Catherine Secq

C’est le quatrième volet de la série Bombardier, cette commissaire de police qui œuvre dans la capitale mais pas que … Cette fois c’est sur la disparition de son auteure qu’elle va devoir enquêter dans le sud-ouest de la France au pays des vignobles. Alors que Catherine doit présenter sa série de polar au salon du livre de Gaillac, elle n’est pas à son stand le matin du salon. La commissaire, alertée par le mari de Catherine, décide de se rendre sur place et doit très vite se rendre à l’évidence : disparue ! Fugue amoureuse, accident mortel, meurtre ?

Josiane va tout faire pour découvrir ce qui est arrivé à son auteure fétiche afin de pouvoir continuer, pour notre plus grand plaisir, la série des enquêtes du commissaire Bombardier. Comme d’habitude c’est écrit avec humour. C’est à la fois attrayant, palpitant et déjanté, de l’excellent « cosy polar » comme on dit maintenant.

Cette période de l’année est riche en salons du livre. Si vous voulez connaitre les dessous de la table de dédicaces ce livre est pour vous et il s’en passe des choses en coulisse, pas toujours joli-joli.

Je partage avec vous le commentaire qu’avait fait Catherine il y a quelque temps sur ce roman et vous souhaite une aussi agréable lecture que fut la mienne : " Pour Dédicace sans auteure, je cherchais une idée originale. Et je me suis dit :"Pourquoi ne pas me mettre en scène dans l'histoire ?". L'idée au début m'est apparue farfelue. Finalement, au fur et à mesure de l'écriture, les choses se sont mises en place. Et comme je ne voulais pas que cette démarche paraisse prétentieuse et narcissique, j'ai introduit une bonne dose d'autodérision, ce que j'apprécie beaucoup chez les autres. Alors, pourquoi pas moi ?

Pour m'imprégner de l'ambiance nécessaire à l'histoire, je suis descendue dans le sud de la France où j'ai contacté les organisateurs d'un salon du livre, dans l'espoir aussi de participer lors d'une prochaine édition. En tant qu'auto-éditée, j'ai essuyé un refus catégorique, ce qui m'a incitée à évoquer dans ce polar les pratiques du monde de l'édition. Cette histoire policière est bien entendu complètement fictive mais certains pourront reconnaître des bribes de réalité".
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Je suis particulièrement fan de cette saga que j’ai découvert il y a un bon moment déjà. Quand j’ai une affaire à lire, je sais d’avance que je vais passer un excellent moment de lecture. Je sais que je vais rire, que je vais passer du bon temps et que je vais être subjuguée par l’affaire vu que je suis une véritable nulle pour trouver les coupables. C’est le genre de roman hyper réconfortant quand on se plonge dedans. Et découvrir chaque affaire de la Commissaire est un vrai plaisir. Une bonne grosse dose d’humour dans ce monde brute ça ne fait franchement pas de mal. Encore plus en ces temps difficiles pour tout le monde.



Je suis vraiment hyper fan de cette série, j’adore la plume de Catherine, j’aime énormément les personnages et chaque affaire est passionnante à suivre. Retrouver la plume de Catherine pour cette cinquième affaire fut un véritable plaisir. Je suis vraiment hyper fan de cette auteure. Ce sont des romans qui se lisent super vite, les chapitres ne sont pas trop longs et la plume est super fluide et surtout grandement addictive. Une fois qu’on a le nez dedans on est tellement pris par l’enquête qu’on dévore les pages à toute vitesse. Généralement, je les lis toujours d’une traite parce que je n’arrive jamais à le poser. Je veux tellement savoir qui est le coupable et le pourquoi du comment que je le dévore en une paire d’heure. Et à chaque fois je suis surprise du dénouement!



Dans cette cinquième affaire on se retrouve en pleine Saint-Valentin! Cette fête de l’amour et des amoureux, là où les roses ont toutes leurs importances. Sauf que cette année quel malheur! Les fleuristes reçoivent toutes leurs commandes de roses souillées de sang… Que peut bien signifier tout ce sang? Un sacrifice? Une offrande? Mais la question fatidique c’est surtout qui est mort? Entre la menace d’un attentat terroriste, d’une manifestation anti Saint-Valentin ou encore un règlement de compte, la Commissaire Bombardier à l’embarras du choix dans cette affaire et va faire des découvertes surprenantes!



