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Critiques de Catherine Cuenca (424)
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La guerre des ombres

Marie doit quitter Lyon pour la campagne quand Mme Lévi qui l'employait jusque là est obligée de la licencier. Elle s'installe chez son oncle et donne des cours aux enfants du village, dont Maxime le fils d'un Pétainiste...Elle va recueillir Sara lorsque sa mère est emmenée par la police. Elle intègre alors le réseau de résistants local, transmet des lettres et mène des missions de reconnaissance.



Excellent roman sur la Résistance pendant la Seconde Guerre Mondiale et en particulier le rôle de femmes. Y sont abordés de nombreux thèmes historiques pouvant faire l'objet d'une étude : la persécution des Juifs, l'occupation allemande, le rôle des Résistants, les représailles allemandes, et aussi tout ce qui concerne la vie quotidienne comme l'approvisionnement... ce qui m'a particulièrement touchée dans ce livre, c'est le personnage de Marie, jeune femme plongée malgré elle dans les tourments de la Guerre. C'est grâce à son parcours que l'on comprend mieux ce qu'a pu être la vie à cette époque. C'est pour cette raison que je le recommande vivement à nos élèves, pour qu'ils puissent appréhender de façon simple mais tellement juste, la Seconde Guerre Mondiale. Qu'ils puissent saisir que ce ne sont pas que des mots dans un manuel d'Histoire mais surtout des destins d'êtres humains...
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La jeune fille et le chat

Ce roman jeunesse nous emmène dans la France du Moyen Age durement affectée par la peste noire. La jeune Bertille, âgée de 14 ans, a été confiée à son oncle pour l'été. Mais voici que la jeune fille est accusée de sorcellerie à cause de son amour des chats. Elle cherche alors un refuge, une quête difficile en ces temps troublés. Elle doit défier les hommes du prévôt mais surtout la peste qui sème la mort partout sur son chemin.

Un roman que j'ai pris du plaisir à découvrir. Les personnages sont sympathiques et le contexte est bien décrit. Malgré tout, on sent que c'est un roman jeunesse et l'ensemble aurait pu être un peu plus approfondi.
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La jeune fille et le chat

Bertille vit chez son oncle et a comme compagnon un chat : Miron. Personne n'aime les chats à cette époque là, ils ne servent qu'à chasser les rats. Un soir, un moine se présente chez eux et leur apprend que la peste ravage plusieurs villages. Et qu'ils doivent à tout prix rester à l'écart. Il confie à la jeune Bertille que les chats sont probablement les meilleurs amis de l'Homme en cette période funeste, car ils chassent les rats, probablement porteurs de la maladie.



Mais bientôt, la vision de l'enfant avec ce chat ne plaît pas à tout le monde. On l'accuse même de sorcellerie. Elle est obligée de fuir pour survivre, et elle va devoir affronter bien des dangers lors de cette période si cruelle.



Un court roman vif et intéressant sur une période que je trouve parfois trop peu traitée. Ce livre nous donne envie d'en savoir plus sur cette époque et sur la peste en général. L'héroïne est attachante et courageuse. On lit cette histoire avec compassion et la lecture est fluide et rapide. J'ai passé un très bon moment !

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La jeune fille et le chat

Un roman efficace qui traite bien le thème de la peste : on suit une petite fille à l'époque médiévale. Une fille, un peu à part, puisqu'elle aime les chats (et notamment celui qui la suit partout) à une époque où on considère cet animal comme l'animal du Diable. Tout un périple qui l'attend pour fuir son village ravagé par la Peste, et des soldats à ses trousses, parce que bon, si elle se balade avec un chat, c'est que c'est forcément une sorcière responsable de l'épidémie.



Une histoire plutôt simple avec une romance qui débarque en cours de route et n'apporte pas grand-chose, c'est un roman historique qui n'innove pas vraiment le genre, et même qui reste très linéaire et prévisible. Pourtant, malgré des personnages assez creux, on se prend pourtant au jeu, les pages défilent à toute vitesse, et le moment de lecture reste agréable.
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La jeune fille et le chat

Un roman avec un chat ? Bien sûr, je n'ai pas résisté.



