AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Alain Corbin (141)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Les filles de rêve

Shakespeare, Dante, Pétrarque, Homère, Goethe ou Gérard de Nerval livrent ici leurs songes et les instants d'enchantement qu'Alain Corbin a choisis pour, comme toujours, nous conduire avec étonnement dans l'imaginaire des siècles passés.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
Commenter  J’apprécie          00
Le miasme et la jonquille

Alain Corbin, professeur à la Sorbonne, dont on dit de lui qu’il est « l’historien du sensible », nous montre comment, depuis Hallé, la perception des odeurs a changé.



L'eau suscite la méfiance ; les médecins l'associent à la notion de malsain.

A partir de 1750, les hommes d’occident cessent peu à peu de tolérer l’excrément et d’apprécier les lourdes senteurs du musc. Alors commence une fascinante et inquiétante entreprise de désodorisation des lieux et du corps.

Pour la suite, voir la belle critique du lecteur Seblac, je ne ferai pas mieux.

Chef-d'oeuvre de l'histoire des sensibilités, Le Miasme et la Jonquille a été traduit dans une dizaine de langues.



Une documentation très fournie. De belles tournures de phrases sur les excréments (du beau style sur la saleté et la puanteur : tout un art !). A ne pas lire le jour où un livre nous enverra les odeurs décrites (lol).

Commenter  J’apprécie          110
Sois sage, c'est la guerre

Un petit texte limpide et pudique, petit bijou d'histoire.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
Commenter  J’apprécie          10
Le village des

Lu en suivant les conseils de mon directeur, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre en commençant cette lecture si ce n'est qu'il était question de massacre mais massacre de qui, quand, comment et pourquoi ? C'est ce que je voulais absolument découvrir et pour tout vous dire, je n'ai pas été déçue. Non, il ne s'agit pas d'un immense massacre, d'une guerre qui aurait fait des milliers de morts mais il s'agit de a tuerie d'un seul homme -oui, d'un seul - mais laissez moi un peu vous en dire plus et vous comprendre pourquoi cet ouvrage mérite d'être lut pourquoi cet abominable crime est rentré dans les annales de l'Histoire.



Nous sommes dans un petit village au doux nom de Hautefaye en Dordogne alors qu la France de Napoléon III es en guerre contre la Prusse. 16 août 1870, Alain de Monéys, un jeune noble respecté dans le village aurait été surpris en train de clamer "Vive la République" en plein lieu de foire. Pour ces paysans, cela est inacceptable d'autant plus que son cousin, Camille e Maillard aurait également tenu des propos similaires quelques mois plus tôt non loin de là. Vous l'aurez bien compris, pour ces paysans et artisans (bref, ce qui appartiennent aux classes les moins aisées, il ne faut pas toucher à leur Empereur, même si ce dernier a récemment augmenté les impôts de vingt-cinq centimes mais ils préfèrent cela que de se faire envahir par la Prusse).

Cette histoire qui aurait très bien pu s'arrêter là éveilla une telle colère chez ces derniers qu'ils s'y mirent à trois-cents (et pas seulement des gens du village mais également des gens des bourgs voisins qui ont pris Alain de Monéys pour un prussien) pour molester, frapper et torturer ce jeune noble jusqu'à ce qu'ils se fassent brûler comme l'on aurait fait rôtir un porc. Même les enfants s'y sont mis pour mettre le feu au bûcher.



Bref, voici en gros un bref résumé de cette barbarie mais ce que je ne vous dis pas, c'est combien furent arrêtés (vous vous imaginez, même le maire de a laissé faire cet abominable spectacle qui s'est non seulement déroulé sous ses yeux mais s'est même passé, à un moment, sur ses terres), s'ils furent jugés, condamnés et comment s'est déroulé la suite de cet drame, ce supplice comme se plaît à l'appeler l'auteur.



