Citations de Jim (383)
Lire c’est boire et manger, l’esprit qui ne lit pas maigrit comme le corps qui ne mange pas. - Victor Hugo.
JE NE SAiS PAS QUOI DIRE... J'AI ENTENDU DIRE QU'ON MOURAIT DEUX FOIS. QUAND LE COEUR CESSE DE BATTRE, ET QUAND ON ARRÊTE DE PRONONCER TON NOM. JE N'OUBLIERAI JAMAIS CETTE PETITE, CROIS-MOI...
JENE SAiS PAS QUOI DIRE... J'Ai ENTENDU DIRE QU'ON MOURAIT DEUX FOIS. QUAND LE COEUR CESSE DE BATTRE, ET QUAND ON ARRÊTE DE PRONONCER TON NOM. JE N'OUBLIERAI JAMAIS CETTE PETITE, CROIS-MOI...
LA VIE N'A AUCUN SENS. JAMAIS. ELLE N'EN A JAMAIS EU ET N'EN AURA PAS. ELLE NE REPONDRA A AUCUNE LOI, AUCUNE RÈGLE. C'EST LA NATURE MÊME DE LA VIE. ELLE EST IMPERMANENTE, VIOLENTE, DEGUEULASSE. MAGNIFIQUE. ET IL FAUT RESTER DROIT, SOLIDE, DEBOUT SUR SES DEUX JAMBES, ET TENIR FACE AUX GRANDS VENTS. IL FAUT SENTIR LA VIE NOUS TRAVERSER, NOUS SECOUER, C'EST SON ESSENCE MÊME, SON FRACAS PERMANENT... ET DANS LE NOIR DE LA TEMPÊTE, ON DOIT JUSTE ESSAYER DE HURLER AUX GENS QU'ON LES AIME, ET CRIER FORT ET ESPERER QUE NOTRE VOIX PORTE JUSQU'À EUX.
IL FAUT AIMER LA VIE, IL FAUT EMBRASSER LES GENS, SE METTRE A GENOUX ET LES SERRER CONTRE SOI, ET LES SERRER FORT. ET LEUR DIRE QU'ON LES AIME, ET LEUR REDIRE, ET LEUR REDIRE ENCORE, AVANT DETRE PRIS PAR SURPRISE, AVANT DETRE PRIS EN TRAÎTRE ET D'ÊTRE DÉVASTÉ. IL FAUT PLEURER DE BONHEUR CHAQUE JOUR, ET PLEURER DE PEUR DE PERDRE LES GENS QUI NOUS IMPORTENT. MÊME SI ON SAIT QU'ON LES PERDRA.
Tant que tu peux revenir, tu n’as pas vraiment fait le voyage - Roger Munier
Lorsque l’on regarde dans la bonne direction, il ne reste plus qu’à avancer
– Tu ne simules pas, donc, à la différence de bien des femmes ! Toi, tu stimules ?
– Exactement ! Et ça n'a rien à voir !
Quand vous sortirez de la tempête, vous ne serez pas la même personne que celle qui y est rentrée. C'est tout l'intérêt de la tempête.
Haruki Murakami
L’espoir est une forme liquide, qui sans cesse trouve son chemin, s’infiltre partout où il peut se faufiler. Et rien n’est moins perméable que nos carcasses encore tout ébranlées du choc de l’accident !
N’oubliez pas de vivre. Soyez égoïste. C’est important de ne pas s’oublier … la vie, la vie, la vie … avant tout !
Est-ce que les grands jours sont forcément derrière nous? Et qu'est-ce qu'on a perdu en grandissant ? Est-ce qu'on a mis de côte nos rêves, tout ce qu'on rêvait d'être juste par facilité, par renoncement ?
Se souvenir, c est s écorcher
– J’en ai soupé des trucs compliqués, on a eu notre dose. Moi, j’aspire à une vie de moine… Enfin, de moine avec du sexe, hein !… Mais juste du sexe avec toi… Avec personne d’autre…
C’est ton passé cette fille, et le passé, c’est les emmerdes… Tu jettes ! Sinon c’est du rafistolage, et le rafistolage ça ne tient jamais…
La vérité, c’est qu’on ne peut pas revivre les belles choses avec les mêmes personnes.
Il faut aimer la vie, il faut embrasser les gens, se mettre à genoux et les serrer contre soi, et les serrer fort. Et leur dire qu'on les aime, et leur redire, et leur redire encore, avant d'être pris par surprise, avant d'être pris en traître et d'être dévasté. Il faut pleurer de bonheur chaque jour, et pleurer de peur de perdre les gens qui nous importent. Même si on sait qu'on les perdra.
Il faut sentir la vie nous traverser, nous secouer, c'est son essence même, son fracas permanent... et dans le noir de la tempête, on doit juste essayer de hurler aux gens qu'on les aime, et crier fort et espérer que notre voix porte jusqu'à eux.
Toutes ces choses insignifiantes... tout ce à quoi on ne fait pas attention au jour le jour, c'est tout ce qui nous manquera le plus cruellement un jour.
Entre la peur et l’attente, il y a de l’espace pour les rêveurs…