AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les enquêtes extraordinaires de Ne... tome 1 sur 1
EAN : 9782809434583
400 pages
Panini France (06/11/2013)
3.61/5   55 notes
Résumé :

Bienvenue dans un Londres étrange et merveilleux, une métropole en plein bouleversement. Ses habitants, quotidiennement éblouis par un déluge d’inventions, inaugurent une ère technologique nouvelle. Les aéronefs traversent le ciel de la ville tandis que des trains de surface parcourent ses rues et que des automates mettent leurs engrenages au service d’avocats ou de policiers. Mais le vernis brillant du progrès dissimule une face sombre, car cet univers ... >Voir plus
Que lire après Les enquêtes extraordinaires de Newbury & Hobbes, Tome 1 : Les revenants de WhitechapelVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
3,61

sur 55 notes
5
6 avis
4
6 avis
3
7 avis
2
1 avis
1
1 avis
Premier tome d'une série estampillée « steampunk » ce roman m'a énormément plu.
Nous sommes à Londres en 1901, les tramways mécaniques et les trains à vapeur sillonnent les rues, tout comme les attelages tirés par de vrais chevaux, et si on veut voyager à l'étranger, on peut acheter un billet sur un dirigeable.
Les automates sont devenus courants et remplacent les humains pour certaines tâches dans les quartiers chics, et pendant ce temps là, dans les bas-fonds, des créatures atteintes d'un étrange virus déciment la population.
Sir Newbury, officiellement anthropologue, travaille aussi pour le compte de la Reine, et c'est à ce titre qu'il va mener une enquête concernant un accident de dirigeable. Il est aidé par une jeune assistante qui n'a pas froid aux yeux, Veronica Hobbes.
Un troisième comparse vient compléter ce trio de choc, l'inspecteur Charles Bainbridge, qui officie à Scotland Yard.
J'ai dévoré cette histoire qui décrit des progrès scientifiques et technologiques tout autant que des expériences futuristes, une maladie mystérieuse, des meurtres odieux et inexplicables et des disparitions étranges, et tout ça avec grâce et beaucoup de style.
Le Londres Victorien y est par ailleurs fidèlement retranscrit, que ce soit les rues sordides, les soirées dans la Haute Société, les conditions de vie des nantis et celles des plus pauvres, les bruits incessants de la rue, les odeurs provenant du fleuve, sans oublier le goût immodéré des anglais pour le thé bu à toute heure du jour et de la nuit.
Le tout forme un ensemble à la fois cohérent et véritablement haletant.
Une très belle réussite.
Commenter  J’apprécie          250
Londres… Mais un Londres steampunk avec des dirigeables, des automates, des machines à vapeur et une bonne dose de fantastique avec des revenants (morts-vivants), un spectre de policier et des automates qui agissent bizarrement.

Le steampunk et moi, on n'est guère habitué ensemble mais ici, entre le roman et moi, ça a matché directement.

Je dirais même plus, ce roman aurait pu avoir lieu avec un Sherlock Holmes car il n'aurait pas dépareillé dans cette où son sens de la déduction et sa science du crime auraient fait mouche.

Sir Maurice Newbury, qui a une addiction au laudanum, travaille dans un musée comme anthropologue et il bénéficie de l'assistance de la charmante Miss Veronica Hobbes.

Mais ceci n'est qu'une couverture car en réalité, il est agent de sa Très Gracieuse Majesté Victoria, ou, pour faire plus court, un agent de la Couronne (et pas dentaire).

Notre duo est bien assorti, sympathique, n'ont pas froid aux yeux et s'y ajoute un inspecteur de Scotland Yard, Bainbridge, qui aurait mérité un peu plus de traitement car il se révélera un atout important dans l'enquête et je l'avais sous-estimé un peu, ce qui est dommageable car il n'a rien d'une cinquième roue du fiacre.

