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Critiques de Alfred de Musset (591)
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Il ne faut jurer de rien

"Il ne faut jurer de rien" est une pièce de théâtre écrite par Alfred de Musset en 1836. Cette comédie en trois actes explore les thèmes de l'amour, de la séduction, et de la moralité dans la société parisienne du XIXe siècle. L'histoire tourne autour du personnage de Valentin, un jeune homme qui fait un pari avec oncle Van Buck : si sa promise tombe amoureuse de lui en huit jours alors il ne l'épousera pas. Cependant, les événements prennent une tournure inattendue lorsque Valentin est confronté à des tentations et à des situations compliquées.



La pièce est connue pour son humour, sa satire sociale et son exploration de la dualité entre les idéaux moraux et les désirs humains. Musset utilise des dialogues vifs et des personnages intrigants pour critiquer les hypocrisies de la société de son époque.



"Il ne faut jurer de rien" est une œuvre qui continue d'être appréciée pour sa pertinence et son charme, car les thèmes abordés sont toujours d'actualité. Elle offre également un aperçu fascinant de la vie parisienne du XIXe siècle. La pièce est une exploration captivante des contradictions humaines et des dilemmes moraux, ce qui en fait une œuvre théâtrale mémorable

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On ne badine pas avec l'amour

Lu pour les cours ! J’avoue avoir particulièrement apprécié la lecture qui est en réalité une relecture ! L’intrigue est bien menée et les mœurs assez bien critiqués d’autant plus lorsque l’on sait dans quel contexte Musset a écrit son coeur ! Et la fin miam un délice ! Mais voilà je ne suis pas non plus fan de classique ahah ! Je préfère les tragédie style Phèdre
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La Confession d'un enfant du siècle

Un nouveau livre que j'ai dû lire pour les cours ! Je vais vous présenter un avis court mais mitigé sur ce roman. Il y a des aspects que j'ai aimé et d'autres moins. Dans l'ensemble j'ai plutôt bien adhéré à l'histoire, c'était relativement rapide à lire, ça m'a fait rire par bien des moments (coucou le chapitre 3 😜) et il s'est passé quand même beaucoup de choses. C'était une lecture assez fluide, on comprend bien les évènements, ce n'est pas difficile à lire, j'ai bien aimé la plume de Musset. D'un autre côté, il y avait aussi des moments très loooongs (notamment le chapitre 2 et la fin qui traînait en longueur 😒). Une fois ce roman terminé, je n'arrive toujours pas à savoir ce que je pense de l'histoire d'amour entre Octave et Brigitte, elle est en même temps passionnée et destructrice. Ce roman est fondé, de manière plus ou moins réelle, sur la véritable histoire d'amour entre Alfred de Musset (Octave) et George Sand (Brigitte), une histoire que j'ai bien aimé découvrir ! ^^
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Les Caprices de Marianne

Une œuvre théâtrale dramatique qui est une des premières pièces écrites par Alfred de Musset. L'intrigue se déroule dans la ville de Naples où un jeune homme nommé Coelio est épris de Marianne, une femme mariée. Les obstacles s'accumulent sur son chemin : un mari à la jalousie maladive et la vertu de l'être aimé.
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Emmeline - Croisilles

Deux nouvelles légères, bien écrites, mais qui manquent un peu de punch à mon goût. Emmeline n'est rien qu'une histoire d'adultère très très classique, tandis que Croisilles est un conte de fées vécu par un jeune étourdi. J'ai passé un agréable moment en les lisant, mais rien de plus.
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Les Deux Maîtresses

Bonne petite nouvelle de Musset ... qu'il aurait pu pousser un peu plus loin ! On reste un peu sur notre faim. Le point de départ, deux maîtresses qui se ressemblent promettait plus que cette fin si sage... Ah la marquise de Parnes méritait mieux ! Le style reste très agréable, et le caractère inconséquent du personnage principal est assez drôle. Par bien des points, cet ouvrage m'a fait penser à A vau-l'eau, de Joris-Karl Huysmans, bien que Musset n'ait pas pris le parti de montrer la déchéance de son personnage principal, on sent entre les deux quelques similitudes. Et si Folantin était un Valentin dont le cœur aurait pris du ventre ?
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Les Caprices de Marianne

Une très courte pièce de théâtre qui est légère à lire. Une comédie tragique, bien sombre qui correspond bien à Alfred de Musset. Un dénouement auquel on s'attendait depuis le début mais malgré tout très malheureux.

Malgré le fait que j'ai aimé l'écriture de l'auteur je n'ai pas du apprécier l'histoire en elle-même, quel dommage qu'elle soit si tragique et sombre.

