Anna Godbersen

A travers cette fille , qui nous fait traverser des situations où même en tant que lecteur nous sommes gênés ou triste pour l'entourage de ce petit bout de femme !

Plongez en 1929 et vivez les années folles en compagnie de trois héroïnes aux tempéraments bien trempés !



1929. Deux jeunes filles, Cordelia et Letty, de Union, Ohio, décident de s’enfuir à New-York. Codelia, pour retrouver son père, homme riche qui baigne dans des affaires louches et illégales à l’heure de la prohibition, Letty pour réaliser ses rêves en devenant actrice. Mais très vite, elles se retrouvent séparées. Cordelia croise le chemin de son père, de son frère Charlie et de sa copine, la tempétueuse Astrid. Letty, elle, se lie d’amitié avec Paulette et travaille dans un night club clandestin, en attendant d’accéder à la gloire qu’elle est certaine de mériter. Mais très vite, les difficultés de la vie prennent le dessus et les temps des désillusions arrive.



Tout ce qui brille est le premier roman d’Anna Godbersen que je lis. Si le début est un peu long et plein de clichés – la crédulité et l’apparence de Letty nous donneraient presque l’impression qu’elle est mormon – je me suis bien mieux accomodée de la suite, même si les clichés persistent. On sent évidemment l’influence de Francis Scott Fitzgerald, et pas uniquement parce qu’une citation de cet auteur introduit le roman. Lors de la première fête dans la demeure du père de Cordelia, j’ai noté une ressemblance troublante avec les fêtes données par Gatsby. Mais malgré tout le talent d’Abba Godbersen, la ressemblance avec Fitzgerald s’arrête là : leurs plumes sont bien différentes, et celle de l’auteur de Tout ce qui brille s’adresse à un jeune public.



Ce roman est d’ailleurs très agréable à lire, et tous ceux qui raffolent des années folles se plairont à suivre les aventures de Cordelia, Letty et Astrid. La fin de ce roman est d’ailleurs assez surprenante, et appelle à lire les deux romans qui le suivent (Une saison à Long Island et Un baiser pour la nuit), parus en France chez Albin Michel, mais pas encore au Livre de Poche. Espérons que ce dernier ne tardera pas trop à nous offrir ces suites !



On se plaît à se perdre dans les détails des toilettes des jeunes filles, dans leurs histoires d’amour contrariées, certaines à la Roméo et Juliette, d’autres pleines de tromperies. On en viendra à prendre en pitié certains personnages délaissés, à détester certains autres pleins d’égoïsme, et même si certaines situations sont prévisibles, on reste pris dans l’intrigue, attendant que l’inévitable se produise.



J’ai donc passé un bon moment à la lecture de cet ouvrage, même si j’ai eu quelques difficultés à entrer dans l’intrigue. C’est un roman qui s’adresse avant tout aux filles, comme on s’en doute !



Faites-vous plaisir, venez vivre les années folles en compagnie de Cordelia, Letty et Astrid !
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On suit quelques semaines trois jeunes filles, deux provinciales débarquant un beau jour de leur Ohio, et une habituée des mondanités cosmopolites de la grosse pomme. Ce premier tome d’une saga qui s’annonce prometteuse prend plaisir à décrire les vêtements des jeunes filles, leurs coupes de cheveux (on s’attarde moins sur les garçons, c’est essentiellement le jeune public féminin qui s’y retrouvera), aussi bien que la ville la nuit, sa beauté industrielle. Certes, rien d’original ici : ballades inaugurales en (belle) voiture, grandes espérances, premières claques d’un monde tout autant machine à rêves qu’à cauchemars. Mais peu importe le déjà-vu, car c’est au contraire ce que l’on recherche dans un roman comme celui-ci : une confortable distraction qui nous tient en haleine, c'est un excellent feuilleton.

Et on s’attache vite à Letty, incroyablement naïve, qui s’imagine star du jour au lendemain ; comme à son amie d’enfance Cordelia, qui retrouve son bootlegger de père, un trafiquant devenu presque notable grâce à la Prohibition. La riche et capricieuse Astrid elle aussi a ses secrets…et ses amours.
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Cette saga se situe dans le New-York du XIXème siècle. C'est un genre de la série Gossip girl.

c'est l'histoire des riches et de nouveaux riches qui montent dans la société. Histoire d'amour, de corruption et de meurtre ou même le petit peuple s'en mêle

Magnifique clôture de la saga !

