Les combustibles

J'ai pris ce livre grâce à l'opération "deux livres de poche achetés - un offert" et celui-ci était offert. Quelle suprise de voir que c'est une pièce de théâtre, il y a longtemps que je n'en ai pas lu. J'aime beaucoup Amélie Nothomb, elle a écrit de très bons livres mais là j'avoue que celui-ci m'a laissé perplexe.
Elle essaye de nous faire réagir face à tous ces livres brûlés et comment nous, lecteurs, ferions en de pareilles circonstances. Mais je ne comprends pas pourquoi amener ce sujet. Parce que même en tant que lectrice passionnée, si je devais choisir dans une telle situation entre avoir chaud et mes livres, le choix serait évidemment vite fait. Donc puisqu'il faudra tout brûler, pourquoi s'inquiéter de ceux qu'on brûle en dernier ou en premier ? Cela me paraît dérisoire face à la situation vécue...
Cette pièce expose aussi comment l'être humain peut devenir froid, cruel, calculateur, égoïste, cynique, abject, etc... dans une situation extrême, face au désespoir et à la peur mais ce n'est pas une découverte ni une surprise. On le savait déjà...
Je suis très mitigée, peut-être n'ai-je pas compris le message ou la raison de cette écriture... Peut-être n'y en avait-il pas mais cela me paraîtrait bizarre avec Amélie Nothomb... Cela dit c'est très bien écrit et j'ai quand même plongé avec les personnages dans ce huit-clos. Je continuerais de lire la bibliographie de cette auteur.

Deuxième oeuvre que je lis de cette autrice et j'ai été déçu par cette lecture. Après avoir beaucoup apprécié et été surprise par Péplum, il y a maintenant deux ans, j'avais l'envie de découvrir une nouvelle histoire de Madame Nothomb. Et je ne pense pas avoir choisi le bon roman pour cela.

Avec les combustibles on se retrouve dans une pièce de théâtre d'une centaine de pages qui relate la vie de trois personnes qui se cachent en période de guerre. le froid est là et les vivres commencent à manquer. Des choix vont devoir être fait et des livres brûler pour pouvoir se réchauffer. La grande question est qu'elle livre mérite de finir en combustibles ?

Autant l'avouer de suite j'ai détesté cette lecture. Je n'y es pris aucun plaisir et j'ai même pensé à l'arrêter dès les dix premières pages. Car certains thèmes que je déteste lire ce sont retrouver dans ce texte et même si le contexte était présent pour l'intégrer et les raisons "valables" ce fut un point qui m'a bloqué. Les personnages ont aussi été des freins à mon envie de continuer la lecture car aucun n'était assez charismatique ou intéressant à suivre. Bien évidemment les grandes questions et les discours sur le fait de brûler ou non certains livres étaient intéressants à lire et découvrir. Malheureusement le côté positif était moindre par rapport aux nombreux détails qui me faisait grincer des dents.

J'ai plusieurs autres titres de l'autrice dans ma pal que je compte découvrir tout de même, malgré cette déception. J'espère avoir de belles surprises par la suite avec Barbe Bleue et Tuer le père.
Lien : https://elodie-liseuse-lifes..

Allez, un petit Nothomb en passant ! C'est mon Musso, mon Marc Levy à moi, ça me détend. J'aime bien en principe la turbulence d'Amélie et ses petites trouvailles mais là, ça m'a trop évoqué Fahrenheit 451 ... alors 2 étoiles et encore parce que c'est elle et que je l'aime bien ... et disons pour l'encre.

Agaçant, glaçant... Mais pas trop longtemps : au bout de 88 pages et demi, c'est fini !
J'avais froid après cette lecture...
Je n'ai pas vraiment aimé…
C'est jusqu'ici le seul roman d'Amélie Nothomb qui m'ait déplu !

La guerre fait rage, il fait froid.

Dans la bibliothèque on retrouve le professeur, son assistant et la petite amie de celui-ci.

Un huit-clos qui débat de l'importance des mots contenus dans les livres. Quels sont les livres qui mériteraient de ne pas aller dans le poêle ?

Un huit-clos qui montre les facettes des Hommes en temps de guerre ...

Les combustibles est un ouvrage qui se lit avec fluidité, et qui fait réfléchir.

J'aime beaucoup les dialogues entre les personnages dans les livres d'Amélie Nothomb. Ce livre étant sous la forme d'une pièce de théâtre, j'ai vraiment trouvé sympathique de suivre les échanges des trois personnages, leur façon de voir les choses. Amélie Nothomb nous donne une fois de plus matière à réfléchir sur la nature de l'homme.

Peut-être pas le meilleur Nothomb, mais un livre tout petit, facile à lire, et qui m'a permis de passer un bon moment !

Une guerre, peu importe laquelle, qui pousse deux étudiants à se réfugier dans l'appartement de leur professeur. le froid arrive et la question se pose : Après le mobilier, que restera-il à brûler? L'immense bibliothèque remplie de livres leur fait de l'oeil, et c'est alors que s'engage les grands débats. Quelles oeuvres doit-on sauver de la guerre? Quels auteurs méritent une bonne flambée? Écrit sous la forme d'une pièce de théâtre, ce livre très court nous amène jusque devant notre propre bibliothèque, avec ces questions dans la tête. Original, étrange, un poil angoissant, ce livre nous rapproche un peu de ces situations extrêmes qu'on aimerait éviter. Très intéressant.

C'est la guerre, les conditions de (sur)vie sont devenues très ptrécaires et ilm fait très froid. Un professeur de lettres, un mandarin, son assistant et l'amie de ce dernier dialoguent dans un de huis clos glacial et pesant.
Un sujet en or pour les lecteurs de babelio : les matières premières de chauffage étant épuisées il faut sacrifier les livres...
Personnellement, après le sacrifice de quelques vieux guides touristiques obsolètes, de livres universitaires en achat forcé oubliés dans quelques recoins et deux ou trois étagères d'achats mal inspirés (j'ai une bibliothèque assez conséquente et je lis à peu près tout), le débat serait effectivement vite cornélien.
Là la magie d'Amélie Nothomb opére une fois de plus, dans ce contexte noir, on se délecte des dialogues, de cette légèreté dans ces moments si graves.
Amélie Nothomb n'en profite pas pour régler des comptes avec des confrères/soeurs, pas d'auto dafés, son style est incompatible avec ce genre de mesquinerie
Bref encore un moment privilégié avec Amélie Nothomb

Tout petit livre avalé d'un coup, sans s'étrangler, encore que...
Que dis-je "livre" une pièce de théâtre plutôt.
Après avoir été transportée par "Stupeur et tremblement" puis émue par "La métaphysique des tubes" enfin secouée par "Antéchrista". Je suis restée perplexe sur ce texte.
Pas d'humour, pas vraiment de trait d'esprit - chose que j'apprécie le plus chez l'auteure -.
J'avoue que je m'attendais à une version plus dramatique de "Dernier inventaire avant liquidation" de Beigbeder ou encore à un remake humoristique de "Fahrenheit 451" de Bradbury.
Mais non.
Alors quel est l'intérêt ?
Je n'ai pas de réponse.