Adrian McKinty

Je suis assez partagée après cette lecture. Je ne sais pas trop quoi en penser. D'un côté c'est glaçant et de l'autre j'ai trouvé que certains éléments manquaient de crédibilité...

Mais peut être que je réfléchis trop et que je ne me laisse pas assez porter...

Une bonne lecture tout de même, un bon page turner mais sans plus. Dommage...rendez-vous manqué pour moi...

Deuxième volet d’une trilogie mettant en scène le policier catholique de la RUC Sean Duffy au début des années 1980, Dans la rue j’entends les sirènes reprend le cours de l’histoire du héros quelques mois après les événements contés dans Une terre si froide. La guerre des Malouines commence, les tensions sont toujours aussi fortes en Ulster et Duffy doit enquêter sur un torse découvert dans une valise. Bien entendu, en Irlande du Nord, les soupçons se portent vite sur l’IRA ou les Loyalistes. Mais les choses apparaissent vite plus compliquées et Sean Duffy, toujours aussi borné, va soulever des pierres dont beaucoup de monde voudrait qu’elles ne bougent pas. De la campagne irlandaise à la banlieue de Boston en passant par son propre corps de police et l’usine DeLorean de Belfast, Duffy n’a pas fini de donner de l’urticaire à ceux qui voudraient étouffer l’affaire, ni de s’attirer des ennuis.



On avait eu plaisir à retrouver en début d’année, après une longue absence, Adrian McKinty et son nouveau héros. Le plaisir perdure avec ce deuxième roman en un an mettant en scène Sean Duffy mais aussi, plus largement, l’Irlande du Nord du début des années 1980.

Car plus que l’enquête – bien menée – c’est tout ce qu’il y a derrière que nous donne à voir McKinty. Une Irlande du Nord en plein marasme, le racisme ordinaire, l’incapacité de la population à s’extraire de l’ethnotype dans lequel elle s’enferme (l’Irlandais porté sur l’alcool, bagarreur, têtu, superstitieux, rétif à toute autorité et lavant son linge sale en famille) et, bien entendu, la violence au quotidien de ce qui n’est rien d’autre qu’une zone de guerre. Ainsi en va-t-il de cette routine, chapitre après chapitre qui voit Sean Duffy regarder tous les matins si sa voiture n’a pas été piégée dans la nuit : « J’éteins la radio, prépare du café, enfile un col roulé noir, un jean et des Doc, puis je sors. J’inspecte le dessous de ma voiture, ne découvre pas de bombe à interrupteur au mercure. À ce moment précis, sept mille hommes et femme du Royal Ulster Constabulary procèdent tous à la même vérification. Un ou deux vont trouver une bombe, appeler la brigade de déminage et, après avoir fait dans leur froc, se féliciteront de s’être astreints à leur routine matinale. »

L’autre atout d’Adrian McKinty et qu’il a en commun avec nombre de ses confrères irlandais, de Ken Bruen à Gene Kerrigan en passant par Colin Bateman, c’est cette formidable capacité à traiter cette violence sans jamais se départir d’un humour cynique bienvenu qui ne tombe pour autant jamais dans la grossière pantalonnade.

Avec cette trilogie qui, pour le lecteur français qui s’était arrêté aux aventures agréables mais plus proches de la série B, de Michael Forsythe, McKinty semble avoir gagné en maturité, se libère quelque peu des archétypes américains du roman hardboiled et, partant, fait encore mieux entendre sa voix et donne plus de profondeur à ses romans et à ses personnages.

Noir, violent, mais amusant, sérieux mais pas guindé, Dans la rue j’entends les sirènes continue de confirmer le talent d’Adrian McKinty.


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Arrivé dans une gare en panne de lecture et pour un long voyage, j'ai pioché un peu par hasard (déjà vu auparavant dans une librairie ; l'éditeur et les premier et quatrième de couverture ont fini de me convaincre) Ne me cherche pas demain d'Adrian McKinty dans les rayonnages d'une librairie - enfin un Relay.



