Alice Quinn

J’ai été très touchée qu’à nouveau Alice Quinn pense à moi pour lire en avant-première son nouveau roman. Merci Alice ! L’histoire de Jo m’a beaucoup émue et suivre Pouf, le beagle, dans ses aventures a été un régal.



La vie de Jo semble être tranquille, partagée entre son boulot, ses activités sur un site d’entraide littéraire et Sissi,sa chatte pour seule compagnie. Mais tout bascule : l’arrivée d’une voisine, Gladys, qui semble au départ peu sympathique et un évènement qui va tout bouleversé.



Jo me touche immédiatement : sa tristesse, sa solitude, l’éloignement de sa fille et son petit-fils qu’il adore sans jamais l’avoir vu… Pourquoi se sent-il coupable de la mort de sa femme ? Pourquoi sa fille ne veut plus le voir ?



Puis le destin implacable et cruel lui permet de rencontrer son petit-fils et c’est le début d’un long parcours pour tous les deux ainsi que pour l’adorable beagle, Pouf, dont les aventures m’ont tenu en haleine tout au long du récit.



Dans les livres d’Alice, il y a toujours des personnages secondaires attachants : autour de Jo il y a son élève Jimmy Murati qui n’a pas la vie facile et qu’on aimerait tant aider car il a très bon fond et Gladys qui sous des côtés « ours » sait se montrer tendre et touchante.



Le sujet principal de ce roman (et je reste volontairement vague) est particulièrement touchant. Il y a des passages très tristes et beaux à la fois :



Il suit la chorégrahie des yeux, en vacillant un peu. Dites-lui que… pense-t-il. Car il voudrait parler à sa fille, rattraper ces années perdues sans contact. Dites-lui que… Mais, alors que Gladys continue à chanter, il ne trouve pas les justes mots pour propulser dans l’univers l’intensité de son amour et toute l’émotion qui l’habite.



Petit détail qui, pour moi, est important Aurélie vit et travaille dans ma région : voir écrit Souffelweyersheim dans un roman m’a mis en joie lol ! Mais l’histoire se passe principalement à Aix et Jo est un admirateur de Cézanne et de son amitié avec Zola. L’auteure nous embarque donc parfois au fil des pages sur les traces de ses illustres hommes.



File:Montagne Sainte-Victoire - Paul Cézanne.jpg ...



Je ressors de ce livre avec l’envie de profiter de chaque instant avec les gens que j’aime.
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Nous retrouvons Lola et Gabriella qui se trouvent confronter à l'arrestation pour meurtre de leur pupille Anna. Toujours avec l'aide de Maupassant, elles tentent l'impossible pour découvrir la vérité. Mais les arcanes du passé sont là pour les malmener et les soumettre à leurs peurs respectives dans une société patriarcale où l'hystérie féminine est réfrénée dans les asiles... Toujours aussi envoutant comme écriture. On dévore...

Il y a environ un an, Alice Quinn sortait ce petit bijou. J’ai eu envie de le sortir de ma PAL parce que je savais que j’allais passer un bon moment avec les personnages toujours touchants d’Alice. Et ce fut le cas !



L’histoire se situe juste avant le premier confinement. On découvre d’abord l’histoire de Meryl, qui perd son père très jeune et décide de réaliser le rêve de ce dernier en devenant danseuse, mais le destin en décide autrement.



On retrouve la jeune femme début 2020 dans un café La Petite Fabrique où elle se fait embauché comme serveuse. La vie du café se déroule au fil des pages avec en filigrane un certain virus qui va beaucoup faire parler de lui.



J’ai adoré l’ambiance du roman car, même si le coronavirus s’invite dans l’histoire, ce n’est pas lui le principal protagoniste. Il s’agit bien de l’histoire de La Petite Fabrique, ses patrons et ses habitués : Amédée, attachant non-voyant et révolutionnaire, Robin qui est tout autant cassé à l’intérieur (et parfois à l’extérieur) que la timide Meryl…



En filigrane, bien sûr, il y a le coronavirus. À chaque réaction, commentaire d’un des personnages, on se reconnaît ou on reconnaît un de nos proches face à ces infos, cette maladie. Mais surtout il y a la volonté de chaque personnage de survivre aux épreuves (la perte de sa vue pour Amédée, les accidents de la vie de Robin et Meryl, les difficultés financières des patrons de La Petite Fabrique…).