Et j'ai bien fait car j'ai adoré l'histoire de cette jeune fille qui risque sa propre vie pour sauver son chat ( car on les dit porteurs de la peste).



Et ce qui m'a le plus touchée, c'est ce chat qui est toujours là pour la protéger. Dès qu'un rat ou autre met en danger Berthille, il arrive.



Enfin, j'ai beaucoup apprécié de trouver l'Histoire avec un grand H dans ce récit plein de péripéties et d'amitié.
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La jeune fille et le chat

J'ai passé un agréable petit moment avec Bertille et Miron. C'est une histoire très touchante, mais c'est aussi un roman historique court mais passionnant.



On suit donc Bertille dans la ferme de son oncle, mais l'on apprend que la peste est présente sur tout le territoire, que les chats sont maléfique et qu'ils doivent finir au bûcher.



Ce roman montre l'humanité dans toute sa splendeur (lol). Vouloir à tout prix trouver un coupable pour ce fléau, et s'en prendre à quiconque sera suspect. C'est ce qui arrivera à Bertille, protectrice des chats, et surtout de Miron. Elle sera prise pour une sorcière et poursuivie pour être brûlée.



Mais il montre aussi le côté désintéressé de l'homme au travers du Frère Philippe qet sa communauté qui aideront Bertille, Quentin et Miron a s'en sortir.



C'est une belle histoire, avec une belle fin. Ça se lit très vite, et c'est très prenant. Les personnages sont vraiment très mignons.



Je pense lire les autres romans de cette collection !
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La jeune fille et le chat

Quel plaisir de retrouver la plume de Catherine Cuenca. L’autrice nous emmène en 1348, au Moyen-Age, en pleine peste noire, avec ses fantasmes et ses croyances, une époque où l’on pouvait vite être accusé de sorcellerie.

Bertille, 13 ans, a été placée par son père chez son oncle pour aider à la ferme. Son seul compagnon est Miron, un chat roux aux yeux verts. Un moine de passage leur annonce que la peste ravage la région. Il n’en faut pas plus à la population pour accuser les chats d’être les responsables de ce fléau. Bertille décide alors de fuir et de retrouver ses parents avec son compagnon afin de le protéger.

Une lecture agréable entre aventure et réalité historique. Des héros attachants, un peu de suspense, une amourette et une écriture facile et agréable combleront nos plus jeunes lecteurs. Merci aux éditions Scrinéo pour cette lecture.

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La jeune fille et le chat

14ème siècle, dans un petit village français, nous découvrons Bertille, 13 ans. Elle a rejoint son oncle pour l'aider aux travaux des champs quand une épidémie de peste se répand dans la région. Les croyances populaires imputent ce fléau aux chats, prétendument associés du Diable. Mais Bertille, qui élève secrètement un chat, est convaincue que cela est faux depuis qu’un moine lui a confié que la maladie venait avec les rats. Seulement, en voulant sauver son animal, les villageois se mettent en tête qu’elle est une sorcière et la prennent en chasse à son tour. Lancée sur les chemins pour trouver un refuge, Bertille va naviguer entre l'épidémie et l’aveuglement idéologique de certains.



J’aime beaucoup les romans historiques jeunesse des éditions Scrineo, et plus particulièrement quand ils sont écrits par Catherine Cuenca qui a l’art de nous plonger rapidement dans une histoire entrainante.

Aux côtés d’une héroïne attachante, futée et bienveillante, le lecteur est vite lancé dans l’aventure, tout en nous faisant découvrir ce pan de l’histoire. L’autrice y dépeint le tableau d’une époque, tant sur le mode de vie, que les croyances et l’avancée des sciences.



