Au début, j'aimais bien la richesse du langage, très inventif, très imagé, et la vivacité de l'intrigue. Puis, au bout de quarante pages de cette nouvelle, je me suis lassée. le brio du langage (je tire mon chapeau au traducteur) dissimulait une intrigue pleine de sang et de sexe, ou, pour être plus précise, uniquement constitué de sang, de sexe et saupoudrée de drogue et d'argent sale. Une déception, d'autant plus que ce roman permettait de croiser des figures aussi connues que Franck Sinatra ou Sammy Davies Jr.
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L'abus d'allitérations et d'expressions argotiques rend ce récit très difficile à ingurgiter pour moi. J'ai lâché avant la fin.
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J’ai les flubes et je flippe .Je largue le sodomite en sueur au larynx lacéré et je trisse en transe. Je me tire du théâtre de cet horrible homo-cide .
Je me réfugie dans mon repaire , près de Pico. J’aperçois un paquet de Pachucos parqués devant la port.De méchants mexicains en maillot de mohair, la crinière coiffée à l’iroquoise.Des malandrins manifestement machos.
Le Torride Ténor est monté comme un têtard, avoue l'affriolante Ava.
François Guérif nous explique en détail l'effet Ellroy et ses effets sur la collection Rivages Noir.