J’aime toujours autant l’écriture de l’auteur qui arrive à nous donner le sourire avec des personnages comme vous et moi et sa plume délicate et légère.
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Ce roman feel good n’a pas tardé à me donner envie, du léger c’est tellement agréable en ce moment. Et les personnages de ce roman sont justement tout ce qu’il faut pour passer un bon moment.



Nous faisons la connaissance de Meryl dont l’espoir de devenir danseuse professionnelle a volé en éclats suite à un accident. Mais elle s’accroche, elle est déterminée à retrouver toute sa mobilité et ses capacités pour la danse. En attendant, elle trouve un emploi de serveuse à La Petite Fabrique. Un endroit si plaisant où je me suis également sentie agréablement accueillie entre le couple de patrons, le vieux monsieur aveugle, le jeune homme qui vient parcourir les offres d’emploi et tant d’autres. Les liens se nouent entre les uns et les autres pour notre plus grand plaisir.



En revanche, il y a une chose que je n’avais pas imaginée dans cette lecture et qui est liée au cadre temporel. En effet, Alice Quinn nous entraine dans un roman résolument contemporain qui se passe début 2020. Et comme son roman se veut réaliste, il intègre ce tsunami qui nous a remués l’an dernier, le débarquement du coronavirus. Alors j’ai revécu les prémices, le lointain virus chinois, le gouvernement français optimiste puis la situation italienne dont se mêle la logeuse de Meryl, italienne et angoissée qui va prendre très au sérieux la menace du virus. Et a dérouler le fil ainsi, voyant approcher la mi mars dans le récit, cela m’a plutôt stressée car je savais ce qui allait se passer, l’impact qu’il y aurait pour les personnages et je n’avais pas vraiment envie de revivre cet avant.



Heureusement, la beauté du récit a su me ramener à une lecture plus plaisante quand nos personnages commencent à animer à La petite fabrique des cafés littéraires. Des moments qui vont encore plus créer du lien entre les personnages, amener des moments très plaisants à lire. Les 5 sens sont assez présents dans le roman, j’aurais aimé me mêler à ces instants gourmands et littéraires qui vont animer les mercredis du café. Au final, j’ai passé un joli moment avec cette lecture malgré un petit stress du déroulé chronologique de l’année 2020. Et j’ai beaucoup apprécié les liens finaux sur lesquels se referment le roman, liens qui voient chaque personnage un peu plus heureux qu’il ne l’était quand on a fait sa connaissance.
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L'histoire :

Meryl rêve de devenir danseuse étoile. Mais un terrible accident vient bouleverser son destin et ses rêves.

Alors qu'elle cherche à se reconstruire, elle trouve un job de serveuse dans un petit café de quartier qui ne paie pas de mine.

Petit à petit, grâce à ses patrons, aux clients et à sa colocataire, Meryl va reprendre le fil de sa vie.

Et puis, il y a Robin, ce beau garçon, un peu taciturne, habitué du café, qui lui aussi a été éprouvé par la vie.

Et bizarrement, les deux vont apprendre à d'apprivoiser, tout ça saupoudré des débuts du Corona virus.



Mon avis:



Vous trouverez ici une lecture Feel good assez basique. Deux protagonistes, une histoire d'amour qui se profile à l'horizon, des personnages secondaires qui ont tout pour être attachants, et même un chat atypique, un brin filou, pour bien attendrir le lecteur.



Mais pour ma part, ça ne l'a pas fait.

L'histoire se passe au début du Coronavirus l'an passé, et gravite avec ce fil conducteur en arrière plan. Et j'ai trouvé que cela venait parfois trop parasiter l'histoire.

C'est peut être trop récent, mais pour moi, cela a alourdit ma lecture et j'ai sauté de nombreux passages car c'était lourd.

C'est dommage car l'histoire aurait pu être plus légère.



Et j'ai eu du mal à m'attacher à Meryl, je l'ai trouvée un peu trop "cruche", et à la fois pas assez explorée.