Cette affaire m’a vraiment beaucoup beaucoup plu. Je l’ai trouvé tellement passionnante à suivre. Comme je le dis un peu plus haut, je suis une piètre enquêtrice et je ne vois jamais rien venir. Je ne trouve jamais le coupable, je suis toujours à côté de la plaque quand j’essaye vraiment de trouver le pourquoi du comment. Du coup, lorsque je découvre le dénouement, je suis toujours très surprise parce que je ne vois jamais rien venir. Ici ça n’a pas loupé encore une fois! Et au final, je me dis que c’est pas plus mal d’être comme je suis, au moins je ne trouve pas dès le début et ce n’est pas prévisible. Et au moins je suis constamment surprise.



Ce que j’aime le plus avec les romans de Catherine ce sont les thématiques qu’elle nous expose. Par exemple, dans cette enquête on fait face aux amalgames très faciles, on a deux chauffeurs mulsumans qui sont immédiatement pointé du doigt et accusé du meurtre de leur collègue. Ou encore la communauté LGBTQI qui est rejeté des pubs concernant la Saint-Valentin. Pourquoi ne voit-on pas des couples gays pour une publicité concernant la fête des amoureux? Parce que ça ne vend pas assez qu’un bon couple hétéro bien sous tout rapport? Toutes ces choses qui sont malheureusement bien trop présentes encore aujourd’hui dans notre société. Et c’est bien dommage que les mentalités ne changent pas. au contraire, parfois j’ai l’impression de régresser complètement..



Dans les autres affaires, j’avais vraiment aimé le personnage de Polo. Et plus on avance dans les affaires plus j’apprécie ce personnage. Encore plus dans ce cinquième tome. Je l’ai trouvé encore plus attachant. Il se questionne sur sa mère qui l’a abandonné, sur ses origines. Et pour ça il peut compter sur notre chère Commissaire. Elle est vraiment d’une grande aide pour lui, une épaule sur laquelle il peut se reposer. Josiane fera toujours tout ce qu’elle peut pour aider Polo. J’aime beaucoup leur relation qui est bien plus profonde qu’une relation professionnelle. Et j’aime tellement les voir travailler ensemble! Josiane, quant à elle, toujours fidèle à elle même. Elle me fait tellement rire à chaque fois, ce personnage c’est clairement un joli rayon de soleil. Et je le dis à chaque fois que je lis une affaire mais on devrait tous avoir une Josiane dans notre vie!



Cette cinquième affaire est aussi passionnante que les précédentes. C’est toujours un plaisir de se plonger dans les affaires de la Commissaire. C’est plein d’humour tout en pointant certains problèmes de notre société. Ce sont toujours des enquêtes fascinantes à suivre, j’aime énormément suivre le raisonnement de Josiane. C’est toujours aussi fluide et addictif et vraiment on ne voit pas les pages défiler tant ça se lit hyper vite. L’humour est toujours aussi présent et ça fait du bien de rire autant en lisant. Je suis vraiment fan des affaires de la Commissaire Bombardier et c’est toujours un vrai plaisir de se plonger dedans! Ce sont des romans que je ne peux que vous conseiller, un bon polar humoristique que demandez de plus?
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J’ai eu plaisir à retrouver à nouveau le duo de choc, composé de Paulo et l’indémodable commissaire Bombardier. Je suis fan de ce duo, oui je sais je me répète mais ça mérite d’être souligné. Cette fois-ci, l’enquête qu’ils vont s’évertuer à résoudre se déroule pendant les fêtes de Noël. Me voilà transportée entre la Place Vendôme et les forêts du Morvan, à la recherche d’indices. C’est une enquête qui ne sera pas simple à résoudre et qui donnera du fil à retordre à nos deux compères. Mais c’est pas mal connaître, la commissaire Bombardier qui n’a pas sa langue dans sa poche et qui va tout mettre en œuvre pour élucider cette affaire. Bah oui, Noël c’est bientôt et elle n’a pas que ça à faire pardi !

C’est un polar bien mené, agréable à lire mais pas noir ! C’est léger, truffé d’humour et ça fait du bien surtout en ce moment !



Dans ce troisième volet, Catherine Secq aborde les thèmes de l’écologie, la crise économique ( nous en connaissons un rayon, n’est ce pas ?) C’est une lecture divertissante et j’ai passé un excellent moment.

