Le cercle

Une professeure, Claire Diemar, est retrouvée tuée dans des circonstances horribles, appelé sur les lieux, Martin Servaz s'aperçoit avec horreur que son Némésis, Julian Hirtmann pourrait être l'auteur du meurtre.
Bientôt, tout s'emballe autour du commandant, le fils de son grand amour lorsqu'il était étudiant est le principal suspect. Et sa fille pourrait aussi être en danger, car le lycée de Marsac est l'épicentre de bien des secrets.
Entre paranoïa et quête de vérité, Martin Servaz va devoir se confronter à son passé afin de préserver ses proches, aussi bien que lui-même.

Avec le Cercle, je fais donc connaissance sur papier avec Martin Servaz, flic érudit qui aurait voulu devenir écrivain. Homme hanté par un passé qui ressurgit dans cette histoire avec son lot d'erreurs et de regrets. Entre les souvenirs de sa vie d'étudiant et ceux plus récents liés à Julian Hirtmann, Servaz nous apparait plus d'une fois comme un policier terriblement humain et profondément blessé.
Ce roman est dense car la partie enquête nous permet de naviguer entre différents personnages, on retrouve aussi avec plaisir Irène Ziegler, qui dans l'ombre va aider Martin.
En fait, j'ai réellement apprécié chaque protagoniste car ils sont tous décrits avec soin. Les lieux ont aussi une importance capitale, Marsac existe grâce à Bernard Minier, il m'importe peu qu'un endroit soit réel ou fictif, l'essentiel étant que j'y crois. Dans ce roman, je pouvais croire à tout, car rien n'est laissé au hasard. La vérité a commencé à m'apparaitre lors des cinquante dernières pages après que je me sois fait balader pendant un paquet de temps.
Il est difficile de quitter Martin Servaz, ses doutes, ses contradictions et sa volonté sans faille, même lorsqu'il se remet en question, sans concession envers lui-même. Sa relation particulière avec Julian Hirtmann est aussi incroyablement bien rendue. Bernard Minier ne nous offre pas seulement un thriller très bien mené, il explore l'âme humaine dans ses plus sombres recoins, surtout ceux que l'on refuse de voir.

Pourquoi lire le Cercle ?

Parce qu'on ne refuse jamais de se plonger dans un roman bien écrit, avec une intrigue très bien ficelée. Attention, le risque d'addiction est important, et il vous faudra sûrement des doses de Servaz régulières ensuite sous peine de manque. La bonne nouvelle ? cinq autres romans (pour le moment !) avec votre commandant préféré vous attendent !
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Ce deuxième tome confirme mon amour pour Bernard minier il m'en a fallu peu pour voir à quel point cet auteur est talentueux . Une plume tout à fait exquise qui vous plonge dans ses romans et vous donne envie d'en savoir toujours plus. Des personnages auxquels on s'attache surtout pour le personnage principal pour qui j'ai un énorme coup de coeur. L'auteur arrive à rendre ses personnages humain et réel et ça j'ai adoré. On en apprend plus sur la vie de Martin mais également sur ses acolytes.
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L'intrigue est parfaite et le suspens est présent. Quelques référence de glacé s'immisce dans ce tome 2 mais c'est pour notre plus grand bonheur. Plein de rebondissement et un final 👌

Encore une merveille de Bernard Minier.
Nous retrouvons avec plaisir le commandant Servaz et son équipe, 18 mois après l'affaire de l'hiver 2008-2009, nous prenons plaisir également à suivre Ziegler de son côté, un personnage que j'avais beaucoup aimé dans « glacé ».

Une enquête incroyable avec un dénouement magistral... beaucoup de tristesse également, sur pas mal de points auxquels je ne m'attendais pas, de belles émotions.
Je me suis totalement mise dans la peau de Martin, toutes ses émotions, je les ai totalement ressenties, j'ai dévoré ce roman.

Les passages dans la cave sont insoutenables, c'est ce que j'aime avec Minier (attention pas les scènes !!), il y a toujours plusieurs histoires...
Plusieurs personnages, où on essaye tant bien que mal de trouver leurs points communs... qui se retrouvent tous à un moment ou un autre !
Et Hirtmann... son « petit jeu »... il est clair que je ne m'attendais pas à l'identité de celle-ci.
On ne peut pas trop en dire, ce serait gâché la surprise.

Bon, par contre, tous ces orages... à chaque rebondissement, un éclair est là, décidément !! Cela m'a légèrement agacé, un peu répétitif.

Quoi qu'il en soit, parfait, un roman parfait !
Vraiment, Minier est pour moi, simplement parfait !

Du grand polar... j'en ressort bluffée, sonnée... et je reste sur ma fin car il faut qu'il y ait une suite ... je suis hantée par une question : où est Marianne ?
j'ai lu glacé d'une traite.... le Cercle d'une traite... je pensais faire une pause dans les polars et revenir aux biographies historiques... mais mes plans viennt de changer... je crois que je vais me jeter sur le suivant "N'éteinds pas la lumière"... merci Bernard Minnier...