Nos héros tirent leurs révérences sur une chute inattendue.

Même si elle déçoit dans un premier temps, elle reflète pourtant parfaitement cette époque et correspond aux personnages.

Tout le monde se retrouve un peu dans chacune des différentes filles.

Déjà, comment ne pas fondre devant l’objet livre en lui-même ? La couverture est magnifique avec la fille dans sa robe de bal mais aussi avec la police d’écriture et le texte en relief. La police s’applique aussi aux numéros des pages (en italique) et des chapitres (comme le titre). J’ai également beaucoup apprécié les notes au début de chaque chapitre : des citations de livres de protocole, des lettres…



L’histoire n’est pas extraordinaire, il y a peu voire pas vraiment d’actions. Enfin si, il y a de l’actions mais pas celles que l’on croit. Tout tourne autour des relations amoureuses, devoirs familiaux et honneur de classe. Ce sont les "Feux de l’amour" en 1899. Cette auteure doit avoir une formule magique dans son style d’écriture car je ne sais pas vraiment pourquoi j’ai ADORE cette lecture… J’avoue avoir presque honte d’avoir autant apprécié une lecture "gnan gnan" à souhait. Ca pue le romantisme et les amours impossibles à plein nez mais c’est mon côté "in love" qui ressort et voilà, j’ai succombé ! Ce premier tome pourra aussi vous faire penser à la saga/série "Gossip Girl" de part ces jeunes filles riches et prétentieuses qui n’ont rien d’autres à faire que d’organiser des fêtes. Etant une fan de cette série (je n’ai pas lu les livres), je peux vous dire que j’ai eu davantage un coup de coeur pour la saga "The Luxe". Pourquoi ?



Parce que le cadre nous transporte. Les descriptions des vêtements de bals, de tous les jours, des corsets, chapeaux haut de forme, culottes bouffantes, bonnes manières, langage, protocoles, occupations de l’époque, etc… sont vraiment parfaites pour permettre au lecteur de bien s’imaginer le contexte de cette saga. Et comme j’aime beaucoup cette époque… Je suis comblée !



Une silhouette en peignoir de soir blanche traversa la cuisine tel un fantôme. Apparition fulgurante, éblouissante.



Comme dit plus haut, au niveau de l’histoire, n’attendez pas de suspense. Pourtant j’ai bien aimé commencer par la fin du livre et lire au fur et à mesure comment les personnages en sont arrivés à ce point du début. Idée de mise en scène très intéressante, c’est génial même si c’est vu et revu. Mais là c’est plutôt bien fait !



C’est également grâce aux personnages que j’ai vraiment apprécié cette lecture. Elizabeth, Penelope, Diana, Henry, Will, Claire, Lina, Teddy, les parents de chacun, …, les personnages principaux sont aussi attachants que les secondaires. Soit parce que de base, le lecteur les apprécie soit parce que le lecteur les hait dans l’amour. Ils apportent tous quelque chose à l’histoire, une vision différente : riche/pauvre, parent/enfant…



Pour qui ? Juste pour vous prévenir du type de lecture que c’est : il est question ici de triangles amoureux, de jalousie sentimentale, de mariage de raison. Si vous n’aimez pas les aventures amoureuses, ne lisez pas ce livre.



Une lecture sans prétention que le lecteur ne peut pas lâcher (je l’ai lu en 2 jours…). Hâte de lire la suite ! Allez faire un tour sur le site officiel "rebelles-lelivre.com" qui est très bien fait ! Je suis Elizabeth Holland en personnage féminin, et vous ??

Voilà, on y est, le dernier de The Luxe. Cette saga est tellement géniale à mes yeux, que j’avais un peu peur de lire ce dernier tome. Anna Godbersen avait le devoir de ne pas décevoir ses lecteurs, et pourtant je sais que certains ont été grandement déçus par la fin, mais pas moi. Ce quatrième opus est sans doute le meilleur et le plus intense.



