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sur 4515 notes
Les premières histoires sont très bibliques, avec la création du monde et des habitants de ce monde. Puis on assiste aux histoires des 4 enfants connues grâce aux films, et enfin quelques histoires assez déroutantes où les personnages sont à nouveau des animaux. Les histoires sont sympathiques. Ne pas lire l'intégrale en une fois, les styles entre les histoires sont trop inégaux, on passe de l'adoration aux dégoûts rapidement, comme un trop plein.
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« Un bois enchanté où les flaques d'eau sont autant de portes vers des univers parallèles, un lion divin, une armoire magique et un monde qu'il faut sans cesse sauver… Tels sont les souvenirs que je conserve du Monde de Narnia. Saga de sept tomes aux accents christiques, je l'ai découverte il y a fort longtemps et j'en ai toujours gardé une impression mitigée. Aventure, magie, animaux doués de parole, sorcières, prophéties en tout genre, voilà qui était pour me plaire ; cependant, les intrigues répétitives, les personnages relativement interchangeables et surtout la lourde allégorie religieuse qui finit par envahir l'histoire sont venus à bout de mon intérêt.

Le Monde de Narnia se compose d'un certain nombre de protagonistes, remplacés par des plus jeunes au fur et à mesure qu'ils grandissent. Leurs caractéristiques les rendent interchangeables : ainsi Peter le courageux ressemble au prince Caspian, Susan est l'image de la belle princesse, Edmund et Eustache partagent une rédemption très similaire, Lucy et Jill entretiennent toutes deux une certaines complicité avec Aslan. Leurs aventures se suivent sans se ressembler, mais sans enjeu véritable : j'ai pris plaisir à assister à la naissance de Narnia et à sauver ce royaume des griffes de la sorcière blanche, mais j'ai ensuite constaté que les péripéties semblaient s'enchaîner pour meubler le temps plus qu'autre chose. Les Narniens sont incapables de se débrouiller sans l'aide de deux ou trois enfants de douze ans qui reviennent tous les cent ans environ pour les sauver d'un nouveau danger.

Si j'ai trouvé maladroite la véhémence avec laquelle Philipp Pullman critique la religion dans À la Croisée des Mondes, l'insistance avec laquelle C.S. Lewis compare Aslan à Dieu et Narnia à une sorte de paradis intermédiaire m'a tout autant dérangée. J'ai particulièrement détesté le dernier tome du Monde de Narnia, où faute d'idées et de nouveaux héros Narnia sombre finalement dans l'apocalypse dont les enfants humains le sauvent depuis six volumes, pour s'ouvrir sur un Paradis dont est soigneusement exclue Susan, la coquette qui a cessé de croire. Cette bonne vieille morale est entourée de moults clichés à la fois religieux et littéraires : l'innocence des enfants qui se perd avec l'âge, le dénigrement du monde réel au profit d'un imaginaire divin, le peuple ennemi présenté comme arabisant avec une peau sombre (même s'il comporte quelques individus dignes d'être sauvés, pour la forme).

Je ne me suis pas retrouvée dans cette histoire où mourir est présenté comme préférable à grandir. La sorcière blanche ressemble trop à la Reine des Neiges, le folklore mythologique est réutilisé sans aucune nouveauté et le Monde de Narnia aurait pu compter trois tomes de plus ou de moins sans que cela change rien. Pour autant, la série de C.S. Lewis comporte quelques bonnes idées, comme la métamorphose d'Eustache en dragon ou le Bois d'Entre-les-mondes, mais elles ne sont que très peu exploitées. Même le Cheval et son écuyer, qui aurait pu apporter un peu de fraîcheur, s'avère somme toute un récit d'aventures assez fade et prévisible. C'est un livre où l'on s'incarne avec plaisir, et que l'on oublie aussitôt. »

