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Mireille Vignol (Traducteur)
EAN : 978B089DKRZW1
Autrement (24/06/2020)
3.69/5   21 notes
Résumé :
Il était une fois les années soixante : Kenneth Cook menait avec sa femme Patricia une vie ordinaire dans une banlieue tranquille de Chatswood, en Australie. Enfin ça, c'était avant qu'ils ne décident sur un coup de tête de tout plaquer pour voyager jusqu'en Europe, sans un sou en poche et avec quatre enfants à charge. Les voilà à bord du Manresa, un bateau de croisière plus que lowcost à destination de Gênes, pour une aventure rocambolesque.
Epidémie, naufra... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Dans la famille Cook, les hommes deviennent doux dingues à trente deux ans. Né en 1929, c' est donc en 1961, que Kenneth Cook embarque Patricia, son épouse et leur quatre enfants dans un périple en Europe.
Naviguer de Londres au Pirée, franchir la Manche, remonter la Seine, emprunter les canaux français, descendre le Rhône et caboter sur la Méditerranée en longeant l' Italie pour rejoindre la Grèce.

Un sacré beau projet. Rien ne doit arrêter cette belle famille Australienne, surtout pas cinq semaines à bord d' un paquebot branlant de la coque au pont, et à la merci d' un équipage défaillant, une manière très économique, certes, mais peu rassurante de relier Sydney à Gènes. Gènes, la porte de l' Europe et le début de leur aventure.

Kenneth et Patricia Cook, parents résolument inconscients ou peut être très optimistes sont accompagnés de Kerry neuf ans, Mégane six ans, Paul quatre ans et Anthony 2 ans. Évidemment rien ne se passera comme prévu.
L' Europe en ce début des années soixante, un drôle de reportage ethnologique par une drôle de famille Australienne.
Écrit en 1963, ce livre, célèbre en Australie, est un récit d' aventure à l' ancienne mais nous sommes très, très loin des " Mahuzier en Océanie " par exemple.
Pour Kenneth Cook, l' Europe est un continent exotique. L' Angleterre, la France et l' Espagne sont des contrées aux moeurs étonnantes et mystérieuses.
Une écriture détachée, une ironie mordante et un humour pince sans rire ( Australien ? ) le récit de voyage de la famille Cook fleure bon les paquebots, les trains de nuit, les ferry boats, les route nationnales et les frontières surveillées par des douaniers zélés.
"En route mauvaise troupe" c'est la traversée desopilante d' une Europe qui n' existe plus et un truculent voyage en nostalgie.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Ami lecteur, si, à la vue de la couverture du livre, tu t'attends à un road movie australien, attends-toi à être déçu !

Kenneth Cook, écrivain de voyage australien semble être le père (bien peu) spirituel de Mr Bean, version des antipodes et un lointain cousin de Bill Bryson qui ne semble pas avoir eu connaissance de ses écrits avant de se rendre en Australie (cfr Nos voisins du dessous - chroniques australiennes).

Dans En route, mauvaise troupe ! Kenneth Cook raconte son périple en Europe avec sa femme et ses quatre enfants en bas âge (entre 9 et 2 ans) en 1961. Il a failli perdre les deux plus jeunes fils qui s'étaient enfermés dans la voiture familiale et avaient réussi à desserer le frein à main alors que la voiture était en haut d'une côte. I s'est dit que puisque Sydney était une ville dangereuse pour sa famille, les emmener en Europe serait une promenade de santé.

Sans le sou, Cook emprunte pour payer la traversée Sydney-Gênes sur un rafiot et se demande s'il ne devrait pas renoncer dès la première semaine de navigation sans avoir quitté l'Australie.

Au vu de la suite, on se dit que le prix Darwin aurait dû être inventé bien avant internet.

Kenneth Cook ressemble au héros de Mosquito Coast de Paul Théroux et l'Afrique et l'Europe décrite à la jungle hostile du Honduras (en plus peuplée d'étrangers, dont certains ne sont même pas blancs et beaucoup ne parlent pas l'anglais et, en plus, il fait froid).

Certains ont trouvé ce livre humoristique. Pour moi - l'humour consiste à se moquer de soi-même et non des autres. Cook entraîne sa famille de désastre en désastre, tout en accusant la terre entière des catastrophes qu'il a lui-même causé.

Mauvaise troupe ? Non, mauvais capitaine.