Marianne n'apporte rien à l'histoire si ce n'est un peu de caractère.
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Les Caprices de Marianne

Difficile de s'autoriser à critiquer de Musset! Je ne connaissais pas une des pièces et j'avais oublié la fin de l'autre.



Je ne me souvenais pas que Musset était si pessimiste.

J'ai été également surprise par la dureté vis-à-vis des femmes, il semble à la fois présenter leurs obligations morales sociales et les fouler du pied comme quantités négligeables dans la bouche de ses personnages masculins et la "morale" finale, comme s'il n'y voyait qu'un prétexte à ne pas céder aux avances des hommes qui les désirent.

Il y a beaucoup de violence contenue dans les dialogues, une forte intransigeance cinglante.



Je ne me souvenais pas d'un auteur aussi... acide.
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La Confession d'un enfant du siècle

Quel plaisir de lire « La confession d’un enfant du siècle » à haute voix. Quelle beauté du texte. Musset est un poète, magicien et génie de la langue française. Avec des mots simples, il compose et interprète du grand art. Je suis absolument admirative.
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Les Deux Maîtresses

Dans le Paris romantique des années 1810, un jeune dandy au charme irrésistible, Valentin se retrouve déchiré entre deux femmes captivantes et différentes. La riche marquise de Parnes et la modeste veuve madame Delaunay se trouvent au centre de ce triangle amoureux. Valentin est tiraillé entre le prestige de l’univers aristocratique et la douceur de l’amour sincère…. Quel choix va faire notre dandy ?



Musset dévoile les mécanismes de l’amour avec une grande finesse. Ce livre est un tourbillon d’émotions et d’intrigues. Ce voyage dans l’âme humaine explore des sentiments et des contradictions qui nous animent tous. Si vous cherchez à voyager au coeur d’un amour tourmenté et vibrant, ce livre est le compagnon qu’il vous faut !
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On ne badine pas avec l'amour

S'il est bien une pièce qui mêle savamment le comique et le tragique, et qui offre des réflexions profondes sur l'amour, c'est bien "On ne badine pas avec l'amour" de Musset. Cette petite pièce, reprise de la tradition des proverbes, pratiqués au XVIIIe siècle, prend une tournure moins légère qu'elle n'y paraît.

Si la pièce s'ouvre sur un savoureux passage comique où le chœur présente des personnages stéréotypés et fantoches, très vite la verve de Musset nous plonge dans une réflexion sur le mariage : ses peurs, ses doutes ; mais aussi sur l'amour et ses dangers ; les jeux de l'amour qui, loin d'être si simples et légers, deviennent des jeux dangereux et mortels.

Musset affronte deux egos, deux orgueils qui luttent contre leurs sentiments : les deux protagonistes s'aiment mais l'un est maladroit et n'a pas apprécié être en lutte contre la religion, l'autre est conditionnée par une éducation stricte et par les confidences des femmes désabusées par l'amour. Perdican et Camille ne peuvent que se chercher, que lutter contre ce qu'ils ressentent et cet ego qui les fait souffrir. L'intrigue se corse quand on souhaite jouer avec les sentiments des autres pour servir sa cause et déclencher une marque de rédhition chez son alter ego. La pauvre Rosette en est victime, elle qui a appris à aimer sans condition et tout naturellement. Victime lâchée en pâture, elle déclenche la rupture dans le couple qui s'avouait enfin son amour.

Cette petite rose n'aura pas connu maturation et s'est éteinte brutalement car quand on joue avec le feu, on se brûle... victime innocente sacrifiée.

Si la partie comique est là pour détendre l'atmosphère, et rendre la pièce légère, elle est aussi une parodie de la partie tragique : on retrouve la guerre d'ego entre Blazius/Bridaine, chacun veut avoir raison. Dame pluche est une vision caricaturale de la dévote desséchée et stricte, sans amour. Les bêtises, les incompréhensions de Bridaine et Blazius précipitent la fin et annonce le thème de la mort non plus par métaphore : leur mort sociale auprès du baron annonce la mort des espoirs de Rosette de faire un grand mariage et sa mort physique.

Une pièce que j'ai lue, relue, et que j'apprécie toujours autant. L'amour n'est pas un jeu, Musset et Sand s'y sont brûlés comme leurs personnages... cette petite pièce aux allures de drame romantique offre de belles leçons et références à la vie, aux lettres échangées entre Musset et Sand. La prose qui est savoureuse et devient poétique par instants.

Un chef-d'oeuvre.
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Ô mon George, ma belle maîtresse (Correspondan..

