Raule

Côté dessin, c'est classique mais plutôt sympa. Le détail à la con qui m'a vaguement ennuyé, il y a deux personnages qui se ressemblent quand même méchamment. Donc quand il ne se présente pas, vous me voyez venir, air ahuri, sourcil, toussa. Bon, ça reste un détail, hein, ce n'est pas rédhibitoire (et quand je dis rédhibitoire...). A côté de ça, le dessin, dynamique puisque les scènes d'action sont plutôt bien foutues. Travail intéressant sur les ombres et les couleurs qui rendent bien l'atmosphère "chaude" du quartier. J'ai aussi noté le petit détail sympathique qui fait que tous les albums ont leur première case sur le même format et avec un contenu similaire. Anecdotique mais rigolo. Au final, Jazz Maynard est un bon polar, soigné et bourré de qualité que sauront apprécier les amateurs du genre.
Lien : http://croqlivres.canalblog...

Côté dessin, c'est classique mais plutôt sympa. Le détail à la con qui m'a vaguement ennuyé, il y a deux personnages qui se ressemblent quand même méchamment. Donc quand il ne se présente pas, vous me voyez venir, air ahuri, sourcil, toussa. Bon, ça reste un détail, hein, ce n'est pas rédhibitoire (et quand je dis rédhibitoire...). A côté de ça, le dessin, dynamique puisque les scènes d'action sont plutôt bien foutues. Travail intéressant sur les ombres et les couleurs qui rendent bien l'atmosphère "chaude" du quartier. J'ai aussi noté le petit détail sympathique qui fait que tous les albums ont leur première case sur le même format et avec un contenu similaire. Anecdotique mais rigolo. Au final, Jazz Maynard est un bon polar, soigné et bourré de qualité que sauront apprécier les amateurs du genre.
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Côté dessin, c'est classique mais plutôt sympa. Le détail à la con qui m'a vaguement ennuyé, il y a deux personnages qui se ressemblent quand même méchamment. Donc quand il ne se présente pas, vous me voyez venir, air ahuri, sourcil, toussa. Bon, ça reste un détail, hein, ce n'est pas rédhibitoire (et quand je dis rédhibitoire...). A côté de ça, le dessin, dynamique puisque les scènes d'action sont plutôt bien foutues. Travail intéressant sur les ombres et les couleurs qui rendent bien l'atmosphère "chaude" du quartier. J'ai aussi noté le petit détail sympathique qui fait que tous les albums ont leur première case sur le même format et avec un contenu similaire. Anecdotique mais rigolo. Au final, Jazz Maynard est un bon polar, soigné et bourré de qualité que sauront apprécier les amateurs du genre.

Deuxième tome après la première trilogie , toujours aussi violent dans un nouveau cadre. Teo et Jazz Maynard sont partis en Islande pour retrouver l œil doré, mais la quête de cet artefact est assez longue et on avance très peu dans le déroulement de l histoire.

Ce deuxième repart pour moi sur les mêmes travers que la première trilogie. Assez décevant au final.

Dans ce nouveau tome de Jazz Maynard on reprend avec les mêmes protagonistes, Judas toujours en prison, Jazz qui tente de se mettre au vert. Il décide de dire non à des contrats qui paraissent pourtant juteux et forcément malhonnête. Ce justicier a besoin de calme et de se retrouver en famille, mais quand un nouveau chef de file essaie de prendre le pouvoir dans son quartier et s en prend au bar où Jazz fait de la musique, ce dernier voit rouge.

Ce tome est beaucoup plus lent car c est la mise en place de la nouvelle histoire, mais on est beaucoup moins perdu que pour les tomes précédents.

Fin de cette première trilogie avec une violence omniprésente et c'est même un feu d artifice tellement la sanquette est présente. Les éléments un peu flou des tomes précédents s éclaircissant mais le sentiment qu il y a trop d éléments dans ce scénario me reste quand même présent à la fin de ce tome.