Je ne sais pas, j'ai eu l'impression que le roman aurait pu être autre chose si corona ne s'y était pas invité là aussi.



Petite déception de lecture pour cette fois, mais on ne peut pas tous aimer, et tout aimer !

Par désespoir Gabriella Fletcher of Ramsay, noble désargentée, trouve un poste de secrétaire auprès de la sulfureuse et volcanique courtisane Lola Deslys. A l'Hotel Beau Rivage, dont elles sont les voisines, un drame est en cours. Le corps de Clara, ancienne amie, de Lola est découvert dans les jardins. Aidé de Guy de Maupassant, les deux femmes font tout pour connaître la vérité. Naviguant entre le Grand Monde et les bas fonds de Cannes, nous voici entraînés dans une lutte des classes et les prémices de l'émancipation féminine en parcourant le nouveau Cannes de cette Belle-époque. Amusant et agréable. Premier volume d'une future série. A suivre...

Sa carrière de danseuse brisée, Meryl n'a plus trop goût à la vie. Elle trouve un peu par hasard un job de serveuse dans un petit village du sud. Elle qui s'est enfermée sur elle-même va doucement s'ouvrir aux autres et va même sans le vouloir les aider.



Un roman feel good très agréable. Une belle galerie de personnages, chacun cache une fêlure, une blessure. Ensemble ils vont se lancer dans un projet de gouter littéraire d'un texte, accompagné d'une gourmandise hommage comme la lecture de Proust en dégustant une madeleine.



Solidarité, entraide, maladie, amitié, amour, mais aussi l'arrivée d'un virus qui bouleverse tout, un roman contemporain bien ancré dans la réalité mais avec une belle touche d'optimisme. Une lecture agréable à savourer avec une petite gourmandise.
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J'avais lu un "Rosie Maldonne" de cette auteure et ça ne m'avait vraiment pas plu. Mais j'ai tellement entendu dire du bien d'Alice que je ne voulais pas rester sur une mauvaise impression.

Bien m'en a pris car celui-ci, c'est une très belle histoire, à la fois drôle et émouvante.

C'est émouvant et drôle. C'est terrible à dire mais au début on regrette presque que l'héroïne ne parvienne pas à ses fins, l'histoire étant racontée de son point de vue. Par chance ce n'est pas le cas. Ce qui nous permet d'apprécier les situations dans lesquelles se retrouve Anita, parfois bien malgré elle et d'autres fois à cause de non-dits.

Je vous recommande fortement ce livre si vous voulez passer un excellent moment.

C𠆞st vraiment bien écrit (peut être même trop), bien documenté et se lit très bien. Malheureusement on a du mal à trouver dans les personnages un peu plus que des stéréotypes. On lit très bien, c𠆞st très agréable mais on s𠆞n fout carrément du sort des personnages qui se trouvent dans l’impossibilité de transmettre des sentiments. Domage ! C'est du bel artisanat

Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Un tout petit livre qui se lit très rapidement, mais quel bonheur que cette lecture.

Nous ferons la connaissance de Flora, un chiot né pour devenir chien-guide, mais disons un peu rebelle. On fera également connaissance avec ses frères et sœurs ainsi que de sa maman.

De l'autre côté, il y a Amédée, celui-ci est devenu aveugle, et vit seul depuis que son chien Arthur est décédé. Même si on l'encourage à prendre un autre chien-guide, celui-ci se ferme à l'idée, il a trop pleuré son Arthur, pour recommencer avec un autre.

Mais tout cela, c'est sans compter sur le destin qui mettra Flora sur son chemin et ça d'une drôle de façon.

J'ai adoré vivre dans l'entourage de Flora et des chiens-guides. L'entraînement, les examens, les familles d'accueil, etc. J'ai pleuré la souffrance de la solitude d'Amédée, et j'ai pleuré également la mort de la maman de Flora. Mais j'ai aussi appris sur les chiens-guides, sur leur mission à devenir les yeux d'un non-voyant.

Alice Quinn nous offre une superbe nouvelle, j'en aurais pris encore et encore. À travers ces 108 pages, elle m'a fait vivre toutes sortes d'émotions, autant elle m'a fait rire avec Flora la rebelle, autant elle m'a chamboulée avec Amédée et Flora, et m'a même fait verser quelques larmes.