On découvre ainsi les mœurs du moyen-âge, très marquées par le poids de la religion mais aussi que les chats -que l’on adore maintenant et incarnent un côté “doudou”- ont eu une réputation sulfureuse pendant des siècles.



Les scènes où la maladie et les morts sont évoquées sont réalistes mais sans rentrer dans trop de détails qui pourraient effrayer les plus jeunes lecteurs. On comprend que c’était une période sombre, avec une maladie terrible, mais le roman se veut optimiste en mettant en lumière l’humanité et la bienveillance de quelques-uns.



Un roman à glisser dans les mains de tous ceux qui sont curieux de cette époque.
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La jeune fille et le chat

A 13 ans, Bertille vit à la campagne, dans la famille de son oncle où elle se sent seule et exploitée. Son seul ami est un chat roux, Miron à qui elle se confie. Un soir, Frère Philippe frappe à leur porte et leur annonce que la peste sévit dans toute la région. La peur s'installe alors dans tous les esprits mais au village, où l'épidémie a fait de nombreuses victimes, les coupables sont tout trouvés : les chats seraient la cause de tous les maux ! Bertille et Miron sont condamnés au bucher et doivent s'enfuir pour sauver leur vie...

J'ai beaucoup aimé ce roman historique qui fait découvrir un pan de l'Histoire peu connu des jeunes d'aujourd'hui : l'épidémie de peste noire qui sévit sur la France au XIV° siècle.

Il montre aussi comment les croyances de l'époque et la vindicte populaire ont pu faire des ravages à cette époque.

Bertille est une jeune fille courageuse qui doit lutter pour sa survie et celle de Miron. Elle n'hésite pas à se mettre en danger et trouve sur sa route des personnes prêtes à l'aider : Gersande, une ancienne voisine à laquelle elle est très attachée, frère Philippe mais surtout Quentin, un garçon dont elle était secrètement amoureuse plus jeune.

Je remercie Lucie des éditions Scrinéo pour cette lecture très enrichissante !
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La jeune fille et le chat

Ce roman est dans la collection histoire de @scrineo . Le sujet abordé ici est la peste ! Un sujet d’histoire parfois compliqué à comprendre par des ouvrages de grands auteurs.



Dans ce roman, on va suivre une jeune fille de 13 ans là où la peste fait rage. On en apprend beaucoup sur cette maladie je trouve mais de manière simple. D’ailleurs, c’est super intéressant de pouvoir le percevoir plus simplement. Ayant lu la peste de Camus, c’est effectivement plus simple.



Le personnage principal est très attachant. Cette jeune fille donne envie de partir à l’aventure avec elle ! Et puis vous connaissez mon amour pour les chats. Elle est accompagnée de son chat Miron qui est assez capricieux et maladroit !



En résumé, je conseille fortement ce petit roman. Une manière de découvrir l’Histoire plus simplement à travers une histoire. Une lecture simple et super intéressante de mon point de vue.
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La jeune fille et le chat





Ce roman jeunesse qui m’a été conseillé par ma bibliothécaire est une petite pépite.





Bertille est une jeune fille de 13 ans, orpheline de mère, placée chez son oncle dans un hameau en pleine campagne. L’histoire se passe au Moyen Âge en pleine épidémie de la peste. Elle a pour seul ami Miron, un chat qui vient la visiter la nuit. Une rumeur court que les chats sont des créatures du diable et que ce sont eux qui propagent la maladie. Bertille est accusée de sorcellerie et son chat condamné à être brûlé sur le bûcher. C’est sans compter sur le courage de Bertille qui va fuir à travers les bois et la campagne pour sauver son ami. Elle va y croiser des gens qui vont l’aider dans son périple, mais aussi, d’autres qui vont la persécuter. 





C’est un livre passionnant sur un époque troublée, avec ses croyances et ses traditions. Je me suis attachée à Bertille, jeune fille courageuse et résolue à sauver la vie de son chat coûte que coûte. La fin est très émouvante.