Le protagoniste principal, Sean Duffy, un policier catholique parmi des protestants et qui use le temps entre musique et consommation de différentes substances, mène deux enquêtes. La première est la résolution d'un meurtre en chambre close (un genre, quelque peu tombé en désuétude, que j'ai beaucoup lu lorsque je lisais abondamment des romans policiers). Certes, nous sommes loin des classiques du genre comme Double assassinat dans la rue Morgue de Poe, Trois cercueils se refermeront de John Dickson Carr ou La Pierre de lune de Wilkie Collins, tous les trois cités lors d'un échange entre Sean Duffy et un autre policier, mais cette chambre close reste intéressante et permet de faire avancer la deuxième enquête. Celle-ci concerne la localisation d'un terroriste de l'IRA récemment évadé et que Sean Duffy a connu dans son enfance - c'est la raison pour laquelle le MI5 fait appel à Sean Duffy.



À l'occasion de ces deux enquêtes menées par Sean Duffy, Adrian McKinty glisse ici et là quelques réflexions sur l'Irlande, les irlandais et le conflit nord-irlandais (Les Troubles). Ces réflexions restent des incursions dans le contexte historique dans lequel évolue Sean Duffy sans prétendre à raconter l'histoire du conflit nord-irlandais - dans mon souvenir, la démarche de Richard Deutsch avec son héros, Hippolyte Braquemare, était davantage historique que policière ; celle d'Adrian McKinty davantage policière qu'historique.



Mêlant la petite histoire (un meurtre en chambre close) à la grande histoire (les Troubles), Ne me cherche pas demain constitue un roman policier de bonne facture avec un protagoniste assez attachant, le tout m'ayant permis de renouer pour quelques heures avec le meurtre en chambre close.

Ma première lecture de 2023 et une très bonne lecture. Je commence bien l'année !



Une jeune fille est kidnappée. Rachel, la mère de celle-ci se fera aider par son ex beau-frère pour kidnapper un autre enfant et verser la rançon, telles sont les règles. Mais si elle veut que sa fille soit libérée, il faudra que les parents de l'enfant qu'ils viennent de kidnapper, kidnappent eux-mêmes un autre enfant et versent également la rançon, telle est La Chaîne !



Une histoire qui démarre dès les premières phrases et nous met dans l'ambiance sans tarder ! Une écriture fluide et directe qui permet une lecture rapide et plaisante.

L'histoire ce divise en deux parties, mais je ne vous en dirais pas plus si ce n'est que j'ai bien plus apprécié la première. Pourtant il y avait nettement plus d'action dans la seconde partie, mais les 250 premières pages m'ont totalement happé ! J'étais presque en apnée pendant cette partie tellement le suspense était présent, un thriller comme je les aime ! Ça c'est un peu essoufflé par la suite avec la fin d'une intrigue qui tournait un peu en rond et qui a donné quelques longueurs, mais rien de bien méchant.



J'ai vraiment beaucoup aimé l'idée qu'a eu l'auteur avec ce livre. Le concept de kidnapper un enfant pour sauver le sien qui est lui-même victime d'un kidnapping, c'est diabolique ! Ce qui forcément m'a amené à me poser la question ! Est-ce que je serais capable de faire pareil ? Et vous ? Que feriez-vous ?



Ce n'est pas un coup de cœur mais c'est une très bonne lecture. Ça reste un thriller à la trame plutôt classique mais avec une histoire originale.

Bonjour les babeliophiles petit retour sur TRAQUÉS d´Adrian McKinty. Alors je ne sais pas si vous avez déjà un film d'action ou le heros(ou l'héroïne en l´occurrence) sait tout faire ou tout appris, à tirer à se battre à faire ceci ou cela,a trouver juste ce quil faut quand il le faut Alors traqués est de cette trempe mais comme le film qui se laisse voir TRAQUÉS se laisse lire sans problème. Livre d'action addictif à souhait tant on veut savoir si cette famille s'en sort et si oui comment. Ça reste quand même un bon moment de lecture mais comme je dis toujours ceci n'est que mon avis personnel.