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OK, ce livre est très drôle. Cook y déroule une longue série de déboires, dans un registre burlesque qui ferait presque penser aux films des frères Coen. Rien ne se passe jamais comme prévu, et les plans imaginés par ce père irresponsable – qui a décidément le chic pour mettre sa famille en danger – finissent toujours par déraper.

C'est l'occasion pour l'auteur de se mettre en scène avec beaucoup d'autodérision, parodiant la figure-type du héros de roman à la Hemingway. (Lorsqu'il quitte l'Espagne en catastrophe, il fait remarquer d'un ton désabusé qu'il est sans doute le premier écrivain anglo-saxon à avoir séjourné en terre ibérique sans avoir vu – et à plus forte raison, raconté – une corrida.) Ce registre comique, assez réussi, permet de découvrir une autre facette de l'écriture de Cook, qu'on ne soupçonnait pas forcément à la lecture de ses romans.

Cela est sans doute lié aussi au fait qu'il voyage non pas seul, mais avec toute sa famille. Cela contribue beaucoup au charme du texte, même s'il est dommage que sa femme et ses enfants n'y trouvent qu'une place discrète. le narrateur garde le rôle traditionnel de chef de famille, mais fait preuve d'assez de dérision pour que ce ne soit pas gênant. En outre, Patricia (sa femme, donc) apparaît comme une présence positive du texte, une voix de la raison indulgente envers les foirages successifs de son mari. Les enfants font toujours rire le lecteur – ils restent absolument zen dans les situations les plus périlleuses, type naufrage en mer, ou course-poursuite avec les sbires de Franco.

Bien sûr, comme il s'agit d'un carnet de voyage, les ressorts narratifs sont un peu lâches, mais ils ont l'intérêt d'être également les ressorts comiques du texte : ce sont le manque d'argent perpétuel, ainsi que les malentendus successifs avec les autochtones qui font avancer le texte et qui font rire le lecteur.

Le passage le plus consistant – et le plus drôle – est celui qui se déroule en Espagne. C'est très bien raconté, et plusieurs épisodes font mouche : lorsque le narrateur se laisse pousser la barbe et gagne ainsi le respect des espagnols, qui y voient un signe de piété ; lorsque la petite famille rencontre la bonne Carmen, dont ils ne savent pas qu'ils ont loué les services en même temps que la maison ; lorsque le narrateur se présente auprès de Bill (le commandant d'une flotte de navires de contrebande) comme un excellent navigateur, alors qu'on a vu ses déboires dans la Manche. le personnage d'Antoine, moitié dandy, moitié escroc est le plus réussi et touchant du livre. La séparation d'Antoine et Carmen est par exemple assez drôle et représentative d'un autre humour du texte, plus pince-sans-rire : « Il n'avait pas vraiment réalisé qu'il était le petit-ami de Carmen. Les Français et les Espagnols ont des idées assez différentes là-dessus. »
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J'avais bien aimé "Le koala tueur" et "La vengeance du wombat", livres très drôles sur les mésaventures de l'auteur, ni très dégourdi, ni très sportif, dans le bush australien.

C'est avec confiance que j'ai commencé celui-ci. Hélas, si le ressort est le même - les mésaventures de l'auteur - ce livre m'a paru bien ennuyeux.
Il faut dire que le cadre européen se prête moins à l'exotisme. Bien sûr, il y a toujours de l'autodérision, mais les situations et l'humour tombent à plat.

J'avais déjà noté un côté répétitif dans ces autres ouvrages, et ici, il y a une énumération lassante des recherches de revenu pour faire vivre sa famille (une épouse et 4 jeunes enfants).
Mais quelle idée de partir sans ressources pour un périple en Europe avec cette équipe ! Cela paraît d'une inconscience folle. Et on se demande si il n'y a pas une grosse part d'invention dans ce récit "véridique", malgré les photos à l'appui.

En plus de cette sensation de galéjade s'ajoutent les bons gros clichés sur les espagnols (forcément contrebandiers), les français (forcément cheminots) et les londoniens (forcément taxis).

Cela sent le texte créé en urgence, pas très bien écrit, plat et bizarrement sans rythme malgré les mésaventures. Même les personnages semblent insignifiants et bien dociles.