Dans ce petit ouvrage d'un peu moins de 150 pages, nous nous retrouvons voyeur d'une relation instable entre George Sand et Alfred de Musset. Leur rencontre, leur séparation suivis de leur retrouvaille et d'à nouveau leur atroce séparation. Alfred de Musset est de toute évidence le plus impacté, lui, bouffé par ses sentiments envers Aurore Dupin, de 6 ans son ainée. Il lui relate, dans de nombreuses lettres tous son amour, toutes ses affections pour elle.

Mais leur relation , trop destructrice, ne peut continuer.

George Sand trop libre, folâtre, s'abandonne dans ses béguins soudain sans restriction. Elle eut de nombreuses conquêtes, d'amants, dont Musset fait partie au même titre que Chopin.

Dans ce livre, c'est un peu moins de trois années de lettres échangées par des amants émoussé, condamnés à cette fatalité qui nous est offert à lire.

Sans retenue, sans filtre stylistique, nous rencontrons les échanges familiers entre deux maitres des lettres de l'époque.
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La Confession d'un enfant du siècle

L'histoire de sa romance avec George Sand est formidablement bien écrite, aucun doute sur ce point. C'est poétique, lyrique, mais pour le reste...Je dirais que le style sauve la note! Ce n'est pas "la confession" qu'il faudrait mettre en titre, mais plutôt les caprices ou les sautes d'humeur. Bien entendu il est toujours délicats de commenter un texte ancien, les mœurs, la vision des choses ne correspondant pas à la sensibilité d'aujourd'hui. Le décalage est saisissant, vous me direz, comment seront jugées nos relations amoureuses dans 200 ans? On découvre un Musset pratiquant avec aisance l'inversion de la preuve, soufflant le froid et le chaud, comme un digne pervers narcissique, l'était-il? Ou bipolaire? Ces changements d'humeur sont lassant, et la pauvre Brigitte se laisse contaminer par l'obsession d'une douleur qui serait la seule marque du grand amour. Souffrir serait aimer de façon romantique et exclusive, quand on voudrait simplement les voir heureux d'être ensemble. Impossible dans l'univers de Musset, l'oisif doit se torturer l'esprit en permanence, douter, soupçonner et se repentir d'être à ce point, "emmerdant" pour ne pas dire plus! L'envie de fermer le livre m'est venue maintes fois, j'ai pourtant insisté. Sans doute que je cachais le secret espoir de voir un de ses amis lui en coller une bonne pour lui remettre les idées en place et lui faire cesser ses enfantillages, mais non, dans son monde ça ne se fait pas. Mais Dieu que c'était fatiguant de le voir se rouler aux pieds de sa maitresse, tout en pleurant, après lui avoir asséné des horreurs. Il se montre insupportable à pinailler pour rien, le grand poète ne brille pas par sa grandeur d'âme, ni son empathie. Il se comporte comme un adolescent capricieux, désabusés, qui passe son temps à se poser des questions, à se torturer et à torture celle qu'il aime. On aura du mal à convaincre les nouvelles générations que tout le charme du romantisme est entre ces pages. A l'époque ce comportement était peut être la quintessence de l'amour raffiné, aujourd'hui c'est simplement impossible à concevoir. Bref Musset, dont j'avais lu et apprécié "on ne badine pas avec l'amour" a perdu de sa noblesse.
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On ne badine pas avec l'amour

Bon,

Je vois les critiques de cette pièce, la qualifiant de chef-d'oeuvre absolue, emplie de complexité. Ce n'est vraiment pas mon avis.

J'ai un sentiment ( assez honteux ) d'une forme d'amateurisme. Evidemment il reste des bons points d'analyse notamment sur la forme, la symétrie dans les scène ou les personnages. Mais alors la fin. Qu'est-ce que c'est que ça ? Je n'arrive pas à m’en remettre, pour le coup c'était vraiment comique. A part cela, le reste de mon ressenti est vraiment bof, l'histoire est très classique, amour impossible, contrarié, plan déjoué, tout ça me fait un peu penser à Corneille ( et je déteste Corneille). Un bilan donc bien mitigé...

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Lorenzaccio

Bon, je n'apprécie moyennement que la veine romantique de notre littérature française. Et même si j'apprécie la poésie de Musset, je trouve cette pièce indigeste... Même si le concept du théâtre dans son fauteuil est intéressant, dans les fait, c'est autre chose...
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Pierre et Camille

Bon, passons sur le fait que le titre soit complètement trompeur, mettant en avant le personnage masculin qui n'apparaît que dans les trois dernières pages, avant la jeune fille, Camille...