En retraçant les grandes lignes historiques de cette époque de troubles que connaissait la France à ce moment-là, Alain Corbin amène le lecteur à comprendre (mais non pas à accepter et à pardonner) comment une tel acte de "cannibalisme" (pour reprendre les propos de l'auteur) a pu avoir au siècle dernier (si on se réfère à la date de publication de cet ouvrage). A découvrir !
Commenter  J’apprécie          353
Sois sage, c'est la guerre

La Seconde Guerre mondiale vécue par l'enfant qu'était Alain Corbin, futur historien.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
Commenter  J’apprécie          00
La pluie, le soleil et le vent : Une histoi..

Que signifie pour nous le temps qu'il fait, pourquoi sommes nous devenus accros à la météo ? Un ouvrage donne la parole à des chercheurs dans différents domaines.
Lien : http://culturebox.francetvin..
Commenter  J’apprécie          00
La pluie, le soleil et le vent : Une histoi..

J'ai trouvé ce livre est un peu décevant.

On a l'impression que les auteurs se sont contentés de glaner quelques références sur le sujet, et que finalement celui-ci aurait pu être traité de façon plus exhaustive.

Il s'agit d'un ouvrage collectif : les différentes parties sont plutôt inégales. Le chapitre consacré à la neige est plutôt bon.
Commenter  J’apprécie          10
La douceur de l'ombre : L'arbre, source d'émo..

Si vous êtes sensible à la lumière à travers les frondaisons, si le parfum des pins vous transporte, s’il vous est arrivé d’enlacer un arbre ……..alors alors ce livre est fait pour vous.

Le titre est déjà tout un programme : la douceur de l’ombre.



Bon maintenant attention c’est un livre tout à fait sérieux mais qui vous porte de branche en branche et tel le Baron perché vous n’aurez peut être plus envie de redescendre.

Alain Corbin va vous faire parcourir les plaines et les monts, l’antiquité et la Renaissance, la poésie et la peinture.

Car l’arbre enchante l’homme depuis toujours. Il lui a parfois rendu un culte comme à une divinité, Platon en a fait le lieu d’élection de son Académie, Virgile l’a chanté avec ses plus beaux vers.

Objet parfois de superstitions ou d’effroi, l’arbre est le compagnon de toujours, fournissant l’abri, la chaleur, les fruits.

Alain Corbin passe tout en revue et s’appuie sur un nombre de citations ahurissant que l’on note au fil des pages pour ne plus les oublier.

Si l’on suit un peu le courant de l’histoire nous voici avec Ronsard mais très vite avec les romantiques, et là c’est un peu l’apothéose : Lamartine et les Cèdres du Liban, Chateaubriand et les frondaisons américaines et bien entendu Hugo !!

j’ai découvert que Bernardin de Saint Pierre était un fervent des arbres, l’auteur m’a confirmé l’amour absolu de Thoreau pour « la feuille, l’humus et l’arbre sauvage », l’intérêt des savants pour les arbres, Darwin et Elisée Reclus sont au rendez-vous. Voilà déjà un livre riche et l’on n’a pas encore envisagé la peinture !!



Bref un livre à garder par devers soi tout l’été, pour le feuilleter, pour réciter les poèmes que l’on y trouve et enfin pour comprendre comment nous avons fait de l’arbre notre confident, une source d’émotion ou de sagesse.

Un livre sérieux et complet tout de vert vêtu et qui vous procurera beaucoup de plaisir.


Lien : http://asautsetagambades.hau..
Commenter  J’apprécie          231
La douceur de l'ombre : L'arbre, source d'émo..

J'ai vu l'auteur dans La Grande Librairie, et ses explications m'ont terriblement excité ! L'histoire est habituellement une histoire des événements politiques, sociaux, économiques, etc., mais rarement une "histoire des émotions". Et entreprendre un volet d'une telle histoire par le côté de nos rapports aux arbres, quelle intuition géniale et séduisante !
Commenter  J’apprécie          134
La douceur de l'ombre : L'arbre, source d'émo..

