Les Souvenirs

J'aime cet auteur, sa manière de voir, de décrire.... et je savoure chacune de ces pages, je me délecte des odeurs, je ressens les émotions, je contemple les visages....
un grand bravo, j'ai juste envie de lire chacun de ses livres et de les acheter pour les conserver dans ma bibliothèque pour y revenir puiser au fil de mes envie un peu de cette sève, un peu de cet amour qu'il distille doucement au fil des pages.....................

C 'est l'écriture légère que j'ai beaucoup apprécié ,quant au contenu,il ne m'a pas emballé.Mais je ne m'étonne pas car c'est souvent que j'ai vu beaucoup de sombre dans la jeunesse et de lumière dans la vieillesse.chacun ses souvenirs.

Flaubert disait je voudrais écrire un livre sur rien:Foenkinos avec ce roman vient d'en faire une brillante démonstration.Un livre vide,creux,le néant le plus total dans un style lisse,monocorde,bref d'un ennui mortel voire mortifère.

J'ignore si ce livre est une vraie autobiographie ou non mais en tout cas, ce livre m'a émue. Plongée dans les souvenirs du narrateur, j'ai voyagé, j'ai souris, j'ai pleuré. Légèrement différent des autres romans où le thème principal est l'amour, ici l'amour n'apparaît que bien plus tard. Néanmoins, le thème n'en est pas moins intéressant puisqu'il concerne n'importe lequel d'entre vous. Les souvenirs : le titre est bien très bien choisi puisque tout au long du livre, nous découvrons les souvenirs du narrateur, de son entourage mais aussi de quelques personnes célèbres. Certains passages sont plus touchants que d'autres mais tous sont très intéressants. Nous sommes tous concernés par ce que le livre aborde : la mort, le deuil, la tristesse, la vie qui passe.. On commence par la mort du grand père auquel le narrateur était très attaché, puis nous avons le moment difficile où l'on doit faire entrer sa grand mère adorée dans une maison de retraite mais aussi la relation entre les générations et l'amour que l'on découvre toujours au moment où l'on ne s'y attend pas.

Extrêmement touchant et très triste, David Foenkinos a su traiter ces sujets délicats avec beaucoup de simplicité et de légèreté. On découvre avec le narrateur que le temps passe et que même en ayant souffert, même en perdant des êtres qui nous sont chers, la vie continue et n'a pas finit de surprendre. Certains moments du livre m'ont marqués comme la grand-mère âgée de quatre vingt ans qui fugue de la maison de retraite afin de se rendre dans les lieux de son enfance. Ce personnage m'a énormément touchée puisque ses questions et ses désirs sont aussi les miens : retourner dans la ville où elle a grandi, revoir l'école où elle allait, s'interroger sur ce que sont devenus tous ces enfants avec qui elle allait à l'école. Comme je l'ai dis plus haut, nous sommes tous concernés par ce qui se passe dans ce livre. Un autre moment fort du livre, c'était de voir que quand un couple s'arrête, au même moment un autre commence puis vice versa. La vie est parfois étrange mais aussi parfois surprenante car c'est grâce à sa grand-mère et à sa fugue que notre narrateur rencontrera l'amour. Des moments tristes, des moments magiques, des moments ordinaires, voilà de quoi est fait la vie d'une personne.

Conclusion : ce petit livre de moins de trois cent pages traite de beaucoup de sujets : le deuil devant les proches que nous perdons, les déceptions amoureuses, la solitude, la relation entre les générations mais c'est aussi les souvenirs de personnes (célèbres ou non). Et comme on le sait, la vie est faite de souvenirs. Et pour moi, il est impossible de ne pas être touché par cette histoire. C'est encore un très bon livre de David Foenkinos , d'ailleurs il a surpassé La délicatesse qui m'avait pourtant beaucoup plu également. Alors il n'y a pas trente six façons de dire ça, lisez encore ou découvrez David Foenkinos. Vous êtes sur de passer un très bon moment.
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Tout d'abord, je souhaite remercier le site Babelio et les éditions Folio pour m'avoir permise de lire ce livre de David Foenkinos, auteur que j'avais très envie de découvrir depuis quelques temps.

