressivement des incursions dans le futur et dans le passé immédiats qui permettent à Pierre de constater l'efficacité de la noëlite, substance qui permet de se mouvoir sans dommage dans les arcanes du temps.
Devant le succès de ces courts voyages, le narrateur s'enhardit et pousse de plus en plus loin ses voyages, puis il découvre qu'il est possible d'agir sur ce qui s'est passé et sur ce qui se passera, ou pas.
Cette découverte le pousse à des actions de plus en plus audacieuses, mais aussi de plus en plus risquées, le tout jusqu'à un dénouement aussi haletant qu'inattendu.
Le récit est enlevé, l'univers est réaliste et la lecture est fluide.
Comme dans Ravages, on retrouve ici une image de la femme pour le moins discutable, mais ce roman date d'une époque révolue.
Une aventure qui permet de partager un voyage que chacun souhaiterait entreprendre un jour.
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Petit dimanche tranquillos à la maison... ménage, préparation des lunchs.... et un coup de coeur ! Commencé hier soir avant le dodo, je viens tout juste de le finir.. c'est que ça se lit bien comme bouquin. Une écriture fluide et de très courts chapitres, une histoire passionnante (qui n'a jamais rêvé d'inventer une machine à voyager dans le temps?), des personnages sympathiques et voilà... les pages se tournent, captivé, à en oublier le linge dans la machine. L'auteur fait référence à Ravage dans cet ouvrage, livre que je n'ai pas encore lu, du coup, ça donne vachement envie de le lire. D'autant plus que l'endroit dans le bouquin où il en fait référence est un Paris dévasté par un événement dont on ne connaît pas vraiment la teneur. Une terre désolée, rasée de tous les bâtiments, avec des quelques survivants par-ci, par-là... Comme j'ai bien les dystopies, ça titille vraiment ma curiosité. Bref, un bon dimanche, en très bonne compagnie, c'était un bouquin parfait pour le genre de journée que j'avais envie de passer.
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Le rêve de l'homme ; une machine à explorer le temps.
Forcément, si une telle machine existait, les abus seraient nombreux et dévastateurs. C'est ce qui arrive à ce voyageur imprudent… Modifier le destin de l'individu en y apportant quelques modifications, c'est tentant, mais quelles en seront les conséquences sur le cours du temps, ne risque –t-on pas, par malchance ou par inattention, d'effacer sa propre vie ?

Explorer le futur semble fantastique, sauf si ce qu'on y découvre ressemble à la vision horrible que nous en fait Barjavel. Un monde complètement inhumain, froid et effroyable. Une société faite d'hommes assignés à une tâche unique, dépourvus d'individualité, de sensibilité, du pouvoir de la pensée…

La quête du bonheur pour tous, d'un monde paisible est-elle possible ? N'existe-t-il pas une fatalité, un destin inexorable, vers lequel l'humanité se rue. Les périodes de paix ne sont que des répits, l'homme oublie à chaque fois les enseignements de l'histoire. L'histoire n'est-elle pas un éternel recommencement ?

Bon roman, même si je n'ai pas du tout aimé sa vision du monde de demain !
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Alors que le soldat Pierre Saint-Menoux, mathématicien dans la vraie vie, s'engourdit à la campagne dans la neige froide de l'hiver 1940, une jeune fille dans une lumière chaude apparaît. Saint-Menoux se retrouve dans un salon en face d'un homme obèse nommé Essaillon qui se prétend physicien et a réussi à voyager dans le temps grâce à des pilules de son invention mais qui n'auraient pu voir le jour sans un article du théoricien. Après une brève démonstration, Essaillon lui propose de voyager dans le temps pour étudier l'avenir et aider l'être humain. La proposition est alléchante...

