Critiques de Ena L. (433)
Après nous avoir transporté dans un univers fantastique et merveilleux, Ena nous fait le cadeau de prolonger la formidable aventure de la coloc' Benetton.
Ils ont, un peu comme nous, vieillis et cèdent la scène à leurs enfants.
Je ne sais pas pourquoi mais la lecture d'Ayato m'a un peu plus émue que d'habitude.
Je ne sais pas s'il s'agit du temps qui passe (même pour nos héros de romans) mais j'ai ressentis une certaine nostalgie tout au long du récit.
Comme toujours, Ena en profite pour faire passer des messages, avec humour bien sûr, ça passe mieux.
Mais mine de rien elle te balance avec cette nonchalence qui lui est propre que le regard des autres on s'en tape du moment qu'on est heureux.
À travers ses personnages, elle nous insuffle une belle philosophie de vie et j'ai l'impression que plus elle écrit et plus elle laisse s'exprimer son côté "maman".
En tout cas c'est comme ça que moi je le ressens.
Encore une fois je n'ai pas été déçue.
On retrouve tous les personnages qui nous font vibrer depuis Not a fuckin' romance et j'aime tellement le chemin qu'elle leur a tracée.
Donc voilà, ce petit merdeux d'Ayato, autain et puant de suffisance m'a atteint en plein coeur et l'objet de sa convoitise me rappelle un coup d'âme et pas des moindre, puisque c'est avec son histoire que j'ai eu le coup de foudre pour Ena et sa folie.
Alors que dire à part belle lecture!
P.S. Ena j'ai dû retirer le costume de Luna parce qu'il commence à faire sacrément chaud quand même!
Ils ont, un peu comme nous, vieillis et cèdent la scène à leurs enfants.
Je ne sais pas pourquoi mais la lecture d'Ayato m'a un peu plus émue que d'habitude.
Je ne sais pas s'il s'agit du temps qui passe (même pour nos héros de romans) mais j'ai ressentis une certaine nostalgie tout au long du récit.
Comme toujours, Ena en profite pour faire passer des messages, avec humour bien sûr, ça passe mieux.
Mais mine de rien elle te balance avec cette nonchalence qui lui est propre que le regard des autres on s'en tape du moment qu'on est heureux.
À travers ses personnages, elle nous insuffle une belle philosophie de vie et j'ai l'impression que plus elle écrit et plus elle laisse s'exprimer son côté "maman".
En tout cas c'est comme ça que moi je le ressens.
Encore une fois je n'ai pas été déçue.
On retrouve tous les personnages qui nous font vibrer depuis Not a fuckin' romance et j'aime tellement le chemin qu'elle leur a tracée.
Donc voilà, ce petit merdeux d'Ayato, autain et puant de suffisance m'a atteint en plein coeur et l'objet de sa convoitise me rappelle un coup d'âme et pas des moindre, puisque c'est avec son histoire que j'ai eu le coup de foudre pour Ena et sa folie.
Alors que dire à part belle lecture!
P.S. Ena j'ai dû retirer le costume de Luna parce qu'il commence à faire sacrément chaud quand même!
Quand Milan, 26 ans, est invité au mariage de son ex, mère de ses deux fils de 4 et 6 ans, il est bien décidé à faire mentir la réflexion qu'elle lui a balancé dans les dents : "tu viendras seul, comme d'habitude".
Il a deux mois pour trouver la femme de sa vie, tous les moyens sont bons, speed dating, applis, chasse aux mamans célibataires à la sortie de l'école, ...
Mais la vie réserve bien des surprises et ce qui démarre comme une mauvaise blague va chambouler sa vie.
Milan est un personnage avec lequel je n'ai pas accroché, trop nunuche, trop larmoyant, trop tendance à se laisser porter par les évènements et les gens, bref trop tout. L'histoire est assez mignonne, suffisamment tarabiscotée pour ne pas être banale, et les autres personnages sont intéressants. La famille de Milan est complètement ravagée, Hunter m'intrigue énormément (je lirais certainement Not a fuckin' romance) et j'ai All fuckin' mine dans ma PAL.
Je ne connaissais pas du tout l'auteur et sa plume est légère et survoltée. J'avoue avoir complètement zappé les notes et renvois (plus de 100, qui se révèlent être souvent, pour les avoir survolés en fin de lecture, des commentaires de l'auteur sur ses propres écrits). J'ai souvent souri avec l'impression de lire un manga, j'ai soupiré d'agacement devant certaines situations trop culcul la praline et j'ai vraiment tiqué devant une scène en particulier (non, on ne balance pas une droite à une fille hystérique pour la faire taire, désolée, même au quatorzedouzième degré, ça passe pas...).
En résumé, une lecture sympa et drôle, où j'ai trouvé ce petit côté bien barré que j'aime mais ou il m'a manqué, je pense, un petit chouia d'émotion et de profondeur.
Il a deux mois pour trouver la femme de sa vie, tous les moyens sont bons, speed dating, applis, chasse aux mamans célibataires à la sortie de l'école, ...
Mais la vie réserve bien des surprises et ce qui démarre comme une mauvaise blague va chambouler sa vie.
Milan est un personnage avec lequel je n'ai pas accroché, trop nunuche, trop larmoyant, trop tendance à se laisser porter par les évènements et les gens, bref trop tout. L'histoire est assez mignonne, suffisamment tarabiscotée pour ne pas être banale, et les autres personnages sont intéressants. La famille de Milan est complètement ravagée, Hunter m'intrigue énormément (je lirais certainement Not a fuckin' romance) et j'ai All fuckin' mine dans ma PAL.
Je ne connaissais pas du tout l'auteur et sa plume est légère et survoltée. J'avoue avoir complètement zappé les notes et renvois (plus de 100, qui se révèlent être souvent, pour les avoir survolés en fin de lecture, des commentaires de l'auteur sur ses propres écrits). J'ai souvent souri avec l'impression de lire un manga, j'ai soupiré d'agacement devant certaines situations trop culcul la praline et j'ai vraiment tiqué devant une scène en particulier (non, on ne balance pas une droite à une fille hystérique pour la faire taire, désolée, même au quatorzedouzième degré, ça passe pas...).
En résumé, une lecture sympa et drôle, où j'ai trouvé ce petit côté bien barré que j'aime mais ou il m'a manqué, je pense, un petit chouia d'émotion et de profondeur.
Cela vous est déjà arrivé de vous retrouver devant un livre dont vous voyez clairement les défauts, qui vous fait parfois lever les yeux au ciel parce qu'il contient des éléments auxquels vous n'adhérez pas spécialement et que vous n'auriez pas tolérés dans un autre roman mais, vous ne savez pas pourquoi, dans celui-ci ça passe et vous ne pouvez pas vous empêcher de tourner les pages, tellement vous êtes happés par l'histoire ? Et bien c'est justement ce qu'il s'est passé pour moi avec ce roman.
Je vous présente donc Enfer ou paradis, premier tome de La Reine des détestés, série de science-fiction post-apocalyptique/dystopique particulièrement addictive.
[...]
J'ai beaucoup aimé l'idée que l'autrice a développée ici, que je vais rapidement vous résumer. La planète devenant de plus en plus hostile (catastrophes climatiques, épidémies, famine, etc.), les pays riches dirigés par ce qu'ils appellent à présent les "suprématistes blancs" profitèrent de la peur des citoyens pour imposer leurs idéaux et fermer leurs frontières aux pays les plus touchés (Afrique, Amérique du Sud, Australie). Ce fut le retour en force du racisme, des camps et des exterminations de masse. Les pays asiatiques se liguèrent alors contre les Blancs, ce qui donna lieu à des guerres atomiques qui abîmèrent grandement la planète et décimèrent de nombreuses populations. Ce fut l'Europe qui gagna, mais cette victoire fut de courte durée, car les Émirats arabes unis et l'Arabie Saoudite, qui avaient petit à petit au fil des siècles acheté tout ce que contenait les territoires européens, réclamèrent leur dû. Ayant une puissance d'armement supérieure à celle des suprématistes blancs, l'Europe, affaiblie par les guerres précédentes, dû céder. Les Arabes prirent ainsi le pouvoir et s'installèrent en Europe, qui fut divisée en douze royaumes. Les Blancs furent détestés de tous, comme tous les descendants, et chassés des royaumes.
Franchement le coup des Émirats arabes qui prennent le pouvoir, j'ai trouvé ça malin : quand on voit qu'ils achètent de plus en plus de trucs en France et sûrement dans d'autres pays (terrains, bâtiments, clubs de foot, etc.), on se dit que c'est tout à fait plausible.
Tout cela s'est passé plus de six siècles avant l'histoire du roman. Dans cette nouvelle société, ce sont donc les personnes de couleur qui dirigent, tandis que les Blancs sont à présent utilisés comme esclaves. Jolie inversion des rôles, n'est-ce pas ? Le problème c'est qu'en fait, peu importe quelle couleur est de quel côté, la haine raciale est partie intégrante de la société et ceux qui en sont la cible (ici les Blancs) ont la vie dure - et c'est peu de le dire ! J'ai parfois été choquée du traitement subi par les esclaves, qui varie selon les royaumes, tellement cela peut être violent et gratuit.
Si les sciences et technologies se sont développées dans certains domaines comme la médecine (les esclaves n'en bénéficient toutefois pas), elles ont disparu dans d'autres : il n'y a par exemple plus d'armes à feu, l'on se bat donc à l'épée, à l'arc, etc. Du coup ça fait un effet étrange de voir des soldats (hommes et femmes) porter des épées comme dans les romans de fantasy épique, tandis qu'à côté d'autres dansent sur de la musique électro dans des clubs branchés.
Un univers intéressant, donc. Qu'en est-il de l'intrigue ?
Le récit nous est raconté à travers deux regards, deux personnages totalement opposés dont les chemins vont finir par se croiser.
Hannah est une sauvage (ou sauvageonne), c'est ainsi que l'on nomme les Blancs vivant dans la nature hostile située en-dehors des royaumes. Dans cette zone dite libre, la nature n'est pas le seul ennemi : la vie y est tellement difficile que n'importe quel Blanc que l'on y croise peut être un ennemi. Si l'on veut survivre, il vaut mieux vivre en clan, mais certains massacrent les autres, aussi vaut-il mieux être capable de se défendre. Enfant, Hannah a perdu ses parents, plus tard sa sœur est morte de maladie, puis un jour son frère n'est pas revenu de la chasse. La perte du clan qui l'avait recueillie est la goutte d'eau pour la jeune fille, qui ne supporte plus la solitude ni les dangers de cette nature si hostile. Elle décide alors de se réfugier dans l'un des douze royaumes et choisit celui qui lui semble être le moins pire : Olayan. Elle sait qu'en faisant cela elle perdra sa liberté pour devenir esclave, mais elle ne s'attendait pas à devenir la cible d'une telle haine. Car Hannah n'est pas seulement blanche, elle est blonde aux yeux bleus, un brassard noir (les esclaves portent des brassards dont la couleur correspond à leurs caractéristiques physiques), soit la race la plus rare et la plus haïe. Ainsi non seulement elle suscite la haine chez les personnes de couleur, mais également le dégoût chez les Blancs. Achetée par le lieutenant de l'armée royale, Hannah se retrouve à vivre dans le bâtiment des esclaves situé sur l'île du palais royal. Humiliée et battue sans raison autre que son apparence par ses supérieurs, elle risque sans cesse le viol au sein de la communauté esclave. Car dans ce bâtiment, les esclaves ont créé leur propres règles : c'est la loi du plus fort, et si tu ne veux pas te faire violer ou cogner, mieux vaut coucher de plein gré avec l'un des membres du groupe alpha (les esclaves personnels du prince) pour qu'ils te protègent en retour. Si Hannah refuse d'accepter cela, elle va néanmoins céder en acceptant le soutien de l'un des alphas, Lukas, dont elle va devenir très proche.