Je vous recommande à 100 %, faites la connaissance de Flora, je suis certaine qu'elle vous atteindra directement au cœur !
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Je tiens à remercier l’auteure pour l’envoi de ce service de presse.



Avant de vous parler de ce livre, je dois vraiment vous dire que ce roman a été pour moi le coup de cœur que je n’ai pas eu depuis très longtemps.



Dans ce roman, on mêle plusieurs éléments qui me plaisent énormément : la danse, le café du coin où tout le monde se connait et où il fait bon vivre, la reconstruction de soi… Enfin bref, un mélange qui ne peut que marcher pour moi !



On débute l’histoire avec Meryl qui est encore toute petite et qui n’aime pas tant la danse. Elle n’aime pas les compétitions mais son père la pousse à s’entrainer sans cesse, ne lui parle que de cela. Un jour, son père décède et, suite à cette annonce, elle va tout faire pour devenir la danseuse qu’il rêvait qu’elle soit.



On la retrouve plusieurs années plus tard, prête à atteindre son but, mais malheureusement un incident va venir bouleverser sa vie et l’emmener à pousser la porte de La petite Fabrique où elle devient serveuse.



J’ai eu un gros coup de cœur pour tous les personnages que j’ai découvert au cours de ce roman, ils sont entiers, complètement réalistes. Je pense que je vais les avoir encore longtemps en tête.



Et puis l’auteure a voulu mêler à cette histoire l’actualité. Elle ajoute le paramètre du coronavirus. Nous permettant de revivre ces derniers mois avant le confinement. On pourrait penser que l’ambiance va être lourde mais pas du tout. L’entraide et l’humanité sont les maitres mots de ce roman.



Lorsqu’on le ferme, on a les larmes aux yeux de voir autant de générosité !



Je pourrai vous parler de ce livre pendant des heures, mais cela voudrait dire que vous n’auriez plus de curiosité à le découvrir. Donc je vais vous inviter à dévorer ces quelques 400 pages, qui se mangent vraiment très vite !



Ce roman restera dans mes plus gros coups de cœurs de ce blog !


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Le commentaire de Lynda :



Une lecture qui risque de vous atteindre, du moins pour moi, elle a joué avec mes émotions.

Des sentiments contradictoires à quelques reprises, mais ce sera à vous de voir.

Anita, a reçu un diagnostique de cancer, elle a déjà entrepris des séances de chimio, mais elle n'a pas en elle l'espoir qu'elle s'en sortira. Suite à cette affirmation pour elle, elle décide, qu'elle va se retirer en douce, partir, ne plus souffrir, ne plus rien attendre.

Avec plein de cérémonie, elle prépare son grand départ, fait le ménage dans ses affaires et ses papiers, elle veut faciliter les choses pour la personne qui la retrouvera, une fois qu'elle aura mis fin à sa vie, et elle a choisi le jour de son anniversaire.

Mais tout ne se passe pas toujours comme on veut. Alors qu'elle en est presque au moment de commettre le geste, le téléphone sonne et c'est son fils, qui a besoin d'elle, allons bon, devra-t-elle changer ses plans ? Elle décide finalement d'aller chez son fils et de remettre son suicide après son retour.

Mais pour ça, il faudrait qu'elle ne tienne pas compte du destin...En route, pour chez son fils, elle fera la connaissance de René, René est un artisan un blessé de la vie lui aussi, un homme pas mal plus jeune qu'elle, il dit être avec des jumelles qui seraient ses filles, mais en fait, ce sont ses nièces. Ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'elle aura l'occasion de le revoir, puisque c'est celui-ci qui a été engagé par son fils pour les travaux qu'elle doit superviser.

L'attirance est instantanée entre Anita et René, peu importe l'histoire, peu importe l'âge, ils sont attirés l'un vers l'autre, ils ont aussi une passion en commun, ils sont passionnés de haïkus.

En bref, est-ce que cette rencontre arrivera à faire changer l'idée d'Anita, est-ce que cette rencontre sera assez forte pour lui donner le courage et l'énergie pour se battre, pour continuer, pour gagner sa victoire contre le crabe.