Tout au long de cette foisonnante et passionnante promenade historique et littéraire, Alain Corbin chemine aux côtés d'auteurs aussi divers que Virgile et Péguy, Chateaubriand et Senancour, Rousseau et Yves Bonnefoy, Victor Hugo, Dante et George Sand.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
Commenter  J’apprécie          20
Le monde retrouvé de Louis-François Pinagot

Entant qu'apprenti historien, je ne peux que m'émerveiller devant les investigations titanesques menées par Alain Corbin. Un ouvrage magistral, qui souligne par la richesse de son contenu, le rigueur imputable à toute recherche historique.
Commenter  J’apprécie          30
Le monde retrouvé de Louis-François Pinagot

Un livre qui entend rendre + intéressante la recherche historique... Pari en partie réussi puisque ce livre se lit facilement et l'on se prend au jeu de la découverte : le "personnage", qui est en fait réel nous est rendu familier !

Néanmoins, la démarche reste très érudite et le livre ne passionne pas les moins férus d'histoire!
Commenter  J’apprécie          10
Le village des

Après avoir lu le médiocre roman Mangez-le si vous voulez de Jean Teulé, je m'étais promis de lire cet ouvrage d'Alain Corbin pour mieux appréhender les raisons du massacre d'Alain de Moneys. Confronter les deux points de vue du romancier et de l'historien m'a été utile dans la compréhension de ce sordide événement. Et, je me dois le dire, le succès remporté par Teulé pour Mangez-le si vous voulez, est injustifié et il confirme le compte-rendu de lecture que j'avais fait de l'ouvrage : les faits relatés ne sont pas contextualisés. De plus, d'après l'analyse de Corbin, les informations livrées sont erronées. Si le maire de Hautefaye a bien déclaré "mangez-le si vous voulez" en parlant d'Alain Monéys, les participants du massacre n'en ont rien fait. Ni les tartines à la graisse de la victime, ni les testicules grillées ne sont des faits avérés. Non pas que j'aurais aimé que cela soit vrai mais juste par souci de vérité. Et je trouve cela bien dommage d'autant que Teulé ne pouvait décemment pas se documenter sur cet épisode de l'histoire de Hautefaye sans avoir lu Le village des cannibales. Evidemment un roman est par définition est oeuvre fictive et l'on ne peut blâmer Teulé d'avoir voulu adapter cet événement, mais à écouter son entretien pour les éditions Julliard, on se rend vite compte que son roman est une coquille vide... J'ai bien conscience que le travail de romancier n'est en aucune mesure comparable à celui de l'historien mais je soupçonne Teulé d'avoir écrit ce roman pour des raisons mercantiles et si ma réaction est si véhémente, c'est parce que je suis attachée à l'auteur et que j'ai vraiment été déçue. Cela dit, je reconnais volontiers que c'est grâce à Teulé que j'ai découvert cette passionnante étude d'Alain Corbin et je m'empresse après cette longue parenthèse, de me pencher sur l'analyse de l'historien.



Ainsi que le présente la quatrième de couverture du livre, ce massacre est avant tout un crime politique. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce massacre n'est pas une affaire de droit commun. Elle n'engage pas la responsabilité de groupe, argument que les avocats des bourreaux d'Alain de Monéys ont tous avancés durant le procès. D'après Corbin, les raisons de ce massacre sont multiples et entremêlées : rappelons que cette analyse se présente sous un angle historique et politique. Au moment où l'Empire de Napoléon III vascille et que la menace de l'avènement de la République s'affirme, le Régime voit croître la haine des paysans envers les nobles, les curés et les républicains. Voyant d'un oeil mauvais l'instauration de la République, les paysans, finissent par considérer tout opposant à Napoléon comme des ennemis et à plus forte raison, les Prussiens représentent-ils une menace tangible contre l'ordre établi. Tout en précisant que la foiraille de Hautefaye réunit des paysans de plusieurs régions, Corbin démontre que le massacre n'est pas la manifestation d'un acte prémédité mais bien celle d'un groupe organisé : les gens ne se connaissaient pas forcément et nombre de personnes ayant participé à la mise à mort d'Alain de Monéys ne savaient pas qui il était, excepté le fait qu'il "était prussien". Corbin souligne également que l'absence de contrôle de gendarme et la faiblesse du maire ont participé à la perte du jeune homme. Celui-ci apparaissait clairement comme ce que l'auteur a appelé l'équation victimaire : Alain de Monéys = un noble + un républicain = un prussien (p.91).