[...] J'ai été également assez surprise par la faiblesse physique de cette héroïne. Pas parce qu'une héroïne est censée être forte, non, je n'ai pas ce genre d'a priori. Seulement elle a vécu dix-huit années dans la zone libre, dont certaines sans clan, uniquement avec son frère. Elle devrait savoir se battre, être plus forte physiquement. Mais ce n'est pas le cas, ce qui n'est pas très logique, selon moi. En revanche, même si perdre tous les gens qu'elle aimait a brisé quelque chose en elle, elle reste dotée d'une grande force mentale. Elle déteste se soumettre face à l'injustice, refuse de rester à terre lorsqu'on la fait chuter, ce qui lui vaut parfois de recevoir des coups supplémentaires.
En parallèle nous suivons l'histoire de Yash bin Saleh al Talal, prince et chef de guerre d'Olayan. [...] Yash a une grande violence en lui, il est un guerrier sanguinaire à la fois craint et admiré qui n'a jamais perdu une seule bataille. Il se fiche de tout et se sent totalement vide à l'intérieur. La seule personne dont il est proche est son meilleur ami et lieutenant (oui, celui-là même qui a acheté Hannah), mais ce dernier est marié à une femme et fréquente des amis que Yash ne supporte pas, ce qui crée parfois de sérieuses disputes. Car le prince est quelqu'un de très possessif et très protecteur, et perd (trop) facilement son calme.
J'avoue avoir eu un peu de mal au début avec ce personnage, particulièrement antipathique. Je n'ai pas aimé sa manière de parler, à la fois vulgaire et agressive, qui contraste complètement avec son rang. Il est froid et violent, ce qui ne me dérange pas forcément comme caractéristique de personnage mais cette violence est souvent gratuite, ce que j'apprécie moins. Donc oui, Yash est très loin du prince charmant (de toute façon les princes charmants, à force, c'est lassant), mais l'on finit par s'habituer à son mauvais caractère. Surtout quand cela permet de protéger Hannah.
[...]
Ce que j'ai apprécié dans ce premier tome, c'est que les deux personnages principaux tardent à vraiment se rencontrer. Certes, ils vont se croiser rapidement deux ou trois fois, mais sans réelle interaction ni incidence dans leur vie. Nous les suivons donc chacun de leur côté sur un peu plus du premier tiers du livre, ce qui nous permet de découvrir séparément ces deux personnages, ainsi que le monde dans lequel ils évoluent, avant que leurs vies n'entrent pleinement en collision. Les moments qu'ils vont ensuite passer ensemble seront essentiellement sexuels, Yash éprouvant, non sans une certaine horreur, une grande attirance pour cette jeune femme considérée comme la laideur incarnée. J'ai trouvé un peu cliché le coup du mec froid et asocial irrésistiblement attiré par la jeune vierge qu'il dépucèle et éduque sexuellement. Mais bon, c'est un truc qui fonctionne, on ne peut pas reprocher à l'autrice de l'avoir utilisé. D'autant plus que la virginité de l'héroïne est justifiée, tout le monde la trouvant repoussante à cause de son apparence (y compris les autres Blancs), bien que Lukas ne demandait que ça. Et si elle pouvait se permettre de repousser Lukas, prétextant la peur à cause de ce qu'elle a pu vivre autrefois, il était plus compliqué pour elle de chasser le prince sans risquer de signer son arrêt de mort. Il y aurait toutefois beaucoup d'arguments à opposer à cela, mais si l'on peut se poser la question du consentement au début de leur relation, il devient par la suite évident qu'elle est autant attirée par Yash que ce dernier par elle.
Malgré ce cliché, j'ai trouvé agréable que l'autrice ne soit pas allée dans le même sens que beaucoup d'autres en adoucissant le caractère de l'homme au contact de la femme. C'est une chose que l'on voit trop souvent, le coup du mec au sale caractère qui devient gentil et social en tombant amoureux. Ici, Hannah ne cherche pas à changer le caractère de Yash, elle l'accepte tel qu'il est, avec ses bons et ses mauvais côtés, et n'espère pas un jour le voir devenir tout doux et aimant avec elle. Je ne dis pas qu'il la traite comme un paillasson, au contraire il fait quand même attention à elle, mais il a son caractère, quoi. Et inversement, Yash ne force pas Hannah a être ce qu'elle n'est pas.
[...]
En bref...
Avec La Reine des détestés, Ena L. nous plonge dans une dystopie post-apocalyptique pleine de rebondissements et, bien que non dénuée de défauts, particulièrement addictive. L'univers créé par l'autrice est intéressant et permet d'aborder des thématiques sérieuses telles que l'esclavage et le racisme sur un fond de romance certes parfois un peu clichée mais sans grande niaiserie. Si les scènes de sexe sont très (trop ?) nombreuses à partir du deuxième tiers du livre (attention pour ceux qui pensent lire du young adult, les descriptions peuvent être assez crues), cela est contrebalancé par les scènes d'actions et des passages plus axés sur la psychologie des personnages et la découverte de ces royaumes unis autour de leur haine des Blancs. Les personnages sont globalement plutôt bien traités, bien que certains auraient mérité d'être plus développés étant donné leur potentiel, et que l'on puisse avoir du mal au début avec d'autres, mais l'on finit par s'y attacher ou à défaut par s'y intéresser, si l'on n'en vient pas à les détester.
Il s'agit là d'un premier tome assez complet qui suscitera pas mal d'émotions et, le livre n'étant pas parfait, fera parfois lever les yeux au ciel. La fin promet une suite particulièrement intense qui, je l'espère, sera aussi captivante que celui-ci.
Une excellente surprise !
Lien : https://escape-in-books.blog..
Je vous présente donc Enfer ou paradis, premier tome de La Reine des détestés, série de science-fiction post-apocalyptique/dystopique particulièrement addictive.
[...]
J'ai beaucoup aimé l'idée que l'autrice a développée ici, que je vais rapidement vous résumer. La planète devenant de plus en plus hostile (catastrophes climatiques, épidémies, famine, etc.), les pays riches dirigés par ce qu'ils appellent à présent les "suprématistes blancs" profitèrent de la peur des citoyens pour imposer leurs idéaux et fermer leurs frontières aux pays les plus touchés (Afrique, Amérique du Sud, Australie). Ce fut le retour en force du racisme, des camps et des exterminations de masse. Les pays asiatiques se liguèrent alors contre les Blancs, ce qui donna lieu à des guerres atomiques qui abîmèrent grandement la planète et décimèrent de nombreuses populations. Ce fut l'Europe qui gagna, mais cette victoire fut de courte durée, car les Émirats arabes unis et l'Arabie Saoudite, qui avaient petit à petit au fil des siècles acheté tout ce que contenait les territoires européens, réclamèrent leur dû. Ayant une puissance d'armement supérieure à celle des suprématistes blancs, l'Europe, affaiblie par les guerres précédentes, dû céder. Les Arabes prirent ainsi le pouvoir et s'installèrent en Europe, qui fut divisée en douze royaumes. Les Blancs furent détestés de tous, comme tous les descendants, et chassés des royaumes.
Franchement le coup des Émirats arabes qui prennent le pouvoir, j'ai trouvé ça malin : quand on voit qu'ils achètent de plus en plus de trucs en France et sûrement dans d'autres pays (terrains, bâtiments, clubs de foot, etc.), on se dit que c'est tout à fait plausible.
Tout cela s'est passé plus de six siècles avant l'histoire du roman. Dans cette nouvelle société, ce sont donc les personnes de couleur qui dirigent, tandis que les Blancs sont à présent utilisés comme esclaves. Jolie inversion des rôles, n'est-ce pas ? Le problème c'est qu'en fait, peu importe quelle couleur est de quel côté, la haine raciale est partie intégrante de la société et ceux qui en sont la cible (ici les Blancs) ont la vie dure - et c'est peu de le dire ! J'ai parfois été choquée du traitement subi par les esclaves, qui varie selon les royaumes, tellement cela peut être violent et gratuit.
Si les sciences et technologies se sont développées dans certains domaines comme la médecine (les esclaves n'en bénéficient toutefois pas), elles ont disparu dans d'autres : il n'y a par exemple plus d'armes à feu, l'on se bat donc à l'épée, à l'arc, etc. Du coup ça fait un effet étrange de voir des soldats (hommes et femmes) porter des épées comme dans les romans de fantasy épique, tandis qu'à côté d'autres dansent sur de la musique électro dans des clubs branchés.
Un univers intéressant, donc. Qu'en est-il de l'intrigue ?
Le récit nous est raconté à travers deux regards, deux personnages totalement opposés dont les chemins vont finir par se croiser.
Hannah est une sauvage (ou sauvageonne), c'est ainsi que l'on nomme les Blancs vivant dans la nature hostile située en-dehors des royaumes. Dans cette zone dite libre, la nature n'est pas le seul ennemi : la vie y est tellement difficile que n'importe quel Blanc que l'on y croise peut être un ennemi. Si l'on veut survivre, il vaut mieux vivre en clan, mais certains massacrent les autres, aussi vaut-il mieux être capable de se défendre. Enfant, Hannah a perdu ses parents, plus tard sa sœur est morte de maladie, puis un jour son frère n'est pas revenu de la chasse. La perte du clan qui l'avait recueillie est la goutte d'eau pour la jeune fille, qui ne supporte plus la solitude ni les dangers de cette nature si hostile. Elle décide alors de se réfugier dans l'un des douze royaumes et choisit celui qui lui semble être le moins pire : Olayan. Elle sait qu'en faisant cela elle perdra sa liberté pour devenir esclave, mais elle ne s'attendait pas à devenir la cible d'une telle haine. Car Hannah n'est pas seulement blanche, elle est blonde aux yeux bleus, un brassard noir (les esclaves portent des brassards dont la couleur correspond à leurs caractéristiques physiques), soit la race la plus rare et la plus haïe. Ainsi non seulement elle suscite la haine chez les personnes de couleur, mais également le dégoût chez les Blancs. Achetée par le lieutenant de l'armée royale, Hannah se retrouve à vivre dans le bâtiment des esclaves situé sur l'île du palais royal. Humiliée et battue sans raison autre que son apparence par ses supérieurs, elle risque sans cesse le viol au sein de la communauté esclave. Car dans ce bâtiment, les esclaves ont créé leur propres règles : c'est la loi du plus fort, et si tu ne veux pas te faire violer ou cogner, mieux vaut coucher de plein gré avec l'un des membres du groupe alpha (les esclaves personnels du prince) pour qu'ils te protègent en retour. Si Hannah refuse d'accepter cela, elle va néanmoins céder en acceptant le soutien de l'un des alphas, Lukas, dont elle va devenir très proche.
[...] J'ai été également assez surprise par la faiblesse physique de cette héroïne. Pas parce qu'une héroïne est censée être forte, non, je n'ai pas ce genre d'a priori. Seulement elle a vécu dix-huit années dans la zone libre, dont certaines sans clan, uniquement avec son frère. Elle devrait savoir se battre, être plus forte physiquement. Mais ce n'est pas le cas, ce qui n'est pas très logique, selon moi. En revanche, même si perdre tous les gens qu'elle aimait a brisé quelque chose en elle, elle reste dotée d'une grande force mentale. Elle déteste se soumettre face à l'injustice, refuse de rester à terre lorsqu'on la fait chuter, ce qui lui vaut parfois de recevoir des coups supplémentaires.
