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4,19

sur 5328 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Il y a quelques semaines de cela, je vous ai parlé d'un film de Gilles Marchand, Dans la fôret , un conte enfantin et un huis clos angoissant fantastique. avec un Jérémie Elkaim à contre emploi en père effrayant emmenant ses enfants dans une forêt scandinave particulièrement anxiogène.

Même titre et même décor pour le roman de Jean Hegland écrit en 1996, qui fut un grand succès aux USA à l'époque et seulement paru en janvier dernier chez Gallmeister.

Par contre, plus de parents qui ont totalement disparu d'un monde post apocalyptique où il n'y a plus d'électricité, plus de téléphone, plus d'essence- on pense plutôt à un autre récent film, It comes at night dont nous parlerons bientôt.. Apprenant à se servir du moindre objet, cultivant chaque parcelle de leur potager, minimisant les repas, économisant sur ce qu'il leur reste d'essentiel tel que la farine ou le sucre, inventant une nouvelle vie, elles survivent tant bien que mal dans cette maison,

Un monde post-apocalyptique où vivent deux jeunes filles Nell et Eva deux soeurs âgées respectivement de 18 et 17 ans qui vont progressivement apprendre à survivre en économisant le plus possible pour tenir.

Ecrit sous la forme d'un journal intime tenu par la cadette on verra ainsi comme nos deux héroïnes apprennent à domestiquer la nature, et font face aux épreuves

Un livre de nature writing et de survivol, à mi chemin entre la Route de Mac Carthy ( pour le coté post apocalytpique) et le "Sukkan Island" de David Vann ( pour le coté ode à la nature sauvage et hostile), mais racontée avec une douceur et un coté feutré et intimiste plutot étonnant.

Un huis clos tendu et sensuel, avec une évocation de la nature d'une beauté incontestable.

Un grand merci aux éditions Gallmeister d'avoir exhumé ce grand livre d'une auteur qui désormais, est ce vraiment étonnant, vit au milieu des arbres et des insectes..
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Il y a sans doute un peu de Robinson ou de Vendredi dans cette belle fable racontée avec talent par Jean Hegland.Le monde s'est écroulé autour de Nell et Eva,les laissant seules et désemparées au milieu de nulle part,en milieu hostile.Que faire lorsque tous vos repères ont disparu,lorsque les réserves s'épuisent? Que faire lorsque cette société de consommation qui nous gouverne,s'effondre,nous laissant seuls face à notre désarroi.
Nell et Eva vont traverser bien des épreuves pour ,peu à peu,rayer de leur cadre de vie les éléments qui nous paraissent aujourd'hui indispensables ,voire fondamentaux.Tout n'ira pas sans mal mais,à la fin du roman,il apparaîtra qu'un autre monde peut exister.
Trop tard,pas trop tard?La nature est belle et généreuse et reste la seule à même de pérenniser l'existence humaine.
Ces deux jeunes filles,par leurs agissements,leurs réflexions,leur intelligence,vont servir de guides spirituels mais seront elles suivies,c'est une autre histoire,si l'on considère que cet ouvrage a été écrit voici déjà vingt ans...On parle,on discute,on élabore, on taxe,on prend des mesures et Rien...
Faut il se désespérer ?Sans doute pas si l'on en croit Nell et Eva...Sans doute si la situation perdure.
Un livre pour la nature,sur la nature,un livre essentiel,quoi...
Un peu long pour moi,cependant
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Ma lecture de ce tome commence déjà à dater de quelques mois, il n'en demeure pas moins que je continue de conserver un agréable souvenir de celle-ci avec un roman qui porte je trouve un joli titre et qui correspond à merveille à l'intrigue qu'il raconte. C'est je pense la dystopie la plus lente et calme que j'ai lu jusqu'à maintenant, d'ailleurs je pense que cette lecture pourrait plaire même aux plus réfractaires à la science-fiction car finalement cet aspect bien qu'essentiel à l'histoire finit par passer au second plan au cours de la lecture pour laisser place à la relation entre ses deux soeurs seules dans leur maison en pleine forêt, oui a cette belle relation entre ses deux soeurs Nell et Éva qui sauront être là l'une pour l'autre quand chacune d'elles aura besoin de l'autre au beau milieu de cette forêt qui les a vues grandir, et qui sera alors que l'électricité n'est plus qu'un lointain souvenir l'un des gages  de leur survie. Jean Hegland prend ici son temps pour nous présenter ses personnages, la disparition peu à peu de l'électricité et la forêt que nous découvrons tout au long de la lecture grâce à de belles descriptions, cette forêt qui maintiendra les deux soeurs dans une relative sécurité en les préservant notamment des maladies qui sévissent en ville mais qui saura aussi les nourrir. Je trouve la fin du roman assez belle et parfaitement cohérente avec l'ensemble du roman.