Je vous recommande chaleureusement ce livre qui en étonnera plus d’un ! À découvrir d’urgence
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Premier opus des enquêtes du commissaire Josiane Bombardier.



Le directeur d'une association est retrouvé mort à son bureau.

Josiane et Paul Holo sont chargés de l'enquête. Il apparait rapidement qu'il s'agit d'un empoisonnement à, l'amanite phalloïde.

Dans cette association le suspects ne manquent pas entre les mycologues et les femmes bafouées par le directeur.

Difficile pour les policiers d'avancer dans leurs recherches, tous les membres se détestent et ne se font aucun cadeau. Des témoignages où ne ressortent que haine et mesquinerie.

Mais Josiane et Paul sont observateurs, perspicaces et attentifs, ils ne laisseront passer aucun détail.



Un bon polar qui nous introduit dans le monde des rapports hiérarchiques, des conditions et reconnaissance des bénévoles dans les asso.



Un récit qui nous évite une trop grande incursion dans la vie privée des enquêteurs et évite de nous emmener sur les chemins du flic bourru, blasé, ou celui qui sombre dans l'alcool.



J'ai adoré cette commissaire avec son approche bien particulière de tous les suspects, ses analyses des personnages, son sens de l'humour, son caractère bien trempé et sa franchise.

Son collègue Paul n'est pas en reste, sous ses aspects naïf et son bégaiement se cache un très bon observateur et analyste.



Une belle enquête qui nous amène nous aussi à tous les suspecter tant les protagonistes sont opportunistes et égoïstes.



Une légèreté de plume qui donne du plaisir à la lecture. On a du mal a relâcher le livre, l'écriture nous entraîne, on veut en découvrir plus sur ces suspects fourbes.

Un très bon suspens et une fin étonnante, un assassin au dessus de tout soupçon.

J'ai beaucoup apprécié ce nouveau roman mettant en scène Josiane Bombardier. À chaque affaire, une thématique : c'est original et intéressant. Je trouve que les personnages principaux évoluent encore : Josiane est moins bourrue qu'au début, même si elle a toujours son fort caractère (un peu comme Capitaine Marleau) ; Polo s'affirme et prend confiance. de plus, grâce à Josiane, son histoire personnelle se précise et cela donne envie d'en savoir plus. J'ai aussi aimé voir les autres policiers de leur équipe : Kawa, Nounours et Bob ; et surtout, l'arrivée d'Elvis, qui apporte de la fraicheur. J'espère recroiser cet homme décalé dans les prochains tomes : il est attachant. Dynamique, le style de Catherine Secq est relativement visuel : j'ai toujours l'impression de voir un épisode d'une série policière quand je lis. Cela rend ma lecture plus réaliste et d'autant plus agréable. J'ai hâte de poursuivre cette saga !

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Mon enquête favorite de la commissaire Bombardier. J'ai passé un moment de lecture agréable, je l'ai dévoré en une journée! Un bon petit roman policier humoristique bien travaillé. Une enquête, bien menée, plaisante et entraînante. J'ai adoré me retrouver au cœur du monde de l'édition et des salons littéraires.



les +



* J'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver la commissaire atypique. Mais j'ai également apprécié découvrir plus en profondeur Catherine Secq et son mari.



* J’ai pris un grand plaisir à essayer d'élucider cette enquête de mon côté. Une enquête mystérieuse et originale.



* J'ai été plongée dans l'ambiance des salons littéraires, avec les auteurs à la grosse tête, les prétentieux, les ambitieux et bien plus encore.



Les - :



* J'ai trouvé que les choses manquaient parfois un peu de consistance et de profondeur, j'aimerais que ses livres soient plus longs !



* Le côté sur les végétaux m'a manqué dans ce tome-ci. Ce n'était pas présent.



* Certaines choses sont un peu simplette, bien qu'elle reste intéressante.
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J’ai lu mon premier cosy mystery de Noël et j’ai adoré 🌟🎄 on va suivre un duo d’enquêteurs très atypique. Josiane, la commissaire décalée et rock’n’roll et Polo, qui bégaye et montre une grande timidité 🤭

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L’enquête est addictive, l’auteur nous mène en bateau, on soupçonne tout le monde jusqu’à la révélation finale 🤫

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J’ai trouvé l’enquête très originale, on va suivre un bijoutier qui va recevoir un cadavre dans sa livraison de sapins 🌲 commence alors la quête de cette drôle de de farce.. 🔍

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J’ai passé un super moment, les expressions sont drôles, les personnages ont tous une personnalité unique, et le duo d’enquêteur est très attachant 🌟

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Je remercie @c.secq pour l’envoi de ce roman 📚
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Dédicace sans auteure

Nouvelle enquête pour le commissaire Bombardier et non des moindres. Cette fois, l’heure est grave. Son auteure préférée a disparu, Catherine Secq herself, celle qui raconte toutes les péripéties de notre commissaire préférée et de son adjoint Paulo.