En parallèle nous suivons l'histoire de Yash bin Saleh al Talal, prince et chef de guerre d'Olayan. [...] Yash a une grande violence en lui, il est un guerrier sanguinaire à la fois craint et admiré qui n'a jamais perdu une seule bataille. Il se fiche de tout et se sent totalement vide à l'intérieur. La seule personne dont il est proche est son meilleur ami et lieutenant (oui, celui-là même qui a acheté Hannah), mais ce dernier est marié à une femme et fréquente des amis que Yash ne supporte pas, ce qui crée parfois de sérieuses disputes. Car le prince est quelqu'un de très possessif et très protecteur, et perd (trop) facilement son calme.
J'avoue avoir eu un peu de mal au début avec ce personnage, particulièrement antipathique. Je n'ai pas aimé sa manière de parler, à la fois vulgaire et agressive, qui contraste complètement avec son rang. Il est froid et violent, ce qui ne me dérange pas forcément comme caractéristique de personnage mais cette violence est souvent gratuite, ce que j'apprécie moins. Donc oui, Yash est très loin du prince charmant (de toute façon les princes charmants, à force, c'est lassant), mais l'on finit par s'habituer à son mauvais caractère. Surtout quand cela permet de protéger Hannah.
[...]
Ce que j'ai apprécié dans ce premier tome, c'est que les deux personnages principaux tardent à vraiment se rencontrer. Certes, ils vont se croiser rapidement deux ou trois fois, mais sans réelle interaction ni incidence dans leur vie. Nous les suivons donc chacun de leur côté sur un peu plus du premier tiers du livre, ce qui nous permet de découvrir séparément ces deux personnages, ainsi que le monde dans lequel ils évoluent, avant que leurs vies n'entrent pleinement en collision. Les moments qu'ils vont ensuite passer ensemble seront essentiellement sexuels, Yash éprouvant, non sans une certaine horreur, une grande attirance pour cette jeune femme considérée comme la laideur incarnée. J'ai trouvé un peu cliché le coup du mec froid et asocial irrésistiblement attiré par la jeune vierge qu'il dépucèle et éduque sexuellement. Mais bon, c'est un truc qui fonctionne, on ne peut pas reprocher à l'autrice de l'avoir utilisé. D'autant plus que la virginité de l'héroïne est justifiée, tout le monde la trouvant repoussante à cause de son apparence (y compris les autres Blancs), bien que Lukas ne demandait que ça. Et si elle pouvait se permettre de repousser Lukas, prétextant la peur à cause de ce qu'elle a pu vivre autrefois, il était plus compliqué pour elle de chasser le prince sans risquer de signer son arrêt de mort. Il y aurait toutefois beaucoup d'arguments à opposer à cela, mais si l'on peut se poser la question du consentement au début de leur relation, il devient par la suite évident qu'elle est autant attirée par Yash que ce dernier par elle.
Malgré ce cliché, j'ai trouvé agréable que l'autrice ne soit pas allée dans le même sens que beaucoup d'autres en adoucissant le caractère de l'homme au contact de la femme. C'est une chose que l'on voit trop souvent, le coup du mec au sale caractère qui devient gentil et social en tombant amoureux. Ici, Hannah ne cherche pas à changer le caractère de Yash, elle l'accepte tel qu'il est, avec ses bons et ses mauvais côtés, et n'espère pas un jour le voir devenir tout doux et aimant avec elle. Je ne dis pas qu'il la traite comme un paillasson, au contraire il fait quand même attention à elle, mais il a son caractère, quoi. Et inversement, Yash ne force pas Hannah a être ce qu'elle n'est pas.
[...]
En bref...
Avec La Reine des détestés, Ena L. nous plonge dans une dystopie post-apocalyptique pleine de rebondissements et, bien que non dénuée de défauts, particulièrement addictive. L'univers créé par l'autrice est intéressant et permet d'aborder des thématiques sérieuses telles que l'esclavage et le racisme sur un fond de romance certes parfois un peu clichée mais sans grande niaiserie. Si les scènes de sexe sont très (trop ?) nombreuses à partir du deuxième tiers du livre (attention pour ceux qui pensent lire du young adult, les descriptions peuvent être assez crues), cela est contrebalancé par les scènes d'actions et des passages plus axés sur la psychologie des personnages et la découverte de ces royaumes unis autour de leur haine des Blancs. Les personnages sont globalement plutôt bien traités, bien que certains auraient mérité d'être plus développés étant donné leur potentiel, et que l'on puisse avoir du mal au début avec d'autres, mais l'on finit par s'y attacher ou à défaut par s'y intéresser, si l'on n'en vient pas à les détester.
Il s'agit là d'un premier tome assez complet qui suscitera pas mal d'émotions et, le livre n'étant pas parfait, fera parfois lever les yeux au ciel. La fin promet une suite particulièrement intense qui, je l'espère, sera aussi captivante que celui-ci.
Une excellente surprise !
Lien : https://escape-in-books.blog..
Je viens tout juste de refermer ce premier tome de la reine des détestés et je suis encore sous le choc de cette lecture. Ce livre m’a apporté trop d’émotions, trop de sensations, trop de frustrations, trop de colères, trop d’amour…enfin vous avez compris où je voulais en venir, ce livre est une pépite.
L’histoire d’Hannah et de Yash est vraiment à part. Elle chamboule tout sur son passage comme une tornade. Une fois, l’histoire de base posée, les événements s’enchaînent et on est embarqué dedans avec aucune envie d’en ressortir. Hannah est une battante et dès le départ, on s’attache à ce petit bout de femme. Quant à Yash, même si au début, il m’a insupporté par son comportement, je crois que cet homme a su conquérir mon cœur en même temps que celui d’Hannah. Leur histoire ne sera pas des plus simples et vous fera sortir de vos gonds plus d’une fois mais qu’est-ce que ça en vaut la peine car c’est ce qui rend cette lecture si intense. Même si l’amour est très présent, cette histoire nous livre surtout une grande leçon d’humanité et pour cela je dis un grand merci à l’auteure.
ENA L. a su créer un univers incroyable. Tout est décrit à la perfection au point qu’on a cette sensation d’être présent dans ce royaume. Tous les personnages principaux et secondaires ont des personnalités sans aucune limite, c’est ce qui donne se côté piquant à l’histoire. Cette auteure a une écriture de folie, elle m’a complètement attrapé dans ses filets et ce sera avec un grand plaisir que je vais lire ces autres œuvres.
J’ai eu un véritable le coup de foudre Littéraire pour ce livre. Cette histoire mérite d’être lu et d’être connu. Alors si comme moi, vous avez entendu parler de ce livre mais que vous ne vous êtes pas encore laissé tenter à l’acheter…mon conseil, FONCEZ, vous ne le regretterez absolument pas!
Lien : https://bouquinebook.wordpre..
L’histoire d’Hannah et de Yash est vraiment à part. Elle chamboule tout sur son passage comme une tornade. Une fois, l’histoire de base posée, les événements s’enchaînent et on est embarqué dedans avec aucune envie d’en ressortir. Hannah est une battante et dès le départ, on s’attache à ce petit bout de femme. Quant à Yash, même si au début, il m’a insupporté par son comportement, je crois que cet homme a su conquérir mon cœur en même temps que celui d’Hannah. Leur histoire ne sera pas des plus simples et vous fera sortir de vos gonds plus d’une fois mais qu’est-ce que ça en vaut la peine car c’est ce qui rend cette lecture si intense. Même si l’amour est très présent, cette histoire nous livre surtout une grande leçon d’humanité et pour cela je dis un grand merci à l’auteure.
ENA L. a su créer un univers incroyable. Tout est décrit à la perfection au point qu’on a cette sensation d’être présent dans ce royaume. Tous les personnages principaux et secondaires ont des personnalités sans aucune limite, c’est ce qui donne se côté piquant à l’histoire. Cette auteure a une écriture de folie, elle m’a complètement attrapé dans ses filets et ce sera avec un grand plaisir que je vais lire ces autres œuvres.
J’ai eu un véritable le coup de foudre Littéraire pour ce livre. Cette histoire mérite d’être lu et d’être connu. Alors si comme moi, vous avez entendu parler de ce livre mais que vous ne vous êtes pas encore laissé tenter à l’acheter…mon conseil, FONCEZ, vous ne le regretterez absolument pas!
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Ena L. nous plonge dans une intrigue étonnante, belle et tellement drôle. Dans une romance intense et magnifique. J’ai lu le livre d’une traite, j’ai eu du mal à poser ma liseuse, c’est bien amené et puis les rebondissements sont bien pensés, on a envie de secouer tout ce beau monde et de râler après eux.
Retrouvez la chronique complète sur Songe !
Lien : https://songedunenuitdete.co..
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En voilà une lecture originale, amusante et rythmée par une plume peu conventionnelle mais agréable et fluide.
Aly est ce que beaucoup appellerait une jeune femme en marge de la société avec son goût prononcer pour le Japon et sa culture, notamment les mangas, jusqu'à se traduire dans son style vestimentaire.
C'est une petite nana (c'est le cas de le dire 😜) qui préfère vivre dans sa bulle bien à elle plutôt que de se confronter au monde réel et les désillusions qu'il peut infliger notamment pour les personnes trop douces, comme elle.
Après un diplôme littéraire, elle se destine à être écrivain mais comme beaucoup elle travaille à côté pour payer les factures, en tant que serveuse dans un bar très spécialisé 😱.
Et pour ne rien gâcher, elle vit avec cinq colocataires tous plus canons les uns que les autres. Il y a son demi-frère par alliance Jared sur qui elle fantasme en secret, Charlie le nudiste créole discret mais gentil, Kamran le futur médecin pot de colle, Hunter le bad boy sombre mais terriblement gentil et attirant et Také le talentueux musicien arrogant notoire mais sexy à souhait. En bonus, il y a également le petit ami de Jared qui squatte constamment, Hugo, le courant de bonne humeur et d'enthousiasme si dévoué et parfait pour les câlins.
C'est une personne avec le cœur sur la main qui déteste faire du mal au gens, alors elle préfère se retrouver dans des situations impossible plutôt que de blesser la personne qui la dérange par son comportement ou ses paroles.
On va découvrir ses déboires sentimentaux, ses réussites professionnelles, ses interrogations existentielles et ses remises en question, qu'elle arrive tant bien que mal à traverser avec l'aide précieuse de ses deux meilleures amies Cosette et Charlette.
À travers ses souffrances, ses joies (petites ou grandes) et ses sentiments que l'on vit avec elle tout au long du roman, on découvre une fille qui a besoin d'être aimée dans toutes ses excentricités et ses défauts et qui a besoin de pouvoir se consacrer entièrement à celui qu'elle aimera de tout son cœur.
De petites intentions en insultes, de soutien inébranlable en découvertes, en passant par le désir jusqu'aux véritables sentiments amoureux, Aly aura su me toucher car finalement on rêve tous de ce qu'elle recherche: la réussite professionnelle et la reconnaissance qui va avec, et surtout trouver son âme sœur qui vous comprend et vous aime pour ce que vous êtes jusqu'à la fin de vos jours.
Un moment de lecture calme et tendre, ponctué de rires.
Je n'aurai que deux petites remarques. La première, j'aurai aimé pouvoir avoir quelques points de vue des colocataires à certains moments clés, eux qui sont un point central de son histoire et de sa révélation au monde. J'adore les textes à plusieurs voix mais, sans être de parti prit, j'aurai trouvé cela judicieux ici.