Heather, Tom, et leurs enfants Olivia et Owen, sont en vacances en Australie. Tom, médecin de renom, doit assister à une série de conférences où il tient une place essentielle. Heather, belle-mère des deux adolescents, fait son possible pour prendre soin d'eux même s'ils la méprisent et ne l'acceptent pas dans leur famille. Lors d'un trajet dans le désert Australien, la famille s'arrête et rencontre des hommes qui leur proposent de venir faire un tour sur leur île pour découvrir la faune locale. La famille cède à la tentation et part avec eux. Et là, c'est l'accident. Tom renversé une femme qui meurt sur le coup. La famille qui règne sur cette île isolée et coupée du reste du monde va alors leur faire vivre un enfer.

Ce livre est une pépite !

Un thriller magistralement mené. La plume de Adrian McKinty vous happe tout de suite. La traque est implacable, la lutte pour leur survie est terrible. On retient son souffle de bout en bout. C'est noir, terrifiant, haletant. Il y a des secrets, des rebondissements que l'on ne voit pas venir, on plonge dans la folie de cette famille recluse et auto-suffisante.

Les moments de répits sont savamment dosés. Heather est un personnage fort, déterminé auquel je me suis attachée tout de suite.

C'est un thriller qui malgré son rythme effréné prend le temps de faire évoluer les relations entre les personnages.

Je n'en dirai pas plus, pour ne rien spoiler et ne pas gâcher le plaisir de la découverte.

Bref, un thriller redoutablement efficace que je ne peux que conseiller !

Peut-être vous rappelez vous ces chaines de lettre ou l’on vous demande de faire suivre un courrier à un certain nombre de personnes dans l’espoir un peu naïf de recevoir quelque chose en retour pour éviter une malédiction qui s’annonce ? Voilà tout le principe de ce récit sauf que dans le roman d’Adrian McKinty, on passe au niveau au-dessus, qui ne joue plus sur un espoir crédule un peu fou mais sur la menace. Il ne s’agit plus des chaînes sans conséquences qui, au pire, vous délestaient de quelques timbres postes ou de quelques minutes de votre temps, il est question ici d’enlever un enfant pour permettre la libération du vôtre.



J’ai dès le départ été intrigué par ce titre car une phrase d’accroche sur la première de couverture nous capte d’emblée le regard « Le seul moyen de récupérer votre enfant, c’est d’en kidnapper un autre ». L’enlèvement d’une personne a fortiori celui d’un enfant, ce n’est jamais sans raison : si on exclut l’enlèvement parental, c’est presque toujours motivé par des intentions d’abus physique, psychologique ou sexuel ou par motif pécuniaire. Les sens bien éveillés, ma curiosité bien piquée, je me suis donc plongée avec envie dans ce polar, qui n’a pas perdu de temps pour répondre à mes attentes, les choses démarrent sur les chapeaux de roue dès la première dizaine de lignes.



Adrian McKinty instaure une pression terrible dès la toute première page, qui ne s’allègera que vers la toute fin du roman. Autant vous dire que vous vivez ces 470 pages sur les charbons ardents aux côtés de Rachel, la protagoniste principale, qui expérimente l’horreur d’être séparée de sa fille mais aussi bien malgré elle, endosse le rôle de bourreau en toute connaissance de cause. En tant que mère, toutes les émotions de Rachel m’ont assaillies, peur, angoisse, soulagement, désespoir, panique, colère, mais aussi culpabilité et la solitude que lui confère le poids de sa responsabilité. Adrian McKinty ne nous offre aucun répit. L’auteur irlandais nous fait passer par tous les stades de l’angoisse, qui se révèle être sans fin puisque selon ce pervers chantage pyramidal, il y a toujours des parents en souffrance.



Le point central du livre, c’est évidemment Rachel, une jeune divorcée, qui se relève à peine d’une dépression et qui va devoir faire appel au peu de forces qui lui restent pour d’abord essayer de délivrer sa fille puis pour s’improviser kidnappeur. C’est elle qui va donner à ce roman une autre dimension puisqu’elle va s’improviser enquêtrice et nous mener aux origines de cette sombre histoire. Outre le fait de prendre cette place de bourreau, qui va obliger chacun des parents à se faire violence, c’est l’interrogation sur les causes de cette pyramide de Ponzi du crime qui m’a guidée tout au long du livre. Bien évidemment, l’auteur garde savamment pour lui tant qu’il le peut toute bribe d’information susceptible de nous apporter quelques réponses.