L’écriture y est fluide, et se lit bien. Seul bémol : le livre est trop court et j'aurais souhaité que cela dure plus longtemps.





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La malédiction de la pierre de lune, tome 1 :..

Après mon coup de coeur pour la trilogie "Le mystère de la Tête d'Or", j'avais hâte de découvrir ce que Catherine Cuenca nous avait préparé avec cette nouvelle série! Et je ne suis pas déçue. Nous quittons le XIXè siècle et la région lyonnaise pour se plonger cette fois-ci dans l'Italie du XVè siècle, avec ses grandes familles qui s'opposent, ses sorcières et ses artistes.



L'héroïne, Carla, est très attachante grâce à son caractère bien trempé. Orpheline, elle vit avec son oncle, qui souhaite l'élever en bonne maîtresse de maison, et lui faire faire un bon mariage. Un peu trop passionnée par la peinture, ce qui ne sied guère à une jeune dame, il tente de la priver de cours, mais Carla ne l'entend pas de cette oreille et continue à peindre, en cachette. Sa meilleure amie Lena, qui habite en face de chez elle, la couvre dans ce secret, et leur relation est elle aussi très touchante et pleine de solidarité.



Une succession de rencontres et d'événements étranges voire surnaturels vont bouleverser la vie de Carla, et lui faire courir de nombreux dangers. Prise dans le tumulte d'une époque mouvementée à Florence, elle va décider de suivre son instinct, sans pour autant toujours savoir à qui se fier, et partir à l'aventure. Un sombre jeune homme semble vouloir l'attirer à lui, mais à quelle fin?...



Ce roman est tout à fait dans le genre de ceux d'Annie Pietri, Annie Jay, Anne-Marie Desplat Duc, Christine Féret-Fleury ou encore Odile Weulersse, et il plaira donc énormément aux amateurs (dès 9/10 ans bons lecteurs) de romans d'aventure historiques trépidants et parfaitement documentés, dans lesquels on plonge dès les premières pages et qu'on ne referme qu'une fois dévorés, mais encore affamés! Vivement la suite!!!
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La malédiction de la pierre de lune, tome 1 :..

De sa fenêtre, la blonde Lena aperçoit son amie d'enfance enjamber le petit balcon de sa chambre et s'y engouffrer furtivement.

Où est elle partie vagabonder?

Lena Landucci se mordrait probablement vivement les lèvres à envisager Carla en ses termes désobligeants. Elle souhaiterait tout savoir par curiosité et envie, bien sûr.

La brune Carla est une aventureuse, une passionnée, leurs escapades secrètes ne manquent jamais de les amuser comme des enfants fripons volant des sucreries dans une cuisine.

Non, « vagabonder » serait un terme employé par Maître Savino Ricci, l'oncle de Carla. Lui aussi s'est hélas mis dans l'idée qu'à quinze ans, il est grand temps de prendre mari.

Le père de Carla l'a déjà promise à un riche commerçant de laine bien plus vieux qu'elle pour ses seize ans et la jeune fille s'est résignée à son sort.

Carla considère tout ce qu'elle laisse, tout ce dont elle a envie, tout ce qu'elle n'a pas encore réalisée. Peindre, déjà. Maître Ricci fait surveiller sa nièce par Fulvia la bonne afin qu'elle ne retourne plus dans ces rues malfamées où se trouvent la boutique de couleurs.

Toujours dans le plus grand secret, les deux jeunes filles prétextant être l'une chez l'autre, continuaient de s'y rendre pour les besoins artistiques de Carla. La marchande lui fit d'ailleurs cadeau d'une étrange pierre de lune, réputée pour préserver la vertu.

Lena trépignerait probablement à l'idée de ne pas savoir ce soir d'où vient Carla l'intrépide.

La veille encore, cette dernière trouva un mot coincée dans ses volets en bois à la tombée de la nuit. « Chère demoiselle, Je serais honoré de prendre votre visage comme modèle pour ma prochaine sculpture. Rendez-vous, je vous en prie, à l'atelier de la rue du Sasso, en face de la taverne du Trou, ce soir après les vêpres.