Émilie – Apprentie Bibliothécaire
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J'ai commencé ce livre lorsqu'il est sortis en librairie c'est à dire avec la sortie du premier film (que je n'ai jamais vu...) et sur le moment j'ai assez vite décroché. Aujourd'hui je le relis pour mon fils et là j'ai complétement accroché. C'est une véritable belle histoire héroïque à raconter à ses enfants. Plein d'imaginaire, d'action, un décor magnifique, quelques leçons de morales et un brin d'humour, j'ai adoré parcourir ce monde de sa naissance à sa destruction. Les livres sont de différentes qualités mais il faut bien s'y attendre sur 7 tomes tous différents les uns des autres, mais je trouve que c'est ce qui apporte son charme à toutes ces histoires. La fin est à la fois longue et rapide, je ne l'ai pas beaucoup aimé (longue en description, rapide en action) et elle est très attendue. C'est vraiment de très bons moments à passer avec ses enfants ou non.
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S'il est certain que C. S. Lewis voulait par son univers de fantasy inculquer des valeurs chrétiennes parfois à grands coups de morale simpliste, il serait hypocrite de dire d'une part qu'il était le pire dans ce domaine (mais bon ! Qui va se dresser contre la comtesse de Ségur dans notre bonne culture littéraire traditionaliste, je vous le demande !), d'une autre ce serait exclure la richesse de celui-ci.
En effet, je m'étonne vraiment que de nos jours, en-dehors de l'animal fantasy, les animaux parlants soient si peu prisés ; ici, il y en a plein. À noter aussi que les nains ne vivent pas forcément dans des forges ou à la montagne, mais aussi en forêt et sont divisés en différents peuples : nains rouges, nains noirs..., dont se sont inspirés (de manière extrêmement éloignée, voire parodique ?) Paul Stewart et Chris Riddell. Et puis non seulement Lewis a quand même osé créer un monde qui ne soit pas sphérique (quand bien même ce n'est jamais justifié), mais il a réussi à en insérer d'autres, dont des mondes MORTS ! Oui, exactement : de la fantasy post-apocalyptique avant l'heure. Et dans un livre jeunesse.
Là où on peut vraiment râler, c'est au niveau du magicbuilding : en-dehors de quelques légères explications, les éléments surnaturels restent très fantaisistes, parfois difficilement crédibles (cf. l'arbre à caramels...). le style de l'auteur aussi peut agacer, mais le fait qu'il se montre compréhensif envers le lecteur compense plutôt bien le fait qu'il puisse donner des leçons que tout le monde n'apprécie pas forcément.
Et puis certains critiques Babelio vous diront que les tomes sont d'une qualité inégale ; personnellement ce n'est pas mon impression. "Le Neveu du Magicien" s'intéresse à la cosmogonie de Narnia, avec pas mal de trouvailles originales telles que les bagues pour voyager entre les mondes ou celles que j'ai déjà citées ; "L'armoire magique" est une histoire de guerre simple et par endroits puérile mais c'est le tout premier tome de la série, la pierre angulaire sans laquelle l'auteur n'aurait pas pu construire son univers (signalons aussi qu'il est le seul à avoir pensé que les portails magiques pourraient se trouver dans des lieux parfaitement ordinaires - et pas seulement SEMBLANT ordinaires, comme on y a sans doute pensé en urban fantasy -) ; j'ai aimé que "Le cheval et son cavalier" soit un tome qui prenne des risques du fait que Narnia n'y fasse qu'une brève apparition et qu'on s'intéresse au reste du monde ; "Le prince Caspian" est sans doute un livre plus adulte que les autres, sa politique et le fait que le merveilleux en-dehors du chapitre final soit beaucoup moins présent que d'ordinaire ; "Le voyage de la Belle Aurore" a un peu de sense of wonder hélas compensé par un récit trop décousu ; "Le fauteuil d'argent" a le mérite d'imaginer un Narnia plus crépusculaire, où le roi est mourant, où les principaux animaux parlants entrant en jeu sont des rapaces et les humanoïdes des êtres des marais, et de s'intéresser à ce qui se cache dans les profondeurs de la terre (je ne le dirais jamais assez, les souterrains restent trop méconnus de la SFFF) ; quant à "La dernière bataille"... "La dernière bataille"... Eh bien il y a certes peu d'action et pas mal de pourparlers inutiles, mais ce tome vient boucler la boucle entamée avec "Le neveu du magicien" : il y a eu une jeunesse, il y aura une apocalypse. Ce n'est pas évident de se débarrasser de son propre monde comme ça. (Évidemment, le plus gros défaut est peut-être un double sens tout comme dans "Le cheval et son écuyer" qu'on pourrait qualifier d'islamophobe ; les cyniques trouveront toujours dans ce dernier tome une belle raillerie des désirs d'oecuménisation).
Mais ce que Narnia a de plus grand comme mérite, c'est que ma mère me le lisait enfant, et que ça a été ma seule porte d'entrée réelle vers les littératures de l'Imaginaire. S'il n'y avait pas eu Narnia, je ne serais pas en train de vous parler aujourd'hui.
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saga de sept tomes, écrites pas C S Lewis, grand ami de Tolkien, le monde de narnia raconte l'histoire de quatre enfants londoniens catapultés dans un monde imaginaire constitués d'animaux parlants, de centaures, de griffons, de faunes, nymphes et sorcières cruelles, allusion à la sorcière blanche et ses loukoums. La saga comporte de nombreuses références mythologiques, grecques romaines ou orientales et sa magie n'en est que plus belle! le prince caspian est l'un de mes favoris ( et pour comparer avec le film, bravo au jeu de l'acteur Ben Barnes ;) )
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Depuis l'enfance, cette saga magique ne m'a jamais lassée. Et ce que je préfère avec le Monde de Narnia, c'est que j'ai beau la lire et le relire, je redécouvre à chaque fois l'histoire d'une manière différente. On peut "grandir" avec ces histoires.