Le second point est qu'il aurait fallu écrire d'une autre façon ou mettre mieux en valeur les pensées d'Aly qui se confondent avec la narration et les dialogues, c'est dommage.
Au-delà de ça, j'ai aimé ma découverte ponctuée de notifications aussi indispensables qu'humoristiques qui apportent un autre brin de folie à cette romance déjantée !!!
N'hésitez pas à découvrir les péripéties d'Aly et de ces colocataires à croquer 😍😜
Aly est ce que beaucoup appellerait une jeune femme en marge de la société avec son goût prononcer pour le Japon et sa culture, notamment les mangas, jusqu'à se traduire dans son style vestimentaire.
C'est une petite nana (c'est le cas de le dire 😜) qui préfère vivre dans sa bulle bien à elle plutôt que de se confronter au monde réel et les désillusions qu'il peut infliger notamment pour les personnes trop douces, comme elle.
Après un diplôme littéraire, elle se destine à être écrivain mais comme beaucoup elle travaille à côté pour payer les factures, en tant que serveuse dans un bar très spécialisé 😱.
Et pour ne rien gâcher, elle vit avec cinq colocataires tous plus canons les uns que les autres. Il y a son demi-frère par alliance Jared sur qui elle fantasme en secret, Charlie le nudiste créole discret mais gentil, Kamran le futur médecin pot de colle, Hunter le bad boy sombre mais terriblement gentil et attirant et Také le talentueux musicien arrogant notoire mais sexy à souhait. En bonus, il y a également le petit ami de Jared qui squatte constamment, Hugo, le courant de bonne humeur et d'enthousiasme si dévoué et parfait pour les câlins.
C'est une personne avec le cœur sur la main qui déteste faire du mal au gens, alors elle préfère se retrouver dans des situations impossible plutôt que de blesser la personne qui la dérange par son comportement ou ses paroles.
On va découvrir ses déboires sentimentaux, ses réussites professionnelles, ses interrogations existentielles et ses remises en question, qu'elle arrive tant bien que mal à traverser avec l'aide précieuse de ses deux meilleures amies Cosette et Charlette.
À travers ses souffrances, ses joies (petites ou grandes) et ses sentiments que l'on vit avec elle tout au long du roman, on découvre une fille qui a besoin d'être aimée dans toutes ses excentricités et ses défauts et qui a besoin de pouvoir se consacrer entièrement à celui qu'elle aimera de tout son cœur.
De petites intentions en insultes, de soutien inébranlable en découvertes, en passant par le désir jusqu'aux véritables sentiments amoureux, Aly aura su me toucher car finalement on rêve tous de ce qu'elle recherche: la réussite professionnelle et la reconnaissance qui va avec, et surtout trouver son âme sœur qui vous comprend et vous aime pour ce que vous êtes jusqu'à la fin de vos jours.
Un moment de lecture calme et tendre, ponctué de rires.
Je n'aurai que deux petites remarques. La première, j'aurai aimé pouvoir avoir quelques points de vue des colocataires à certains moments clés, eux qui sont un point central de son histoire et de sa révélation au monde. J'adore les textes à plusieurs voix mais, sans être de parti prit, j'aurai trouvé cela judicieux ici.
Le second point est qu'il aurait fallu écrire d'une autre façon ou mettre mieux en valeur les pensées d'Aly qui se confondent avec la narration et les dialogues, c'est dommage.
Au-delà de ça, j'ai aimé ma découverte ponctuée de notifications aussi indispensables qu'humoristiques qui apportent un autre brin de folie à cette romance déjantée !!!
N'hésitez pas à découvrir les péripéties d'Aly et de ces colocataires à croquer 😍😜
D’un seul regard la couverture m’a attirée, j’avoue ne pas avoir lu le résumé car je voulais garder mes émotions intactes.
Dune est prête à vivre son rêve, intégrer la Golden Academy où la musique est reine.
Elle rejoint une résidence où les habitants sont déjà amis.
Pas sûre qu’elle soit prête à se lier…
Dune est une jeune fête qui a vécu des moments difficiles qui l’ont fragilisée et blessée. Elle est torturée par des événements récents qui ont transformé sa vie et sa vision du monde. Elle est sensible, douce et consciencieuse.
Elle a un niveau au piano excellent mais très académique.
Sacha est un être solaire qui cache sa douleur derrière un merveilleux sourire et son humour. La musique coule dans ses veines.on sens un jeune homme rebelle qui souhaite vivre chaque instant au maximum et à sa façon.
Il est ami avec Lennox, son opposé avec son côté sombre mais charismatique.
Ils sont toujours prêts à faire la fête et ont mille idées d’activités.
Leur relation est forte et intense, ils sont deux mais paraissent n’être qu’un. Ils forment le côté pile et face d’une même personne.
Si Dune vit repliée sur elle-même et souhaite limiter ses interactions avec le monde extérieur au minimum. Sa vie c’est la musique.
Elle n’est pas insensible aux charmes de ces voisins.
Sacha déboule dans sa vie comme une boule au milieu d’un jeu de quille.
Il vit à son rythme et selon ces envies qu’il impose à son entourage mais toujours avec le sourire au lèvre et gentillesse.
La plume est fluide et sert une intrigue forte en émotions, pleine d’humour et de surprises.
Ce récit a été un véritable tsunami d'émotions. J’ai souri, ri mais aussi pleurer au point de devoir arrêter ma lecture.
J’ai ressenti tous les sentiments qui transpercent Sacha.
J’avoue avoir été en résonance avec lui, je l’ai vraiment compris.
J'avoue que malgré les larmes, ce livre m’a fait du bien à l’âme.
Ce n’est pas un coup de cœur mais un coup de foudre 🤩
#audiolivre
Je dois avouer que j’ai eu un peu de mal au début de ma lecture car j’imaginais la voix de Take différente.
Mais après quelques chapitres l’histoire m’a tellement emportée que j’ai oublié ce petit désagrément.
Le travail des narrateur est important et j’y ai senti tout leur cœur.
Ena a su me surprendre avec le scénario qu’elle a inventé pour obliger Take à parler… parce qu'on est d’accord c’est pas le type d’homme à se confier mais plutôt un c*nnard charismatique et perfectionniste.
J’ai adoré cette discussion à cœur ouvert où j'ai découvert l’homme et l’artiste.
Ils sont charismatiques et j’ai été impressionné par la force dont il est capable pour faire vivre ces rêves.
J’ai adoré découvrir les origines du groupe et toute la volonté de Také pour toucher les étoiles.
Mais aussi comprendre comment Také s’est construit et a été façonné par son passé.
Ainsi que sa complexité qu’on retrouve plus tard dans ces enfants.
J’ai apprécié les apartés de Aly qui nous donne un autre point de vue, un peu moins tranché que les dires de Také.
Les antagonistes de cet opus sont vraiment flippants car j’ai eu la sensation qu’on était pas si loin de la réalité quand les gens perdent le nord.
La plume fluide sert une intrigue émouvante et pleine d’humour.
En a a su rendre certain passage tellement puissant que j’ai eu des larmes et des frissons à la fin car j’ai eu la sensation d’être au cœur de l’action.
J’ai passé un excellent moment d’écoute 😍 et je vous conseille d’avoir le second tome de cette duologie pour les enchaîner.
trop de choses à dire, déjà le trope du racisme inversé, c'est bon les gars, c'est genre THE trope qui est le + utilisé comme exemple quand on parle de tropes racistes + romanisation de l'esclavage + descriptions racistes des personnages racisés + glorification du viol + style très mauvais + personnages creux
D'habitude, je ne partage pas les critiques négatives, mais face à la maison d'édition qui publie des communiqués qui se foutent de la gueule du monde et qui se cachent derrière une prétendue lecture sensible, je ne peux pas juste me taire
D'habitude, je ne partage pas les critiques négatives, mais face à la maison d'édition qui publie des communiqués qui se foutent de la gueule du monde et qui se cachent derrière une prétendue lecture sensible, je ne peux pas juste me taire
Bordel, deux tomes dans la tête de Také laissent des traces putain !
"Toujours garder la tête haute et surtout, surtout, ne jamais s'excuser d'être qui on est."
C'est l'un des nombreux enseignements que je retiens de Také-senpai.
Prise d'une frénésie Enaesque (terme que je devrais penser à faire breveter), j'ai lapidé en quelques heures seulement, plusieurs mois de travail, mouhahaha !!! (Ceci est mon mini-moi se vengeant du côté sadique de l'auteure).
Que ce soit cet amour passionnel, au sens littéral du terme :
"Cette douleur insidieuse sous forme d'émotion décuplée, je la ressens aussi. C'est terrifiant d'aimer autant. On voudrait parfois s'échapper, mais pour aller où ? L'autre s'est chargé de balayer tes anciens repaires et de faire de ta vie une ode à la sienne."
En passant par cette volonté de ne rien lâcher :
"Peu importe le nombre de gens qui vous diront de redescendre sur Terre, c'est en regardant toujours plus haut que vous atteindrez le sommet. C'est en croyant en vous que les autres y croiront aussi."
Ou par ce Také version papa que j'avais déjà tant kiffé dans Kei :
"Avant de croiser les yeux brillants d’amour de ce petit bonhomme, je croyais sincèrement savoir aimer plus que les autres humains sur cette planète. J’étais convaincu que mes sentiments pour Aly, mes enfants et mes amis n’avaient pas d’égal. Et puis, je l’ai vu, lui, m’aimer si fort qu’il en débordait de larmes, et j’ai compris ce que signifiait le terme « aimer de toute son âme »."
Redécouvrir ce personnage a été pour moi, un des plus beaux cadeaux que pouvait nous faire Ena.
En tant que maman, je n'ai pu qu'aimer davantage Aly, et comprendre ce que cache parfois un sourire.
Si j'ai dévoré le tome 1, non sans avoir la gorge serrée par cette rage de vaincre, de réussite, le tome 2 m'a complètement mise à genoux. J'ai été propulsée au cœur de cette famille parfaitement imparfaite mais dont l'amour déborde de tous les côtés.
Alors bien sûr, le pays d'Ena ce n'est pas le pays de Candy, bien qu'il y ait tous ses amis 🤭, et voici quelques règles de lecture/survie :
La gorge nouée tu auras
Le coeur serré tu garderas
La larme à l'oeil ne te quittera pas
De tout cet amour, tu grandiras
Jamais je n'aurais imaginé que Také puisse m'offrir des leçons de vie, des leçons de lui.
Belle lecture,
Audrey.
"Toujours garder la tête haute et surtout, surtout, ne jamais s'excuser d'être qui on est."
C'est l'un des nombreux enseignements que je retiens de Také-senpai.
Prise d'une frénésie Enaesque (terme que je devrais penser à faire breveter), j'ai lapidé en quelques heures seulement, plusieurs mois de travail, mouhahaha !!! (Ceci est mon mini-moi se vengeant du côté sadique de l'auteure).
Que ce soit cet amour passionnel, au sens littéral du terme :
"Cette douleur insidieuse sous forme d'émotion décuplée, je la ressens aussi. C'est terrifiant d'aimer autant. On voudrait parfois s'échapper, mais pour aller où ? L'autre s'est chargé de balayer tes anciens repaires et de faire de ta vie une ode à la sienne."
En passant par cette volonté de ne rien lâcher :
"Peu importe le nombre de gens qui vous diront de redescendre sur Terre, c'est en regardant toujours plus haut que vous atteindrez le sommet. C'est en croyant en vous que les autres y croiront aussi."