Avec mon plus profond respect,

Vincenzo Montoni. »

Encore une escapade. Peut-être revient-elle de ce rendez-vous? La croisée de Carla n'est pas encore fermée, Lena, la curieuse, ouvre aussitôt sa fenêtre...



: « La Malédiction de la Pierre de Lune » est une série qui promet. La tension monte doucement autant que les événements s'enchaînent entre aventures espiègles et mésaventures étranges.

Carla est le personnage central de cette aventure qui se déroule dans l'Italie du XVème siècle.

Les deux amies sont attachantes et très complices, nous sommes aussitôt pris dans le lien et happé vers les jolies cachotteries. A ces temps d'insouciances s'opposent les vrais secrets, beaucoup plus durs, presque mortels. Le fantastique entre en jeu, mais pas trop, il occupe l'importance que l'auteure Catherine Cuenca lui a accordé dans l'intrigue. Le pouvoir de la pierre de lune fait son œuvre. Il est question de sorcière brûlée sur le bûcher et de guerre de pouvoirs entre les familles riches et Mécènes de Florence, les Médicis et les Pazzi. Le passé de Carla se trouve étroitement lié à cette « guerre des roses » et cela concerne sa mère.

Pensant venger sa mère, dommage injustement collatéral, la jeune fille opposera le poison au poignard et l'action monte, les passions aussi.

Ce premier Tome « Florence » parle également de romance, de muse, d'inspiration. Amoureuse de la peinture et du dessin, Carla se trouve choisie pour incarner une belle taillée dans la pierre par le ciseau d'un artiste d'un atelier réputé. Le bel artiste ne l'a pas choisi par hasard et le mystère suit de nouveau la révélation sur le destin de Silvia Barattini, la mère de Carla.

Vraiment sympathique et palpitant, les fans de l'autre série de la même auteure se déroulant à la Révolution, « Le passage des Lumières », se régaleront de l'excellente vulgarisation historique et de la création de bonnes intrigues comme sait les mener Catherine Cuenca. De toutes évidence, l'auteure a plaisir à mettre en avant des jolies jeunes filles entières et au franc parler.

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La malédiction de la pierre de lune, tome 1 :..

Avec vivacité et en ne négligeant pas les petits détails du quotidien (voir l'amitié avec Lena), Catherine Cuenca et son narrateur externe offrent un Quattrocento plus vrai que nature, captivant et sans insistance, accessible dès 11 ans.
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La Malédiction de la Pierre de Lune, tome 2 :..

Les aventures sont à suivre à Naples, en une résolution que le lecteur peut voir venir gros comme le Colisée, mais dont il aura toujours plaisir à se laisser saisir !
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La Malédiction de la Pierre de Lune, tome 2 :..



Rome.

Carla a fui la ville de Florence pour sauver sa propre vie, évitant l'attaque de la famille des Médicis sur celle des Pazzi et leurs partisans. Appuyés et associés aux ambitions du Pape de Rome afin d'avoir la main mise politique sur la ville florentine, en croisade contre la décadence de cette famille Pazzi, les nobles puissants Médicis n'ont pas pris longtemps pour faire main mise sur les biens du beau Vincenzo et les siens.

La famille de Carla se voit également dépouillée et châtiée.

Carla au début éprise au début de l'artiste Vincenzo qui l'avait prise pour modèle, s'était vu investie d'une mission de vendetta contre le jeune sculpteur et le père qui fit brûler sa mère sur le bûcher pour sorcellerie.

La pierre de lune offerte par sa marchande de peinture lui avait ouvert une porte étrange au travers de laquelle sa mère défunte hantait régulièrement ses nuits et lui criait vengeance. La passion céda l'émotion, Carla souhaitait punir ces Pazzi qui l'a privèrent d'une maman, puis la passion céda à la raison et la vérité, Vincenzo apprit à Carla le rôle venimeux et vénale de cette mère qu'elle n'a pas connu et pour qui la fin justifiait les moyens pour l'élever confortablement.