En tous cas le personnage de Jazz Maynard est haut en couleur et correspond bien à l image du justicier.

Je suis déçue de ce tome 5. Déjà il se lit très (trop) vite, à peine 20 min … et finalement il ne se passe presque rien si ce n’est la bataille. On n’apprend rien de plus, il y a des monstres partout, le sang gicle bref assez peu d’intérêt pour moi. Cela aurait pu faire quelques pages mais certainement pas les 48 pages. Je lirai le sixième tome parce que j’ai apprécié les premiers mais j’espère que la fin rattrapera celui-ci.

L'homme-nuit est le premier tome d'Isabellae qui se déroule au Japon, à la fin du XIIe siècle. Isabellae, à la recherche de sa soeur, gagne sa vie comme chasseuse de primes. L'intrigue semble assez basique mais elle est prenante avec quelques éléments fantastiques. Isabellae débute son aventure seule et va se trouver des compagnons de route au fur et à mesure de son avancée. Elle n'hésite pas à tuer les brigands recherchés mais elle aide aussi les plus faibles. Rien de bien original donc mais l'ensemble reste intéressant. On découvre son passé au fil de l'histoire avec des flash-back ce que j'ai beaucoup apprécié. Les dessins sont réussis. Je suis donc plutôt satisfaite mais à confirmer avec la suite.

J’ai beaucoup aimé le dessin, original et expressif, moins le scénario que j’ai trouvé confus à force de flash backs qui pour certains m’ont paru incongrus. Je ne pense pas lire les autres tomes de cette série.

Ce qui devait arriver arriva... c'est un peu la morale de ce dernier tome.

Je ne me souviens pas de tous les détails des tomes précédents... mais le plus important est de savoir qui est qui.... et voilà, l'histoire peut débuter et se dérouler sans un accro... ou presque.

Je trouve ce tome de fin parfait : on apprend ce qu'il manquait du personnage principal, et la conclusion de l'histoire fini le tome et la série..... J'ai du lire trop de série qui se finissait n'importe comment, pour ne pas apprécier ce petit détail.

En même temps, je regrette un peu de plus avoir à découvrir de nouveaux tomes.....C'est étrange cette impression de devoir dire adieu à des personnages : je ne l'avais pas encore expérimentée

Philippe Martin est un flic parisien qui revient à Barcelone avec une tâche difficile : identifier le corps d’une jeune femme qui pourrait être sa fille. Une fille née de sa liaison avec une belle catalane qui a disparu du jour au lendemain. Une mère éplorée, qui saura le retrouver pour le sommer de trouver l’assassin de sa fille, elle qui ne croit pas en la thèse du suicide. Philippe part donc sur les traces de sa fille, qu’il ne rencontrera qu’à travers les portraits dressés par ses amis proches. Et découvrira un dangereux gang qui sévit à Barcelone en toute impunité, avec pour chef un truand redoutable et sans pitié.

L’intrigue promettait de tourner autour du monde de l’art, au final, ce n’est abordé que très légèrement. On y découvre une Barcelone réaliste, loin des clichés de cartes postales. C’est un aspect que j’ai apprécié. Pour le reste, je suis sur ma faim. Philippe Martin a tout du surhomme, lui qui parvient à dénouer un écheveau d’intrigues en à peine quelques heures, le tout en éliminant sans difficulté un gang que la police catalane n’arrivait pas à boucler depuis plusieurs années. Je n’ai pas été sensible non plus aux graphismes, que j’ai trouvé assez datés et vieillots. En bref, un scénario peu original et précipité, un méchant d’opérette et un héros surhumain, et un dessin, qui sans être mauvais, m’a laissé froide. Mais je suis certaine que L’Art de mourir saura plaire à tous les fans de Philippe Berthet.
Lien : https://enquetelitteraire.wo..