La violence larvée est bien plus psychologique que physique – même si cette dernière est bien là, cachée au creux des vécus – elle est celle des réseaux sociaux, manipulés à souhait, qui ouvre ici une faille au sein de la vie de ces familles, dont on ne saurait rien sans eux. Finalement La chaine est un titre plutôt astucieux car il démontre toutes ces formes de violence qui se perpétuent de génération en génération, sans que personne n’y échappe. On observe parfaitement comme la violence subie chez les uns se répercutent sur les autres. C’est d’autant plus effrayant que nous sommes dans une société, et Adrian McKinty a su illustrer cet aspect des choses, ou il est fort difficile d’être déconnecté : rien que le fait d’avoir un smartphone ou un ordinateur, forcément connecté à Internet, nous rend vulnérable et ce n’est certainement pas facebook, instagram ou tik tok qui vont arranger cela.



C’est une narration assez habile puisqu’elle se déroule en deux temps en combinant deux nœuds narratifs. Tout d’abord les rôles concomitants de victime puis de bourreau au sein de La Chaine, c’est effectivement assez audacieux, puis la recherche de la tête pensante de cette association criminelle qui a trouvé le meilleur moyen pour fonctionner efficacement : assurer une emprise sur ses victimes au moyen d’un chantage particulièrement odieux et efficace.




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Lecture dans le cadre du prix des lecteurs du livre de poche 2021 catégorie polar, merci pour leur confiance !



J'ai découvert ce polar dans le cadre du prix des lecteurs du livre de poche 2021. Cette année, je n'ai pour le moment pas eu de gros coup de cœur pour un livre de la sélection. Pour être totalement franc, je suis même plutôt déçu de la sélection. Du moins jusqu'à ce thriller très efficace et addictif.



Tout d'abord, il faut avouer que le style est plutôt simple, sans doute un peu trop. C'est un livre qui se lit facilement et rapidement sans prise de tête. Pour autant, cela ne veut pas dire qu'il faut le fuir, bien au contraire car sous cette apparente simplicité se cache une histoire originale et un sens du suspens qui retient le lecteur.



Je m'attarde un peu sur l'originalité du concept. Il est de moins en moins facile de se démarquer dans le monde du roman policier / thriller. le volume de la production est très important et lorsqu'on lit beaucoup de romans de ce style, on a l'impression d'une réutilisation permanente de ficelles commençant parfois à être bien usées. Il n'est donc pas simple de trouver le roman qui arrive à se démarquer par un style, une construction ou une histoire originale. Ici, l'auteur y arrive très bien puisque cette histoire de chaîne est complètement tordue et diabolique. Elle est surtout originale et bien pensée.



Évidemment, le roman se repose ensuite en grande partie sur cette idée même si on peut également relever que les personnages sont plutôt intéressants. Le personnage, son beau frère vétéran de l'armée, les psychopathes derrière la chaîne, la fille ado, l'ex-mari, autant de personnages qui vont apporter chacun un petit plus à l'histoire. L'aspect intéressant réside également dans l'évolution du comportement et de la psychologie lorsque des parents sont confrontés à la chaîne ainsi que l'expression du traumatisme à l'issue de cette épreuve. C'est plutôt bien exploité par l'auteur et l'ensemble reste finalement plutôt crédible.



Le construction en deux partie a du sens. La première partie relate l'histoire du personnage principal, Rachel, qui est confronté à la chaîne. Cette partie entraîne le lecteur dans un rythme effréné. La deuxième partie est un peu différente. On se place plutôt sur le terrain des conséquences psychologiques suite à la chaîne et on va vite passer sur la volonté de vengeance. L'ensemble tient bien la route et le fait d'avoir deux parties assez différentes permet d'éviter la lassitude en cours de lecture.