De sa fondation aux bouleversements qu'il a vécu, le pays de Narnia se dévoile à nous et nous fait voyager à travers ses contrées avoisinantes et par son Histoire. En compagnie de nombreux personnages qui marquent, nous assistons à des batailles épiques, à des défaites, nous lisons splendeurs et autres merveilles mais aussi noirceur et actes de sorcellerie, toujours sous le regard bienveillant, puissant, intimidant et doux du grand et majestueux Lion Aslan.
Les sept histoires composant cette intégrale sont publiées dans l'ordre chronologique des aventures s'y déroulant, mais il est évidemment possible de les lire selon les dates de publications de chaque récit (ce que je testerai, d'ailleurs, lors de ma prochaine relecture de la saga).
Dans le Neveu du Magicien, Polly et Digory, deux enfants, sont envoyés par l'oncle du jeune garçon - un magicien de fortune - et avec l'aide de bagues magiques dans un autre univers. Après la terrible rencontre avec Jadis, sorcière maléfique, ils assisteront à la naissance de Narnia, parti du rien, réveillé par Aslan, un lion magnifique.
Des années plus tard, Lucy Pevensie pénètre dans une armoire qui va sembler bien plus grande qu'elle n'y paraît... En compagnie de sa soeur Susan et de ses frères Peter et Edmund, ils vont découvrir dans le Lion, la Sorcière Blanche et l'Armoire Magique un Narnia, figé sous la neige par un puissant sortilège qu'ils tenteront de contrer.
Le Cheval et son Ecuyer nous conte l'aventure que les fugueurs Shasta et Aravis, accompagnés de deux chevaux parlants: Bree et Hwin, vivront des régions de Calormen à Archenland, contrées voisines de Narnia, pendant que les Pevensie y vivent toujours.
C'est avec le Prince Caspian que nous comprenons que beaucoup de mystères environnent ce pays mythique puisque les quatre enfants Pevensie, rentrés dans notre monde, se voient renvoyés à Narnia... des milliers d'années après leur dernière venue, alors qu'une seule année s'est écoulée sur Terre ! Caspian, jeune prince en danger, leur demande de l'aide pour récupérer son trône.
Nous retrouvons Caspian dans L'Odyssée du Passeur d'Aurore, ainsi que Lucy et Edmund Pevensie et leur cousin: Eustache Scrubb. Naviguant sur des mers inexplorées, ils auront pour missions de retrouver sept seigneurs disparus.
Dans le Fauteuil d'Argent, Eustache va retrouver Narnia en compagnie d'une jeune fille martyrisée de son école: Jill. Aslan leur révèlera qu'ils doivent retrouver le prince Rilian, disparu depuis des années.
Enfin, La Dernière Bataille signe la fin des aventures que l'on a connu. Et quand un singe vicieux fait passer son ami âne pour le Lion Aslan en le déguisant, et force les habitants de Narnia à d'horribles méfaits, les croyances s'effritent et cet univers fantastique et plus en danger que jamais...

Fascinée par la magie environnant chaque volume, j'ai toujours aimé me plonger dans Narnia et j'ai constamment un pincement au coeur en lisant le dernier récit. le si beau et si inaccessible Aslan nous fait vivre de grandes aventures. Je me demande à qui Clive Staple Lewis destinait ses romans, car la narration jeunesse s'adresse forcément aux enfants, le fait même que les héros soient très jeunes nous incline à penser de même, mais la lourdeur des récits, par moments, les batailles épiques ou le fond même de cette saga intelligente et recherchée est certainement fait pour être entendu de personnes plus matures. Quoi qu'il en soit, même si cette intégrale peut paraître longue à lire d'une traite, le rendu final est captivant et fabuleux.
N'oublions pas de remercier Mr Tolkien (oui, oui, notre Seigneur de la Terre du Milieu même) d'avoir présenté l'illustratrice Pauline Baynes - qui signe ici des représentations parfaites de l'univers de Narnia - à C.S. Lewis.