Parfois j’avais du mal à m’identifier à certains personnages, ou à ne pas les aimer tout court! Mais là, nos quatre héroïnes sont sur un même pied d’égalité. L’intrigue autour d’Elizabeth est réellement passionnante, et surtout je ne m’y attendais pas du tout. J’adore cette jeune femme! Si exemplaire et courageuse… Mais on la sent brisée et fragile. Penelope est quant à elle toujours égale à elle-même. On la retrouve plus tentatrice que jamais à cause de l’arrivée inattendue d’un nouveau personnage, le Prince de Bavière. J’ai également apprécié cette histoire, surtout quand on voit où elle mène notre peste préférée… Carolina Broad est celle qui semble avoir le plus réussie. Elle a en effet réussi à s’élever haut dans la société, a devenir très riche et même à trouver l’amour. Mais à trop fuir le naturel, il revient au galop… Enfin, Diana (ma chouchoute, ne le cachons plus ^^) est partie à la recherche d’Henry (mon chouchou!) à Cuba. Ce nouveau décor apporte une touche d’exotisme au roman. Mais bien sûr l’appel du pays est trop fort et ils vont commettre l’erreur de revenir à New York…



L’écriture de Miss Godbersen est toujours aussi envoûtante, les articles de journaux et les billets m’ont de nouveau séduits et la couverture représentant cette fois-ci Carolina est sublime et à l’image que je me faisais d’elle. L’auteure nous embarque une dernière fois dans un tourbillon d’émotions très fortes, auxquelles je n’ai pas échappé…



Malheureusement les pages se tournaient de plus en plus en vite et la perspective de terminer cette saga m’effrayait. Et pourtant quand on y est, on ne peut plus reculer le temps pour redécouvrir cette saga. Et cette fin (cette terrible fin!) arrive… Je n’ai pas éprouvé de sentiment de déception face à elle. Seulement une grande frustration au départ, puis un énorme soulagement ensuite. Finalement l’idée d’une Happy End me semble désormais déplacée, et non conforme à certains personnages. Cependant cela ne m’a pas empêchée de verser quelques larmes pour Diana, Penelope, Carolina, Elizabeth et Henry, des larmes de joie pour certains, de tristesse pour d’autres… Une nouvelle période s’ouvre à eux, et je suis heureuse que l’auteure nous livre un peu d’information dans son épilogue sur ce qu’ils vont devenir. Toute fois elle laisse une grande place d’imagination aux lecteurs, et un "peut-être" reste suspendu à nos lèvres…



Je n’ai qu’une hâte: lire son autre saga Tout ce qui brille qui reprend un peu le principe de The Luxe, mais dans les années 20.



Bilan: Cette envolée au XIXème m’aura du début à la fin enchantée. Que dire d’autre, à part que j’ai tant aimé cette saga et ses personnages, que je vais d’ailleurs tous regretter? Que dire d’autre, à part que je vous invite à la découvrir et à la savourer? Que dire d’autre, à part que je vais sans nul doute la relire?
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Un troisième tome qui m’a moins emballée que les précédents. Le style est toujours aussi délicieux et l’ambiance générale très réaliste et paraît témoigner de faits réels tant l’époque décrite est soignée. Néanmoins, j’ai trouvé ce volume en-dessous des autres.

L’histoire est plate et ne subit pas tellement de rebondissements, et encore moins des inattendus, tout ce qui se passe est deviné bien avant que cela n’arrive ce qui enlève beaucoup de piquant à l’histoire.

Par exemple, on comprend dès que le petit soucis d’Elizabeth est vaguement évoqué, de quoi il s’agit avant qu’il ne soit dévoilé plusieurs chapitres plus tard.

Idem pour les manipulations de Pénélope qui sont clichées au possible, surtout sur la fin. La façon dont Carolina fini à la fin de ce tome est plus que prévisible également…



En somme, il n’y a pas de grosses surprises dans ce volume, pas de grandes révélations qui remettent tout en cause ni d’évènements particuliers à se remémorer (hormis peut-être le cas Elizabeth… ). Le tout est tout de même bien plus centré sur Diana, Pénélope et Henry même si au final, pas grand chose ne change dans leurs relations par rapport au tome précédent, à part bien sûr l’alliance que portent Henry et Pénélope… On voit un peu plus Grayson, le frère de Pénélope, qui m’a néanmoins paru bien effacé et qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.