Dans la forêt fut donc une belle découverte que j'ai pris plaisir à lire et dont une relecture n'est pas à exclure dans les années futures.
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le journal de Nell nous décrit leur vie et leur survie dans la forêt. Elles y vivent à bonne distance de la ville la plus proche.
Dans un passé récent, la civilisation s'est écroulée l: il n'y a plus électricité, eau, carburant, téléphone, magasins ouverts. L'auteur reste vague sur les raisons de cette désagrégation : guerre, épidémie, surconsommation - « je n'ai jamais su combien nous consommions. C'est comme si nous ne sommes qu'un ventre affamé, comme si l'être humain n'est qu'un paquet de besoins qui épousent le monde. Pas étonnant qu'il y ait des guerres, que l'eau et l'air soient pollués. «  - il y a des relents écologiques dans ce livre mais l'autrice s'attache surtout au destin de Nell et Eva, à la mort de leurs parents, et à leur survie : elles apprennent à économiser toute nourriture, à se servir de tout ce qui leur tombe sous la main, à cultiver et à pourvoir elles-mêmes à leurs besoins.
Elles apprennent à vivre ensemble malgré leurs différences et leurs disputes, à se seconder mutuellement.
La forêt est évidemment un personnage central, elle est décrite en en détaillant les beautés.
Cela n'a rien d'un parcours facile, elles connaîtront la jalousie, la peur, le deuil, le viol, la perte de leurs rêves.
Il règne une tension dramatique dans ce récit, même si le rythme reste lent.
Nous suivons leur parcours, entrecoupé des réflexions personnelles de Nell, c'est relaté sans recherche de sensationnalisme, mais c'est poignant et sensuel à la fois.
J'ai aimé la figure du père de ces deux filles.
La forme est celle d'un journal, il n'y a pas de chapitres.
C'est écrit il y plus de 25 ans, mais le contexte de la société décrite par Jean Hegland paraît pouvoir être prémonitoire de notre époque… À nous de nous ressaisir !
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J'ai eu un peu de mal à rentrer dans ce roman mais au fur et à mesure il m'a happé. Comme pour rentrer dans cette forêt bien drue et bien sombre. Un récit puissant. Tout au long de la lecture, je me suis sentie parfois dans un récit d'anticipation ou au contraire dans un roman bien réel ou la fin de la vie n'est pas bien loin...
Une famille vit dans la forêt et semble heureuse et comblée mais la mère vient à mourir et c'est le père qui s'occupe de ses filles adolescentes. Il les emmènent régulièrement en ville (comme on dit) et y prennent goût...surtout l'aînée Neill qui a rencontré Eli, un jeune ado de son âge. La cadette Eva ne vit que pour la danse et rêve de rentrer au ballet de San Francisco. Mais le père décède rapidement et les filles se débrouillent pour vivre ou survivre dans cette maison située dans la forêt. Les temps sont durs car l'électricité manque ainsi que l'essence et les victuailles. On ne sait pas trop si nous sommes en temps de guerre ou d'épidémie mais la ville est désertée par tous et les deux adolescentes sont livrées à elles-mêmes.
J'ai trouvé ce roman pas comme les autres intéressant et surprenant. Parfois un peu ennuyeux par des énumérations longues comme le bras.
Malgré tout, je le conseille vivement, car cette fiction sort des sentiers battus...si j'ose dire.
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C'est avec une grande joie, que notre reporter elfique, Stelphique nous expose du haut de son grand sequoia, ses points lumineux sur cette forêt mystérieuse…Ses ailes sont aises de vibrer au grand air américain, et dans un parfait Nature Writing, on sent comme une vraie reconnexion avec l'essence même de la vie…

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La fratrie… ou comment deux soeurs s'apprivoisent…

Il est parfois difficile de se différencier de sa soeur, surtout quand elles sont si proches en âge, qu'on pourrait presque les prendre pour des jumelles… Vaste question que cette forme de fratrie, entre amour et déchirement pour la quête du soi. Nell et Eva ont cette relation de répulsion/attraction qui ne se fait pas, sans quelques fractures de ce lien, unique et fort, du sang…En se noyant dans leurs passions et leurs ambitions dévorantes, elles se construisent une identité, à force de renoncement à l'autre, et pourtant l'amour qui les unit parait indéfectible. le roman tourne autour de ce cercle familial, entre souvenirs passés et avenir à reconsidérer, et cette micro-cellule de liens humains est une onde de choc et d'émotions qui nous est donné de lire dans ce journal intime, dernier vestige laissé au monde comme la preuve de leurs passages sur Terre…

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Le post-apocalyptique… ou comment la solitude envahit le quotidien…