Au final, c'est une lecture très prenante, extrêmement efficace et c'est toujours sympa de découvrir une histoire qui sort un peu de l'ordinaire. L'idée de base est donc excellente, les personnages et leur psychologie sont bien exploités par l'écrivain. Il est certain que le style est simple mais pour une lecture sans prise de tête vous pouvez vous lancer dans ce roman.
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On a quasiment tous reçu des chaînes à la con. En lettre papier, par SMS ou par mail. Des chaînes qu’il fallait absolument partager dans l’heure à X personnes pour éviter un grand malheur. Dans ce roman d’Adrian McKinty, on retrouve ce principe mais bien plus glauque et avec des vraies menaces !



Rachel reçoit un coup de fil un jeudi matin. Sa fille a été enlevée et sa ravisseuse lui donne des instructions très précises. Rachel doit verser une rançon aux commanditaires de La Chaîne et kidnapper un enfant à son tour. Quand cela sera fait elle devra donner ces instructions précises au parent de l’enfant enlevé. Quand ils auront eux-mêmes kidnappé un troisième enfant, la fille de Rachel, Kylie, sera libérée. Ainsi la Chaîne perdure et existe depuis des années. Bien entendu s’il y a le moindre faux pas, les conséquences ne se font pas attendre et sont d’une grande cruauté. Tout est pour le bien de La Chaîne. Pas de police, pas d’entourloupe et tout ira bien. Ou pas.



Nous suivons toutes ces étapes et la détresse de Rachel pendant quatre jours et environ la moitié du roman. Une angoisse et un effroi qui monte crescendo. Un plan diabolique pour enlever un enfant, une froideur devant l’inacceptable. La férocité d’une mère pour protéger son bébé, capable de tout, même du pire pour sauver sa progéniture. La seconde partie a un rythme légèrement moins haletant mais tout aussi prenant et amène un angle intéressant pour le final. Un final que j’ai trouvé un peu gros mais dont je ne vois pas d’alternative plausible ou acceptable pour un thriller.



Bref, un excellent thriller hyper addictif, un page turner imparable ! Une course contre la montre et contre le Mal effrénée. J’ai adoré !
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Une idée originale pour ce roman impossible a lâcher .

On se trouve dans la peau des personnages en étant a la fois victime ravisseur criminel témoin

Vous voulez sauver votre enfant enlevé pour une rançon..? Vous devrez payer choisir un autre enfant a enlever pour le libérer sans rompre la chaîne ...

Un livre qui se dévore comme une excellente série américaine addictive.

Plaisir de lecture 9/10

Voila un livre qui, si il n'incite pas à faire du tourisme hors des sentiers battus en Australie , ferait sans doute un bon petit film d'action car le suspense et les rebondissements n'y manquent pas .

Certes le personnage de l'héroïne principale, une sorte de Rambo (Version Ted Kotcheff ) au féminin ,est un peu "Too Much" et les passages avec les enfants parfois sirupeux .

Par contre la famille de dégénérés qui les poursuit sur leur ile privée vaut le déplacement et j'ai passé un bon moment en leur compagnie .

Distrayant et percutant !

Le téléphone sonne. Un inconnu a  kidnappé votre enfant. Pour qu’il soit libéré, vous devez enlever l’enfant de quelqu’un d’autre. Votre enfant sera relâché quand les parents de votre victime auront à leur tour enlevé un enfant. Si un chaînon manque : votre enfant sera tué. VOUS FAITES DÉSORMAIS PARTIE DE LA CHAINE. VOUS N’ÊTES PAS LES PREMIERS. VOUS NE SEREZ CERTAINEMENT PAS LES DERNIERS. 



Un thriller captivant qui nous embarque dans l'histoire de Rachel,qui reçoit un appel : sa fille qui a été enlevé.Pour la libérer ,elle doit enlever un autre enfant pour que la sienne soit libéré et suivre à la lettre les consignes dictés par la chaîne. Une lecture addictive dans temps mort qui nous tient en haleine jusqu'à la fin. Le roman est en deux parties , la première sur l'enlèvement et la deuxième partie sur la vie après l'enlèvement.Certzins n'ont pas aimé cette deuxième alors que je la trouve constructive et j'avoue on devine a peut être ce qui va se passer mais le développement sur qui lenoubles personnages qui vont créér la chaîne est assez intéressante.Sans trop en divulguer,la fin on devine comment ça se finit mais on reste happé par le suspense. J'aime beaucoup cet auteur car j'avais lu la terre froide et celui-ci est aussi bien que le premier.Une belle découverte.