Impossible de ne pas faire le lien avec La Machine à explorer le temps de H. G. Wells. Mais là où l'Anglais est très factuel et critique la finitude de l'Homme sans forcément mettre le mot exact sur les choses, Barjavel rentre plus dans l'émotion des personnages et quelques questions philosophico-éthiques, ce qui n'est pas non plus pour déplaire.
Néanmoins, la construction en trois parties rend le récit inégal, avec de l'action et du suspense en ouverture, un rapport scientifique long et désarmant en plat principal et une désillusion à plusieurs niveaux en dessert. C'est cette deuxième partie qui est d'un certain côté décevante avec la présentation de la race humaine (ou du moins ce qu'elle est devenue après cataclysmes) en l'an 100 000 qui a "évolué" en société hiérarchisée aussi bien structurée que celle d'une ruche, avec des entités vivant uniquement pour accomplir la tâche qui leur a été incombée pour faire fonctionner la machine humaine globale, avec disparition complète de toute personnalité, de notion de plaisir, voire même d'existence. Barjavel nous présente un monde dans lequel l'Homme a survécu mais au prix de transformations qui n'ont rien d'alléchant. Pas une seule fois pourtant soulève-t-il cette question de comparaison avec des civilisations passées qui ont pu fonctionner plus ou moins sur ce modèle.
L'auteur insiste toutefois justement et à plusieurs reprises sur des points essentiels que soulèvent les voyages dans le temps, comme le paradoxe du grand-père ou l'effet papillon. Barjavel interroge également sur l'incapacité de l'être humain à ne pas faire de mal, à ne pas se faire la guerre ou à ne pas utiliser la violence pour régler les conflits ; tout comme il rappelle grâce à "l'imprudence" de Saint-Menoux que l'Homme est et sera toujours animé par les mêmes travers et attiré par les mêmes faiblesses engendrées par l'avènement de la civilisation (comme la richesse et le pouvoir), ce qui est d'autant plus ironique que le scientifique qui souhaitait aider l'espèce humaine finit lui-même par commettre un vol, et carrément à renoncer à aider les autres tout en se convainquant de l'importance de s'aider lui-même. C'est beau quand même.
Même si tous les codes de base de la science-fiction se retrouvent de manière légitime dans cet ouvrage, le récit souffre quand même de défauts, surtout dus au retour impromptu de la religion et de l'impact de Dieu sur le devenir des humains (ces constants rappels ramènent de suite le lecteur dans la réalité hors de la fiction établie et cassent complètement le contexte). On pourrait pour cela blâmer l'époque d'écriture, qui situe le roman dans les années 40 alors que la France est encore très catholique pratiquante et se pose peu ou pas la question de la véracité ou non de l'existence de Dieu. Toujours est-il que ce retour à la "volonté de Dieu" pour expliquer les choses est fatigant et ne devrait pas avoir sa place dans un récit de science-fiction (quand bien même il n'était pas reconnu comme faisant partie de ce genre très balbutiant en France au temps précité).
Là où l'époque peut aussi expliquer certains tics d'écriture (enfin on l'espère...), c'est quand le sexisme et le machisme banalisés pointent insidieusement leur nez. On a des exemples monstrueux de la pensée masculine de l'époque qui positionne la femme derrière les fourneaux, avec entre autres l'unique personnage féminin, la jeune Annette, décrite comme une amoureuse éperdue qui n'attend que son homme, nurse délicate, aide son père savant mais ne prend pas part aux expériences (elle sauvera pourtant son bien-aimé d'une tragédie temporelle, mais le récit ne s'attardera malheureusement pas du tout sur cet acte héroïque), ne pense qu'au bonheur et au mariage, est dépeinte constamment dans une lumière calme et apporte apaisement au mathématicien qui lui s'éreinte à découvrir l'avenir et travaille pour la science et l'humanité tout entière (rien que ça). Sans compter ces magnifiques passages, quand Saint-Menoux cherche à découvrir dans l'avenir à quoi ressemblent les femmes et se colle des images "référentielles" pour mieux les trouver : N'existait-elle plus ? le monde était-il redevenu le Paradis sans Eve ? Je ne pouvais le croire. Je suis reparti dix fois exprès pour la trouver. J'avais tapissé le laboratoire de photographies de femmes occupées aux taches qui leur sont propres : le ménage, la cuisine, les soins des enfants. Je m'en emplissais les yeux avant de partir. (p137 édition de poche) ; ou quand Essaillon, le physicien obèse présenté pourtant comme un esprit vif et bienveillant, coupe en l'an 100 000 la tête d'une entité reproductive femelle et qui a pour seule et unique réaction quand il constate que cela ne fait ni chaud ni froid à cette dernière : Je n'en suis pas tellement étonné ! [...] Déjà de notre temps, la tête était bien la partie de leurs corps dont les femmes avaient le moins besoin pour vivre ! (p159) Rien n'étant fait pour suggérer l'ironie ou le cynisme voire dénoncer de tels propos, il n'y a aucune raison de douter de la misogynie de l'auteur (pourtant certainement non considérée comme telle à l'époque).
Si on veut toucher à la racine de la science-fiction (française et autre), on ne peut échapper à Barjavel. Maintenant comme avec d'autres auteurs avant lui (je pense par exemple à Jules Verne, qui dans ses récits d'anticipation incroyables n'oublie pourtant pas de glisser la pensée esclavagiste, coloniale et raciste de son siècle), il faut être conscient qu'en les lisant on va potentiellement se retrouver confrontés à des pensées obsolètes et régressives qui font mal à nos p'tits culs modernes (m'enfin, vu ce qui se promène encore dans la population mondiale actuellement, y a pas de quoi se réjouir de notre époque non plus). J'ai apprécié l'ouvrage à sa juste valeur, seulement le genre a pris son envol depuis des décennies déjà et offre désormais quelques pépites un peu mieux faites et plus complexes.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Réné Barjavel une valeur sure. Un bon Barjavel même si je suis passée à côté de cette lecture. La science-fiction et moi, ce n'est pas souvent mon dada. J'ai dû mal avec les récits sur les voyages dans le temps. Trop souvent à coté de la plaque. Bon ça n'a pas loupé encore une fois. J'aurais pu passer à côté du message véhiculé par l'auteur mais heureusement qu'il sait rester simple.
Un héros qui cherche des réponses dans le passé et le futur. Une quête insensée. Quel peut-être le résultat final ? Tout le monde peut-il sortir indemne ?
J'ai passé un moment parfois chaotique car j'étais incapable de me visualiser les voyages futurs. J'ai eu beaucoup de mal à tout capter. Mais j'ai quand même passé un bon moment car je n'ai pas eu l'impression de perdre mon temps.
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Pierre Saint-Menoux, un jeune mathématicien, est contacté par un autre scientifique, Noël Essaillon, qui réclame son aide pour mettre au point un produit permettant de voyager dans le temps. La substance leur permet d'observer un futur de plus en plus lointain. Dans son dernier voyage, Pierre observe une humanité qui a dominé entièrement la surface du globe et qui s'est spécialisée à la manière des insectes.