C’est toujours un plaisir de découvrir un ouvrage de Catherine Secq et cette fois-ci encore, elle fait le job. J’ai trouvé les personnages un peu moins travaillés que dans les autres tomes, un peu plus lisses et moins bien percutants. Par contre, l’idée de se mettre en scène est très drôle et nous donne l’impression de nous rapprocher un peu plus. Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de découvrir ma commissaire préférée, foncez !

✔️Mon ressenti : Avec un immense besoin de légèreté en ce confinement, je me plonge dans le 4ème Tome des aventures de la Commissaire Josiane Bombardier ! Une série que l’on peut classer dans le polar humoristique.

L’auteure, même si elle utilise des personnages récurents, offre la possibilité au lecteur de lire sa série sans forcément suivre la chronologie de parution. Mais, je suis certaine que si vous commencez, vous les lirez tous !

Catherine Secq était attendue à un salon du polar, mais elle n’a plus donné de nouvelles. Son mari affolé, téléphone au Commissaire Bombardier. Ils se rendent sur les lieux et Josiane sera amenée à enquêter sur la disparition de son Auteure.

J’ai trouvé ça très original et bien trouvé que l’auteure mette en scène … sa propre disparition !!!! J'imagine qu'elle a dû prendre énormément de plaisir à l'écrire.De plus, j’ai visité les coulisses de l’organisation d’un salon du livre, et croyez moi, ça vaut le détour, entre les plans de salle, les égos qui doivent être gérés, les animations… Bref, ça m’a fait beaucoup sourire.

Ayant lu toute la série (que j’imagine encore incomplète, du moins je l’espère), j’ai trouvé celui ci différent, le suspense et la tension sont beaucoup plus présents, le rapprochant davantage d’un polar pur. Josiane arrive un peu plus tardivement, laissant l’auteure bien décrire le contexte et elle arrive seule, laissant son fidèle Paul Holo au Bastion, mais rassurez vous, il y a le téléphone !

J’ai aussi particulièrement apprécié le fait que l’histoire laisse une grande place à la vie personnelle des personnages, y comprit à Josiane.

Vous l’aurez compris, une fois de plus la Commissaire Bombardier m’a séduite !

Quand il est question de donner une bouffée d’oxygène au lecteur, Catherine Secq remplit toujours sa mission !

🎯Mots Clefs : Salon / Auteur / Disparition / Enquête / Organisation

🏆Ma note : 17/20

Ce roman nous présente des investigations un peu différentes. Il est question d'une disparition, et pas n'importe laquelle. Cette enquête est plus légère que les précédentes, mais l'intrigue est originale. Catherine Secq se met en scène et devient un personnage dans le récit. Ce dernier est amusant, frais et comporte du suspense : nous essayons de savoir ce qui est arrivé à l'auteure. On prend plaisir à retrouver Josiane. Satisfaisant, le dénouement apporte les réponses à nos questions. Plaisante, la lecture est toujours aussi entrainante, notamment grâce à la plume de Catherine Secq.

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Pour commencer, je tiens à remercier l'autrice d'avoir accepté ma demande de service presse. Aimant les romans policier et les romans d'humour, je n'ai pas hésité une seconde quand j'ai vue ces deux thèmes réunis dans ce roman.



Nous commençons ce roman avec Josiane qui prépare un canard laqué en suivant précisément les instructions. Alors qu'elle s'accorde une pause bien méritée, soufflée dans le troufion d'un poulet reste épuisant, quelqu'un s'acharne sur sa porte. Mécontente, elle va ouvrir la porte, prête à envoyer bouler l'idiot qui ose l'importuner alors qu'elle est en repos. En ouvrant la porte, elle découvre son assistant qui la sollicite sur une scène de crime. Peu encline à y aller, elle est en repos quoi il faut la comprendre, elle cède suite à des flatteries bien placer de Paul Holo, son jeune assistant.