A Présent, Carla est sauve.

Du moins le croit-elle. Une riche demoiselle de Rome, Claudia, en fait une demoiselle de sa cour et son artiste attitrée. Les commandes affluent et Carla ne perd pas l'espoir d'exercer en tant que peintre de renom, d'autres artistes femmes le firent en son temps. Mais a-t-elle du talent ?

Un jeune peintre romain, Matteo Mazzi, se montra assassin dans ses propos et l'invita à abandonner la peinture. Cet arrogant fait tourner la tête de la belle Claudia qui, peu à peu, se montre bien mystérieuse, intrigante et railleuse. Les événements de Florence reviennent jusqu'à Carla et les fugitifs craignent le pire si ils ne trouvent pas un travail sûr et des protecteurs.

Carla se retrouve prise dans une tempête d'intrigues malgré elle, instrument de vengeance de nouveau. Tandis que la mère fantôme revient tristement la hanter, des artistes romains ont vent de ce passé de fille de « sorcière » et l'oblige à empoisonner le pape lui-même sous la crainte de l'exposer elle-même aux flammes du bûchée. La fièvre monte à Rome, les familles chassées de Florence préparent leur retour dans l'ombre de la belle et les yeux de Carla se pose désespérément sur l'un de ses meilleurs tableaux, celui de Léna, sa voisine et meilleure amie.



: Ce deuxième tome des aventures de Carla, la jeune adolescente italienne qui voulait devenir peintre, monte d'un cran dans la tension. Carla et Vincenzo se réconcilient dans l'adversité, les liens affectueux abandonnés renouent et chacun se soutient dans leurs perspectives artistiques, la peinture pour l'une, la sculpture pour l'autre. L'auteure, Catherine Cuenca, nous présente une société cultivée mais néanmoins futiles dans l'abondance, la facilité de vivre. Claudia, jeune mécène, se montre extravagante et capricieuse, un aspect difficilement gérable pour la jeune Carla qui aurait bien besoin d'être rassurée financièrement et artistiquement. Les petites guerres intestines de pouvoir, les grandes ambitions politiques où se nouent des alliances dans un but de conquête et les manifestations fantomatiques de la mère placent Carla dans un étau redoutable, l'adolescence y cèdent petit à petit son insouciance et y perdra beaucoup plus, pour ne pas en dévoiler de trop.

Carla ne cessera de trouver l'échappatoire à l'instrumentalisation et l'intention criminelle.

Fort heureusement, sa personnalité entière et sincère déclenchera des élans de solidarité, de Zita la servante de Claudia à Sabella la vieille voisine de cellule, jusqu'à Vincenzo « Enzo » bien sûr. La vérité perce avec force et courage, l'épreuve sera de taille pour Carla qui ne cédera pas aux faux procès impitoyables de sorcières.

Vraie et fausse sorcellerie, flirts amoureux et charmes d'amour sous influence magique, la malédiction de la pierre de lune nous emporte jusqu'au dernières pages avec intérêt et excitation.

L'étape suivante, Naples.

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La Malédiction de la Pierre de Lune, tome 2 :..

Catherine Cuenca, nous présente une société cultivée, mais cependant futile dans l'abondance, le confort. Claudia, jeune mécène, se montre extravagante, capricieuse, un aspect difficilement gérable pour Carla qui cherche la sécurité. Les petites guerres intestines de pouvoir, les grandes ambitions politiques et les apparitions de la mère placent Carla dans un étau redoutable. L'adolescence cède petit à petit son insouciance.
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La malédiction de la pierre de lune, tome 3 :..

Carla reconnaîtrait cette voix entre mille autres.