Un recul désiré, puis forcé dans cette maison…La fin du monde poursuit sa course folle de manque et de cécité, pendant que cette famille vit au gré des saisons, proche de la Nature…En fait, le post-apocalyptique se ressent dans ces privations, dans ces coupures, dans ces absences…C'est plus, la solitude, et l'étiolement des liens sociaux qui frappe dans ce livre, que les réelles raisons de ce nouveau monde…Petit à petit, les commodités et les ressources s'amenuisent, seule la survie compte, mais la vie se charge toujours d'infliger mille dangers et heurts, qui reconditionnent la vision de cette fratrie. S'il n'est pas forcé d'entendre de la musique pour danser, ou de concentration pour apprendre, il faut que ses jeunes filles trouvent assez de force en elles pour affronter cette nouvelle vie sans but, et c'est dans ce néant qu'elles devront apprendre à vivre…C'est là, que le post-apocalyptique prend tout son sens et que la force de ce roman vous atteint en plein coeur…

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La forêt… ou comment cet environnement devient lieu de vie…

De tout temps, la forêt a généré peur et fascination. On a juste oublié qu'autrefois, elle a été lieu de vie pour les peuples, avant qu'on ne s'en éloigne pour lui préférer les villes…La forêt est source de légendes, génératrice de vie, domaine des plus étranges créatures…Elle est à la fois bienfaitrice et cruelle, car il se cache dans ses arbres, des formes de dangers soudains, autant que de mauvaises rencontres, mais aussi mille merveilles…Eva et Nell l'apprendront, souvent à leur dépend, que la nature donne autant qu'elle reprend, distribue autant qu'elle inflige…La beauté de cette lecture tient à cette rencontre avec ce lieu majestueux, la connexion avec l'essentiel, l'abondance du don…

En conclusion, cette lecture parle de dépouillement, de violence, et de lâcher prise…Elle se veut intime et c'est presque dans un murmure qu'elle nous souffle que Dans la forêt, se trouve sans doute, notre salut…

Je vous invite à passer voir sur le blog, la chronique complète du WRC ( cf, les copinettes Belette2911 et NathalieAtom).
Lien : https://fairystelphique.word..
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On parle quelquefois du regard visionnaire que peut porter un écrivain sur la société. C'est le cas avec la romancière Jean Hegland et son roman « dans la forêt » écrit en 1996, il y a maintenant 20 ans.

Deux soeurs de 17 et 18 ans vivent seules dans une maison au coeur d'une forêt. Elles ont toujours vécu isolées, avec leurs parents, aujourd'hui disparus, protégées du monde extérieur.
Nell, la plus jeune se destine à rentrer à Harvard, Eva rêve d'une carrière de danseuse étoile.

Sauf que depuis 1 an il n'y a plus d'électricité, plus d'essence, plus de téléphone ni d'internet.
Les villes ont été désertées, des épidémies ont fait leur apparition, et les deux soeurs vivent en autarcie dans cette nature généreuse, persuadées que les choses vont rentrer dans l'ordre et que la vie reprendra son cours.

« Dans la forêt » est plus qu'un banal roman post apocalyptique, c'est aussi un guide de survie et de partage.
Les deux soeurs vont apprendre à vivre avec ce que qu'elles ont, lorsque les quelques provisions s'épuisent, la forêt qui deviendra terre nourricière.

Elles devront aussi apprendre à apprivoiser la solitude, la peur et la souffrance.

La nature est omniprésente dans ce récit, les saisons se suivent immuablement et les pages du livre se tournent, vite, trop vite.
Il ne se passe pas grand-chose finalement, pas beaucoup d'action, mais tellement plus. C'est à la fois triste et plein d'espoir.

Une très belle lecture.