Alors sera accompli et fini ma prophétie

Ce quatrième opus d’Arthus Trivium est l’ultime tome de la série, suite à un désaccord entre l’auteur et l’éditeur… Si l’épilogue, livré sous forme de lettre signé de Nostradamus permet au lecteur imaginer ce qu’aurait pu être les aventures de ses disciples, il le aussi laisse quelque peu sur sa faim…



Mais cette Armée Invisible est un récit choral parfaitement orchestré mené tambour battant et mis en scène avec maestria par l’impressionnant Juan Luis Landa dont le trait élégant et sensuel, sublimé par une mise en couleur tout juste somptueuse, ne cesse de nous enchanter…



Arthus Trivium est une série ésotérique de cape et d’épée sublime et flamboyante qu’on aurait aimé voir se poursuivre plus avant tant l’univers et les personnages imaginés par Raule nous avaient séduits, mieux même, envoûtés…


Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..

Au départ, je pensais que c'était dessiné par Marini puisque j'ai vu le collant sur le premier tome. Mais finalement non, c'est Landa (qui ça?) 😅 Sauf que cet artiste à sérieusement tout pour déclasser le roi des bd. Les dessins sont détaillés, raffinés, dynamiques, bref ajoutez tous les synonymes, ils sont juste parfaits. 😍 J'ai passé plus de temps à examiner chaque case qu'à lire. 😏 .

Côté scenaristique, j'ai décelé quelques lacunes. La majeure, cest qu'après ma lecture des deux tomes, je me demande encore pourquoi c'est le nom d'Arthus Trivium qui figure comme titre, il n'a rien fait de plus que les autres. De plus, le roi des démons avait hâte de voir Arthus, mais ne lui a pas parlé quand il l'a vu... .

Bref, grâce aux dessins, je vais continuer de lire la série, j'ai déjà le 3e chez moi. 😉

A priori c'est la fin d'une histoire commencée au Japon et qui se termine en Irlande mêlant habilement les fantômes japonais ét les rites druidiques.

Tous les tomes n'ont pas été au même niveau, mon préferré reste l'avant dernier. L'histoire est cloturée ou du moins cette histoire ayant conduit Isabellae et ses fantômes preferes dans la verte Erin. La bataille est terminée et chacun ramasse ses morts.

Un peu brouillon tant au niveau du dessin que de l'histoire sur ce dernier opus mais c'est une belle série.

Précédée d'un commentaire louangeur de Enrico Marini, cette BD d'aventure autour du médecin et astrologue Michel de Nostradamus avait tout pour plaire. Mais l'adjonction au célèbre auteur de prophéties de trois jeunes gens chargés de mener des enquêtes est très artificiel. Quant à leurs pouvoirs et connaissances « occultes » n'en parlons pas…

Les dessins sont dans un style très contrasté jouant peu sur les couleurs, toutes en nuances de gris et d'ocre. Parfait pour une thématique fantastique / magie qui prédomine ici, aux dépends du côté aventures historiques.

Cette BD trouvera sans doute un public, dans le registre heroic fantasy, fantastique et autres calembredaines, mais pas du côté des amateurs de Dumas.

Isabellae est une jeune guerrière à la recherche de sa sœur après la mort de leurs parents.

Dans ce premier tome, chaque personnage s’incruste dans l’histoire petit à petit et de manière naturelle. L’action présente est entrecoupée de souvenirs, ce qui nous apporte les détails sur l’histoire.

Ajoutez à ça un dessin fin et détaillé, et vous obtiendrez ce chef d’œuvre de BD.

Attention toutefois, réserver à un public amateur du genre, certaines images pourraient choquer les plus jeunes.

Bonjour,



J'ai lu cette série jusqu'au tome IV et suis décidé à m'arrêter là. Je recommande la lecture du tome 1, les suivants sont superflus.



Graphiquement c'est réussi. Le scénario captive.



Elle conte les aventures guerrières d'une héroïne qui recherche sa sœur et finit par rencontrer la magie noire.



Partie d'Asie et plus particulièrement du Japon, elle s'achemine jusqu'en Irlande, où un destin de "femme providentielle" l'attend. Le changement de décors peine à renouveler le scénario par lequel les "gentils" trucident sans états d'âme les "méchants" bandits, anglais ...