Narnia est une aventure complète, une grande aventure où le bien et le mal s'affrontent perpétuellement, où des enfants sont réunis - avec parité, invariablement - pour régner à Cair Paravel ou bien aider les rois et reines présents dans leurs affrontements pleins de mystères, de sorcellerie, de magie. A vivre intensément !
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Finalement, la brique de 830 pages qui composaient mon édition des Chroniques de Narnia m'a emmenée à travers des aventures des plus diverses, avec des personnages très attachants, auxquels on peut toujours un petit peu s'identifier (la douceur de Lucy Pevensie, les mensonges d'Edmund, la peur d'Eustache et Jill, la loyauté de Ripitchip, etc.)
Une seule chose me laisse totalement sur ma faim, mais finalement, je me demande si ce n'est pas pour le mieux : j'aurai fini ce livre sans réellement comprendre qui est Aslan, et comment il en est venu à avoir autant de pouvoirs. Peut-être que creuser trop cet aspect aurait emmené C.S. Lewis dans une direction qu'il ne voulait pas prendre – il n'empêche que c'est finalement, la question que tous les héros se posent, et qu'on ne peut s'empêcher de se poser également.
C'est avec plaisir que j'ai reposé le roman à la fin de sa lecture, en me disant, qu'enfant, j'aurais tellement aimé pouvoir me transporter dans de telles aventures. Mais comme les Pevensie, je suis trop vieille, désormais, pour retourner à Narnia autant que je le souhaite. Je me contenterai de tourner les pages, et d'emmener avec moi là-bas mes enfants, quand ils seront assez grands pour affronter sorcières et géants.
Lien : https://juliejuz.wordpress.c..
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Dans l'ensemble, une oeuvre plaisante, encore que celle-ci ait clairement été destinée à un public jeune.
Comme beaucoup d'autres, mon préféré reste et restera le Lion, la Sorcière Blanche et l'Armoire magique, tant pour son plus grand souffle épique que pour mon affection à l'égard de l'adaptation cinématographique que j'ai jugé plutôt réussi (surtout du côté de la Sorcière Blanche jouée par une magistrale Tilda Swinton). Par ailleurs, le reste me paraît de qualité assez inégale, certaines histoires nous captivant, d'autres nous ennuyant tellement qu'on ne peut s'empêcher de lire en diagonale.
Et naturellement, livre pour enfant oblige, les petites leçons de morale simpliste qui s'amoncellent peuvent se révéler par moments agaçantes tant elles sont mièvres. le personnage qui, à mes yeux, reflète une mentalité d'adulte reste Aslan. Un aspect plutôt soulageant dans une histoire vue à travers les yeux d'enfants.
J'avais de même entendu parler d'une apparente mysoginie de la part de C.S Lewis, et j'ai été au regret de constater que les rumeurs sont fondées. le seul exemple véritablement parlant concerne Susan, qui ne croit plus en Narnia, trop obnubilée par son tube de rouge à lèvres. Si cela m'a fait rire au début, il faut avouer une certaine tendance à considérer cela comme un formidable abus et une incohérence béante. Les filles, vous préférez quoi ? Partir dans un monde imaginaire pour vivre mille aventures, ou conter fleurette à votre tube de rouge à lèvres ?
En bref, on ne m'a pas fourni là de quoi obtenir une lecture inoubliable. C'est plaisant lorsque l'on veut s'évader des lectures casse-tête, mais sans plus.
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Très bonne saga de science fiction pour un jeune public, même si les histoires sont un peu moralistes par moments, elles se laissent apprécier. L'auteur fait preuve d'une grande imagination, et il ne faut pas oublier qu'il est l'un des précurseurs des romans "fantastiques à univers". Il a d'ailleurs inventé un concept resté phare dans le fantastique, à savoir le monde intermédiaire entre les différents mondes parallèles, le couloir qui permet d'accéder à tous les mondes, et sans lequel bien des sagas ne seraient tout simplement jamais nées.
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j'avais vu il y a quelques années les films et lorsque j'ai appris qu'ils étaient basés sur des livres, j'ai eu très envie de les découvrir ! 🌟

cette lecture a été merveilleuse. comme pour ma dernière lecture, j'ai été complètement emportée dans un autre monde rempli de magie, et autres choses merveilleuses ! ça m'a complètement dépaysée ! 😆

toutes les histoires sont vraiment complémentaires, on en apprend au fil des tomes sur le monde, sur les personnages, etc. par contre, ne faîtes pas comme moi : ne les lisez pas tous d'un coup !! à partir du tome 4 je commençais à faire une overdose de Narnia alors que c'est génial !! 🥺

mes deux tomes préférés sont le 2 & 7 et j'ai d'ailleurs été très surprise de voir que dans la plupart, ce n'est pas Peter, Susan, Edmund ou encore Lucy qu'on suit, mais d'autres personnages ! (en parlant d'eux, j'ai été très déçue de Susan 🙄.)

la fin est selon moi magistrale : 1) j'ai pleuré 2) c'est l'une des plus belles fin que je n'ai jamais lu. c'est vraiment une histoire que je ne suis pas prête d'oublier, et que je vous recommande vivement de découvrir ! 💞

si j'ai l'occasion de le trouver d'occasion (ahah), je vais pour sûr me jeter dessus ! (au sens figuré hein, je ne voudrais pas l'abîmer.)
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