Ou par ce Také version papa que j'avais déjà tant kiffé dans Kei :
"Avant de croiser les yeux brillants d’amour de ce petit bonhomme, je croyais sincèrement savoir aimer plus que les autres humains sur cette planète. J’étais convaincu que mes sentiments pour Aly, mes enfants et mes amis n’avaient pas d’égal. Et puis, je l’ai vu, lui, m’aimer si fort qu’il en débordait de larmes, et j’ai compris ce que signifiait le terme « aimer de toute son âme »."
Redécouvrir ce personnage a été pour moi, un des plus beaux cadeaux que pouvait nous faire Ena.
En tant que maman, je n'ai pu qu'aimer davantage Aly, et comprendre ce que cache parfois un sourire.
Si j'ai dévoré le tome 1, non sans avoir la gorge serrée par cette rage de vaincre, de réussite, le tome 2 m'a complètement mise à genoux. J'ai été propulsée au cœur de cette famille parfaitement imparfaite mais dont l'amour déborde de tous les côtés.
Alors bien sûr, le pays d'Ena ce n'est pas le pays de Candy, bien qu'il y ait tous ses amis 🤭, et voici quelques règles de lecture/survie :
La gorge nouée tu auras
Le coeur serré tu garderas
La larme à l'oeil ne te quittera pas
De tout cet amour, tu grandiras
Jamais je n'aurais imaginé que Také puisse m'offrir des leçons de vie, des leçons de lui.
Belle lecture,
Audrey.
Wouah mais quelle histoire !!
Ena L m'embarque encore dans un endroit que je ne m'attends pas du tout et je peux vous dire que ça en vaut le détour !!
Un récit comme je les aimes, une héroïne forte... Une survivante...
Et que dire de cette couverture ?! Je la trouve sublime !
On suit Hannah une jeune fille de 18 ans ( la reine des détestés) que JE ne déteste pas du tout 😁 bien au contraire, on peut que l'aimé... Même le prince ne la déteste pas finalement !!... Si si ! Et tout va changer...
Et cette fin ! 😱 mais noonnnn !! Ça va donner quoi dans le tome 2 je flippe la...
Méga coup de coeur ❤
Ena L m'embarque encore dans un endroit que je ne m'attends pas du tout et je peux vous dire que ça en vaut le détour !!
Un récit comme je les aimes, une héroïne forte... Une survivante...
Et que dire de cette couverture ?! Je la trouve sublime !
On suit Hannah une jeune fille de 18 ans ( la reine des détestés) que JE ne déteste pas du tout 😁 bien au contraire, on peut que l'aimé... Même le prince ne la déteste pas finalement !!... Si si ! Et tout va changer...
Et cette fin ! 😱 mais noonnnn !! Ça va donner quoi dans le tome 2 je flippe la...
Méga coup de coeur ❤
Même si j’ai aimé ma lecture, ce tome est celui que j’ai le moins apprécié car on connaît tous les personnages et l’auteur nous ressert les mêmes situations avec presque les mêmes plaisanteries (pour mon plus grand plaisir même si j’attendais encore plus d’originalité). Je regrette de l’avoir lu si longtemps après les 2 premiers tomes.
Heureusement, j’aime beaucoup Roman, le plus timide et le plus sensible de la bande. Il m’a bouleversé par sa tendresse et sa simplicité. Par contre, j’ai beaucoup moins aimé Céleste et les facilités que l’auteur a utilisées pour la rendre plus sympathique.
Mon tome préféré reste le tome 2 : la touchante complicité de Vad et Jy reste indétrônable.
Si vous ne connaissez pas, foncez découvrir cette folle histoire d'amitié mêlé d'humour, d'amour et de dinguerie.
Heureusement, j’aime beaucoup Roman, le plus timide et le plus sensible de la bande. Il m’a bouleversé par sa tendresse et sa simplicité. Par contre, j’ai beaucoup moins aimé Céleste et les facilités que l’auteur a utilisées pour la rendre plus sympathique.
Mon tome préféré reste le tome 2 : la touchante complicité de Vad et Jy reste indétrônable.
Si vous ne connaissez pas, foncez découvrir cette folle histoire d'amitié mêlé d'humour, d'amour et de dinguerie.
Quand la croisière s'amuse ou presque...
Ecrasé par le charisme d'un père leader d'un groupe de rock mondialement connu et deux frères aux caractères bien trempés, Hiro n'a pas d'autre choix que d'être celui qui ne fait pas de vague, celui qui ne se fait pas remarquer et surtout celui qui ne veut pas être remarqué.
Mais il semblerait que soit venu le temps pour Ena L. de nous livrer tout ce que renferme le coeur du plus discret des Kirishima.
Et comme ça, juste pour le plaisir:
"Love exciting and new
Come abord we're expecting you
And love life's sweetest reward
Let it flow it floats back to you"
Ne me remerciez pas, c'est gratuit.
Vous l'aurez donc compris (ou pas) après cet interlude musical, c'est bien à bord d'un bâteau de croisière que le groupe des Fuck Off ainsi que leurs proches embarquent pour notre plus grand plaisir. Là vous êtes en train de vous imaginer le joyeux bordel qui se profile à l'horizon et vous avez totalement raison. Encore une fois, l'imagination sans limite de notre Ena a encore frappée.
Deux petites amies, un business florissant, libre comme l'air...Hiro n'en demande pas plus à la vie. Oui mais voilà (oui mais voilà!!! Y'a Aquafresh 3! Pardon j'ai été conditionnée dès mon plus jeune âge par les problèmes bucco-dentaires de Valérie, Jean-Yves et Hélène) il fallait que les deux femmes qui ont marqué sa vie se trouvent à bord de ce cauchemar flottant. Et il se pourrait bien que la forteresse érigée autour de son coeur ne s'en trouve ébranlée.
[Ok petite pause, y'a trop d'émotions là]
Dans mon imagination cette phrase est en japonais et sa claque sa mère.
Bien sûr j'ai ri, j'ai pleuré, j'ai esperé, j'ai désesperé, mon coeur s'est serré, s'est désserré, j'ai trépigné, blasphémé. Puis j'ai encore ri et encore pleuré...bref, j'ai adorée. J'ai adoré parce qu'une fois de plus Ena nous dépeint un personnage complexe, un personnage qui s'empêche de ressentir, d'aimer et de croire qu'il mérite de l'être.
Elle nous livre également des protagonistes que l'on aimerait détester mais au fond on n'y arrive pas.
Comme toujours, retrouver la famille Benetton m'a fait un bien fou mais retrouver les frères Kirishima au complet avec tout ce que l'on sait...même dans mes rêves les plus fous, je ne l'avais pas espérée.
Et lorsque l'on croit l'aventure terminée, elle nous offre encore l'espoir de multiples possibilités sur la suite des aventures et l'on sait que le voyage n'est pas prêt de se terminer.
Bienvenue à bord du Ena Cruise Line, embarquez pour de nouvelles aventures. N'oubliez pas vos gilets, vous pourriez chavirer.
Ecrasé par le charisme d'un père leader d'un groupe de rock mondialement connu et deux frères aux caractères bien trempés, Hiro n'a pas d'autre choix que d'être celui qui ne fait pas de vague, celui qui ne se fait pas remarquer et surtout celui qui ne veut pas être remarqué.
Mais il semblerait que soit venu le temps pour Ena L. de nous livrer tout ce que renferme le coeur du plus discret des Kirishima.
Et comme ça, juste pour le plaisir:
"Love exciting and new
Come abord we're expecting you
And love life's sweetest reward
Let it flow it floats back to you"
Ne me remerciez pas, c'est gratuit.
Vous l'aurez donc compris (ou pas) après cet interlude musical, c'est bien à bord d'un bâteau de croisière que le groupe des Fuck Off ainsi que leurs proches embarquent pour notre plus grand plaisir. Là vous êtes en train de vous imaginer le joyeux bordel qui se profile à l'horizon et vous avez totalement raison. Encore une fois, l'imagination sans limite de notre Ena a encore frappée.
Deux petites amies, un business florissant, libre comme l'air...Hiro n'en demande pas plus à la vie. Oui mais voilà (oui mais voilà!!! Y'a Aquafresh 3! Pardon j'ai été conditionnée dès mon plus jeune âge par les problèmes bucco-dentaires de Valérie, Jean-Yves et Hélène) il fallait que les deux femmes qui ont marqué sa vie se trouvent à bord de ce cauchemar flottant. Et il se pourrait bien que la forteresse érigée autour de son coeur ne s'en trouve ébranlée.
[Ok petite pause, y'a trop d'émotions là]
Dans mon imagination cette phrase est en japonais et sa claque sa mère.
Bien sûr j'ai ri, j'ai pleuré, j'ai esperé, j'ai désesperé, mon coeur s'est serré, s'est désserré, j'ai trépigné, blasphémé. Puis j'ai encore ri et encore pleuré...bref, j'ai adorée. J'ai adoré parce qu'une fois de plus Ena nous dépeint un personnage complexe, un personnage qui s'empêche de ressentir, d'aimer et de croire qu'il mérite de l'être.
Elle nous livre également des protagonistes que l'on aimerait détester mais au fond on n'y arrive pas.
Comme toujours, retrouver la famille Benetton m'a fait un bien fou mais retrouver les frères Kirishima au complet avec tout ce que l'on sait...même dans mes rêves les plus fous, je ne l'avais pas espérée.
Et lorsque l'on croit l'aventure terminée, elle nous offre encore l'espoir de multiples possibilités sur la suite des aventures et l'on sait que le voyage n'est pas prêt de se terminer.
Bienvenue à bord du Ena Cruise Line, embarquez pour de nouvelles aventures. N'oubliez pas vos gilets, vous pourriez chavirer.
alors que je n'attendais pas moin que ça venant de Ena.L , c'est carrément sans voîx et avec une avalanche d'émotions que j'ai fermé ce livre qui raconte la fusion et lunique relation qui lie nos protagonistes, c'est grace à cette autrice que j'ai ouvert les yeux sur cette communauté , ces êtres humains, ces personnes debordantes d'amour qui est dites pas normale alors que cest dans le sexisme et dans l'homophobie et dans l'hypocrisie que reside l'anormalité, je n'ai jamais juger les bisexuelles ou bien les homosexuels pour moi cest des gens comme moi qui font leur choix comme moi mais ce qui me bouleverse est que je n'ai jamais pris part de leur soufrance ni de leur combat .maintenant et grace à ce genre de lectures que je voi mieux et je compatie encore plus . ce fut une leçon qui m'accompagnera à ma tombe . ce livre est recomander
Après avoir adoré notre séjour à Lacanau en compagnie de la fameuse tribu des Kawaks, ma BFF et moi nous sommes empressée d'y retourner pour y passer un nouveau mois d'août. Cette fois nous avons fait plus ample connaissance avec Vadim et Jiya, fans de Tierry Beccaro.
Tiens, et si on jouait à Motus pour trouver les mots qui qualifieraient au mieux cette suite de Lacanau BB?
(Mo-mo-motus!)
Voici un Motus spécial Lacanau BB. Il faudra trouver un mot de 8 lettres pour décrire ce roman. C'est parti!
Ennuyeux. E.N.N.U.Y.E.U.X.
(Bop (1) bop bop bop bop bop bop bop.)
Hilarant. H.I.L.A.R.A.N.T.
(Bip (2) bip bip bip bip bip bip bip!)
Bravo!
Un autre mot à 8 lettres maintenant.
Emouvant. E.M.O.U.V.A.N.T.