Par ailleurs, Le village des cannibales n'en a que le titre : l''auteur relate en effet que "devant l'auberge, le maire aurait prononcé des paroles scandaleuses, peut-être sous forme de boutade. Son dire, abondamment souligné, va contribuer à étayer la rumeur de cannibalisme. Selon Jean Maurel, un couvreur de soixante-dix-huit ans qui réside à la chapelle saint-robert, les plus acharnés auraient dit à Mathieu (le maire), en parlant de la victime "alors arrêtée devant l'auberge" : nous voulons le tuer, le faire brûler et le manger." Le maître aurait répondu : "Mangez-le si vous voulez". Ces mots terribles semblent avoir rapidement été colportés ; la femme Antony les a déjà reproduits au procès, avant que Maurel ne témoigne. Reste qu'il s'agit d'un bruit sans grand fondement." p.104 et que "le comportement des paysans obéit une à une logique propre" p.105. Corbin en appelle à l'historiographie de la violence pour expliquer cet événement : il ne s'agit pas pour lui, tant d'une question d'affaires communales, de conjoncture économique ou encore de justice populaire mais bien d'un moyen d'exorciser la peur. Si le massacre évoque l'horreur révolutionnaire, le supplice d'Alain de Moneys n'en est pas moins une manifestation identitaire : celle des participants au foirail de Hautefaye. Une analyse sous l'angle de la psychologie des foules (peu importe l'objet du massacre, il faut anéantir l'ennemi) est évidemment acceptée, mais Corbin va plus loin : ce fait "constitue une voie d'accès priviégiée à certains processus majeurs qui relèvent de l'anthropologie historique." p. 121. La "place centrale occupée par l'imaginaire et les pratiques de cannibalisme dans des conduites dont la cruauté nous est devenue proprement insupportable" p.122 est exacerbée dans cette affaire qui "ne prouve en rien l'irrationalité de la paysannerie du Nontronnais, mais seulement la spécificité des modalités de l'analyse effectuée selon un système autonome de représentations publiques". p.165



En fait, cet événement ne relève pas d'une affaire criminelle et l'on comprend à la lecture de cette conclusion de l'historien :"Avant d'être désavoués par la société dans laquelle ils étaient immergés, ces paysans n'avaient su dire, autrement qu'en suppliciant l'ennemi, la spécificité de leurs représentations du politique, l'intensité de leur angoisse et la profondeur de leur attachement au souverain. De ce balbutiement, de cette pauvre esquisse d'une révolution identitaire oubliée, seule reste à nu la cruauté, dans le ressac du sentiment." p.166, les raisons de cette analyse.



Cette étude m'a passionnée car au délà du simple rapport d'un massacre sanglant, on parvient à saisir du bout des doigts, le processus complexe qui caractérise les manifestations d'ordre identitaire. Mais cette étude est si dense qu'il est difficile d'en rendre toute l'essence. Le chapitre 4 intitulé l'hébétude des monstres a particulièrement retenu toute mon attention. Pour conclure, je recommanderais particulièrement cet ouvrage aux lecteurs du Mangez-le si vous voulez de Jean Teulé car il apporte un éclairage intelligent sur ce sombre épisode de l'histoire des paysans du Nontronnais.
Lien : http://livresacentalheure-al..
Commenter  J’apprécie          244
Histoire de la virilité, tome 1 : De l'antiqu..

Cette Histoire de la virilité est, non seulement, un "beau livre", mais encore elle s'impose comme un grand livre. Le préalable à l'entreprise était bien sûr de définir son sujet. Nous sommes ainsi d'emblée prévenus que l'histoire de la virilité ne saurait se confondre avec l'histoire du "masculin". Car la virilité est une "représentation" du masculin et son histoire celle de ses variations.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
Commenter  J’apprécie          00
1515 et les grandes dates de l'histoire de ..

