Citations de Arthur Ténor (326)
– Adieu, Carpates de l'Imaginaire !
Je tapotai l'écran tactile d'un index ferme, précis et décidé.
– Vive la Terre et ses délicieux relents de pollution, ses Dracula cravatés qui ne vous pompent que votre portefeuille, et vos dernières illusions...
Ainsi, je me tenais devant ma mère aussi effaré que devant une extraterrestre.
- Au contraire, tu as eu raison. Ce que je pense, c'est que tu as mis le doigt dans un engrenage beaucoup plus dangereux que ce que tu crois. D'après Ravi, ceux qui se cachent derrière l'appli Mirage-Sorry pourraient être, au mieux des espions russes, au pire des terroristes islamistes. Pas de quoi s'affoler, n'est-ce pas ?
- Pff ! N'importe quoi ! Tu te crois malin d'essayer de me ficher la trouille ?
A 15 ans on n'est pas encore assez bien armé pour connaître et reconnaître tous les pièges de la vie moderne.
Tout va bien par ce que j'ai le meilleur : toi, mes amies char libertaires, nos vidéos , nos profs..... et la libérté
- Le respect n'a pas de frontière, la liberté non plus. C'est comme l'amour. J'estime que j'ai le droit d'aimer ce que je veut , qui je veux et comme je veux. Et je dis m... hum, à ceux a qui ça ne plait pas. Pour moi c'est ça, la liberté, monsieur.
Dans les films, les héros se tirent en laissant tout sur place. Dans la vraie vie, quand on ne ramène pas son Vélib sur une borne, on vous prélève cent cinquante euros.
C'était juste un souvenir, tout rouillé et poussiéreux, mais de ceux qui vous arrachent l'âme quand on les perd.
Lentement, le garçon se retourne. Il porte une large marque rouge sur la joue droite. Yvain a un haussement de sourcils.
- Fichtre ! La donzelle qui t'a giflé devait avoir une main comme un battoir à linge.
-La largeur ne fait rien à l'affaire.
- De quelle offense t'es-tu donc rendu coupable ?
- D'aucune, je le jure ! Il me faut avouer une imprudence mais non point une impudence.
Ce sont les hormones qui te travaillent. Faudra que ça te passe, mon petit, parce qu’une tête comme la tienne, ça fait fuir les filles, ça ne les attire pas.
Si certaines mères se fâchent à l'heure du coucher pour que leur enfant lâche la télé ou l'ordinateur, la sienne c'était pour qu'il ferme le livre ou renonce à compter le nombre de vers luisant dans la pelouse.
- Bonjour, monsieur, me salua l'hôtesse.
Je répondis vaguement, d'un air crispé, puis je posai mon volumineux bagage sur le tapis roulant pour l'étiquetage. En le découvrant, elle marqua un temps d'arrêt.
- Il y a un problème? m'enquis-je.
- Euh...non, mais... Vous a-t-on bien informé sur votre destination?
J'esquissai un sourire embarrassé en guise d'approbation.
- Parce que, reprit-elle, je crains que vous ne rencontriez quelques difficultés pour faire suivre votre... valise.
Elle prononça ce mot comme s'il s'était agi d'un minibar dans une brouette.
- Ne vous en faites pas, je me débrouillerai, dis-je avec une décontraction feinte. De toute façon, j'ai un sac à dos à l'intérieur et ... et (Je me sentais de plus en plus mal à l'aise.) Dites, mademoiselle, sur place, est-ce qu'il y a des boutiques pour acheter ce qui pourrait me manquer?
Je crois me souvenir qu'elle serra les mâchoires pour ne pas éclater de rire.
- Votre guide s'en chargera, esquiva t-elle. Voici votre carte d'embarquement.
Pour finir, elle étiqueta mon lourd bagage de touriste du dimanche, me souhaita "bonne chance" (pas "bon voyage", notai-je), puis m'indiqua la porte où je devrais me rendre lorsqu'on nous appellerait pour le départ...
Non, en vérité, ce qui lui faisait regretter ce retour aux sources était la présence entêtante, polluante même, de cette fille aux yeux noisettes. Elle était devenue son obsession, une présence mentale permanente qui lui pompait littéralement le peu d'apaisement que lui apportait sa cour d'admirateurs.
Valentin, un jeune garçon fasciné par les livres d'horreur et d'épouvante découvre qu'une nouvelle librairie vient d'ouvrir : la librairie du Styx. Il y pénètre, trouve et achète un livre à la reliure rouge. Mais ce qu'il ne sait pas, c'est qu'à partir de cette nuit son histoire va se réécrire. Le soir en ouvrant son livre il se rend compte que les pages sont vierges, il a l'impression de s'être fait arnaquer. Mais le lendemain en l'ouvrant, il va avoir une drôle de surprise.
Un livre passionnant, fantastique et divertissant. Il est facile à lire.
Louise C. 5ème
- Personnellement, je vis très bien avec le principe d'incertitude. C'est ce qui me rend beaucoup plus tolérant que ceux qui vous assènent leur vérité. D'ailleurs, je n'exclus rien ni personne. dans mon monde idéal, les cultures se côtoient en paix, se respectent, se marient même.
- saperlipopette ! jura le physicien en se passant une main dans les cheveux. J'ai un orque de Sauron dans mon salon.
Gaspard dormait de plus en plus mal. Mais le plus difficile pour lui était de combattre ces nausées qui désormais l'assaillaient systématiquement à l'approche du collège.
suffoquant, l’adolescent insinue ses ongles entre le bois et la pierre… Peine perdue! une bouffée de panique lui fait battre le cœur à se rompre. il donne des coups d’épaule dans le bois puis des coups de pied, frappé, frappe… la porte cède d’un coup.
C'était... c'est mon fils ! lança spontanément le caporal .
– J'ai lu quelque part que tout était déterminé par les lois de la biologie, de la physique, voire même de la psychologie... tout, sauf une petite part laissée au hasard. C'est cette incertitude, ou imperfection, qui permet à la vie d'évoluer, comme les virus qui s'adaptent par mutations aléatoires.
– Vous croyez donc au déterminisme ?
– Je crois au destin.
– Ah oui ? C'est quoi, la différence ?
– Le destin, je le détermine ; le déterminisme, je le subis. Or, j'ai horreur de subir.