(Bip bip bip bip bip bip bip bip!)
Excellent!
Bon, vous l'aurez compris, j'ai encore une fois adoré mon séjour à Lacanau. C'est avec un immense plaisir que nous avons retrouvé notre bande d'amis et les autres personnages qui gravitent autour d'eux. Si j'ai eu un coup de coeur pour l'histoire de Caleb et Zoé, celle de Vadim et Jiya (qui sont devenus officiellement mes chouchous pour l'instant) l'a surpassée. En effet, nos deux protagonistes, en plus d'être complètement barrés, sont extrêmement touchants, l'un autant que l'autre. Quant à la romance dont il est question, en plus d'être bien bien pimentée par des scènes torrides à souhait, elle est moins conventionnelle.
Bref, j'aurais tellement d'autres choses à dire sur nos chers zamis mais je vous laisse découvrir cette saga truculente. Donc je ne vais pas vous en dire plus. Motus et bouche cousue.
A présent, ma babeliofriend et moi allons rester encore un peu à Lacanau afin de mieux connaître Céleste et Roman.
(1) Bip grave qui annonce que la lettre donnée par le candidat n'existe pas dans le mot proposé (désolée pour l'approximation du son, et aussi du déroulement de l'émission. Que voulez-vous, mes souvenirs de cette émission sont flous, la dernière fois que je l'ai regardée je n'étais pas en âge de lire ce type de romans...).
(2) Bip aigu qui annonce que le candidat a donné la bonne lettre.
Tiens, et si on jouait à Motus pour trouver les mots qui qualifieraient au mieux cette suite de Lacanau BB?
(Mo-mo-motus!)
Voici un Motus spécial Lacanau BB. Il faudra trouver un mot de 8 lettres pour décrire ce roman. C'est parti!
Ennuyeux. E.N.N.U.Y.E.U.X.
(Bop (1) bop bop bop bop bop bop bop.)
Hilarant. H.I.L.A.R.A.N.T.
(Bip (2) bip bip bip bip bip bip bip!)
Bravo!
Un autre mot à 8 lettres maintenant.
Emouvant. E.M.O.U.V.A.N.T.
(Bip bip bip bip bip bip bip bip!)
Excellent!
Bon, vous l'aurez compris, j'ai encore une fois adoré mon séjour à Lacanau. C'est avec un immense plaisir que nous avons retrouvé notre bande d'amis et les autres personnages qui gravitent autour d'eux. Si j'ai eu un coup de coeur pour l'histoire de Caleb et Zoé, celle de Vadim et Jiya (qui sont devenus officiellement mes chouchous pour l'instant) l'a surpassée. En effet, nos deux protagonistes, en plus d'être complètement barrés, sont extrêmement touchants, l'un autant que l'autre. Quant à la romance dont il est question, en plus d'être bien bien pimentée par des scènes torrides à souhait, elle est moins conventionnelle.
Bref, j'aurais tellement d'autres choses à dire sur nos chers zamis mais je vous laisse découvrir cette saga truculente. Donc je ne vais pas vous en dire plus. Motus et bouche cousue.
A présent, ma babeliofriend et moi allons rester encore un peu à Lacanau afin de mieux connaître Céleste et Roman.
(1) Bip grave qui annonce que la lettre donnée par le candidat n'existe pas dans le mot proposé (désolée pour l'approximation du son, et aussi du déroulement de l'émission. Que voulez-vous, mes souvenirs de cette émission sont flous, la dernière fois que je l'ai regardée je n'étais pas en âge de lire ce type de romans...).
(2) Bip aigu qui annonce que le candidat a donné la bonne lettre.
Un livre à lire l'été ! J'ai découvert ce livre et je ne suis pas déçue car il passe dans le top 5 de mes livres préférés. Je l'ai relu maintes et maintes fois et je ne m'en lasse pas. J'ai été conquise par le charme de Caleb et la douceur de Zoé. Des personnages attachants et hilarants qui ne finissent par nous surprendre. Je pensais qu'en lisant cette œuvre, 6 personnes, élevées ensemble depuis leur tendre enfance, dans la même maison, j'allais trouver leur relation un peu comme de l'inceste. Mais pas du tout ! C'est un groupe d'ami soudé par le temps et toutes les épreuves qu'ils ont traversé et enduré. N'HÉSITEZ PLUS LISEZ LE
J'ai découvert la saga Lacanau Beach Baby par hasard en traînant sur babelio (1), et comme j'avais envie d'une petite comédie romantique sympa et estivale, je l'ai proposée à ma babeliofriend de toujours pour notre énième lecture commune. Nous nous sommes donc précipitées à Lacanau pour faire connaissance avec Caleb et Zoé, ainsi que leur fameuse bande d'amis.
Comme souvent, je ne résumerai pas ce premier tome (2), passons donc directement à la critique.
J'avais envie d'un petit livre sans prise de tête, qui sent bon les vacances d'été. Le moins que l'on puisse dire, c'est que non seulement ce roman a comblé mes attentes, mais il les a aussi largement dépassées.
Je me suis attachée à cette fameuse tribu des Kawaks, dont chaque membre a une personnalité bien marquée. J'ai adoré l'ambiance estivale qui se dégage de ces pages. On a vraiment l'impression de passer du temps à Lacanau et d'être accueilli par cette bande d'amis au fameux bar qu'ils tiennent pendant l'été.
A plusieurs reprises, je me suis surprise à pouffer toute seule devant ma liseuse (3), car l'humour est extrêmement présent tout au long de l'histoire, et aussi dans les nombreuses notes de bas de pages.
Ceux qui ont déjà lu Ena L seront contents des clins d'oeil à ses précédents romans. Les autres qui la découvrent, comme moi (4),auront envie de se jeter sur ses autres écrits.
Par contre, j'ai eu envie d'étriper Ena à plusieurs reprises, à cause des chansons qu'elle a réussi à me mettre en tête pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours! ^^
Bref, Lacanau BB n'est pas qu'une romance bien construite (et assez olé olé), mais c'est aussi et surtout l'histoire d'une amitié indéfectible entre six jeunes, complètement déjantés pour la plupart.
En conclusion, un roman pétillant, hilarant et addictif. Une vraie bulle de bonne humeur qui devrait être remboursée par la sécurité sociale (5), surtout en ces temps troublés.
La question existentielle qui se pose maintenant: pourrai-je attendre août prochain pour retourner à Lacanau Beach Baby? (6)
(1) Site sur lequel les lecteurs répertorient, notent et critiquent de façon constructive (ou pas) toutes sortes de livres. Mais ça, vous le savez déjà, sinon vous ne seriez pas en train de lire ma critique.
(2) Trop la flemme. Et puis si vous voulez vraiment savoir de quoi ça parle, y a la quatrième de couverture pour ça.
(3) Oui je sais, l'odeur du papier, le plaisir de tourner les pages (en se léchant le doigt, super en tant de corona... berk!), d'avoir un bel objet livre, de pouvoir mettre des post-it, tout ça tout ça... Désolée les puristes du livre papier, mais la liseuse c'est plus pratique pour une librophage comme moi.
(4) Eh oui, c'est ma première fois avec Ena L. Hé! Qui vient de dire que c'est la honte? C'est pas ma faute!
(5) Cet antidépresseur est exclusivement réservé aux adultes. Les effets secondaires risquent d'être très graves chez l'enfant de moins de 18 ans, mais aussi chez l'adulte trop étroit d'esprit.
(6) La réponse est non. Le prochain tome est consacré à l'été des 26 ans de nos personnages, or j'aurai 26 ans à la fin du mois, et c'est plus facile pour moi de m'identifier aux personnages qui ont le même âge que moi. Comment ça une excuse bidon? Bon d'accord, c'est surtout parce que j'ai trop envie de retourner à Lacanau BB. J'assume. T'es content? Et évidemment que je m'y rendrait à nouveau avec ma partenaire de lecture!
Comme souvent, je ne résumerai pas ce premier tome (2), passons donc directement à la critique.
J'avais envie d'un petit livre sans prise de tête, qui sent bon les vacances d'été. Le moins que l'on puisse dire, c'est que non seulement ce roman a comblé mes attentes, mais il les a aussi largement dépassées.
Je me suis attachée à cette fameuse tribu des Kawaks, dont chaque membre a une personnalité bien marquée. J'ai adoré l'ambiance estivale qui se dégage de ces pages. On a vraiment l'impression de passer du temps à Lacanau et d'être accueilli par cette bande d'amis au fameux bar qu'ils tiennent pendant l'été.
A plusieurs reprises, je me suis surprise à pouffer toute seule devant ma liseuse (3), car l'humour est extrêmement présent tout au long de l'histoire, et aussi dans les nombreuses notes de bas de pages.
Ceux qui ont déjà lu Ena L seront contents des clins d'oeil à ses précédents romans. Les autres qui la découvrent, comme moi (4),auront envie de se jeter sur ses autres écrits.
Par contre, j'ai eu envie d'étriper Ena à plusieurs reprises, à cause des chansons qu'elle a réussi à me mettre en tête pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours! ^^
Bref, Lacanau BB n'est pas qu'une romance bien construite (et assez olé olé), mais c'est aussi et surtout l'histoire d'une amitié indéfectible entre six jeunes, complètement déjantés pour la plupart.
En conclusion, un roman pétillant, hilarant et addictif. Une vraie bulle de bonne humeur qui devrait être remboursée par la sécurité sociale (5), surtout en ces temps troublés.
La question existentielle qui se pose maintenant: pourrai-je attendre août prochain pour retourner à Lacanau Beach Baby? (6)
(1) Site sur lequel les lecteurs répertorient, notent et critiquent de façon constructive (ou pas) toutes sortes de livres. Mais ça, vous le savez déjà, sinon vous ne seriez pas en train de lire ma critique.
(2) Trop la flemme. Et puis si vous voulez vraiment savoir de quoi ça parle, y a la quatrième de couverture pour ça.
(3) Oui je sais, l'odeur du papier, le plaisir de tourner les pages (en se léchant le doigt, super en tant de corona... berk!), d'avoir un bel objet livre, de pouvoir mettre des post-it, tout ça tout ça... Désolée les puristes du livre papier, mais la liseuse c'est plus pratique pour une librophage comme moi.
(4) Eh oui, c'est ma première fois avec Ena L. Hé! Qui vient de dire que c'est la honte? C'est pas ma faute!
(5) Cet antidépresseur est exclusivement réservé aux adultes. Les effets secondaires risquent d'être très graves chez l'enfant de moins de 18 ans, mais aussi chez l'adulte trop étroit d'esprit.
(6) La réponse est non. Le prochain tome est consacré à l'été des 26 ans de nos personnages, or j'aurai 26 ans à la fin du mois, et c'est plus facile pour moi de m'identifier aux personnages qui ont le même âge que moi. Comment ça une excuse bidon? Bon d'accord, c'est surtout parce que j'ai trop envie de retourner à Lacanau BB. J'assume. T'es content? Et évidemment que je m'y rendrait à nouveau avec ma partenaire de lecture!
D'entrée d'jeux Ena annonce la couleur:
"À tous les amoureux de la poésie et de la délicatesse des mots, ne lisez jamais ce livre."
Et ce n'était pas une mise en garde en l'air.
Après plus de 400 pages j'ai les rétines qui saignent. Mais étrangement, malgré un vocabulaire riche en put*** et en coui**** (termes qui ne s'éloignent pas vraiment des miens en fait 🤔), et bein croyez-moi croyez-moi pas, mais c'est le plus intense et le plus beau des romans de Ena.L. (So Romantic étant hors catégorie hein, faut pas déconner non plus).