Alors que l'extrait de la quatrième de couverture promettait un livre plutôt amusant, la globalité des Souvenirs est loin de l'être. En effet, l'auteur aborde des thèmes difficiles et, surtout, loin d'être joyeux : la vieillesse, la retraite et la mort. le trio gagnant pour me faire partir en courant ? En général, oui, je l'admet, je n'aime pas du tout les livres qui sont si tristes. Et pourtant, j'ai adoré ce livre-ci, tout simplement parce que l'auteur les traite avec beaucoup de délicatesse. Au milieu de cette tristesse et de cette nostalgie qui constituent l'atmosphère générale du roman, quelques récits amènent de la légèreté, comme les rencontres amoureuses (du père et de la mère, du narrateur et de Louise, des grands-parents), toutes romantiques et touchantes à leur manière.

J'ai également beaucoup aimé les souvenirs qui interviennent de temps à autre : les souvenirs de personnages du livre, principaux comme secondaires ou les souvenirs de personnes célèbres. On se retrouve donc avec plein de petites anecdotes, qui ont toutes un lien avec la trame de départ et qui agrémentent joliment le récit.

L'écriture de David Foenkinos est très belle, ce qui permet d'apprécier encore davantage son livre. Parfois, une note en bas de page nous indique ce que le narrateur a pensé, plus tard, de ce moment-là. Cela m'a vraiment donné l'impression que Les Souvenirs était une autobiographie, même si ce n'est apparemment pas le cas. Il y a aussi beaucoup de touches humoristiques qui font sourire et apportent un peu de joie.

En conclusion : J'ai beaucoup aimé ce livre, qui m'a donné envie de lire d'autres oeuvres de cet auteur. Avec de sujets graves, il arrive à en faire quelque chose de beau et de sensible.
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Tout d'abord, merci à Masse Critique de m'avoir permis de découvrir ce très beau livre.
J'avais été un peu déçue par "La délicatesse" que j'ai trouvée un peu lente, vide, sans substance. J'avais d'avantage aimé le film, ce qui est très rare, qui rendait l'histoire un peu plus vivante.
"Les souvenirs" est beaucoup plus dynamique, puisque comme son nom l'indique, il navigue dans les souvenirs du héros, un jeune homme anonyme, un peu artiste, un peu rêveur, souvent perdu, mais aussi dans les souvenirs de sa famille, ses amis, d'artistes qu'il a aimés ou même de sombres inconnus.
Le récit est très émouvant et dépeint les étapes importantes d'une vie: la mort, l'amour, la vieillesse, l'enfance, le divorce... C'est très tendre, très doux.
On commence le livre avec un gamin qui joue à l'écrivain, on le termine avec un homme qui a pris la plume.
Coup de coeur spécial pour le personnage de la grand-mère, sans qui ce récit serait fade.

Je conseille donc vivement "Les souvenirs" de David Foenkinos. Bien plus que "La délicatesse".

Le temps passe, les souvenirs remontent à la surface.
Que sait-on de nos proches ? Qui sont-ils ? Comment aborder la vieillesse de nos parents, de nos grands parents ? Sommes nous si individualistes ?
L'auteur nous bouscule dans notre quotidien et nous offre aussi une belle histoire entre une grand-mère et son petit-fils.

Roman très attachant qui nous livre une belle réflexion sur la vieillesse.

Que restera-t-il de notre vie au moment de la quitter? Foenkinos explore la matière de l'existence à travers les souvenirs, les bribes de moments de bonheur ou d'angoisse, de désarroi ou d'enthousiasme. le récit des derniers mois de la grand mère du narrateur débouche sur celui des premières années d'une passion. Un divorce, un mariage, des retrouvailles et une naissance; au départ d'ingrédients banals, le roman propose une réflexion sur le temps qui passe pleine de moment doux amers et de trouvailles, comme la relation de ces souvenirs empruntés à tous les personnages qui ont croisé la route du héros ou ont traversé subrepticement son esprit . Bien qu'assez autocentré, Les Souvenirs ne verse pas dans le narcissisme ou la pleurnicherie à la française, j'ai trouvé au contraire que le texte était assez universel, que le sujet étaient abordé avec générosité.

