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3,95

sur 6317 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Petit souci ...
Comment un auteur qui à était si brillant avec Les fourmis a pu se perdre dans un tel pavé ennuyeux ?
Weber joue ici au grand auteur de SF , il à bien tort .
Son livre sur le fond peut paraitre digne d'intéret , le souci c'est qu'il voit beaucoup trop grand ...
On a un peu l'impression d'une SF au rabais , comme si un faiseur honnéte certes mais limité avait remplacé Kubrick ...
L'histoire vaut ce qu'elle vaut , mais le ton est bien trop basique , on s'ennuie et onà du mal a atteindre la fin ....
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L'idée de départ des Thanatonautes a de quoi séduire. Des scientifiques décide de rechercher la réponse à la question ultime : qu'y-a-t-il après la mort ?

Si cela rappelle le scénario de L'Expérience interdite, je pense que ce n'est pas un hasard. le film de Joel Schumacher était sorti quatre ans avant ce roman, et la première partie semble s'en être très largement inspirée. Mais Bernard Werber pousse le concept beaucoup plus loin dans les seconde et troisième parties.

Ce sont justement ces 350 pages qui m'ont terriblement déçues. L'histoire partait bien pourtant, puis l'auteur se perd dans une description de l'après-vie mêlant banalités et clichés. le récit devient répétitif avec sa succession de murs.
Bien que mélangeant dans un shaker toutes les religions et mythologies du monde, c'est bien la vision judéo-chrétienne qui prédominera, avec sa conception naïve du bien et du mal.

Une naïveté que l'on retrouve également dans les personnages et leurs réactions. Un simple discours improvisé suffit à stopper une guerre de religion, par exemple. Et ce n'est pas le plus ahurissant du roman, loin de là...

La composante SF du roman ne m'a pas convaincu. Werber énonce tout un tas de règles, pour les oublier quand cela l'arrange. Et puis cela part dans des directions abracadabrantesque. J'ai décroché de l'histoire au moment des combats d'ectoplasmes. J'avoue que j'ai lu les 200 dernières pages en diagonale, pressé d'en finir et de passer à autre chose. le destin des personnages ne m'importait plus et la fin m'a laissé de marbre.

J'avais aimé Les Fourmis, ainsi que sa suite, le Jour des fourmis, mais celui-ci, pas du tout. Je sais que beaucoup de personnes l'ont adoré et je respecte totalement, mais personnellement, j'e l'ai trouvé indigeste et mal écrit.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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J'envie profondément les fans des "oeuvres" de Bernard Werber, ils ont encore à découvrir l'existence des vrais auteurs de SF.

J'entends par là d' auteurs d'une SF de qualité qui ne se contentent pas de ressasser des thèmes éculés ou d'abreuver le lecteur d'un salmigondis pseudo-philosophique. Je parle de ces (vrais) conteurs : Simak , Vance, Simmons et autres Zelazny.

La lecture des "Thanatonaute" est divertissante comme peut l'être le "Da Vinci Code", un bon roman de vacances qu'on lit rapidement et qu'on oublie tout aussi vite. de là à comparer Dan Brown à Umberto Eco...

Bref, les "Thanatonautes", c'est creux, ça s'essouffle rapidement et c'est à peine original, il suffit de lire "Les seigneurs de lumière" de Zelazny pour s'en convaincre. Un livre pour ceux qui apprécie une SF française désuète (comme peut l'être celle de Barjavel) et sans réelle grande inventivité (comme une mauvaise nouvelle de Dick).
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Si l'on peut saluer le travail de documentation relatif à la Mort ce livre a quand même une kyrielle de défauts. D'abord le récit démarre assez bien sur un thème universel, la narration est plutôt originale surtout pour l'époque (1994) mais après on bascule dans le grotesque et c'est une erreur que Werber ne cessera plus de reproduire par la suite.

