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3,49

sur 1404 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Trés beau style pour cette histoire, au contenu pourtant mince mais qui se déguste avec un grand plaisir du à cette écriture qui parait simple et directe et qui est sans doute la marque d'une grande écrivaine !
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Expérience troublante de lecture.
Dans ce roman, Duras nous plonge dans une atmosphère étouffante celle de la mort, des non-dits. Cet ouvrage nous laisse entrevoir le pouvoir de la littérature et les effets des oeuvres sur le lecteur. à lire !
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Sublimissime....
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La répétition lancinante et obsédante d'une routine quotidienne observée par la protagoniste à peine troublée par de légères variations. Dans un style toujours aussi dénudé et profondément poétique rappelant par ses images étonnantes certains écrits d'Apollinaire, Marguerite Duras décrit l'ennuie d'une femme aisée qui ne parvient pas néanmoins à l'épanouissement total.
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Anne Desbaresdes amène tous les jours son fils à ses leçons de piano. Un jour se joue un drame passionnel près de cet endroit. Elle retrouve alors Chauvin, ouvrier qui travaille pour son mari, très bourgeois, dans un café ouvrier tous les après-midi. Il la fait parler autour du vin. Beaucoup de non-dits, la frustration, les peurs et les conventions sociales. Il faudrait que je le relise.
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Comment un si grand roman peut-être aussi court ? derrière ce slogan facile s'exprime ce que met en scène ce roman : la fin d'un monde. Loin des éclats d'une météorite qui s'écrase ou de la terre qui s'effondre c'est ceux de la destruction de l'existence qui par une pesanteur longue mais certaine aboutit à la vérité qui s'appelle solitude. On retrouve dans l'écriture ce qui spécifie la description dans le nouveau roman selon Alain Robbe-Grillet : l'objet ne survie pas à sa description. Mais ici l'objet c'est les humains. Dans sa critique du roman dans le Figaro du 12 mars 1958, Claude Mauriac disait : « L'univers de Robbe-Grillet, c'est celui des hommes parmi les objets. le domaine de Duras, celui des hommes-objets » Que reste-t-il de nous alors detruit en tant qu'objet ? le même critique nous donne la réponse quelques lignes plus loin : « ou celui [univers] non moins étouffant de Marguerite Duras où la personne humaine n'est plus personne mais souffre » Les mots tels un monstre mangent l'existence mais ne digèrent pas, la souffrante solitude qui demeure tel l'os de poulet qui reste coincé entre nos dents. Au final il n'y a pas actualisation de ces mots si nous ne les lisons pas. La plus grande angoisse de perte c'est par nous que ce produit le processus de la fin. Serions-nous inquiets en tant que coupable ? Ou du moins dans la demi-mesure du complice ?
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Ce livre m'a donné la piqûre pour cette auteure
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