L'idée vient ensuite aux deux hommes d'aller dans le passé, afin de supprimer les causes des grandes catastrophes qui ont frappé l'humanité. Et là, les ennuis commencent. Après une manoeuvre malheureuse, Pierre se retrouve «pris au piège» dans un paradoxe temporel.

Une livre assez court sur un thème classique de la science-fiction, le voyage dans le temps et les effets catastrophiques qui peuvent se retourner contre celui qui prétendait changer la face du monde.
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« le voyageur imprudent », deuxième volet des "Romans Extraordinaires" de René Barjavel. Il s'agit là d'une « uchronie » plutôt bien ficelée.
Certes, le genre n'est pas nouveau et Wells - pour ne citer que le plus connu - avec « La machine à explorer le temps » avait ouvert la voie du voyage dans le temps avec quelques autres à la fin du siècle précédent.

La filiation du « Voyageur imprudent » avec « La machine à remonter le temps » est quasi évidente et clairement assumée par Barjavel. Malgré tout, l'art de Barjavel aura été d'élargir le propos : puisqu'on peu voyager dans l'avenir, pourquoi ne pas voyager également dans le passé…et pourquoi ne pas tenter de modifier quelque peu celui-ci afin d'éviter à l'Histoire de l'humanité quelques convulsions dévastatrices dont elle a le secret ?

L'histoire commence par la rencontre de Pierre Saint-Menoux, un mathématicien mobilisé dans les chasseurs pyrénéens au début de la seconde guerre mondiale, et le savant Noël Essaillon, le scientifique qui supervise les explorations dans le futur.
Elle se poursuivra par une visite dans le passé et la tentation par le couple Saint-Menoux/ Essaillon de modifier celui-ci afin « d'éviter à tous quelques grands malheurs collectifs ». Saint-Menoux fera donc le déplacement à la veille du 16 septembre 1793, au moment du siège de Toulon mis en place par Bonaparte Bonaparte qui n'est alors qu'un simple officier de l'armée révolutionnaire.
Le tuer à ce moment là évitera-t-il les développements historiques futurs vers Napoléon Bonaparte et l'Empire ? C'est justement pour le savoir que Saint-Menoux est venu l'abattre… C'est compter sans la présence sur les lieux de Durdat, grand père de l'imprudent voyageur.