De l'action, du rythme, du suspense, du mystère, des revenants qui puent de la gueule et qui font plus de dégâts dans Whitechapel que ne le fit Jack The Ripper, un spectre de policier qui s'en prend à des habitants du coin et un accident de dirigeable, hautement suspect, puisque l'automate qui le conduisait a disparu.

Non, impossible de s'emmerder dans ce récit qui pulse et qui comporte des tas de petites affaires dans l'affaire, notamment quelques détails sur la vie privée de nos deux enquêteurs, sans que cela prenne le pas sur l'histoire ou ne la dénature. Ici, tout est important, tout se rattache ensemble.

Les descriptions de la ville de Londres sont très bien faites, sans longueurs excessives, la séparation des classes aussi, les dialogues sont enlevés, pas neuneu et les actions des personnages sont fort visuelles, comme pour un scénario.

L'avantage, c'est que l'on visualise bien les cascades que notre pauvre Sir Maurice Newbury va devoir réaliser, déjà qu'il a encaissé quelques sales coups dans cette enquête.

Le côté prégnant des machines à vapeur, automates, dirigeables sont parfaitement bien intégrés aux décors, à la ville de Londres, à tel point qu'on les croirait réels, comme s'il était normal de circuler dans un fiacre à vapeur, sans besoin de chevaux pour le tirer.

Même la reine Victoria, dans un état jamais vu, passe très bien dans sa version steampunk.

Sans en faire trop, l'auteur incorpore quelques réflexions dans son récit, qui valent toujours pour notre époque, et se permet aussi de jouer avec ses lecteurs jusqu'au bout.

Voilà un roman policier steampunk comme j'aimerais en lire plus souvent car il est difficile à lâcher une fois que l'on a commencé sa lecture, les enquêtes sont complexes, différentes, les personnages intéressants, sympathiques.

Il est juste dommageable que les aventures suivantes n'aient pas été traduites en français car j'aurais bien aimé arpenter ce Londres steampunk avec Sir Maurice Newbury et Miss Veronica Hobbes afin de voir ce que l'avenir allait leur réserver.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          180
Ce roman est INCROYABLEMENT GENIAL !!! Je l'ai commencé et l'ai fini en un temps record tellement j'étais passionné !!
L'intrigue se déroule dans un Londres Victorien complètement imaginaire où les avancées technologiques commencent à apparaître et, où le contraste avec le passé est saisissant. de plus, pour ne pas compliqué les choses, un mal funeste se propage dans la ville qui a pour effet de transformer les gens contaminés en zombie.
Le récit est le suivant : un dirigeable s'écrase dans un parc de Londres : parmi les victimes, un cousin éloigné de la famille royale. La reine Victoria (connectée à des machines pour survivre comme un Borg dans Star Trek ) fait appel à Sir Maurice Newbury pour résoudre cette enquête. Officiellement, Sir Maurice travaille dans un musée comme anthropologue avec l'aide d'une assistance (Miss Veronica Hobbes) mais, cela n'est qu'une couverture. Ce dernier est un agent secret de la Couronne. Bref, voila notre faux anthropologue, son assistante et leur ami, l'inspecteur de Scotland Yard, Bainbridge lancés à la poursuite des éléments de cette enquête. Là, l'auteur va nous gâter puisqu'à partir d'un « simple » crash de dirigeable, nous allons découvrir que ce n'est que la partie visible de l'iceberg.
L'intrigue est palpitante à travers une écriture simple, fraîche et moderne où les descriptions en longueurs sont inexistantes et où l'on donne la priorité aux actions. L'Action est haletante avec des course-poursuite, des bagarres, des révélations qui chamboulent l'intrigue…
L'humour est également présent dans le récit au travers des actions ou des dialogues. Un médecin par exemple, cela s'appelle chez eux un « réparateur » comme si l'homme était considéré comme une machine. A un moment Miss Hobbes demande que fait un réparateur, la réponse est tellement simple qu'elle m'a fait rire : « Il répare ! ».(Of course ! )
Côté personnage, nous n'avons pas tant à faire à un duo mais plutôt à un trio. Les personnages ne nous sont pas présentés comme des êtres parfaits… au contraire ! Sir Maurice souffre d'une addiction à la drogue et, est attiré par les sciences occultes ; Miss Hobbes a une soeur qui est interné dans un asile psychiatrique… l'Inspecteur Bainbridge n'est pas là comme un faire-valoir idiot qui démontre la supériorité des deux autres ... au contraire !
Enfin, l'épilogue à la fin du récit nous permet de découvrir que les personnages cachent bien leur jeu... notamment Miss Hobbes qui, est l'assistante du professeur non pas seulement pour l'aider dans ses tâches au musée … mais suite à un ordre de la reine.
Bref, vivement les prochains tomes car j'avoue que j'ai très envie de découvrir ce que cachent encore se trio incroyable.
Commenter  J’apprécie          60
The Affinity Bridge / Les Enquêtes Extraordinaires de Newbury & Hobbes - Tome I : Les Revenants de Whitechapel


