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EAN : 9782714456632
264 pages
Belfond (27/02/2014)
  Existe en édition audio
3.11/5   273 notes
Résumé :
L'amour et la solitude, la possibilité de changer de vie, le hasard des rencontres, les choix qui s'offrent à nous, l'art de la fuite... et les femmes. Douglas Kennedy explore encore plus avant ses obsessions pour nous livrer une variation en douze mouvements.


L'amour et la solitude,
La possibilité de changer de vie,
Le hasard des rencontres,
Les choix qui s'offrent à nous,
L'art de la fuite...

Dougla... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (48) Voir plus Ajouter une critique
3,11

sur 273 notes
Murmurer à l'oreille des femmes, titre livre de Douglas Kennedy, on pourrait croire à cause du titre que c'est un livre plein de douceurs consacré aux femmes. Il n'en est rien. Ce sont 12 nouvelles qui traitent chacune de séparation de couple.
Tantôt, c'est l'homme qui parle, tantôt, la femme. C'est le thème final de la séparation/divorce qui est raconté dans chaque nouvelle. Un livre que j'ai bien aimé, sans plus, il ne prend pas la tête. A déposer sur un banc dans le métro ou un parc pour un(e) futu(e)r lecteur(trice). Pas le genre de livre que l'on a spécialement envie de garder dans sa bibliothèque.
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Des histoires courtes qui tournent autour des sujets analogues : le couple ses déboires au bord de la crise des nerfs et le désamour En outre les personnages sont issus de milieux aisés .Ces histoires sont bien construites et donnent a' réfléchir sur les relations humaines Douglas Kennedy veut nous faire part qu'il n'existe point un couple sans problème .Un style efficace se dévore goulument et nous permet de patienter plaisamment l'issue des épilogues
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Ce n'est pas une lecture qui donne la migraine. Douze petites histoires sur les relations de couple, des histoires anodines, quelconques, banales, sans invention, de la lecture desquelles il n'en découle qu'une interrogation : « et alors ? »…
Où est passé l'auteur de « la femme du Ve » ? Douglas Kennedy est un mystificateur, avec un titre qui promettait bien des choses, il nous livre un texte creux, fade, sans intérêt.
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Douze petites histoires, douze variations autour du thème de l'amour, inspirées plus ou moins par la vie de l'auteur et mettant en scène aussi bien des narrateurs hommes que femmes.
Les héros partagent souvent leur vie entre Paris et les Etats-Unis, à l'instar de l'auteur. Il s'agit surtout de personnages de la haute finance, ou des avocats internationaux.
Ils vivent tous ou sont sur le point de vivre une rupture et il est vrai que la peinture de ces moments où tout peut basculer dans un sens comme dans un autre, est vraiment captivante.
Plusieurs situations m'ont semblé plus particulièrement intéressantes:
la nouvelle "Sonate d'été" où le héros quitte sa femme pour retrouver sa petite amie de jeunesse, devenue une violoncelliste de grand talent, petite amie qu'il avait pourtant particulièrement maltraitée auparavant.