C'est par ce « roman extraordinaire » que je suis entré à quinze ans dans le monde tel que le voyage spatio-temporel nous permet de l'imaginer, voire de le modifier ; et je reste un inconditionnel du genre…
L' « uchronie » : un exercice difficile dont Barjavel nous offre ici une illustration saisissante.
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Pendant la seconde guerre mondiale, le 27e bataillon de chasseurs pyrénéens occupe depuis deux mois le petit village lorrain de Vanesse. le caporal Pierre Saint-Menoux, prof de maths dans le civil, se trouve responsable des dix-sept conducteurs de la compagnie de mitrailleurs, des chevaux et des voitures, sans oublier la popote et toute l'intendance. Il a l'ordre de lever le camp, ce qui ne se réalise pas sans peine avec les hommes peu motivés qu'il a sous ses ordres comme le chiffonnier Crédent ou le tourneur Pilastre. En chemin, il s'arrête dans la maison de Noël Essaillon, un infirme et savant physicien avec qui il a déjà dialogué autrefois. Celui-ci a fait une découverte extraordinaire qu'il a appelée « noëlite » permettant de voyager dans le temps et se prenant sous forme de cachet. Il en donne deux à Pierre, ce qui devrait lui permettre de voyager aussi bien dans le passé que dans le futur. Il se propose de lui donner rendez-vous à Paris à la fin de la guerre…
« Le voyageur imprudent » est un roman de science-fiction tournant autour du thème assez rebattu du voyage dans le temps. L'originalité de l'intrigue repose sur la possibilité d'aller et venir dans les deux sens. Pierre est d'abord intéressé par le futur. Il veut comprendre comment arriver à améliorer la condition des hommes. Peu à peu, il s'éloigne de plus en plus du présent, jusqu'à atteindre l'an 100 000 dans lequel il découvre un monde totalement différent du nôtre. Il n'y a plus d'électricité, plus la moindre machine, tout est à nouveau fabriqué à la main. L'homme s'est évertué à aplanir les montagnes, à éradiquer toutes les plantes inutiles, tous les insectes prédateurs et tous les animaux gênants. Lui-même est dépourvu d'organe sexuel et même d'anus. La perpétuation de l'espèce a quelque chose à voir avec les pratiques de la mante religieuse et de la reine des abeilles. À un moment donné de leur vie, les mâles sont attirés par une énorme femelle pourvue de nombreuses vulves qui les absorbent entièrement pour pouvoir engendrer. Livre divertissant, pourvu d'un certain humour et qui fait réfléchir sur la condition humaine surtout quand tout se gâte avec un retour raté vers le passé qui donne une fin à la fois surprenante et paradoxale. L'auteur s'en explique dans une postface dans laquelle il met en parallèle « être ou ne pas être » et « être et ne pas être ». le lecteur nage un peu dans l'étrange et l'invraisemblable. Mais la fantaisie, le rêve et la poésie n'ont rien à faire du rationalisme et du cartésianisme. Un bon Barjavel.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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l peut se lire dans la continuité de Ravage..D'ailleurs Barjavel p127 lui-même nous y invite par un aparté..

Toujours été fascinée par le voyage dans le temps, les machines et combinaisons expérimentales, j'ai vite été emmenée avec Saint-Menoux et son scaphandre, les boutons à actionner, jusqu'à, ( même... si.... je le pressentais) flirter avec l'imprudence, car tout voyage ne présuppose-t-il pas un moment de lâcher-prise ?

Les bonds dans le temps sont autant de promesses et de risques : y aller c'est envisager aussi d'y rester, d'y séjourner, de prolonger les voyages, à se projeter aussi ne passe-t-on pas à côté de ce qui se déroule au présent ? Faut-il alors poursuivre ?

Une quête pour les curieux, pour ceux qui voudraient explorer non pas quelques decennies, quelques siècles..mais bien davanatge des centaines de milliers d'années...et qui pose d'autres questions d'ordre métaphysique et éthique : quête du bonheur, l'amour, le progrès et la science, l'existence, la relation au monde, du monde et aux temps..
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Le voyageur imprudentRené Barjavel

Un voyage dans le temps dans le futur pour voir ce que deviendront nos descendants et dans le passé pour essayer d'éviter les guerres et leurs conséquences.

Il y avait très très longtemps que je n'avais pas lu un livre de Barjavel. Et je garde de très bons souvenirs de "La nuit des temps, "le grand Secret", "Tarendol".
Celui ci je l'ai dévoré et j'ai beaucoup aimé l'histoire. Ce livre m'a fait penser à "La machine à explorer le temps" de Wells, le thème est le même.
Mais j'ai trouvé que Barjavel était allé beaucoup plus loin dans l'imagination de l'évolution humaine. Sa vision de l'évolution du genre humain est assez glauque et assez terrifiante.
L'humour n'est pas absent de l'histoire quand le héros à cours d'argent part dans le passé détrousser les riches et les banques.
Il n'y a qu'une chose qui m'a un peu dérangée, c'est la vision qu'il a de la femme. La jeune Annette semble complètement "nunuche" alors qu'elle vit avec son scientifique de père et qu'elle collabore à ses recherches. Et j'ai relevé quelques propos complètement misogynes. Bon c'est un livre qui date des années 1942-1943, c'était une autre époque, mais quand même...

C'est un bon roman à lire et je remercie le club lecture d'avoir choisi ce livre, il m'a redonné l'envie de relire d'autres romans de Barjavel notamment "ravages" dont il est fait allusion dans "le voyageur imprudent" et dont je n'ai plus beaucoup de souvenirs.

Club lecture septembre 2015
Challenge abc 2015/2016
challenge le tour du monde
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