Bref, c'est une grosse déception.
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J'ai sans doute choisi de lire ce texte à cause de son titre et du nombre incalculable de fois où j'ai dit la même chose à mes enfants...
C'est un récit rocambolesque. le narrateur et sa femme, australiens, voient un jour leur voiture démarrer seule dans leur rue en pente alors qu'ils sont en train de jardiner. En fait, leurs deux gamins ont malencontreusement déserrer le frein à main. Dès lors. Kenneth et Patricia se disent que s'il est aussi risqué de vivre dans leur banlieue tranquille de Chatswood, ils ne risquent pas plus autour du monde. Les voilà donc qui plaquent tout pour voyager jusqu'en Europe avec quatre enfants à charge.
A lire la quatrième de couverture, je m'attendais à quelques réflexions sur les choix de vie, les changements de destinées. Rien de tout cela. le livre est une longue litanie de tous les ennuis qu'ils ont pu rencontrer. le tout teinté d'humour absurde. Il faut aimer et moi, je n'aime pas. Si vous aimez le non-sense, vous passerez un très bon moment.
Une mention spéciale quand même pour ces quelques pages vers les 3/4 du récit où le narrateur explique comment il est devenu contrebandier. Ça, c'était très drôle.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Je me suis fait pousser la barbe peu après être arrivé à Manuesca, ce qui a suscité le vif intérêt des villageois. Carmen m'a raconté plus tard qu'on la harcelait de questions à ce sujet. La barbe était une I chose odieuse pour ces Espagnols et ils voulaient comprendre pourquoi l'Anglais laissait ses poils lui couvrir le visage - inutile par ailleurs d'essayer de dire que j'étais australien, ils n'avaient jamais entendu parler de l'Australie et doutaient fort de son existence.
J'avais expliqué à Carmen que je le faisais par simple paresse et vanité, mais l'esprit espagnol était incapable de concevoir qu'un homme accepte de se défigurer pour de telles raisons. Carmen, une fille pragmatique, s'est bien gardée de divulguer mes motivations. Elle a préféré dire à tout le monde que j'avais fait le vœu de ne pas me raser jusqu'à ce que Dieu m'accorde une certaine faveur, sans spécifier laquelle. Les villageois, considérablement impressionnés, ont alors décrété que j'étais simpático - une réputation enviable dans un petit village espagnol. Quand vous êtes simpático, tout le monde vous aime et vous offre des petits cadeaux à longueur de temps. Patricia et les enfants avaient été considérés simpático d'emblée, mais moi, j'avais dû attendre un embryon de barbe pour accéder à ce statut. (Les petits cadeaux offerts aux gens simpático sont habituellement des doses de cognac. Nous avons dû lutter pour que les enfants restent sobres, surtout quand Pepe leur a offert à chacun une petite fiole d'anisette.)
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Avant de prendre la mer, je suis allé voir Alan Fraser pour quelques conseils médicaux en cas de problème sur le bateau. Il m'a donné trois boîtes d'antibiotiques sous forme de comprimés et ces instructions:
Si l'un d'entre vous a plus de trente-neuf de fièvre, fais-lui avaler deux de ces cachets. Si ça n'a aucun effet, double la dose. Pour tout le reste, attends. Si c'est pas mortel, ça finira par passer.
Ça me semblait refléter fidèlement la pratique de la médecine moderne, quoique Fraser ait ajouté qu'il serait sage d'administrer du vin et du cognac pour soulager les indispositions moins sérieuses.
- Tu devrais te faire enlever les amygdales avant de partir, m'a-t-il aussi conseillé.
C'était apparemment la seule intervention médicale qu'il jugeait efficace. Quand vous le consultiez pour une jambe cassée, je parie que son premier boulot était de vous arracher les amygdales.
- Sinon, tu choperas une amygdalite à chaque petit rhume, m'a-t-il lancé en guise d'adieu.
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J'ai trouvé un bar arborant l'enseigne : English and French Speked Here.
Le patron, mal rasé, ressemblait à Humphrey Bogart dans sa période Casablanca. Je lui ai parlé en anglais mais il n'en a pas compris un mot. J'ai essayé en français et il m'a répondu de même, mais avec un débit si rapide que je me suis retrouvé perdu. J'ai fini par le convaincre de ralentir et je lui ai demandé s'il savait où je pouvais trouver une maison à louer bon marché. Il s'est remis à baratiner en français, je l'ai à nouveau prié de ralentir, puis je lui ai demandé, au cas où ce serait plus facile de communiquer :
