En 2000, en plein boom des début d'internet,
Alain Minc voulait persuader que l'avenir était dans les nouvelles technologies de l'information, qui allaient bousculer les rapports sociaux en ringardisant l'industrie et en contournant la domination des États sur leur territoire.
Selon lui, la croissance avec les NTIC serait durable et accompagnerait de la globalisation financière...