J'avais beaucoup aimé « Une putain d'histoire » et découvert avec ce thriller, une plume intelligente et agréable à lire, un auteur vers lequel je m'étais promis de revenir. C'est chose faite ! Bon, je me suis trompée en glissant non pas « glacé » dans ma valise, mais « Le cercle », soit le deuxième opus des enquêtes du Commandant SERVAZ… de nombreuses références sont faites dans « Le cercle » à cette première enquête mais cela reste néanmoins compréhensible ! J'espère juste que cela ne m'aura pas trop dévoilé de détails sur l'issue d'un livre que je pense lire très bientôt ! ;-)
Bon, revenons à ce page-turner qu'est « Le cercle »… parce que je dois bien l'avouer, ce roman, commencé au début de mes vacances, m'a offert quelques nuits courtes pour cause de lecture tardive ! Car j'ai vraiment dévoré ces 800 pages où le lecteur plonge avec le Cdt SERVAZ dans l'enquête autant que dans ses souvenirs et les ombres de son passé. L'histoire et l'intrigue sont bien construites, les différents personnages, intéressants et attachants. J'ai particulièrement aimé découvrir le Cdt SERVAZ, flic instruit et érudit, féru de littérature et de musique classique mais surtout flic torturé au passé sombre et douloureux, que l'on aimerait pouvoir soulager de ses peines et guérir de ses démons…
Je ne retiens qu'un point négatif à ce sympathique thriller : quelques passages que j'ai trouvé inutiles au livre, que ce soit pour le développement de l'histoire ou celui des personnages. Mais ce n'est vraiment qu'un détail au regard du plaisir que m'a procuré cette lecture ! Donc, vivement « glacé » et « N'éteins pas la lumière » !

Décidément, ce pauvre Servaz est vraiment malmené par la vie ! En tout cas, ça m𠆚 fait plaisir de le retrouver, avec son équipe. Ce livre est un pavé. C𠆞st sans doute le roman le plus épais que j𠆚i lu de ma vie, mais il est cependant très digeste, se lit assez vite. On tourne les pages sans s𠆞n rendre compte, l’intensité monte au fur et à mesure. Comme « glacé », dont ce livre est la suite, j𠆚i adoré. Il y a d𠆚illeurs beaucoup de rappels concernant ce précédent volume, il n𠆞st donc pas nécessaire de l𠆚voir lu avant. Je conseille toutefois de lire les enquêtes de Servaz dans l’ordre, car ça rend l’intrigue plus palpitante et les personnages plus attachants. Passionnant. La suite est dans ma PAL.

Trois ou quatre ans après ma lecture de glacé, le premier roman de Bernard Minier, j'ai décidé de me replonger dans l'un de ses polars, la suite du premier, forcément, c'est plus simple et aussi l'un des rares que j'ai pu trouver en magasin dans cette période de confinement, le seul qui m'a tapé à l'oeil.

Le souvenir du premier bouquin est un peu lointain, et je dois vous avouer que j'ai eu l'impression de redécouvrir cet auteur. Ce qui est bien, c'est que malgré la distance des années, je me suis vite réapproprié l'univers de l'auteur car tout se tient, tout est bien mis en scène, avec un style descriptif parfois un peu lent mais terriblement efficace. La profondeur des personnages est vraiment travaillée, et plus aboutie que dans le premier livre.

Bernard Minier est donc parvenu à m'emporter dans son enquête avec une aisance déconcertante. On défile les pages sans jamais pouvoir s'arrêter, on se délecte des métaphores et des scènes de description qui permettent de faire croître l'intensité du roman. Et on souffre à chaque fois que Martin Servaz se trouve dans une impasse.

Et à la fin, on en veut encore... On a envie de voir Martin partir à la poursuite de Julian Hirtmann...

Franchement, chapeau. Si vous aimez les polars et les thrillers, vous pouvez foncer.

Le seul point noir, c'est que je ne suis pas certain que les critiques sur le football étaient nécessaires dans son histoire, même si certaines sont légitimes. En outre, j'ai eu la chance de voir Anelka jouer dans un stade, c'était un joueur vraiment élégant, dommage de le voir être cité comme ça par des personnages peu raffinés dans ce récit.

Encore un formidable roman de Bernard Minier - La deuxième partie du livre est vraiment époustouflante - J'ai dévoré cette histoire en moins d'une semaine - Je place cet auteur au niveau de Messieurs CHATTAM, THILLIEZ et GRANGE - Monsieur MINIER continuez s'il vous plait à écrire comme çà. C'est un bonheur et un moment d'évasion fantastique. de mon côté, je vais continuer à découvrir le reste de vos oeuvres. Bravo

Nous retrouvons Martin Servaz sur une enquête difficile : le fils de son amour de jeunesse est accusé d'un meurtre ignoble. Il doit retourner dans la ville de ses jeunes années, revoir celle qui l'a tant fait souffrir, réouvrir un livre qu'il aurait voulu garder scellé.

Martin se retrouve confronté à des évènements sans lien apparent, et à la crainte qu'une vile connaissance ne fasse surface pour lui prendre ce qu'il a de plus cher. Une enquête éprouvante, ou chaque pas vers la solution est difficile à franchir, on devine le pourquoi et on appréhende d'avoir raison. Servaz souffre, aussi bien mentalement que physiquement, le pauvre n'a pas droit a un répit pourtant mérité. Blessé de milles façons, on veut qu'il réussisse à reprendre le dessus.

Vies blessées, fracturées, souvenirs encore trop vifs, crainte de finir seul... le désespoir qui fait crier "au loup" et le retour de bâton ne se fait pas attendre.

J'ai adoré cet ouvrage, plus que le premier car encore plus complexe, plus sombre. On en apprend plus sur les personnages principaux et leur manière de d'agir, de communiquer avec les autres, et c'est bienvenu.

J'ai retrouvé avec plaisir le commandant Martin Servaz et son équipe dans un nouveau thriller bien addictif. Dans une ambiance chaude, moite et orageuse, l'enquête se déroule dans la ville où il était étudiant et parmi ses anciens amis/amours de jeunesse, et c'est dans ce même lycée de prépa littéraire que sa fille a aussi été admise. Avec en fil rouge Hirtmann, le serial killer de glacé, et la musique de Mahler. Une saga que j'ai hâte de poursuivre !