1e partie : Rachel, atteinte d'un cancer, s'apprête à se rendre à hôpital pour une récidive.

Un appel téléphonique va l'empêcher de s'y rendre ! Sa fille Kylie vient d'être enlevée.

Pour la sauver, elle doit payer une rançon et enlever un enfant à son tour si elle veut la revoir vivante...

C'est la chaîne ! Et si on ne suit pas ses instructions, la chaîne vous broie vous et toute votre famille....



2e partie : qui est derrière tout ça et pourquoi? Rachel et Pepe vont tenter de le découvrir.



Dès les premières pages, j'ai été captivée, c'est haletant et complètement additif ! Rachel est prête à tout pour sauver sa fille. On suit ses réactions et ses choix en se demandant ce que nous nous aurions fait !

J'ai admiré son courage. Elle fonce au péril de sa vie ! Tous les personnages sont bien travaillés leur côté psychologique réussi. Certains très attachants comme la petite Kylie. J'avais hâte de savoir comment Rachel allait s'en sortir et qui était derrière tout ça !



Captivant, intriguant, original et 77 chapitres....

Excellente lecture

⛓DÉCHAÎNÉS !⛓

Imaginez l'inimaginable ! Vous recevez un coup de fil inconnu et une voix déformée vous informe qu'on a enlevé votre fille, la prunelle de vos yeux. Pour pouvoir à nouveau la serrer dans vos bras, vous devez respecter des règles hyper strictes.



Ne pas appeler la police.

Payer une rançon en bitcoins sur le darknet.

Kidnapper à votre tour l'enfant d'une autre...



Si vous dérogez à ces règles, c'est la mort pour votre fille et votre famille. Vous faites désormais partie de la Chaine. Et vous devez la poursuivre. Coûte que coûte.



La Chaîne, existe depuis des décennies et repose sur une idée abjecte : l'amour maternel fait faire les choses les plus atroces. Pour préserver son enfant, n'importe quel être humain même le plus banal et le moins courageux peut se transformer en monstre...



Avez-vous déjà lu un pitch plus démentiel ? Vous allez découvrir ce qui arrive à Rachel Klein et à sa fille Kylie. Vous allez en perdre le sommeil, votre temps libre, vos ongles, vos phalanges, vos amis. Vous allez adorer ou détester ! C'est puissant, brillant, vicieux, méchamment tordu et magistral. Un chef d'œuvre noir qui va vous hanter avec cette question lancinante : qu'auriez-vous fait à la place de Rachel ?



En tout cas, nous, c'est sûr, on va voter pour le thriller d'Adrian McKinty pour le Prix des Lecteurs Polar Livre de Poche de juillet. 😍😍🤩🤩



Prolongez vite la chaine des fans de "La Chaine" ! Foncez !!!

Excellent ! Gros coup de coeur ♥

Je l'avais vu passé souvent sur instagram mais parfois j'ai été déçue des titres un peu trop populaires. Or là c'est tout le contraire.

L'intrigue fait froid dans le dos tellement elle m'a semblé réaliste: qui ne ferait pas tout pour sauver son enfant?

Oui vous avez bien lu : Le seul moyen de récupérer votre enfant, c'est d'en kidnapper autre. Vous faites désormais partie de la chaîne.

L’idée d’adapter le jeu de la chaîne pour un roman policier était vraiment très intéressante et à mon humble avis, dommage qu’elle soit si mal traitée.

Je suis à la page 150 et bla et bla et bla, peu d’actions et des répétitions à foison. Je m’ennuie dans l’histoire et ce beau-frère, ancien Marines, qui tombe à pic ne contribue pas à me faire changer d’avis. C’est très mal écrit, il n’y a aucun style et les références littéraires qui émaillent le récit n’apportent rien. (p. 470).

La fin de ce thriller est encore plus « hallucinante» et ne m’a absolument pas convaincue. Aucun intérêt. Un navet insipide.