L'idée est intéressante, présenter l'éveil de la conscience et de l'intelligence de Camille, jeune fille sourde-muette, qui, découvrant l'amour, ressent le besoin de communiquer et donc de s'exprimer. J'ai trouvé dommage que Musset ne développe pas sur les méthodes pédagogiques novatrices à l'origine de la création de la langue des signes. Camille n'est donc pas l'héroïne, car nous n'avons pas accès à ses pensées, puisqu'elle ressent sans s'exprimer. Elle n'est d'abord qu'un corps, une jolie enfant sans âme – puique l'intelligence semble être liée à la parole dans la conception de l'époque. Elle n'acquiert une personnalité qu'en aimant un homme.

En réalité, c'est plus le portrait d'une famille que trace Musset, de la rencontre du couple des parents, à leur première année de vie commune, au désespoir qui s'installe devant la différence de Camille, à leur rupture et à la fin tragique de leur relation. Tandis que le père s'enfonce dans ce qui n'est pas encore nommée une dépression, le personnage de l'oncle est présenté comme sympathique, honnête, bon vivant. Ce n'est pas un aristocrate, il ne se soucie pas de l'honneur de sa famille, mais du bien-être de sa nièce. Et c'est lui qui trouvera une solution, telle une marraine des contes.

Ce court texte est donc intéressant car il soulève plein de questions et d'émotions, mais il est aussi très daté dans ses conceptions genrées et validistes.
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On ne badine pas avec l'amour

Une pièce qui est le reflet du XVIII ème siècle. Un siècle empli de nostalgie, de siècel des lumières, d'amour courtois, de vassalité désuète mais également d'une volonté d'aimer réellement et sincèrement dans le mariage, ce qui est novateur! Le personnage principal est ambigu, il veut tout sans devoir et la comédie ce transforme en tragédie.
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On ne badine pas avec l'amour

C'est une pièce de théâtre qui mêle le comique et le tragique. Donc, ici on rigole et en même temps on se demande ce qu'il va se passer.



Quand on lit cette pièce, on se rend compte qu'elle se déroule sur plusieurs jours alors que sur une pièce du mouvement classicisme, ça ne doit être que sur une journée. C'est une spécificité du drame romantique.



Ce que j'apprécie dans ce genre de pièces de théâtre, il y a généralement une morale.
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La Confession d'un enfant du siècle

Musset nous livre sa confession au sein de ce roman quasi-autobiographique. Il partage ses réflexions sociologiques et politiques à l’égard de sa génération, ainsi que des bribes de sa liaison avec Sand.



Au travers du personnage d’Octave, l’auteur décrit le processus de désillusion amoureuse en lien avec « le mal du siècle ». Les deux premiers chapitres s’attardent sur le contexte historique, en évoquant le vide existentiel qui envahit la nouvelle génération dont fait partie le narrateur. Puis, ce dernier apprend que son amante le trompe, ce qui le plonge dans un profond désespoir. Les chapitres suivants, qui correspondent à la majeure partie du roman, évoquent la romance entre Octave et Brigitte, romance inspirée de la liaison Musset-Sand. Cette romance sera néanmoins tumultueuse. En effet, Octave reste marqué par la trahison de sa première amante, ce qui le conduit à faire preuve d’une jalousie excessive à l’égard de Brigitte.



J’ai beaucoup aimé cette lecture. L’écriture de Musset est sublime, je suis tombée sous le charme. La passion amoureuse et la folie qu’elle peut engendrer sont très bien traitées. Les désillusions et la romance font partie des thèmes que j’affectionne tout particulièrement en littérature, j’ai donc été ravie de les retrouver ici. En revanche, Octave est un personnage pathétique auquel il est difficile (si ce n’est impossible) de s’identifier, et cela pourrait rendre la lecture compliquée pour certaines personnes. De plus, j’ai trouvé dommage que les premiers chapitres ne soient pas davantage développés par la suite. Ces deux chapitres dénotent tellement des suivants que l’on peut avoir l’impression de lire deux œuvres différentes… Néanmoins, je garde un très bon souvenir de cette lecture et vous la recommande vivement.
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Le secret de Javotte

En tout cas, Alfred de Musset sait nous emballer dans des histoires d'amour impossible. Eh bien, Le secret de Javotte de deroge pas à la règle, on retrouve ici une histoire d'amour pas aussi envoûtante mais le seul tracas pour y arriver denote une jalousie extrême, une jalousie féminine qui voudrait voir son cavalier amoureux romper et peut être même mordre la poussière...
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