J’ai trouvé les personnages plutôt mous, il n’y a pas grand monde qui tente quoique ce soit pour se sortir du pétrin ou obtenir ce qu’ils veulent, les intrigues de Pénélope perdent énormément de force, néanmoins on la voit un peu plus vulnérable qu’auparavant, ce qui permet de découvrir une nouvelle facette de la demoiselle. Sauf qu’elle m’a juste profondément agacé alors qu’elle m’intriguait à l’époque, je l’ai trouvé faible et pathétique. Diana, parlons-en, j’ai pu compatir un peu à son malheur mais ses sautes d’humeurs et ses changements constants d’avis ont failli avoir raison de moi. Elizabeth passe tout ce tome dans une apathie qui n’en finit pas, compréhensible, certes mais, profondément ennuyeuse.

Pas de réelle évolution ici, tout semble stagner, il ne se passe vraiment pas grand chose et on serait tenté de lâcher l’affaire même si la plume et l’ambiance nous font tourner les pages agréablement. Il n’empêche que j’ai ressenti un grand vide dans ce tome, comme si l’auteur manquait d’inspiration ou qu’elle souhaitait donner une pause à ses personnages.



En bref, j’ai été déçue par cet avant-dernier tome, l’intrigue paraît s’essouffler et les personnages ne m’ont pas convaincue. Néanmoins, l’auteur écrit toujours aussi bien et c’est un délice de lire d’aussi jolies phrases, de plus l’ambiance est très bien retranscrite et on s’y croirait. Je suis tout de même curieuse de connaitre enfin le fin mot de l’histoire et lirai certainement le dernier tome prochainement en espérant qu’il me plaise plus, cela me permettra de terminer totalement cette série.




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Je reste vraiment sur ma fin en plus au bout de quatre volets !!!!

Comme pour le premier tome, je dis un grand bravo pour la couverture toujours aussi jolie. Cette fois, elle nous présente Pénélope dans une somptueuse robe rouge, qui reflète parfaitement sa personnalité et ses intentions. J’adore!



Souvenez vous à quel point j’avais été charmée par le premier tome (mon avis sur le T1: ici)… Mais ce tome 2 est génial et totalement à la hauteur! L’auteure a repris le même système que la première fois (est-ce sa marque de fabrique?), c’est à dire que le prologue nous révèle la fin sans vraiment nous la révéler. Et c’est rageant pour nous lecteurs! On a tellement envie de savoir ce qui va se passer! Ce que j’ai retrouvé aussi et encore adoré, c’est les articles de presse, les billets ou autres avant le début de chaque chapitre, ça nous permet de mieux visualiser les choses et de les rendre quasi réelles!



Dans ce tome-ci on retrouve bien sûr nous quatre héroïnes: Elizabeth, qu’on avait quitté en pleine fuite pour retrouver son amoureux, qui n’était d’autre que le cocher de la famille. Tout le monde la croit morte. Ici on la découvre plus mûre. Je l’ai une nouvelle fois adorée! L’auteure ne va pas la ménager dans ce tome et j’ai parfois eu beaucoup de peine pour la jeune fille. C’est un personnage qui évolue énormément, tout comme sa soeur, Diana. Cette dernière reste sans conteste ma préférée des quatre . Son caractère, toujours aussi têtu et rebelle, me plait beaucoup. Mais bien sûr elle ne serait pas la soeur d’Elizabeth si il ne lui arrivait pas aussi quelques épreuves… On retrouve aussi Pénélope, qui est un personnage détestable à souhait. C’est une garce, elle ne s’en cache d’ailleurs pas, mais dans ce tome-ci elle va particulièrement utiliser ces talents de « méchante dame », et finalement ça ne lui réussit pas si mal… Je la déteste toujours autant mais en même temps, on l’adore! Viens ensuite Lina Broud. Lors de la lecture du tome 1, je n’avais pas accrocher (pour ne pas dire, absolument pas!) à elle. Quelque chose me gênait sans que je sache pourquoi. Sans doute ne le saurais-je jamais, car dans ce tome-ci je me suis réconciliée avec Lina, et j’ai su l’apprécier. Elle va d’ailleurs rencontrer quelqu’un qui va sûrement pourvoir réaliser son rêve: gravir les échelons sociales, et devenir Carolina Broad.