Un amour insensé, se dit-elle, lui a l'été, elle à l'automne de leurs vies. Mais malgré tout, le chemin de l'espoir est ouvert, qu'arrivera-t-il pour Anita ? Je ne vous le dirai pas.

Ce que je vais vous dire, c'est que le sujet est vraiment dramatique, c'est une belle histoire d'amour, d'espoir, de courage. Pour avoir lu d'autres de ses romans, celui-ci m'a semblé différent, et croyez-moi, il saura atteindre votre cœur très fortement.

Plein d'émotions, autant, j'ai ri, que j'ai pleuré. J'ai aussi espéré avec Anita, j'ai trouvé tellement beau cet amour qui a frappé ces deux êtres de plein fouet... Je vous recommande cette lecture du fond du cœur, pour un gros coup d'espoir, pour un gros coup qui vous fera du bien. Merci Alice Quinn encore, une fois vous avez rempli votre mission de nous faire du bien avec un de vos romans !
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Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Pour avoir lu quelques livres d'Alice Quinn, je peux dire que ce roman fait ici, un virage complet, Alice change complètement de style, et nous offre un roman assez impressionnant.

Fanny, est une femme de 33 ans, son physique n'est pas très attrayant, 1,59 m (5'2'') et 100 kilos (220 lbs). Mentalement, on ne sait pas trop, on a tendance à croire qu'elle pense et agit comme une enfant, et c'est souvent le cas. Elle vit avec sa mère, qui la traite carrément comme une enfant. D'ailleurs en commençant la lecture elle parle souvent de ''elle'', Fanny couche avec ''elle'', elle ne doit pas réveiller ''elle'', et c'est en poursuivant que l'on se rend compte que Fanny parle de sa mère. Mais le point principal de Fanny, c'est qu'elle vit une obsession majeure, et oui, elle veut un enfant bien à elle, mais vous comprendrez qu'avec ses problèmes de santé mentale et son physique, elle n'attirera pas les hommes plus qu'il ne faut.

Elle avait un emploi dans une garderie pour enfants, qu'elle a perdu, on l'a congédié. Donc, son besoin, de prendre soin d'un enfant, n'est plus comblé. Fanny, malgré ses problèmes psychologiques, fonctionne très bien, si ne n'était pas de cette obsession. Tout ce qu'elle veut dans la vie, c'est d'être heureuse elle aussi, et pour y arriver elle doit avoir un enfant. De là, elle met sur pied un plan qui ne peut que réussir, un plan qui fait peur, car il n'y a pas de limite pour elle pour arriver à ses fins.

Fanny vit un peu cloîtrée, ne fréquentant que les membres de sa famille, et croyez-moi il y a de drôles de numéros parmi eux. Vivant avec une dose de médicaments, Fanny est souvent hors réalité, mais sa vie est divisée entre la lucidité et l'irréalisme.

L'auteure nous fait vivre dans la tête de Fanny, on ressent ce qu'elle vit, on voit venir son raisonnement et ce qui va en découler, je dois dire que par moment, c'était assez terrifiant, de voir comment son cerveau déséquilibré peut penser, malgré son humour et l'auto-dérision, qui à plusieurs reprises m'ont donné le frisson.

Je vous recommande cette lecture, qui vous laissera un goût amer, un gros plan sur la maladie mentale et ses conséquences. Sur la façon de voir et d'être vu quand on est dans cette situation.

Vous ne connaissez pas Alice Quinn, et bien vous manquez quelque chose, donnez-vous la peine de lire un de ses romans vous ne le regretterez pas. Et Fanny N. ne fait pas exception, l'auteure saura avec ces mots vous faire vivre dans la peau de Fanny N.
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Notre "Rosie", pardon je voulais dire "Cricri" se retrouve au Festival de Cannes.



Non pas derrière les barrières avec le reste des badauds et aux touristes mais directement dans l'équipe du jeune premier ex footballeur dans son ancienne vie puisqu'elle tient le rôle d'une Superwoman !



Mais il semblerait que toutes les étoiles et autres planètes soient contre elle puisque l'acteur disparaît.