- Qui parle anglais dans ce bar?
Il m'a décoché un sourire entendu et m'a répondu, en français :
- Les Anglais qui passent dans le coin.
Je crois que c'était une blague bien rodée.
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" Descendants de robustes Irlandais qui ne portaient pas les Anglais dans leur coeur, Patricia et moi avons cependant développé une affection profonde et chaleureuse, presque guimauve, envers l' Angleterre et tout ce qui était anglais...entre Folkestone et Londres.
Notre anglophilie diminua considérablement dès que nous avons eu affaire à nos premiers chauffeurs de taxi londoniens.
Inutile de trop nous attarder sur eux. Ceux qui les connaissent déjà n' apprendront rien de nouveau. Ce qui ne les connaissent pas refuseront de croire en l' existence de personnages aussi vils. Je me contenterai de dire qu' ils sont pires que les employés des chemins de fer français : Il n' y à rien à ajouter."
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C'était la Dorianne. Un douze mètres construit pour je ne sais quelle raison à la fin du XIXe siècle, équipée d'un moteur vétuste et de trois cabines, dont une occupée par la timonerie qui faisait aussi office de cambuse. Elle mouillait à Maidstone, dans les eaux paisibles derrière les écluses. Ses atouts étaient sa taille et son prix de trois cent vingt livres.
-Quelles sont les chances qu'elle réussisse à traverser la Manche? ai-je demandé au vendeur.
-Pas mauvaise, a-t-il judicieusement répondu. Fifty-fifty, je dirais.
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Videos de Kenneth Cook (4) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Kenneth Cook
Dans cet épisode, nous vous présentons des livres qui nous ont fait rire. Huit propositions de lectures pour différents âges : de l'humour, fin ou gras, des jeux de mots, de l'absurde, du comique de situation, de la satire sociales... Des livres que nous avons beaucoup aimés, auxquels nous repensons avec le sourire et que nous adorons mettre entre les mains des lecteurs. Une liste à garder précieusement, concoctée par nos libraires Laure, Rozenn, Nolwenn, Jérémy, Nicolas et Adeline !
Voici les livres cités dans cet épisode :
Un ours, un vrai, de Stéphane Servant et Laëtitia le Saux (éd. Didier Jeunesse) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128786-un-ours-un-vrai-stephane-servant-didier-jeunesse ;
Horace. Tome 1, Cheval de l'Ouest, de Poirier (éd. Revival) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23359947-horace-tome-1-poirier--revival ;
Les Culs-reptiles, de Mahamat-Saleh Haroun (éd. Gallimard/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22745328-les-culs-reptiles-mahamat-saleh-haroun-folio ;
Admirable, de Sophie Fontanel (éd. Seghers) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22540820-admirable-l-histoire-de-la-derniere-femme-ride--sophie-fontanel-seghers ;
Chroniques du Château faible, de Jean-Christophe Mazurie (éd. Fluide Glacial) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23032241-1-chroniques-du-chateau-faible-tome-01-jean-christophe-mazurie-fluide-glacial ;
Stella et l'Amérique, de Joseph Incardona (éd. Finitude) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23109474-stella-et-l-amerique-joseph-incardona-finitude ;
Le Rire des autres, d'Emma Tholozan (éd. Denoël) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23030426-le-rire-des-autres-emma-tholozan-denoel ;
Roman fleuve, de Philibert Humm (éd. des Équateurs/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23286751-roman-fleuve-philibert-humm-folio.
Et quelques autres titres qui auraient pu faire partie de cette sélection de livres drôles :
Le Discours, de Fabrice Caro (éd. Gallimard/Folio) ;
Miracle à la tombe aux Aspics, d'Ante Tomi (éd. Libretto) ;
N'essayez jamais d'aider un kangourou !, de Kenneth Cook (éd. Autrement) ;
Je dénonce l'humanité, de Frigyes Karinthy (éd. Viviane Hamy) ;
Le Chien de madame Halberstadt, de Stéphane Carlier (éd. le Tripode) ;
Roulio fauche le poil, de Julia (éd. le Tripode) ;
La Vie est une corvée, de Salomé Lahoche (éd. Superexemplaire) ;
Idées noires, de Franquin (éd. Fluide Glacial) ;
#Les Mémés, de Sylvain Frécon (éd. Fluide Glacial).
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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