Du côté des garçons, les personnages sont moins haut en couleurs, sans doute qu’Henry leur fait trop d’ombre! Henry est toujours fidèle à lui même mais on sent qu’il a grandi depuis son aventure avec Diana. Cependant, il culpabilise de la « mort » d’Elizabeth, se sentant responsable. C’est un personnage complexe, j’ai parfois eu du mal à le cerner, mais je l’adore! Vive Henry Will est quant à lui un peu plus effacé, mais il reste un personnage que j’apprécie. Dans ce tome-ci on peut constater l’apparition timide de Tristan, un jeune vendeur dans l’entourage de Lina, quime semble un personnage assez malsain et celle de Teddy, qui apparait par ci par là mais qui m’intrigue beaucoup. C’est le meilleur ami d’Henry, mais le pauvre à tendance à rester dans son ombre…



Ce livre est un véritable page-turner! Pas moyen d’arrêter! Et quand on arrive à la fin… Pas d’autre choix que de commencer le trois!



Bilan: Coup de Coeur!
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Un petit mot avant de commencer pour la couverture, toujours aussi sublime. Ici, elle illustre Diana, mon personnage préférée. Et j’avoue que cette robe est particulièrement belle! Bref encore chapeau, comme à chaque fois.



Si j’avais adoré les deux précédents, celui m’a totalement conquise! Mais vraiment à 100%!Dans ce tome, on retrouve Henry et Penelope mari et femme. Ca fait un peu bizarre au début, d’autant que ces deux-là sont extrêmement opposés. Bien sûr ce n’est pas un mariage d’amour, mais une combine bien ficelée par Penelope (ça vous étonne?). Elizabeth est quant à elle effrondrée de chagrin (vous savez pourquoi…). Et Diana se sent trahie et bataille avec ses sentiments pour Henry et la vérité qu’il lui expose. Pour détendre l’atmosphère, Penelope propose à Elizabeth de venir se joindre à elle, Henry et Teddy en Floride plus pour sauver les apparences face à la presse, que pour profiter du beau temps et de la mer. Diana les rejoint, suivis de Lina, toujours fidèle au poste et de deux nouveaux personnages: Grayson, le frère de Penelope, que cette dernière manipule sans peine (et sans remords!) pour son propre intérêt et Leland, un homme riche qui a tapé dans l’oeil de Lina.



Quel plaisir de retrouver ces personnages! L’auteure nous offre ici un nouveau décor, où ils n’ont pas l’habitude d’évoluer, et cette touche de changement m’a séduite. On pourra dire que ce voyage fut tourmanté et rempli de surprises! Par contre que je crains qu’il ne trace une croix définitive sur la Happy End



Ce que j’ai aussi aimé, c’est d’abord le voile de Penelope, qui tombe! On la découvre sous un autre jour, et qu’est-ce que c’est génial! Puis ensuite le jeu du chat et de la souris entre Henry et Diana, qui se cherchent, se trouvent et s’éloignent sans cesse. C’est tellement passionnant de suivre tout ce petit monde. J’ai parfois l’impression que l’auteure s’acharne sur notre pauvre Elizabeth, comme si elle n’avait pas déjà subit des épreuves assez dures. Lina, quant à elle, recommence à m’aggacer! Elle saute du coq à l’âne, accumule les sautes d’humeurs… On a une présence un peu plus grande de Teddy, et je me demande si il va être important dans le dernier tome. Grayson est, lui, différent de sa soeur. Tout aussi difficile à cerner, je l’ai beaucoup apprécié.