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Pendant les premiers ¾ de ce roman, je l'ai trouvé extraordinaire. le monde s'est effondré ; pourquoi? Pas de causalité précise, si ce n'est que l'american way of life (la nôtre, quoi) est intenable et que les temps du renoncement sont venus: Internet disparaît, mais aussi la fée électricité, la musique, les études, et très vite aussi l'adolescence.
Eva et Nell vont devoir s'adapter pour survivre. L'encyclopédie va jouer le même rôle que le bateau échoué pour Robinson: il faut reconstituer la civilisation à partir des bribes qui en demeurent; graines, fusil et robe de mariée viennent au secours des nouvelles naufragées.
Mais, tandis que Robinson n'aspire qu'à retrouver l'humanité, les deux soeurs vont choisir de s'en détacher définitivement.
Et c'est là que pour moi le bât blesse.
Car ce livre est plus qu'un traité de la décroissance et une ode superbe à la sobriété heureuse. Il est, à mon sens, un renoncement à l'humanité. Il ne faut pas seulement construire un nouveau monde, mais une nouvelle race.
Le roman , très rapidement, tourne au huis-clos: Nell et Eva, Eva et Nell. De loin en loin, un homme surgit, crée un problème, puis disparaît. Pour Jean Hegland, il n'y a rien à attendre des autres. Il ne faut pas renouer avec d'autres survivants. Il ne faut compter que sur soi et retourner aux origines.
L'âme indienne est une inspiration essentielle. Il faut avouer que si on est américain et que l'on contemple quelle civilisation monstrueuse est née du génocide des autochtones, on doit avoir envie d'effacer l'ardoise et de se retrouver au temps d'une nature respectée. Mais les héroïnes d'Hegland veulent revenir encore plus loin dans le temps. Elle choisissent d'habiter une cavité au sein d'une souche, à la symbolique matricielle évidente. De ce retour à la vie utérine viendra une nouvelle naissance, où Nell se rêve oursonne, la splendeur de l'animalité supplantant l'humain, définitivement révoqué.
Et le livre se termine comme une Genèse à l'envers. Après la disparition de la maison, d'abord disloquée par l'eau, arche inefficace, puis purifiée par le feu, Eva (la première femme) emportera son enfant né d'une vierge aidée par Tata Nell, à une lettre près de Noël (et sans doute aussi de Noé)
« L'emploi le plus ancien du mot “vierge” ne signifiait pas la condition physiologique de la chasteté mais l'état psychologique de l'appartenance à aucun homme, de l'appartenance à soi-même uniquement. Être vierge ne voulait pas dire être inviolée, mais plutôt être fidèle à la nature et à l'instinct, exactement comme la forêt vierge n'est ni stérile ni infertile, mais inexploitée par l'homme. »
Et voilà la sainte trinité en charge d'une nouvelle race au coeur de la forêt, qui se remet entre les mains de Mère Nature loin de l'humanité fétide.
Sauf que ce n'est pas en écrivant avec une langue aussi belle que Jean Hegland parviendra à me convaincre de perdre toute foi en l'humanité.
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J'ai lu sans déplaisir ce roman - un de plus-qui imagine la survie de deux soeurs orphelines, dans une maison isolée au coeur de la forêt californienne, après une "apocalypse " assez soft, plutôt une lente érosion, paralysie, désagrégation, destruction de tout ce qui faisait tourner l'économie libérale américaine.

J'ai seulement trouvé l'entrée en matière fort lente, et ne me suis vraiment intéressée au récit qu'à partir du moment où chaque soeur lâche enfin son garde-fou particulier-la danse pour l'une, les livres et la préparation au concours d'entrée de Harvard pour l'autre.- pour affronter enfin, frontalement, mais pas toujours en phase l'une avec l'autre, la nécessité de survivre, au lieu d' espérer un retour à la normale qui ne viendra plus.

Survie qui ne peut se faire qu'en fonction de la nature.

Elles tentent d'abord de l'apprivoiser - potager, conserves, cultures.. -, puis y renoncent et entrent en sauvagerie comme on entre en religion.

Est-ce la lenteur du début? Ou le peu d'attachement que j'ai ressenti pour la narratrice, cette intello psycho-rigide qui ingurgite lettre après lettre les mille rubriques d'une encyclopédie, ou pour sa soeur, cette obsessionnelle des jetés, des piqués, et des sauts carpés? Sont-ce les prudences du livre qui ne se jette pas dans le conte fantastique mais flirte avec lui, au prix de quelques invraisemblances, dès lors dérangeantes, dans ce parti-pris de réalisme? Est-ce le côté très discrètement "new age" qui m'a indisposée? Je n'ai pas marché autant que je l'aurais voulu...

Je crois plus simplement qu'il y a des lectures après lesquelles lire autre chose est difficile.. .et j'aurais mieux fait de prendre un vieux polar des familles après le Lambeau de Philippe Lançon. ..

Pour le roman post-apocalypse , mon cauchemar préféré est Terminus radieux de Volodine. Et pour la survie en milieu naturel, Into the Wild reste pour moi inegalé...et de loin le plus lucide quant à nos chances d'y arriver...
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****
Alors que l'électricité a disparu de leur maison, de leur ville et de leur pays, Nell et Eva vivent seules. Âgées d'à peine 17 et 18 ans, ces deux soeurs vont devoir affronter la vie difficile qui les attend... Auront-elles assez d'énergie, de courage et d'amour ?
Quel beau roman que celui-ci !! Une écriture toute en finesse, des personnages vrais et attachants et un retour aux sources très bien décrit. Ici, tout ne se résume pas à cette civilisation qui se meurt, aux monstres ou autres aberrations qui naissent souvent dans ces ambiances... non, on suit ces deux jeunes femmes que la vie rend plus forte, que l'espoir rapproche et que l'amour unit... une réussite !!
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