Se retrouvant à nouveau sans travail, la directrice de la production l'embauche pour être sa dactylo puis son hôtesse d'accueil. Rosie bien évidemment est ravie car cet emploi lui permet d'avoir un téléphone ayant la 4 G et qu'elle peut se connecter sur tous les sites de rencontres auquel elle est abandonnée.



Son travail de Superwoman ne l'empêche pas de bien s'occuper de ses enfants et de ses amis tout en cherchant l'amour avec un grand A.



De quelle manière va t'elle s'en sortir de toutes les embrouilles qui parasitent sa vie ?



Ses amis seront ils présents et à ses côtés pour l'aider ?



A vous de le découvrir en lisant cette dernière histoire de Rosie qui après toutes ces nombreuses aventures et pérégrinations à enfin la possibilité d'avoir une vie enfin tranquille.



Quoique...

Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Un roman qu'il fait bon lire, qui offre une bonne trame, divertissant et surtout d'actualité.

Meryl n'a qu'une chose dans la vie : la danse. Poussée, et je dirais de façon extrême par son père qui veut en faire une ballerine célèbre, tous ses temps libres sont consacrés à la danse.

Mais la vie va en décider autrement, un accident viendra tout gâcher et surtout mettre un frein à son rêve et ses espoirs. Mais est-ce que c'était son rêve ou encore celui de son père.

Jeune adulte, Meryl vit seule avec sa mère, sa mère étant plongée dans une dépression chronique suite au départ de son conjoint. Meryl décide de prendre du recul et de s'éloigner.

Alors qu'il pleut abondamment, Amanda la patronne d'un petit café et surtout une personne qui essaie continuellement de sauver quelqu'un, que se soit un animal ou un être humain, c'est elle qui va recueillir Meryl et l'inviter au café pour qu'elle se sèche, et c'est le départ d'une superbe histoire. Comme les propriétaires du café sont à la recherche d'une serveuse, Meryl obtient le poste. Elle fera la rencontre des habitués du café. Robin, entre autres, un autre blessé de la vie, Amédée ce non-voyant, qui voit sans ses yeux les gens autour de lui.

Alors que la pandémie du Covid 19, commence à se répandre en France, certaines personnes s'inquiètent déjà, alors que d'autres et bien non, comme dans la vraie vie, je crois !

Meryl, continue à suivre ses traitements de ré-adaptation dans l'espoir de retrouver assez de souplesse pour reprendre la danse. C'est lors d'une visite au centre qu'elle fera la connaissance du frère de Robin, qui lui aussi doit suivre des traitements. Du coup, elle se rapprochera de Robin, car, et bien oui, son cœur palpite pour le taciturne Robin, qui cache un secret qui l'a amoché considérablement.

À travers les personnages on survole toute sorte de choses, la non-voyance, la violence physique, le deuil, la dépression, les handicaps physiques, les problèmes financiers sévères, la paranoïa avec le Corona virus vécu par la coloc de Meryl, l'amour, et bien sûr la COVID-19.

Les personnages sont tous attachants, chacun à leur façon, la générosité d'Amanda, le grognon Antoine, l'hyper perception d'Amédée, et il ne faut pas oublier les animaux, un chien et un chat, trop mignons que j'aimerais bien avoir. Meryl, plein de courage, une personne aux belles valeurs, et Robin, qui malgré son air à repousser tout le monde, nous donne envie de le connaître.

Un roman très bien écrit, à tel point que nous avons l'impression d'être assise au milieu de ce café avec tout ce beau monde, de participer à leurs discussions, de goûter aux crêpes et aux madeleines d'Amanda ou encore d'assister aux lectures devant auditoire de Robin.

Qui aura-t-il au bout du chemin pour Meryl ? Et bien non, je ne vous le dis pas. Je vous recommande ce roman, pour un moment de détente et de divertissement que l'auteure nous offre. Une lecture qui fait du bien et qui nous montre que la vie continue malgré tout et surtout malgré la COVID-19.
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Alice Quinn une fois de plus nous fait entrer dans son monde qui allie la douceur et la réalité.



Dans cette petite fabrique nous avons rendez-vous avec Meryl, Rob, Monsieur Amédée sans oublier Flora et Spritz.



Nous devenons dès que nous pénétrons dans ce petit restaurant de quartier des habitués. Nous avons même notre rond de serviette qui nous attends.