C'est une grande idée. Et une idée nécessaire. Véritable aide-mémoire, cet ouvrage comble les lacunes des manuels d'Histoire actuels. C'est aussi une manière habile et instructive de retenir soixante dates phares de l'Histoire de France.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
Commenter  J’apprécie          00
Histoire du corps, tome 2 : De la Révolution ..

Aujourd'hui, le mot corps commence à nous lasser, car le corps sans coeur n'a finalement pas beaucoup d'intérêt, de nos jours comme autrefois. Puis dans ce genre de collectif (joliment fait, genre de beau livre!, c'est du moins à conserver dans la bibliothèque de tous les appartements bourgeois parisiens, pour le montrer!), où on sent la promiscuité d'un groupe de dizaines de chercheurs qui semblent se côtoyer depuis longtemps, on voit souvent le même phénomène: c'est que la thématique partagée (ici, le corps), et la façon de la relever dans les discours, finissent par se donner une impression de fétichisme. J'imagine que tous ces chercheurs-là, comme les trois directeurs, ont fait fortune avec leur insertion dans l'école de l'histoire matérielle, et depuis, ils se définissent uniquement par rapport à cela. Par ailleurs, j'ai visionné à l'occasion une vidéo d'entretien philosophique de Georges Vigarello. Son discours excessivement matérialiste, à la limite hédoniste, m'a un peu outré. Mais pour parler comme ça, il faut qu'il joue un jeu. Oui, le triste sort universitaire qui enferme à vie les fonctionnaires de la discipline qu'on appelle par euphémisme chercheurs dans une thématique où un jour ils s'étaient trouvés, c'est l'impression que ce livre m'a faite. Mais l'ensemble est lisible, c'est bon, encore une fois, à garder dans une maison bourgeoise. Cela ne blesse ni agace ni ne choque personne...
Commenter  J’apprécie          00
Les héros de l'histoire de France expliqués à mon..

Prétendument conçu comme un dialogue, le texte interroge moins la destinée scolaire de Bayard et Richelieu, Gambetta et Pasteur, Clemenceau et Jean Moulin, qu'il n'invite à comprendre ce qui fait le héros et pourquoi l'heure de ce type de figure semble passée. Comme si, à l'instar de la Convention qui prétendait ne pas avoir besoin de savants, l'école n'avait plus besoin de grands hommes.
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
Commenter  J’apprécie          00
Histoire de la virilité, tome 1 : De l'antiqu..

L'avantage de ces gros ouvrages collectifs est d'y trouver aussi ce que nous ne cherchions pas. Difficile donc de résumer tant de pistes qui sont autant d'essais qui pourront à leur tour générer d'autres livres d'où la testostérone ne sera pas absente. [...] Cette «Histoire de la virilité», c'est donc un peu plus que l'histoire des hommes. L'histoire de leurs représentations et sans doute aussi un peu de leurs incertitudes.
Lien : http://rss.nouvelobs.com/c/3..
Commenter  J’apprécie          00
Les héros de l'histoire de France expliqués à mon..

Répondant aux questions de son fils, comme c'est le principe de la collection - et comme nous aimerions avoir un fils aussi curieux des choses de l'histoire ! -, Alain Corbin montre, avec le brio qu'on lui connaît, qu'il n'y a rien de moins définitif que la définition du "héros".
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
Commenter  J’apprécie          00
La mer

On voyage donc, à travers ce thème de la mer, dans les représentations littéraires, qui semblent balancer entre l'attraction et la répulsion pour un milieu hostile, et la lente mais sûre progression des connaissances des espaces océaniques et des milieux marins.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Alain Corbin (747)Voir plus

Quiz Voir plus

La Terre du Milieu et son histoire

Comment a été créé la Terre du Milieu ?

Par la main d'Eru
A partir du chant des Ainur
A partir des travaux des elfes
Par la volonté de chaque peuple

15 questions
260 lecteurs ont répondu
Thème : Le Silmarillion de J.R.R. TolkienCréer un quiz sur cet auteur

{* *}