Les personnages n' ont aucun charisme, au fil des pages on s'agace de plus en plus des scènes grand-guignolesques de rabbins faisant des "chorégraphies ectoplasmiques" (!), de moines Shaolin faisant du Kung Fu au Paradis avec des intégristes musulmans, de placards Coca Cola avec slogans débiles dans le monde des Morts. L'auteur pousse le pédantisme jusqu'à considérer que sa création pourrait donner à l'Homme le nom d'"Homo Thanatonautis". Bref on perd toute crédibilité au fil du roman qui au passage n'est plus qu'une énumération de situations rocambolesques où les enfants avalent des "pilules de suicide", où l'énigmatique Raoul est rangé au rang d'épave alcoolique pour nous laisser nous ennuyer avec la vacuité d'un Michael Pinson.
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L'idée de départ de ce roman est alléchante : aborder la découverte de l'au-delà comme s'il s'agissait d'un continent neuf à explorer. La mort comme territoire géographique : c'était original et séduisant. Sauf que Les Thanatonautes est un livre de Bernard Werber. Et le problème récurrent de cet auteur, c'est qu'il est incapable de faire vivre ses supers idées de départ.

Je ne sais pas si c'est à cause d'un manque de talent littéraire (pauvreté du vocabulaire, platitude des descriptions, clichés utilisés et ré-utilisés jusqu'à la corde) ou d'une sorte de paresse (c'est très superficiel, aucune idée n'est creusée jusqu'au bout), mais ce livre m'a fait l'effet d'une nouvelle qui aurait pu être chouette grâce à un bon spitch de départ, mais qu'on aurait étiré et étiré encore en longueur jusqu'à en donner... ça.

Ça = une sorte de roman pseudo SF, qui tente sans cesse des apartés pseudo philosophiques, avec des scènes d'actions si ratées que je me suis servi de ce livre pour m'endormir le soir. Je vous passe les personnages, avec si peu de profondeur psychologique que j'ai réussi à m'attacher à aucun. Mais comment s'attacher à un cliché, hein ?

C'est dommage, parce que dans ce livre on sent, par moments, de vrais fulgurances créatives. J'ai l'impression que Werber a vraiment plein de bonnes idées mais qu'il s'emmêle les pattes avec. La seule chose qui est vraiment travaillé dans ce livre, c'est le sens du rythme. L'auteur se débrouille assez bien pour entretenir un petit suspense tout le long de ces 500 pages (édition poche). Oh rien de fou hein, mais arriver à tenir le lecteur (c'est-à-dire moi) avec une histoire et des rebondissements aussi pourris, c'est quand même un petit exploit. Donc oui, je dois le reconnaître, Werber sait soigner son rythme de narration. Et il a de bonnes idées.

Mais tout le reste... est néant. Il pose un principe de départ assez fort, qui aurait pu donner un excellent bouquin de SF qui fasse réfléchir sur le sens de la mort et de la vie. Mais lui n'en fait qu'une longue suite d'aventures même pas toujours cohérentes entre elles. Pourquoi les Thanatonautes s'envolent d'abord vers un cercle de lumière, puis doivent ensuite traverser la galaxie ? Comment ça se fait que tout le monde arrive tout d'un coup à « thanatoner » alors que chaque étape paraissait insurmontable aux explorateurs ? Bref c'est souvent facile. Il ne faut pas chercher à trop réfléchir parce que l'auteur s'embarrassera pas à expliquer.

Il n'y a que dans les 100 dernières pages que l'auteur tente enfin une description de ce que la découverte du continent des morts a modifié dans le monde réel. Mais c'est fait vite fait, on y croit pas vraiment car on sent que Werber n'a pas trop réfléchi au truc. Et puis ça part vite en pseudo philosophie de (mauvais) comptoir avec des réflexions même pas digne du niveau bac sur le bien, le mal et la connerie universelle.