Alice avec son écriture fluide et tendre nous rassures et nous fait sourire.



En effet, même si ce satané virus se mêle à l'histoire de nos protagonistes, il n'empêche pas ceux-ci de vivre et d'espérer dans un monde meilleur.



Ne cherchez pas la tristesse ou l'inquiétude dans ce livre, car vous les chercheriez en vain.



Alice nous fait un cadeau avec cet ouvrage. Qu'il faut absolument lire tout en buvant au choix une tasse de thé ou un chocolat chaud, et en dévorant en plus des madeleines ou d'autres gâteaux fait maison

J'ai trouvé ce roman beau et philosophique.

Il y a des morales et des leçons de vie (et ça j'adore vous commencer à le savoir)

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La plume de l'auteure est fluide et donc très agréable à lire.

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On en vient quelques fois à se remettre en question sur certaines choses donc ça aussi c'est vraiment un bon point ;)

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Bon après, devoir se retaper tour ce qu'il s'est passé avec le coronavirus c'était pas le top. Après ce roman montre quand même à quel point la France a prit pour de la rigolade le virus, et à quel point les gens ont été naïfs à tout croire ce que les politiciens et autres disaient.

⠀Il y a eu des passages avec des remarques à propos du Coronavirus, où je me suis mise à haïr des personnages tellement ils étaient cons. Donc voilà pour vous dire.

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Par contre, Tchernobyl est en Ukraine et non en Russie. Mais à l'époque, l'Ukraine faisait encore partie de L'URSS, et beaucoup de personnes disaient Russie en parlant de l'URSS. Mais ça reste un peu gênant.

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Bon après il y a des fautes de mots, des mots manquant par endroit donc voila.

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Sinon j'ai beaucoup aimé les thèmes abordés dans ce roman : la danse, les accidents, l'acceptation de devoir renoncer à quelque chose, le courage, la motivation, l'ambition, mais aussi les difficultés financières et beaucoup d'autres thèmes très diverses.

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Ce roman est vraiment un melting pots de pleins de sujets intéressants et important et j'ai beaucoup aimé.



Et puis je finirai par dire que la fin m'a surprise, m'a fait sourire et j'ai enfin eu l'impression d'être réellement dans un roman feel good et c'était vraiment agréable. Et je ressors de ce roman avec une seule phrase en tête :

Toujours croire en soi et en ses rêves ;)

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Ma note est donc de : 3,75/5

Ce roman a la particularité d'être le dernier tome de la saga Au pays de Rosie Maldonne, et malgré que je n'ai pas lu les précédents, je n'ai pas été gênée dans ma lecture.

Cet épisode comporte une intrigue autour du festival de Cannes et l'envers du décor au cinéma. Engagée par Sergo pour assurer sa protection, elle se retrouve mêler à une affaire de disparition puis de meurtres. En parallèle, les Dorsey se sont pris d'affection pour Rosie et ses filles. Ils lui proposent plusieurs emplois consécutifs pour leur compte (secrétaire, hôtesse d'accueil…). Cela ne manque pas de piquer la curiosité de la jeune femme. Mais un problème à la fois… Rosie court dans tous les sens au gré des revirements de situation. On assiste à un véritable embrouillamini qui semble n'avoir ni queue ni tête. Finalement, à force de réflexion, Rosie va entrevoir un dénouement surprenant, tant personnel que professionnel.



J'ai été entrainée dès les premières pages par Rosie, étonnant bout de femme hors-norme. Touchante, elle nous fait rire à de nombreuses reprises avec ses actes et ses paroles. Léger, le récit comporte plusieurs mystères qui nous captivent. Les thèmes abordés encrent l'histoire dans l'actualité et permettent de la rendre plausible sur différents aspects (gilets jaunes, difficultés sociales,...). Cependant, l'intrigue autour du cinéma comportaient, pour moi, un peu trop de rebondissements. En outre, la révélation d'un certain secret aurait pu prendre davantage de place dans le roman.

Ce livre est une belle découverte qui donne envie de découvrir l'intégralité des aventure de Rosie. Agréable, la plume d'Alice Quinn est facile à lire et entrainante.