Très honnêtement je ne goutte pas la dérive vers la magie noire qu'opère l'ouvrage, pas plus que l'accumulation des cadavres. La justification et la glorification de l'action guerrière finissent par me donner la nausée.



Sur la terre d'Irlande, les autochtones finissent par invoquer les démons pour chasser les anglais. Plus ça va, plus c'est glauque.

Comme le laissait clairement entendre le cliffhanger du tome précédent, ce deuxième volet d'Arthus Trivium s'oriente clairement vers le fantastique.



L'ancien mentor de Nostradamus, revenu d'entre les morts, a invoqué un seigneur mort-vivant qui assaille le domicile du vieil homme avec une armée de monstres, à la recherche d'un puissant artefact.



Si vous n'êtes pas rebuté par le surnaturel et les créatures infernales dans un background historico-aventureux, cette série est faite pour vous. Le scénario, chargé de scènes d'action et de combats est assez magnifiquement servi par le dessin réaliste anguleux virtuose de Landa (qui n'est pas sans faire penser à celui d'Anthony Jean sur La Licorne ) fort bien rehaussé par ses choix de couleur.

http://bobd.over-blog.com/2016/10/c-est-bientot-halloween-non/arthus-trivium-2-vs.van-helsing.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..

Dans ce premier tome, l'histoire est centrée autour de Nostradamus, un proche du pouvoir royal, et qui est connu (encore aujourd'hui) pour ses prophéties. C'est un vieil homme qui doit faire face à ses vieux démons. Il est soutenu par ses trois jeunes disciples; ces derniers parcourant le pays pour résoudre des affaires et des énigmes, en lieu et place de ce dernier.



Je trouve l'idée de faire une BD autour du personnage, au combien mystérieux, de Michel de Nostredame, très intéressante. Mais, je suis assez mitigée sur le résultat. En effet, je trouve que l'histoire part un peu dans tous les sens. On a deux histoires en une, mais celles-ci ne sont pas correctement reliées, il y a un manque de transitions efficaces. On a affaire à Nostradamus, sa famille, et ses problèmes, et d'un seul coup, on se retrouve avec ses trois disciples. Au départ, on ne sait pas qui ils sont, quels sont les liens entre eux, et leur lien réel avec le célèbre médecin On peut alors supposer que cet aspect sera développé dans les tomes ultérieurs, mais quelques indices dès ce premier tome auraient été les bienvenus. Par ailleurs, on se retrouve mêlés à leurs aventures rocambolesques, mais on ne comprend pas forcément ce qu'ils font, ni leur intérêt.



Je trouve que ce tome manque cruellement de sens. En fait, c'est comme s'il manquait un premier tome à celui-là, puisqu'on a juste l'impression en lisant celui-ci que l'histoire et les personnages sont déjà bien installés, ce qui n'est évidemment pas le cas. C'est d'autant plus dommage que l'idée de base est bonne.
Lien : https://elbooksmovies.wordpr..

J'ai aperçu de premier tome plusieurs fois dans les rayons de la librairie que je fréquente souvent et cet album m'a tout de suite plu. Il est pourtant rare que j'achète une BD sans m'être renseignée sur l'histoire, avoir lu une preview ou des critiques. Et bien voilà mon argent bien dépensé!

Je me suis laissée tenter notamment par la première page de la BD qui est magnifique. C'est le premier atout de cet album, les dessins et les couleurs. Les traits des personnages sont fins, les scènes de cape et d'épées sont vivantes et précises. J'ai en plus apprécié les flash-back insérés au cours du récit. Les dessins expliquent les 4 étoiles attribuées.

Concernant l'histoire, je la trouve pour l'instant bien ficelée, les personnages sont bien identifiés, le lecteur ne se perd pas dans les différentes actions, et la magie ainsi que le personnage de Nostradamus apportent la touche de mysticisme qui contribue à densifier l'énigme.