Le sort s'acharnait. Ça n'était pas le fantôme de sa mère venu réclamer la tête de Vincenzo, c'en était une qui venait réclamer son coeur après l'avoir trahi et tenté de pousser Carla sur le bûcher. Carla sentait encore la brûlure de l'inquisition sur sa peau.



Ses nouveaux espoirs d'une vie nouvelle auprès de la bonne Azra, à l'abri des guerres de pouvoirs entre Rome et Florence, seraient-ils mis de nouveau en péril?



La riche Adriana Pontano venait de lui passer commande d'une grande toile et d'un sujet historique de surcroît. Une véritable consécration pour une femme peintre.



Comment la jalouse Claudia pouvait-elle savoir que les deux recherchés se cachaient à Naples?



Le fantôme de la mère de Carla le lui a t-elle soufflé à l'oreille ?



: Après Florence, Rome, c'est à Naples qu'atterrissent nos amoureux artistes et fugitifs. Les menaces restent multiples et s'ajoutent alors bien plus que leur différence de conditions sociales à leur malheur pour se déclarer leurs sentiments.



Les riches familles de Florence sont décimées par les Médicis tandis que les rescapées tentent d'éliminer le Pape de Rome lui-même associé aux Médicis.



Le spectre vengeur de la mère de Carla est bien moins présent dans ce volume mais continue de tourmenter sa fille dans ses songes. De quoi la culpabiliser d'aimer Vincenzo, le fils de celui qui condamna la mère de Carla aux bûchers.



La jalouse Claudia, ancienne promise de Vincenzo, a tenté de rejouer la scène avec Carla par amour non partagé et donc la revoici, à Naples, contre toutes attentes, tandis que les deux héros reprenaient leur souffle et



se trouvaient sous la protection d'un grand maître artiste et de riches mécènes.



Ce tome se montre peut-être de façon personnelle moins palpitant que les précédents toutefois c'est un plaisir non contenu que de suivre les aventures de Carla Ricci d'une ville italienne à l'autre. Le personnage est intéressant, le cadre complexe, les descriptions artistiques inspirantes et l'intrigue toujours bien menée. Cette série est un excellent roman historique qui se suit avec facilité, la sorcellerie est un sel supplémentaire ( si l'on peut dire! Ironie quad tu nous tiens !). Il y a ici une recherche de trésors en prime qui restera secondaire face à la jalousie dévorante de la riche Claudia.



L'utilisation de la magie fait aussi son apparition.



Conjuration et sacrifice au programme. Voici encore qui mettrait Carla en danger si les autorités religieuses la mettaient de nouveau en cause avec l'oeuvre du diable.



Carla peut-elle échapper à la malédiction de la pierre de lune?



Nous le saurons si Catherine Cuenca nous gratifie rapidement d'une suite.

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La malédiction de la pierre de lune, tome 3 :..

j'est juste adoré se dernier tome de la saga je l'ai rapidement lu car je voulais trop savoir la fin de cette trilogie intriguente dont le denoument ma enormement ravi , si vous avez lu le livre vous comprendrer :D et je conseille a tous le monde de le lire

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La marraine de guerre

Le titre de ce petit livre pour la jeunesse a attiré mon attention car je sais que mon grand-père durant la première guerre avait lui aussi une marraine de guerre, une Suissesse. Après la guerre, il est parti à Fribourg pour la remercier, ils sont tombés amoureux et se sont mariés.



Nous suivons la vie d’Etienne de novembre 1916 à novembre 1918,.



La guerre est dépeinte dans toute son horreur, sans complaisance, Catherine Cuenéa, l’autrice, n’omet pas d’évoquer les blessés achevés, les révoltes de certains poilus fusillés ensuite par leur hiérarchie. Il y a heureusement aussi l’entraide entre les poilus, leur amitié.



La correspondance qu’Etienne a avec Marie-Pierre, sa marraine de guerre lui permet de tenir, et fait naître chez lui des sentiments pour elle…



C’est un texte court, bien écrit, facile à lire. Je retiens le titre pour l’offrir à des jeunes.









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