(Chronique complète sur le blog)
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Je tiens à remercier Alice qui m’a confié son roman via Simplement Pro.

Je m’étais dit que je ne lirais aucun roman traitant du Coronavirus, mais le résumé m’a convaincue ainsi que la douceur de la couverture.



J’ai beaucoup aimé ce roman. Cela fait une sensation étrange de revoir de loin ces événements qui se sont enchaînés si vite en France. Voir son ampleur, ses conséquences, ce confinement,… mais mélangé avec ce côté très feel good, très réparateur, ca a eu une douceur particulière… avec un arrière goût amer un peu, mais le tout est très doux.



J’ai adoré ce mélange de personnages hétéroclites tous reliés par ce café. On les sent brisés par la vie pour certains, seuls pour d’autres et ce café est la part centrale de leur quotidien, leur ancre dans la réalité. Amanda, la patronne collectionne les pots cassés, que ce soit chats errants ou les gens, et quand vous entrez chez elle vous êtes chez vous. La Petite Fabrique m’a donné l’impression d’un véritable cocon, tout chaud plein de bonnes choses à manger et à l’image de ceux qui le compose : des objets vintage, qui ont du vécu regroupés au même endroit. J’avais envie de m’y attabler pour lire, boire un chocolat chaud et une petite crêpe.



J’ai beaucoup accroché avec le personnage central de l’histoire qu’est Meryl. Son père lui a appris la rigueur des danseuses classiques et l’a fortement encrée dans sa tête. Elle se croit tellement responsable de sa mort qu’elle ne veut pas oublier cet objectif et elle veut y parvenir coûte que coûte. C’est une chose de vouloir viser un objectif surtout quand on y est si près, c’est autre chose que de devoir y renoncer volontairement quand la vie vous a brisé…

Elle doit réapprendre à vivre, à redécouvrir ce corps abîmé par la vie et essayer de trouver la paix dans tout ca, son propre chemin.



Elle croise du coup Robin, lui aussi attablé au bar de la Petite Fabrique. Tandis que Meryl reprend pied et essaye de refaire venir des gens grâce à des événements, il navigue dans la vie comme il l’a souvent fait, en usant de ses poings. Il a aussi en lui ce gros poids de culpabilité qu’il traîne comme un boulet et qui lui empoisonne la vie et qu’il n’arrive à faire sortir qu’avec la violence. Le fait qu’ils se rencontrent n’est pas un hasard, ils se ressemblent beaucoup plus qu’ils ne le pensent. Mais heureusement qu’ils sont bien entourés… j’ai d’ailleurs adoré le rôle de son frère qui joue un rôle très important, et lien essentiel entre ces deux là !



Cette histoire a une fin heureuse, et tous les personnages le sont. Leurs évolutions sont sensationnelles, surtout pour notre couple central, mais chacun a été touché par l’aura de la belle Meryl et son retour à la vie. Elle rayonne et on le ressent.

J’ai apprécie chaque membre de ce roman pour sa propre histoire, sa propre évolution, sa propre personnalité. Cette impression de vivre cette période Covid dans une bulle m’a fait prendre du recul et m’a fait un bien fou.

Merci du voyage Alice…
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Mon avis



Je remercie Alice QUINN de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, son roman « Maldonne au Festival de Cannes ». J'ai découvert la plume fluide et précise de cette auteure lors de la lecture de « La Lettre froissée » et « Le Portrait brisé », romans que j'ai beaucoup aimés.



Bien que n'ayant pas lu les précédents opus de cette série je n'ai pas eu de difficulté à entrer dans l'univers de Rosie.



Alice QUINN donne la parole à son héroïne que je découvre et qui est une personne attachante, généreuse ayant un grand cœur. Rosie est également pétillante, dégourdie et n'a pas froid aux yeux ! Nous la suivons au Festival de Cannes et ses aventures nous donnent le sourire, ce qui fait un bien fou.



J'ai beaucoup aimé ce roman policier empli d'humour, mené tambour battant par l'auteure, permettant ainsi au lecteur de ne pas s'ennuyer une seule seconde et d'oublier les soucis du quotidien.



A lire sans hésitation pour passer un très bon moment de lecture.







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