Bon, alors, comment vous expliquer ? Dites-vous bien d'abord que tout le monde n'est ni Anne Perry, ni Conan Doyle abandonnant Sherlock pour le spiritisme. Déjà, ça vous consolera un peu. Pour le reste ...

Il y a un zombi. de cela, j'ai un souvenir très net. Il y en a même plusieurs, je crois. le premier surgit en plein désert et mord l'un des trois soldats britanniques qui ouvrent le roman. Alors, là, pas de lézard : dans peu de temps, le serviteur militarisé de Sa Très Gracieuse Majesté, Victoria Ière, Reine d'Angleterre et d'Irlande et Impératrice des Indes (entre autres petits titres ) va lui aussi se transformer en zombi. Et probablement mordre les autres soldats s'il n'y a pas un autre zombi qui se ramène et le précède dans l'action.

Du désert de je-ne-sais-plus-où, on passe à Londres, ni plus, ni moins, avec des personnages (un journaliste, je crois, et un privé mais je n'en suis pas sûre, à croire que le zombi est passé par chez moi et m'a mordue - ce devait être mon radiothérapeute, tiens ! ) qui doivent affronter une une double intrigue: d'abord, tous ces paisibles citoyens britanniques qui, transformés (on croit que c'est une épidémie, mais de quoi ?) en zombis (si vous voulez les détails, achetez le bouquin : moi, les zombis, ça n'a jamais été mon truc sauf chez Jacques Tourneur ou encore chez Terry Pratchett) par on ne sait qui, on ne sait quoi, se précipitent sur leurs concitoyens normaux pour leur faire rejoindre leur sinistre confrérie. Mais, contrairement aux vampires, que leurs morsures bien sanguinolentes font prospérer, nos zombis à nous ne gagnent pas grand chose à celles qu'ils infligent : ils finissent toujours par mourir - en tombant en poussière, je suppose, quel autre moyen voyez-vous pour ce faire quand on est déjà un zombi ? En bons Anglais, ces zombis-là veulent, comme toujours, se distinguer des autres : et ce ne sont ni Angela, ni François qui vous diront, après le Brexit, que les Anglais sont des gens comme vous et moi, c'est certain ! Ergo, les zombis de George Mann mordent (pour se rapprocher des vampires mais avec une subtilité que vous avez déjà perçue, j'en suis sûre ) et puis, après quelques jours de vivotage, ils tombent en poussière, au contraire de tout zombi normal européen qui, lui, reste entier (que l'on me permette cette remarque qui pourrait choquer certains ) et bien en mort-vie parce que, justement, c'est le but de tout zombi digne de ce nom.

La deuxième intrigue, c'est le "Bobby clignotant", un spectre évanescent, celui d'un policier tué férocement dans le smog par de sombres abrutis et qui revient se venger - cinq fois. Hormis cette étrange manie de clignoter comme une guirlande électrique sur un sapin de Noël - une autre façon anglaise pré-Brexit de se distinguer, comme la conduite à gauche par exemple - notre spectre est plutôt fair play et ne tue que ceux qui lui ont fait du mal. Que devient-il à la fin ? Je crains de l'avoir oublié . J'ai honte - écoutez, j'essaie, ne m'en demandez tout de même pas trop avec de pareilles inepties ! ;o)

Il me semble qu'il y a aussi une troisième intrigue bizarre mais alors là, laquelle ? ... C'est le noir complet.