J'ai rarement lu une histoire aussi pure et aussi poignante. Je sais que cela peut s'apparenter à un blasphème lorsque l'on emploie le mot "pur" et Kei dans la même phrase mais je jure solennellement (non pas que mes intentions sont mauvaises) que c'est la vérité vraie (et elle n'est pas ailleurs, ok je sors).
Clairement, je ne sais plus où j'habite.
Je viens de lire la dernière page et je ne m'en remet pas.
Ena vient de dévoiler les secrets du plus mystérieux des membres de la famille NFR et le moins que l'on puisse dire c'est que cette lecture fut intense.
Je ne citerais pas le nom du personnage féminin (suspence quand tu nous tiens) mais je l'ai adorée.
C'est le genre de personnage discret toujours d'humeur égale, qui cache ses sentiments en arborant un indéfectible sourire.
Bien sûr ce personnage est bien plus complexe qu'il n'y paraît et son histoire nous apporte une belle leçon de vie.
Elle m'a beaucoup fait penser à Jiya, la passion pour Thierry Beccaro en moins...
Quant à Kei ce n'est pas qu'il ne ressent rien, au contraire, il ressent tout, un peu trop fort et ça se bagarre dans sa tête et dans son coeur. Et quand il ne sait plus quoi faire de toutes ses émotions, il explose de colère.
Et quand Ena met les mots sur ce qui le ronge ça cogne fort dans la poitrine au point d'en avoir mal, pour lui, avec lui.
Sa détresse, son désepoir, son cri de rage, tout ça, ça fait mal.
Et voilà comment le plus détestable des Kirishima devient un coup de coeur fulgurant (je sais que c'est pas le moment mais ça me fait penser à Goldorak et son fulguropoing 🤷).
Kei est tellement abîmé que je me suis demandée s'il était possible pour Ena de le réparer. Et je dois dire qu'encore une fois j'ai été soufflée.
C'est un parfait mélange de brutalité et de douceur. C'est une histoire qui raconte comment deux âmes opposées se reconnaissent et se complètent, mais ça raconte surtout la passion dévorante d'un artiste pour sa musique au point d'en devenir quasiment fou.
À chaque livre entamé j'ai peur de ne plus ressentir cette petite étincelle, mais à chaque fois elle brille plus fort.
P.S. mention spéciale pour Také version papa.
"À tous les amoureux de la poésie et de la délicatesse des mots, ne lisez jamais ce livre."
Et ce n'était pas une mise en garde en l'air.
Après plus de 400 pages j'ai les rétines qui saignent. Mais étrangement, malgré un vocabulaire riche en put*** et en coui**** (termes qui ne s'éloignent pas vraiment des miens en fait 🤔), et bein croyez-moi croyez-moi pas, mais c'est le plus intense et le plus beau des romans de Ena.L. (So Romantic étant hors catégorie hein, faut pas déconner non plus).
J'ai rarement lu une histoire aussi pure et aussi poignante. Je sais que cela peut s'apparenter à un blasphème lorsque l'on emploie le mot "pur" et Kei dans la même phrase mais je jure solennellement (non pas que mes intentions sont mauvaises) que c'est la vérité vraie (et elle n'est pas ailleurs, ok je sors).
Clairement, je ne sais plus où j'habite.
Je viens de lire la dernière page et je ne m'en remet pas.
Ena vient de dévoiler les secrets du plus mystérieux des membres de la famille NFR et le moins que l'on puisse dire c'est que cette lecture fut intense.
Je ne citerais pas le nom du personnage féminin (suspence quand tu nous tiens) mais je l'ai adorée.
C'est le genre de personnage discret toujours d'humeur égale, qui cache ses sentiments en arborant un indéfectible sourire.
Bien sûr ce personnage est bien plus complexe qu'il n'y paraît et son histoire nous apporte une belle leçon de vie.
Elle m'a beaucoup fait penser à Jiya, la passion pour Thierry Beccaro en moins...
Quant à Kei ce n'est pas qu'il ne ressent rien, au contraire, il ressent tout, un peu trop fort et ça se bagarre dans sa tête et dans son coeur. Et quand il ne sait plus quoi faire de toutes ses émotions, il explose de colère.
Et quand Ena met les mots sur ce qui le ronge ça cogne fort dans la poitrine au point d'en avoir mal, pour lui, avec lui.
Sa détresse, son désepoir, son cri de rage, tout ça, ça fait mal.
Et voilà comment le plus détestable des Kirishima devient un coup de coeur fulgurant (je sais que c'est pas le moment mais ça me fait penser à Goldorak et son fulguropoing 🤷).
Kei est tellement abîmé que je me suis demandée s'il était possible pour Ena de le réparer. Et je dois dire qu'encore une fois j'ai été soufflée.
C'est un parfait mélange de brutalité et de douceur. C'est une histoire qui raconte comment deux âmes opposées se reconnaissent et se complètent, mais ça raconte surtout la passion dévorante d'un artiste pour sa musique au point d'en devenir quasiment fou.
À chaque livre entamé j'ai peur de ne plus ressentir cette petite étincelle, mais à chaque fois elle brille plus fort.
P.S. mention spéciale pour Také version papa.
Ce tome commence juste après la décision de Yash de faire d'Hannah sa reine et d'abolir l'esclavage. Evidemment, sa décision le rend fort impopulaire. Il doit faire face à son propre peuple, à un complot fomenté par différents alliés et par la suite aux Sauvages, ces Blancs qui en ont marre d'être traité comme de la crotte et qui souhaitent reprendre le pouvoir.
Pour leur sécurité, Yash décide de séparer Hannah et Léo afin que leurs ennemis aient plus de mal à les trouver.
Chez les Sauvages, Hannah fera une rencontre qu'elle n’espérait même plus.
Qui gagnera cette guerre? Est-ce que ces personnes sur papier si différentes parviendront à trouver un terrain d'entente?
Ce deuxième tome aborde des thèmes importants notamment l'abolition de l'esclavage. Ces grandes décisions ne sont jamais acceptées facilement car une partie de la population y est favorable. Je ne comprendrai jamais comment une personne peut se considérer supérieure à une autre. Ici l'auteure a fait des Blancs les esclaves des Arabes. C'est le même concept : la couleur de peau décide de ton sort.
L'histoire de Léo qui m'a beaucoup touchée parle de traumatismes, de survivre malgré les horreurs, ...
Ce Nishad m'a fait penser au Capitaine Randall dans Outlander ... même sadisme.
Certaines scènes n'étaient pas faciles à lire.
Ce qui m'a surtout dérangée durant ma lecture, c'est toute la violence qui émaille le récit. Tous les personnages s'expriment via ce biais (sauf peut-être Madi :p). Alors oui, ils ont tous vécu des traumatismes, ils ont beaucoup de colère, de rancune, ... mais j'ai eu du mal à ressentir de l'empathie/sympathie devant leurs comportements souvent extrêmes.
L'épilogue apporte un peu de douceur dans ce monde de brutes :).
Pour leur sécurité, Yash décide de séparer Hannah et Léo afin que leurs ennemis aient plus de mal à les trouver.
Chez les Sauvages, Hannah fera une rencontre qu'elle n’espérait même plus.
Qui gagnera cette guerre? Est-ce que ces personnes sur papier si différentes parviendront à trouver un terrain d'entente?
Ce deuxième tome aborde des thèmes importants notamment l'abolition de l'esclavage. Ces grandes décisions ne sont jamais acceptées facilement car une partie de la population y est favorable. Je ne comprendrai jamais comment une personne peut se considérer supérieure à une autre. Ici l'auteure a fait des Blancs les esclaves des Arabes. C'est le même concept : la couleur de peau décide de ton sort.
L'histoire de Léo qui m'a beaucoup touchée parle de traumatismes, de survivre malgré les horreurs, ...
Ce Nishad m'a fait penser au Capitaine Randall dans Outlander ... même sadisme.
Certaines scènes n'étaient pas faciles à lire.
Ce qui m'a surtout dérangée durant ma lecture, c'est toute la violence qui émaille le récit. Tous les personnages s'expriment via ce biais (sauf peut-être Madi :p). Alors oui, ils ont tous vécu des traumatismes, ils ont beaucoup de colère, de rancune, ... mais j'ai eu du mal à ressentir de l'empathie/sympathie devant leurs comportements souvent extrêmes.
L'épilogue apporte un peu de douceur dans ce monde de brutes :).
Dès que j'ai vu le résumé j'ai eu envie de découvrir cette histoire qui a été un réel coup de cœur pour moi. J'ai passé un très bon moment de lecture avec des personnages attachants mais brisés que l'on a envie de consoler sans oublier ce ptit grain de folie qui est la marque de fabrique d'Ena L.
Borderline melody est la rencontre entre l'ombre et la lumière ou devrais-je dire le bien et le mal. Et pourtant comment ces 2 êtres si éloignés autant par leur âge que leur condition sociale, leur vie... peuvent-ils s'attirer au point de ne plus pouvoir échapper à leurs sentiments et ce lien qui les attire ?
Summer Miller, 26 ans est étudiante en psychologie et stagiaire dans un lycée privé. C'est une bonne vivante, rayonnante, qui croque la vie à pleine dent mais elle est aussi loufoque, déjantée... Parfois elle trouve que sa pte vie est trop calme, monotone car elle partage ses journées entre ses séances avec les lycéens, ses conversations téléphoniques avec ses amies toutes aussi foldingues qu'elle, ses parents qui en tiennent une couche car malgré son âge elle vie toujours chez eux et son fantasme vivant, le prof de sport qui fait craquer toutes les femmes et qui est un vrai coureur de jupons... mais jusqu'à présent elle se contente des moments qu'il veut bien lui accorder. Cette jeune femme attachante va faire la connaissance de Camden et May, des jumeaux stars de rock mais qui traînent derrière eux un lourd bagage. Dès leur 1ère séance, et bien que ce dernier ne se livre pas, elle ressentira quelque chose de bizarre au contact de Camden, ce lycéen au visage d'ange mais qui se bât contre ses démons... Elle se sent investie d'une sorte de mission et fera tout son possible pour "réparer" ces jeunes stars, surtout le jeune homme qui l'a touche comme jamais elle ne l'a été. A partir de ce jour, sa vie va s'en retrouver chambouler.
Summer est vraiment un personnage attachant, elle est solaire, pleine d'empathie car elle veut aider tout le monde, joyeuse, dynamique, joviale, altruiste mais aussi un peu fleur bleue et parfois elle se montre quelque peu naïve... Cependant elle cache aussi un fort caractère qu'elle laisse exploser quand elle en a bien besoin. Elle m'a vraiment touchée et émue tout comme elle m'a fait rire car elle est bourrée d'humour. Parfois j'ai eu l'impression qu'elle n'était pas seule dans sa tête mdr
J'ai aussi eu peur pour elle quand je l'ai vu plonger à pied joint dans les abysses de Camden en toute innocence alors que pour ce dernier il doit se battre avec des démons bien trop forts à vaincre. Elle qui a un moment donné trouvait que sa vie était un peu fade, elle va être servie en voyant celle-ci chamboulée par sa rencontre avec ce jeune musicien à la dérive... Qui est ce jeune homme qui dégage autant de charisme que de fragilité ??? Summer arrivera-t-elle à le "sauver" ?