Bref, 2e livre lu pour moi de Bernard Werber, et vraiment pas convaincu. Je sens bien le potentiel de créatif chez ce mec, mais pitié, qu'il se contente de donner les idées et qu'il fasse écrire les romans par quelqu'un d'autre !
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Mon premier Werber et peut être mon dernier…au vu des nombreux commentaires que j ai pu lire je me suis lancé dans les Thanatonautes…Que dire? le début est plutôt prometteur. La construction du livre est intéressante et originale du faite que le récit soit entrecoupé de textes religieux et mystiques ,cela donne une certaine dynamique au livre. Mais très vite l histoire devient ennuyeuse…Elle pourrait se résumer ainsi : Une bande de pote à le désire de percer les mystère de la mort…Ils traversent donc 7 mondes ( le monde des méchants cauchemars – oulala j ai trop peur ,le monde des fantasmes, le monde de la beauté ou tout est vraiment Wahoooooooooo,c est trop beau on se croirait au monde des bisounours, le monde du savoir ou l on apprend même la recette du quatre quart….)Et après tous cela ils trouvent des anges – ridicules .Il y aurait 72 anges ( anges de la réussite ,anges qui portent chance, pour réussir son couple, pour trouver des trésors…Les anges ressemblent aux marabouts qui nous surcharge la boite aux lettre en disant qu ils vont ramener l être aimé, le bonheur, le travail…Werber ne nous dit pas si ses anges peuvent réparer mon ordinateur a distance car moi, mon marabout le fait !On y croise même Victor Hugo, Hitler ( qui se serais réincarner en bonzaï),Louis XIV…Les personnages de l histoires sont sans intérêt . Tout devient de plus en plus grotesque et complètement niais au fil de l histoire. de plus; Il faudrait 600 points pour accéder au paradis, pourquoi pas des cartes panini tant que l on y est??…J ai eu du mal à aller jusqu' au bout de l histoire, j'avoue avoir survolé la fin du roman …je vais tenter " les fourmis " mais d ici quelques temps ,beaucoup de temps…
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Ah ! Un auteur que j'ai adoré lire par le passé. Ah ! Un sujet qui s'annonce particulièrement intéressant. Ça fleure bon l'agréable moment de lecture.

Bon, soyons brefs, soyons clairs : j'accroche à l'écriture d'accord ! Mais, parce qu'il y a un mais... les dialogues me semblent quand même invraisemblables. J'ai un peu l'impression de lire le scénario d'une pièce de théâtre.

J'ai plaisir à lire les diverses histoires de mythologie ou légendes qui traversent ce roman. Comme d'habitude avec cet auteur, on apprend toujours quelque chose. Et c'est un bon point. Mais pour l'heure, j'ai l'impression que c'est le seul bon point.

D'abord, j'ai énormément de mal à m'intéresser aux divers personnages. Je suis navrée mais ils me laissent complètement de marbre. Ensuite, si l'histoire avait bien commencé, elle commence à traîner sérieusement en longueur. La vérité c'est que je commence à m'ennuyer ferme … si bien que j'ai entamé une nouvelle méthode de lecture : la diagonalie !

Idiot comme nom ? Oui … mais ça colle bien à ce qui se passe dans ce roman. Les lecteurs sont prêts à avaler certaines choses bien qu'elles ne soient pas réalistes … mais il ne faut pas non plus abuser !

J'arrête les frais à mi-parcours… c'est clairement trop long pour rien du tout. Je m'ennuie trop. J'avais pourtant beaucoup aimé le Sixième sommeil … ils sont du même auteur mais, à la lecture, on en a pas du tout l'impression. Quelle déception !
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Grosse déception pour ce livre à l'inspiration géniale mais mal exploitée. On tombe rapidement dans une histoire banale de découverte de la mort et une morale à deux sous. le style d'écriture est également monotone à l'instar des autres oeuvres de l'auteur (d'où une redondance ennuyante). Beaucoup de mal à finir le livre dont la fin est tout sauf originale et ponctuée par une imagination affligeante (anges, montagnes dans le paradis, etc....)
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Un Bernard Werber divertissant avec tous les ingrédients d'un Bernard Werber : le sujet avec des airs scientifiques, les énigmes pour se sentir intelligents, des citations pour se sentir cultivé.
Après l'histoire est pleine d'incohérence et de petites erreurs. Je trouve vraiment que ce livre manque de qualité.
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J'avais bien aimé les précedents. Mais je ne suis jamais arrivée à terminer celui-ci
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