Il n'y en a peut-être pas, notez : un zombi qui passait par là l'aura mordue et ... ;o)

Je précise que George Mann et sa maison d'éditions sont des spécialistes de la "télénovellisation" - entre autres de celle de certains épisodes du Dr Who. (Et, à ce sujet, j'espère que le TARDIS ne se posera jamais dans son jardin parce que le Docteur, c'est une bonne pâte mais il y a des limites d'intelligence et de cohérence auxquelles il tient aussi fermement que votre humble servante ... ) Ladite servante n'a d'ailleurs rien contre George Mann mais se permet de rappeler qu'unir le fantastique au policier est toujours chose très délicate à effectuer. Là, pour moi, c'est le flop total, absolu, désespérant, frustrant ... et je vous déconseille vivement d'aller juger sur pièce, ce que je fais rarement, vous le savez. Maintenant, c'est vous qui voyez ... Bon courage et ne vous faites pas mordre, hein ! ;o)
Commenter  J’apprécie          12
Vous aimez les automates possédés, les zombies et les meurtres en série , le tout dans un Londres brumeux à souhaits ? Ce roman est fait pour vous !

Mon avis :
Une intrigue mêlant plusieurs faits étranges... mais qui se recoupent parfaitement.

Les premiers chapitres embrouillent un peu le lecteur par les différents éléments qu'on lui soumet, en plus de lui présenter les personnages principaux.

On apprend qu'un quartier pauvre de Londres est la proie d'une maladie qui transforme les habitants en zombies-vampires.

Puis l'on suit une enquête que mène Miss Hobbes et Sir Newbury portant sur un accident d'aéronef qui transportait un membre de la famille royale, et conduit par un automate, absent des décombres.

En parallèle, des accidents provenant d'automates fous se produisent un peu partout en Angleterre et des meurtres sont perpétrés par un tueur en série fou.

Pour finir, le frère de la secrétaire de Sir Newbury a disparu.

Tous ces éléments trouvent leur résolution dans un enchaînement logique mais cela prend un certain temps aux enquêteurs et au lecteur pour trouver la solution. Néanmoins, l'histoire est assez réussie et le rythme ni trop lent, ni trop rapide. Un parfait roman policier en somme.

Une Angleterre mécanisée

Ce volume de George Mann fait apparaître une Angleterre Victorienne dans l'esprit Steampunk, assez soigné : les automates remplacent peu à peu les ouvriers et le personnel, on se déplace dans des aéronefs, tramways mécaniques et trains à vapeurs...

La science est partout et le progrès est de mise. Même la Reine Victoria a un traitement spécial : elle survit grâce à un appareil mécanique qui lui permet de respirer, assise dans un fauteuil roulant.

Le brouillard anglais et l'atmosphère londonienne sont bien retranscrits, mêlant subtilement le côté historique (fiacres, habitations, vie quotidienne) et l'uchronie (aéronefs, automates...) de l'histoire.

D'autres aspects, moins reluisants sont aussi présents : l'internement dans les hôpitaux psychiatriques pour les femmes dites "hystériques", et surtout des crimes toujours très sanglants.

Des personnages pittoresques bien développés

Malgré son air distingué et ses belles manières, Sir Newbury cache quelques vices : une passion dévorante pour l'ésotérisme, très en vogue à l'époque Victorienne, ainsi qu'un goût prononcé pour le laudanum, drogue puissante connu aussi sous le nom d'opium. Mais c'est un enquêteur hors pair, doté d'une constitution d'acier.