Encore un excellent Sean Duffy. Je suis vraiment perplexe devant le monde de l'édition française. Comment a-t-on pu passer à côté d'une telle série? Ce roman attend depuis 2014 qu'un éditeur français veuille bien le publier… c'est invraisemblable! Bref, je suis ravi que Acte Sud, bénis soient-ils!... ait franchi le pas.

Quel personnage ce Sean Duffy, drôle, téméraire, tenace, humain, anti héro, Que dire de l'intérêt de ce récit.. Adrian McKinty nous plonge dans le conflit Nord Irlandais, après la crise des Malouines dans l'opus précédent, et on comprend tout, c'est limpide sans dériver vers le cours magistral d'un livre d'Histoire, mais par les petites histoires, les tensions latentes, l'authenticité des personnages, on intègre tous les tenants et aboutissants de ce conflit. Un écriture fluide, des scènes d'actions fulgurantes rares mais qui sont autant de tournants. Un régal! J'espère juste ne pas devoir attendre 7 ans pour lire le suivant de la série.

Rachel se remet à peine de son divorce et de son cancer, lorsqu’un appel téléphonique vient bouleverser sa vie. Kylie, sa fille adorée, vient d’être enlevée alors qu’elle partait pour le collège. Si elle veut qu’elle ait la vie sauve, elle doit respecter les règles que lui impose La Chaîne, payer une rançon mais surtout enlever à son tour un enfant.



Ensuite, la chaîne devra continuer encore et toujours, dans le plus grand secret, sinon les représailles seront implacables et dramatiques. Dans ce jeu de vie et de mort, aucun maillon faible possible sinon tout s’écroule.



Un enfant est enlevé, un autre est libéré, une technique inspirée par celle d’un cartel mexicain qui voulait qu’un otage puisse être remplacé par quelqu’un de sa famille. Mais technique poussée à l’extrême par La Chaîne qui utilise tous les sentiments, les peurs, les faiblesses des hommes et des femmes auxquels elle s’attaque pour obtenir leur soumission complète.



Sur 480 pages, le rythme, les personnages et l’intrigue nous entraînent dans les noirceurs de l’âme humaine, mais aussi au plus près des sentiments forts qui unissent parents et enfants. Utilisant comme arme suprême cet amour absolu, le mal peut s’infiltrer et demander n’importe quel sacrifice.



lire ma chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2021/07/23/la-chaine-adrian-mckinty/
Lien : https://domiclire.wordpress...

Si vous avez envie cet été de lire un excellent thriller psychologique mené tambour battant, je vous conseille de plonger dans ce roman du nord-irlandais Adrian McKinty.



Plum Island, Massachusetts. Un matin, à l’arrêt de son bus scolaire, Kylie, 13 ans, est kidnappée par un couple. Un peu plus tard, sa mère Rachel reçoit coup sur coup deux appels téléphoniques anonymes : l’un lui parle de la Chaîne ; l’autre lui annonce que pour revoir sa fille, il va falloir qu’elle paye une rançon… et aussi qu’elle kidnappe à son tour un enfant. Seulement à ce moment-là, Kylie lui sera rendue. Et si elle échoue ou parle à la police, sa fille sera tuée…



« C’est ce que fait la Chaîne. Elle vous torture, et puis elle vous rend complice de la torture d’autres personnes. »



Le roman fonctionne à merveille. L’intrigue est originale et se complexifie à mesure, pour nous emporter vers des horizons que l’on n’attendait pas de prime abord. J’ai été tenue en haleine par cette histoire glaçante aux personnages bien campés, dont certains sont même très attachants. L’auteur aurait sans doute pu faire preuve d’un peu plus de finesse vers la fin, mais qu’importe, l’ensemble est top et addictif, je ne vous en dis pas plus !



« Victimes, survivants, ravisseurs, criminels, vous serez tout cela à la fois. Vous faites désormais partie de la Chaîne. »
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Imaginez : votre fille est kidnappée et ne sera relâchée que si vous-même kidnappez un autre enfant.... C'est le principe de La chaîne, et c'est diablement efficace ! Comment mettre fin à cette mécanique sans risquer la vie de son enfant, et sa propre vie ?

Ce roman est plein de suspense et de rythme, il mérite le détour