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Citations de Anne Loyer (205)


« – Icedream ? répéta Jimmy. – Le monde des rêves blancs ! Vous avez laissé entrer le dragon de glace et maintenant, tous les contes sont mélangés. Vous seuls pouvez l’arrêter avant qu’il ne les gèle, un par un et pour l’éternité. – Mais que devons-nous faire ? – Suivez-moi et vous saurez… «
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Tompouce c'est mon surnom. Parce que je suis né tout petit. Plus petit que tout le monde. J'avais de l'avance sur ma naissance, mais pas trop sur le reste. Après je me suis bien rattrapé, j'ai dépassé tout le monde en taille même si j'ai gardé mon surnom.
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- C'est vrai. Chez moi, c'est plutôt couscous et boulettes. Ma mère, entre nous, on la surnomme la reine Semoule !
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- Arroz de Pato ! déclare le serveur avec ferveur.
- Mais encore ?
- Un risotto au canard ! traduit Ondine fièrement.
[...]
La cuisine portugaise m'enchante vraiment. De telles saveurs valent bien quelques fables. Le repas se termine par une douceur au sucre absolument fondante qui porte le nom de Torta de Azeitão.
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J'adore le sport à la télévision. Je regarde tous les matchs, tous les championnats, toutes les courses, toutes les disciplines. Maman dit que je suis Tomtomgirl quand je m'y mets !
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– Tu es ma sœur, tu t’appelles Ludivine, je t’appelle Ludie. Et je t’aime.
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lettre c:
Quelle cacophonie!
Crac Crac Crac
C'est Coco le Crocodile qui croque ses cacahuètes...
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« Rien d'autre n'avait d'importance à part prendre de l'avance, de l'élan pour doubler les autres, les dépasser, être meilleur qu'eux, briller. »
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On sort les nappes à carreaux,
on croque des sandwichs au soleil.

On chasse les ailes multicolores,
on se barbouille de rouge fruité.
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Et on court, et on rit, et on vit !
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Notre vie avec maman ressemble à ça. A une balançoire à bascule. Elle descend, on monte. Elle monte, on descend.
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(...) j'ajoute ma voix au chœur familial, je donne mon avis. Je fais entendre ma petite musique. Je la joue un peu moins solo, un peu plus trio. C'est trois fois rien, mais c'est énorme.
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Je ne suis pas baraquée, je suis même plutôt maigrichonne. Mais faire valdinguer un objet après avoir tourné à en perdre l'équilibre, c'est comme jeter le poids qui écrase ma poitrine et ma vie. Je valse sur moi-même, comme une toupie furieuse, et je me libère de ce fardeau rond.
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Bing, bing, bing, les trois mots avaient surgi sans prévenir sur mon écran de portable alors que j'étais à deux doigts de quitter la maison.
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Fléau ! Fléau ! Fléau !
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J'étais effarée. Comment pouvait-on grandir de cette façon ? Sans avoir droit à rien parce qu'on était né en trop ?
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Le roi a choisi son camp ! En renvoyant Necker, il rejette le peuple ! La bataillons suisses et allemands qui campent au champ de Mars pour le protéger vont finir le travail ! Ils vont venir nous égorger ! On ne peut pas laisser passer ça sans réagir ! Il est temps, citoyens, de défendre notre liberté !
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Quoi ? Parce que je ne suis pas un homme, je n'aurais pas le droit d'avoir mon mot à dire ? La liberté, l'égalité, la justice me concernent autant qu'eux, crois-moi ! Et il est hors de question que je les laisse prendre toutes les décisions sans donner mon avis !
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Bientôt, la vue se dégage et il arrive devant la Bastille. Les tours de la forteresse se dressent vers le ciel, fières et menaçantes. Des prisonniers y sont retenus, tous ces pauvres bougres que le roi, par simple décret, sans autre forme de procès, enferme entre des murs aussi épais que l’injustice.
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Jusqu’à aujourd’hui, elle ne l’avait jamais intéressé. A parti qu’elle était exaspérante
et mal fagotée, il n’avait rien remarqué d’autre. Mais ici,
dans ce lieu presque désert, tout était inhabituel. Amina était beaucoup plus proche, et terriblement différente. Il appréciait son côté intrépide et inconscient qui lui boostait l’adrénaline.

Soudain, une voix leur parvint, puis une autre. L’une grave et lente, l’autre nasillarde et rapide.
Aussitôt, les deux jeunes stoppèrent net. Ils étaient tout près.

La main d’Amina s’échappa de la sienne. Elle l’essuya contre son pantalon de survêtement.

- Excuse-moi, j’ai chaud …
dit-elle dans un souffle.

Il la laissa faire. Lui aussi transpirait et ce n’était pas la chaleur de l’endroit qui était
en cause. L’angoisse les rattrapait. Pourtant, maintenant qu’ils étaient là, Tom voulait en savoir davantage. Il progressait encore, dos au mur, comme il l’avait si souvent vu dans les films
d’espionnage qu’il affectionnait. Les deux hommes étaient
retranchés dans l’ancienne salle de repos de ouvriers. Il se le
rappelait maintenant avec précision, c’était là que son père
l’avait amené, un jour, pour le présenter à ses collègues.


p. 107-108 Citation choisie par Elif
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