Ce tome là fait fort en rebondissements, et la fin… Oh mon dieu, la fin! Et dire que je n’ai pas la suite sous la main! La fin nous promet du changement, beaucoup de changement… Et sans doute aussi des larmes, beaucoup de larmes…



Bilan: Je suis accro à 100%


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Tout ce qui brille raconte les aventures de trois jeunes filles, toutes très différentes les unes des autres mais unies par le fin du destin. Astrid est une jeune fille de milieu aisé qui aspire à trouver un foyer, un point d'ancrage. Cordelia et Letty viennent de l’Ohio. Toutes les deux sont en quelques sortes des bêtes curieuses pour les habitants de leur petite ville. Elles décident de s'enfuir à New York. Letty, qui est une artiste née, ambitionne de devenir une vedette afin de réaliser les rêves de gloire que sa défunte mère a fait naitre en elle. Cordelia, elle, veut retrouver son père, célèbre gangster, pour être celle qu'elle se pense être depuis toujours, loin des idéaux de la famille de sa défunte mère.

Tout ce qui brille se lit facilement mais je ne le considère pas comme un grand livre. L'écriture est fluide, mais l'histoire est assez "harlequinesque", comme la précédente série de l'auteur d'ailleurs.

Suite de « tout ce qui brille ».1929, Cordelia et Astrid appartiennent à la jeunesse dorée de Long Island. Astrid en a toujours fait partie, Cordelia vient d'emmenager avec son frère dans les beaux quartiers mais elle a le plus grand mal à se remettre du meurtre de son père qu'elle venait juste de retrouver. Avec elles vit Letty, amie d'enfance de Cordelia, qui souhaite percer en tant que chanteuse sur la scène New-Yorkaise. Les jeunes filles passent leur temps entre cocktails et soirées mondaines.

Mon avis : Si vous avez le premier tome...beaucoup trop de descriptions des tenues portées par les jeunes filles mais une histoire qui se laisse lire sans déplaisir.

à partir de 13 ans

Je suis faible et victime de la société de consommation, je l’avoue. J’ai acheté ce livre parce que j’ai trouvé la couverture sublime ! Cette demoiselle avec sa belle robe de princesse a indéniablement attiré mon regard. (Et en plus j’suis superficielle, chouette…).



Je l’avais lu il y a longtemps, mais l’ai relu récemment car j’ai (enfin) acheté la suite. Il m’avait déjà laissé un bon souvenir à l’époque et cela ne s’est pas démenti à ma seconde lecture. Je l’ai dévoré en un temps record !



Tout d’abord, l’époque décrite dans les pages de ce roman était bien choisie pour m’attirer facilement dans ses filets : 1899. Le faste des complots, des robes magnifiques, des corsets et d’une étiquette suivie à la lettre ou non, selon les personnages. Et c’est bien ce que l’on retrouve ici.

Nous faisons donc face à plusieurs personnages principaux, avec leurs personnalités distinctes, leurs attentes et leurs rêves. Certains ont plus capté mon attention que d’autres comme Pénélope ou Diana. Elizabeth m’a un peu laissé indifférente au niveau de son attitude mais, j’avais plaisir à suivre ses déboires. Henry m’a paru fade et sans intérêt mais son rôle dans l’histoire est important, je pense que l’on n’entend pas assez parler de lui pour pouvoir le cerner. Par contre, Lina m’a horripilé du début à la fin ! Cette gamine est juste égocentrique et insupportable. Et j’ai développé une fascination pour l’amitié entre Pénélope et Elizabeth et me demande sans cesse comment elles ont pu devenir amies en étant si diamétralement opposées.



L’ambiance dans laquelle nous évoluons est vraiment plaisante ! Et le style y ajoute beaucoup. L’auteur nous plonge avec ravissement dans cette époque avec une plume fluide et un brin soutenue. De belles phrases bien placées agrémentées de quelques jolies métaphores qui relève d’un esthétisme littéraire bien agréable. J’y ai vu une sorte de mélange entre les univers de Gossip Girl et de Jane Austen. Nous suivons les intrigues de personnages riches et célèbres évoluants dans un milieu victorien qui m’a charmé.