Miss Hobbes cache bien son jeu sous ses airs de jeune fille bien élevée : au-delà de ses talents d'enquêtrice peu communs pour une femme de l'époque, elle cache un lourd secret de famille. En effet, sa soeur a été internée par ses parents dans un hôpital psychiatrique car elle a des crises, considérées par tous comme de la démence. En vérité, elle arrive à voir l'avenir mais cela n'est pas bien vu dans la bonne société. Miss Hobbes va chercher à faire sortir sa soeur, tout en utilisant son don de divination pour les besoins de l'enquête.

Le duo fonctionne assez bien, à la manière d'un duo traditionnel Sherlock-Watson, sans pour autant apporter une touche d'originalité au genre. L'auteur a le bon goût de ne pas tomber dans les clichés en laissant la relation entre les personnages strictement professionnelle, sans la transformer en intrigue amoureuse.

En bref : Une lecture efficace et rafraîchissante pour les amateurs d'intrigues policières Steampunk à la sauce holmésienne. A noter que d'autres tomes du duo existent mais ils n'ont pas été encore traduits en français à ce jour.
Commenter  J’apprécie          20


critiques presse (1)
Elbakin.net
02 août 2011
Parfois bancale dans sa structure, jouant des mécanismes du feuilleton mais sans toujours en appliquer la rigueur, Les Revenants de Whitechapel n’est qui plus est pas particulièrement bien écrit, dans un style franchement passe-partout. 3/5
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Inde, août 1901
Les mouches. Toujours ces fichues mouches.
Harrison chassa d’un revers de main les insectes qui ne cessaient de bourdonner autour de sa tête et vérifia le bon fonctionnement de son fusil pour la cinquième fois en une heure. Plus oppressante que jamais, la chaleur l’engonçait dans son uniforme et trempait sa nuque de sueur. Ses deux compagnons en souffraient tout autant : Hargreaves, juché sur un rocher, buvait une longue rasade à sa bouteille d’eau et Taylor, l’air atterré, faisait les cent pas en soulevant la poussière à coups de pied. Il leur restait deux jours avant de repartir pour l’Angleterre [...]
Commenter  J’apprécie          10
Du haut de l’affleurement rocheux, il discernait à peine le village depuis lequel ils étaient montés tant bien que mal, une jonchée de fermes et de maisons délabrées qui, telle une fratrie troublée, se côtoyaient sans se toucher. Derrière lui, l’orée de la jungle marquait la lisière de la localité et, sur sa gauche, un pointillé lointain marquait la présence d’un petit nombre d’ouvriers agricoles qui s’échinaient à cultiver des champs aussi verts que feuillus. Du panorama se dégageait un sentiment d’expectative, comme si l’endroit retenait son souffle dans l’attente d’un événement quelconque.
Commenter  J’apprécie          10
L’industriel hocha la tête. "Cela me préoccupe aussi, miss Hobbes. Mais on ne peut se permettre d’arrêter la marche du progrès. Avec le temps, la société recouvrera son équilibre par l’évolution des communautés. Les entreprises nouvelles créeront une pléthore d’emplois. La révolution automatique offrira encore plus d’opportunités, et je parie que, d’un bout à l’autre de l’Empire, toutes les classes sociales connaîtront une amélioration de leur niveau de vie."
Commenter  J’apprécie          10
"Newbury, les gens de cet acabit ne se satisferont jamais de leur sort. Quoi qu’ils disent, au lieu de changer le monde, ils veulent le dominer. Ils se prétendent philanthropes, or ils sont aussi cupides que nous, aussi assoiffés d’argent et de reconnaissance. Et ces deux-là, sans doute davantage."
Commenter  J’apprécie          10
Veronica croisa le regard de sir Maurice. "M. Chapman, que deviendront les gens mis au chômage par ces automates, et que deviendront leurs familles ? Si on leur prend leur travail en les remplaçant par ces êtres artificiels, la plupart connaîtront la misère, sans espoir d’embauche nulle part. Où voyez-vous l’intérêt de l’Empire là-dedans ?"
Commenter  J’apprécie          00

autres livres classés : steampunkVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (175) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4872 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..