Camden Harrington, 17 ans, chanteur et guitariste des Blind Melody, groupe de rock en pleine ascension outre-Manche et qui sont aussi bien connu pour leur musique que leurs débordements. Il est autodestructeur, borderline (comme il aime le rappeler), effronté, ingérable. Pourquoi ce jeune homme qui possède un si grand talent notamment pour écrire et composer des chansons, se détruit autant ? Est-ce le succès qui lui monte à la tête, comme à sa sœur jumelle May ?
On comprend très vite que son mal-être remonte à bien plus tôt et qu'il cache ses démons qui le rongent depuis bien des années tout au fond de lui. Il n'en parle à personne et encore mois au psy chez qui on l'a envoyé. Pourtant Summer va susciter un réel intérêt chez lui au point qu'il ait besoin de la voir même s'il se livre peu.
Camden est un personnage taciturne, asocial, mystérieux, sombre mais également fragile et torturé. C'est un écorché vif qui n'a pas été gâté par la vie et on apprend quelques pans de son passé par des flasbacks. On pourrait croire que le succès et l'argent font le bonheur et pourtant on est bien loin du compte car il se sent encore plus seul, mal dans sa tête et dans sa peau et seul sa musique est son échappatoire. Derrière son "plaisir" à l'autodestruction, on sent qu'il cache un profond mal-être et que quelque chose de grave s'est passé dans son passé. Malgré son jeune âge il donne l'impression d'avoir vécu plusieurs vies, d'accumuler tous les maux de la terre qu'il tente d'oublier à travers ses mots. C'est un jeune homme perdu, ne sachant plus qui il est ni ce qu'il veut comme si tout espoir d'être heureux l'avaient déserté...
Sous ses airs de petit c*n, se foutant de ce que les autres peuvent penser de lui et de l'image publique qu'il renvoie, on découvre un jeune homme qui a besoin d'amour, de douceur, d'attention mais surtout que quelqu'un croit vraiment en lui et aura assez de force pour l'aider à se sortir de cet enfer qui est sa vie... et si c'était ELLE, Summer qui l'émerveille et le fait se sentir vivant. A ses côtés il a vraiment l'impression d'être lui, d'être quelqu'un de bien, qui pourrait avoir un avenir meilleur.
C'est un personnage qui m'a beaucoup émue par ses démons, son passé et la bataille qui s'opère en lui constamment.
Les personnages secondaires sont assez nombreux et pour la plupart hauts en couleur. Pour autant, ils ont tous une place importante dans l'histoire. Il y a les déjantés sur qui ont peut toujours compter ou alors ceux qui pensent bien faire en laissant leurs démons dicter leur vie...
Une histoire assez sombre abordant des sujets très délicats et graves mais qui malheureusement existent dans notre société et dont il faut oser parler. L'auteure le fait avec simplicité, sensibilité et authenticité afin de ne pas rentrer dans le "too much".
Alors que Summer reçoit Camden en consultation, cette dernière ne restera pas de marbre face à cette beauté torturée et sombre pourtant aux traits angéliques qui met sa vie en danger à cause de ses démons qui lui pourrissent la vie depuis bien trop longtemps. Entre eux, un lien invisible mais fort va assez vite se tiser et ils sont se rapprocher malgré les interdits et leurs différences qui sont bien nombreuses. Pas facile de tisser une relation quand elle semble dès le début vouer à l'échec, surtout quand les démons du jeune homme ne lui laisseront aucunes portes de sortie des ténèbres qui l'engloutissent jour après jour. Mais ce dernier voit en Summer la "lumière" au fond de ce couloir si sombre comme si elle pouvait être sa rédemption. Malheureusement pour eux, leur chemin vers le bonheur sera semé de bien des embûches qu'ils devront affronter et surtout ils devront apprendre à communiquer et à ouvrir leur cœur à l'être aimé.
Une histoire qui m'a embarquée dès les 1ers chapitre et dont je n'ai pu ressortir indemne tant les émotions sont fortes et intenses à tel point qu'on les ressent au plus profond de nous et ça nous chamboule énormément.
Entre secrets, passion, autodestruction, prise de conscience et sentiments, l'intrigue est menée tambour battant et nous tient en haleine tout au long de notre lecture.
La plume d'Ena L. est toujours aussi belle, authentique, envoûtante et surtout addictive qui nous livre des émotions pures et intenses qui nous éclatent en plein cœur et nous laisse sur le c*l.
En conclusion, je vous conseille de découvrir ce roman qui est un coup de cœur et qui m'a pris aux tripes... Alors Summer et Camden auront-ils droit à un happy end ??? C'est à vous de le découvrir.
Lien : https://lecturesaflots.wordp..
Borderline melody est la rencontre entre l'ombre et la lumière ou devrais-je dire le bien et le mal. Et pourtant comment ces 2 êtres si éloignés autant par leur âge que leur condition sociale, leur vie... peuvent-ils s'attirer au point de ne plus pouvoir échapper à leurs sentiments et ce lien qui les attire ?
Summer Miller, 26 ans est étudiante en psychologie et stagiaire dans un lycée privé. C'est une bonne vivante, rayonnante, qui croque la vie à pleine dent mais elle est aussi loufoque, déjantée... Parfois elle trouve que sa pte vie est trop calme, monotone car elle partage ses journées entre ses séances avec les lycéens, ses conversations téléphoniques avec ses amies toutes aussi foldingues qu'elle, ses parents qui en tiennent une couche car malgré son âge elle vie toujours chez eux et son fantasme vivant, le prof de sport qui fait craquer toutes les femmes et qui est un vrai coureur de jupons... mais jusqu'à présent elle se contente des moments qu'il veut bien lui accorder. Cette jeune femme attachante va faire la connaissance de Camden et May, des jumeaux stars de rock mais qui traînent derrière eux un lourd bagage. Dès leur 1ère séance, et bien que ce dernier ne se livre pas, elle ressentira quelque chose de bizarre au contact de Camden, ce lycéen au visage d'ange mais qui se bât contre ses démons... Elle se sent investie d'une sorte de mission et fera tout son possible pour "réparer" ces jeunes stars, surtout le jeune homme qui l'a touche comme jamais elle ne l'a été. A partir de ce jour, sa vie va s'en retrouver chambouler.
Summer est vraiment un personnage attachant, elle est solaire, pleine d'empathie car elle veut aider tout le monde, joyeuse, dynamique, joviale, altruiste mais aussi un peu fleur bleue et parfois elle se montre quelque peu naïve... Cependant elle cache aussi un fort caractère qu'elle laisse exploser quand elle en a bien besoin. Elle m'a vraiment touchée et émue tout comme elle m'a fait rire car elle est bourrée d'humour. Parfois j'ai eu l'impression qu'elle n'était pas seule dans sa tête mdr
J'ai aussi eu peur pour elle quand je l'ai vu plonger à pied joint dans les abysses de Camden en toute innocence alors que pour ce dernier il doit se battre avec des démons bien trop forts à vaincre. Elle qui a un moment donné trouvait que sa vie était un peu fade, elle va être servie en voyant celle-ci chamboulée par sa rencontre avec ce jeune musicien à la dérive... Qui est ce jeune homme qui dégage autant de charisme que de fragilité ??? Summer arrivera-t-elle à le "sauver" ?
Camden Harrington, 17 ans, chanteur et guitariste des Blind Melody, groupe de rock en pleine ascension outre-Manche et qui sont aussi bien connu pour leur musique que leurs débordements. Il est autodestructeur, borderline (comme il aime le rappeler), effronté, ingérable. Pourquoi ce jeune homme qui possède un si grand talent notamment pour écrire et composer des chansons, se détruit autant ? Est-ce le succès qui lui monte à la tête, comme à sa sœur jumelle May ?
On comprend très vite que son mal-être remonte à bien plus tôt et qu'il cache ses démons qui le rongent depuis bien des années tout au fond de lui. Il n'en parle à personne et encore mois au psy chez qui on l'a envoyé. Pourtant Summer va susciter un réel intérêt chez lui au point qu'il ait besoin de la voir même s'il se livre peu.
Camden est un personnage taciturne, asocial, mystérieux, sombre mais également fragile et torturé. C'est un écorché vif qui n'a pas été gâté par la vie et on apprend quelques pans de son passé par des flasbacks. On pourrait croire que le succès et l'argent font le bonheur et pourtant on est bien loin du compte car il se sent encore plus seul, mal dans sa tête et dans sa peau et seul sa musique est son échappatoire. Derrière son "plaisir" à l'autodestruction, on sent qu'il cache un profond mal-être et que quelque chose de grave s'est passé dans son passé. Malgré son jeune âge il donne l'impression d'avoir vécu plusieurs vies, d'accumuler tous les maux de la terre qu'il tente d'oublier à travers ses mots. C'est un jeune homme perdu, ne sachant plus qui il est ni ce qu'il veut comme si tout espoir d'être heureux l'avaient déserté...
Sous ses airs de petit c*n, se foutant de ce que les autres peuvent penser de lui et de l'image publique qu'il renvoie, on découvre un jeune homme qui a besoin d'amour, de douceur, d'attention mais surtout que quelqu'un croit vraiment en lui et aura assez de force pour l'aider à se sortir de cet enfer qui est sa vie... et si c'était ELLE, Summer qui l'émerveille et le fait se sentir vivant. A ses côtés il a vraiment l'impression d'être lui, d'être quelqu'un de bien, qui pourrait avoir un avenir meilleur.
C'est un personnage qui m'a beaucoup émue par ses démons, son passé et la bataille qui s'opère en lui constamment.
Les personnages secondaires sont assez nombreux et pour la plupart hauts en couleur. Pour autant, ils ont tous une place importante dans l'histoire. Il y a les déjantés sur qui ont peut toujours compter ou alors ceux qui pensent bien faire en laissant leurs démons dicter leur vie...
Une histoire assez sombre abordant des sujets très délicats et graves mais qui malheureusement existent dans notre société et dont il faut oser parler. L'auteure le fait avec simplicité, sensibilité et authenticité afin de ne pas rentrer dans le "too much".
Alors que Summer reçoit Camden en consultation, cette dernière ne restera pas de marbre face à cette beauté torturée et sombre pourtant aux traits angéliques qui met sa vie en danger à cause de ses démons qui lui pourrissent la vie depuis bien trop longtemps. Entre eux, un lien invisible mais fort va assez vite se tiser et ils sont se rapprocher malgré les interdits et leurs différences qui sont bien nombreuses. Pas facile de tisser une relation quand elle semble dès le début vouer à l'échec, surtout quand les démons du jeune homme ne lui laisseront aucunes portes de sortie des ténèbres qui l'engloutissent jour après jour. Mais ce dernier voit en Summer la "lumière" au fond de ce couloir si sombre comme si elle pouvait être sa rédemption. Malheureusement pour eux, leur chemin vers le bonheur sera semé de bien des embûches qu'ils devront affronter et surtout ils devront apprendre à communiquer et à ouvrir leur cœur à l'être aimé.
Une histoire qui m'a embarquée dès les 1ers chapitre et dont je n'ai pu ressortir indemne tant les émotions sont fortes et intenses à tel point qu'on les ressent au plus profond de nous et ça nous chamboule énormément.
Entre secrets, passion, autodestruction, prise de conscience et sentiments, l'intrigue est menée tambour battant et nous tient en haleine tout au long de notre lecture.
La plume d'Ena L. est toujours aussi belle, authentique, envoûtante et surtout addictive qui nous livre des émotions pures et intenses qui nous éclatent en plein cœur et nous laisse sur le c*l.
En conclusion, je vous conseille de découvrir ce roman qui est un coup de cœur et qui m'a pris aux tripes... Alors Summer et Camden auront-ils droit à un happy end ??? C'est à vous de le découvrir.
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