La seule chose qui m’a un peu dérouté est le début du roman qui m’a semblé reprendre le premier chapitre du premier tome de Gossip Girl. J’ai trouvé une parallèle entre Will qui devient distant avec Lina quand Elizabeth revient après une longue absence et Nate qui fait de même avec Blair quand Serena rentre du pensionnat… Drôle de coïncidence tout de même. Cela ne m’a pourtant pas empêché de poursuivre ma lecture avec avidité.



L’intrigue de ce roman est tout de même un peu simple, pas de vrai gros problème à l’horizon néanmoins, on assiste vraiment au soucis que peut créer l’étiquette et la bonne conduite dans cette société étriquée. Et, malgré cela, on passe les pages sans s’en rendre compte pour découvrir comment nos héros vont réussir à se sortir de leurs histoires.

Un gros point positif à soulever : Alors que l’histoire de ce roman est basée sur les romances de nos personnages, la niaiserie ne prend pas part au banquet !



C’est vraiment une lecture de détente, pas quelque chose de compliqué mais, je crois bien que c’est le meilleur de ce genre, à ce jour, que j’ai eu le plaisir de lire. Il est de ces livres tellement prenants qu’on doit se donner un quota de chapitres à lire pour ne pas se coucher trop tard, car on ne voit vraiment pas défiler les pages. Mais, la tentation est là : « Un petit chapitre de plus ne me fera pas de mal ». Oui, certainement. Mais à force, on se couche à six heures du matin.


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Dernier opus (à ce jour) de la saga Rebelles, Vénéneuses use la corde sur laquelle Anna GODBERSEN tire. Revoilà le trio Pénélope, Henry, Diana, qui se déteste, se réconcilie, s’adore et, en fond, la très sage Elisabeth, qui décidément n’a pas de chance tant ses appuis se révèlent être toxiques. D’intrigues en rebondissements, Vénéneuses est [...]
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Très plaisant, très rythmé, un bonbon sucré qui se lit aussi vite qu’une Rolls lancée à pleine allure vers la nuit new-yorkaise.
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J'avais adoré sa précédente série "rebelles..." et c'est avec joie que je me suis plongée dans celle-ci. L'histoire se passe à New York en 1929, ce sont les années folles et la prohibition. Et c'est dans cette ambiance que l'on va suivre le destin de trois jeunes filles. Cordelia et Letty sont de l'Ohio, elles arrivent à New York avec des objectifs différents, l'une recherche son père et l'autre recherche la gloire en tant que chanteuse. La troisième jeune fille, Astrid est riche et belle, elle croque la vie à pleine dents du haut de ses 17 ans. Le destin de ses trois jeunes filles va les faire se déchirer, se rencontrer et vivre des aventures passionnantes. Il y a quelques longueurs dans ce roman, mais les rebondissements de la fin les font vite oublier, je veux la suite !!!

J'ai tout de suite eu envie de lire ce roman qu'on qualifie de Gossip Girl du 19e siècle mais les critiques étant mitigées je l'appréhendais. Au final, ce fut une sympathique lecture même s'il m'a fallu un bon moment (un peu plus de 150 pages) pour rentrer vraiment dans l'histoire. En effet, j'ai eu un peu de mal au début pour situer tous les personnages et me faire au style de l'auteur. Mais cela passé, j'ai vraiment accroché et plus je tournais les pages plus j'aimais cette série. En conclusion, une chouette histoire (même s'il n'y a pas beaucoup d'actions) qui vaut la peine qu'on s'accroche. Je suis curieuse de voir ce que donnera le second tome.

Placée sous l'épigraphe de Francis Scott Fitzgerald, écrite entre un récit tendu et des dialogues vivants (y compris dans la superficialité), la série s'annonce âpre, loin d'un sirupeux roman historique à jolies robes.
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Pour être honnête, je n'ai pas su terminer ce livre.

C'est ma bibliothéquaire qui me l'a proposé et je me suis dit "pourquoi pas" même si le résumé ne rendait pas le livre tentant. J'ai lu une bonne centaine de page, puis j'ai baissé les bras: il y avait trop de personnages, je n'arrivais pas à distinguer qui était qui et certains passage étaient un peu long...

Je n'ai juste pas accroché.