La nouvelle "Un dîner hors du commun" est remarquable par sa finesse psychologique et sa cruauté! On y voit une jeune française avoir une liaison avec un Américain marié et qui doit faire des déplacements professionnels à Paris. Elle va attendre de se faire inviter dans l'un des meilleurs (et plus chers!) restaurants de la ville pour .. mais je ne dis pas la chute..
La gravité et la tristesse sont au rendez-vous aussi avec cette nouvellle "Et puis",dans laquelle le héros retrouve un ancien amour de jeunesse qui n'a plus que quelques moi à vivre.
Humour, tristesse, amertume mais aussi goujaterie quand un ex-mari réclame à son ex-femme l'ancienne bague de fiançailles pour satisfaire un caprice de sa nouvelle épouse...
Bref beaucoup de variations sur le thème de l'amour qui s'achève.
C'est bien enlevé, c'est drôle, prenant et touchant.
Un bon moment de lecture...
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Au bout de « Cinq jours », j'avais perdu Douglas Kennedy.
A mon grand bonheur, je l'ai retrouvé, il vient de me murmurer à l'oreille à travers un joli bouquet de Nouvelles.
Rencontre, coup de foudre, amour, rupture, autant de thèmes qui lui sont chers et avec lesquels il a toujours su me faire vibrer.
J'attends avec impatience notre prochain rendez-vous…
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critiques presse (4)
LeSoir
25 septembre 2014
Derrière une écriture fluide et vive et une économie de mots, le lecteur (ou la lectrice) n’aura aucun mal à trouver des résonances personnelles dans cette thématique aussi intime qu’universelle. Troublant.
Lire la critique sur le site : LeSoir
LaPresse
16 juin 2014
Avec le talent qu'on lui connaît, Douglas Kennedy porte un regard caustique sur la trajectoire de vie de personnages de la classe moyenne américaine qui nous ressemblent parfois terriblement.
Lire la critique sur le site : LaPresse
LeFigaro
26 mars 2014
Avec un talent décapant, Douglas Kennedy déconstruit les histoires qu'on se raconte à longueur de temps pour occulter la seule question qui vaille: «Où allez-vous?», demande un chauffeur de taxi à un homme qui vient de plaquer sa famille et son travail. «C'est la question que je me suis posée toute ma vie», répond l'homme.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Culturebox
04 mars 2014
Adoré des lecteurs français, l’Américain Douglas Kennedy nous revient avec son premier recueil de nouvelles. Douze histoires courtes qui gravitent autour des mêmes thèmes : le couple et ses frustrations, l’envie de changer de vie, la fuite...
Lire la critique sur le site : Culturebox
Citations et extraits (89) Voir plus Ajouter une citation
Il y a le sexe qui craint. Celui qui enchante. Celui qui fait dire bof. Le sexe vindicatif. Le sexe jubilatoire. Le sexe sportif. Le sexe répétitif. Le sexe impératif.
Et puis, beaucoup plus rare, il y a le sexe qui transcende. Celui qui vous persuade que vous êtes engagé dans la forme de communication et d’échange la plus sublime qui soit, quand toutes les barrières tombent, quand vous vous sentez en fusion avec l’autre, quand la rencontre physique vous paraît l’expression la plus exaltante et la plus sincère de l’amour qui vous envahit et vous transporte.
Le sexe transcendantal. Il pousse le compte-tours de votre cœur dans la zone écarlate. Il vous dit : « Ça y est. » Parce que vous percevez que l’être avec lequel vous atteignez ce huitième ciel éprouve exactement la même chose que vous.
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Pourquoi et comment les êtres se rencontrent et se ratent, se trouvent et se perdent, se désirent et se rejettent, s'aiment avant de se mépriser...Pourquoi ne parvenons nous jamais à nous détacher entièrement de ce que nous avons vécu, et surtout de ce que nous nous sommes infligés à nous-mêmes?
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Elle m'avait plaqué pour un dermatologue, un toubib de Park Avenue paraît-il célèbre, presque chauve et joueur de golf de surcroît.
Le genre de type qui se vante de détester les intellos et dont l'idée du grand romancier est Dan Brown, avec la précision que "ce" bouquin, à part deux ou trois manuels d'astuces pour améliorer son classement sur les greens, était le premier qu'il ait ouvert en quatre ans.
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Mon amour-propre blessé m’empêchait de lui dire ce dont j’étais convaincu : qu’ensemble nous aurions pu sortir de cette mauvaise passe. Et puis la trahison sentimentale est un jeu qui se joue à deux. Même quand vous êtes celui qui est trompé, vous n’êtes pas exempt d’une certaine responsabilité dans l’affaire : il y a toujours du non-dit, une complicité sous-jacente, une part de responsabilité dans ce qui s’est mis à aller de travers.
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Il y a le sexe qui craint. Celui qui enchante. Celui qui fait dire bof. Le sexe vindicatif. Le sexe jubilatoire. Le sexe sportif. Le sexe répétitif. Le sexe impératif.
Et puis, beaucoup plus rare, il y a le sexe qui transcende. Celui qui vous persuade que vous êtes engagé dans la forme de communication et d'échange la plus sublime qui soit, quand toutes les barrières tombent, quand vous vous sentez en fusion avec l'autre, quand la rencontre physique vous paraît l'expression la plus exaltante et la plus sincère de l'amour qui vous envahit et vous transporte.
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