Tout avait bien commencé ! Parmi tous les livres proposés, l'un d'entre eux m'a tout de suite donné envie : Les Souvenirs. J'avais déjà noté le nom de David Foenkinos et de ses livres, en particulier La Délicatesse ; j'en avais beaucoup entendu parler et j'avais hâte de découvrir cet auteur. le livre est arrivé très vite et comme le hasard fait bien les choses, j'étais justement en train de finir un livre et donc prête à m'attaquer à celui-ci. Mais voilà, mon entrain est très vite redescendu... Je n'arrivais pas à accrocher à ce roman, enfin je n'ai jamais réussi à accrocher réellement (heureusement que les BDs étaient là pour pouvoir m'évader un peu ^^...). Ma lecture a été assez laborieuse (tout comme l'écriture de cette chronique que je repousse depuis des jours). Il m'a fallu trois heures de train pour que je me décide à réellement m'attaquer à ce livre et le terminer.

J'ai bien pensé arrêter ma lecture à plusieurs reprises, mais un petit quelque chose me donnait envie de continuer : le style de cet écrivain. J'ai vraiment découvert une écriture qui me plaît beaucoup. C'est surtout le ton léger et l'humour qui me plaisaient. du coup, j'espérais avoir un retournement de situation ou un dénouement un peu surprenant. Mais non ! Et pour moi l'écriture ne suffit pas, le contenu importe.

Malheureusement, l'histoire ne suit pas. J'ai eu l'impression que l'auteur avait utilisé cette histoire comme un prétexte pour écrire. C'est vrai que je suis un peu dure quand je dis ça, mais c'est que j'ai réellement trouvé l'histoire creuse, sans but ; juste une succession de souvenirs. Je ne connais pas l'auteur donc je ne sais pas si c'est son style habituel, mais j'ai eu l'impression qu'il avait joué la carte de la facilité : il maîtrise l'écriture, son style (qui marche à tous les coups !) et du coup, il délaisse un peu l'action, les rebondissement, l'originalité. Je me trompe peut-être...

Alors, oui il aborde des thèmes importants et émouvants comme la vieillesse ou la solitude, mais pour moi c'était trop convenu. En plus, j'ai été un peu gênée, à certains moments, par le côté moralisateur (très développé et expliqué pour que tout le monde comprenne bien) de ces souvenirs. Je suis d'accord : on apprend de ses erreurs mais là c'était un peu trop, surtout que le personnage principal, lui, ne semblait pas retenir ces leçons !

Pour terminer sur une bonne note (quand même !), je tiens à (re)souligner l'humour de cet écrivain. J'ai adoré les petites notes en bas de pages très drôles et les souvenirs de personnages fictifs, rencontrés ou célèbres, très percutants. Pour moi, c'étaient les meilleurs passages ; un peu de fraîcheur dans ce roman un peu plat...

J'ai découvert un auteur mais malheureusement pas une histoire. Ça doit être la première fois que j'aime autant le style d'un écrivain sans aimer son roman, d'où peut être ma si grande déception. Je crois que ce roman ne restera pas gravé dans ma mémoire... Pourtant, je n'attendrais pas longtemps pour lire d'autres livres de David Foenkinos, à en croire la blogosphère je devrais commencer par La Délicatesse. Je vais m'y atteler assez rapidement !
J'espère ne que je ne vous ai pas découragé, à en croire les critiques et les avis de la blogosphère ce roman est génial. Ah les goûts et les couleurs... ^^
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Après avoir découvert David Foenkinos avec La Délicatesse ,j'ai succombé à son nouveau livre Les Souvenirs .On y retrouve la griffe de l'auteur ,ses propos "légers" mais qui font mouche ,le sourire ou le rire qui vous évitent le pathos .Bref je suis charmée ,je ne retiendrai pas le contenu exact des propos tenus mais il me restera une atmosphère et quelques scènes en mémoire pour mon plus grand plaisir