Rendue sur le lieu du crime, elle découvre un lieu rempli de richesse et une secrétaire qui lui fait penser à son canard laqué, de part sa démarche de poule. Enfin dans la pièce ou repose le corps du très regretté et très beau Marc-Antoine de la Chapelle, elle ignore le sujet principal et interroge le médecin légiste qui lui annonce que sa mort à tout de naturel, même si c'est étrange au vu de sa condition physique et qu'il en saura plus, une fois l'homme découpé sur sa table d'autopsie. Ne servant plus à rien, elle va interroger la secrétaire qui à découvert le corps du directeur, ainsi que de plusieurs autres femmes éplorée. Toutes les informations nécessaires en poche, elle laisse son assistant le soin de continuer l'enquête et d'avoir l’œil de partout. De son côté, elle mène son enquête et découvre que notre machabé, était un vrai tombeur, enchaînant les conquêtes. De plus, il n'avait pas que des amis, même si beaucoup se cache derrière la mésentente entre point de vue sur des projets, sans parler de cette obsession des champignons du directeur. C'est pourquoi, elle va demander à s'installer dans un bureau de l'entreprise, histoire d'être au plus prêt de ses employés et donc de mieux mener son enquête.



Malheureusement, j'ai rapidement trouvé des longueurs. L'enquête est bien menée, mais... Je ne sais pas, un peu trop farfelue. Je sais que c'est sûrement le but recherché, mais moi qui pensais adhérer totalement à ce genre, ça n'a pas été le cas, à mon grand regret. Cependant, je dois avouer que Catherine Secq, m'a totalement surprise par l'identité du tueur. Pas un instant, je l'ai soupçonné, en même temps, qui le ferais ?



Niveau personnage, Josianne est assez drôle. Femme spontanée, elle n'a pas sa langue dans la poche, disant tout haut ce qu'elle pense et sans filtre. De plus, elle s'attarde souvent sur des détails totalement farfelus, comme le nombre de fois qu'un homme se passe la main dans les cheveux et donc le nombre de mouvements inutile dans la journée et dans l'an. Ce genre de détail rajoute une bonne dose d'humour, ce qui peu que nous faire rire, ou au moins sourire d'amusement. Cependant, je n'ai pas réussi à m'accrocher à elle, car hormis certaines pointes d'humour, je l'ai trouvé fade.

Paul lui... est un personnage sans grand intérêt. Un peu comme un figurant dans un film, il est là pour remplir le rôle d'aide à la commissaire.



Parlons de l'autrice. J'ai tout de suite accroché à son style d'écriture fluide et léger, même si parfois certaines de ses mises en pages m'ont un peu déboussolé. Elle nous entraîne avec facilité dans son enquête pleine d'humour, dû aux scènes parfois loufoque, aux réparties savamment pensé et au nom des personnages juste énorme.



En conclusion, c'est une agréable lecture même si je dénote quelques longueurs. J'ai tout de même passé un bon moment avec la Josianne qui à un caractère assez explosif. L'autrice à une bonne plume, agréable à lire et son univers est bien tourné. Bref, si vous cherchez une lecture pas prise de tête qui donne le sourire, voir le rire. Je vous conseille de découvrir cette enquête avec Josianne.
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J’ai adoré retrouver Josiane Bombardier son caractère soupe au lait. J’ai trouvé qu’elle se dévoilait un peu plus dans ce tome ce qui m’a bien plu ; j’aime bien avoir un petit aperçu de la vie privée des personnages, cela les rend plus proches de nous je trouve.



Concernant l’enquête, Josiane et toute son équipe vont avoir du fil à retordre! Trois hommes ont disparu, les pistes se multiplient, les suspects aussi, on va de rebondissements en fausse pistes.

Le tout est parfaitement ficelé, le suspense est prenant, les pistes tiennent la route tout s’imbrique parfaitement, j’ai été baladée d’un bout à l’autre de l’histoire jusqu’à cette fin inattendue ! Mon égo de super enquêtrice en a pris un coup.



C’est rythmé, sans temps mort (notez le jeu de mots pour un polar 🤭 ) avec une bonne dose d’humour, le caractère bien trempée de Josiane s’accorde parfaitement avec le côté exubérant de Elvis Turner, j’ai adoré leur joutes verbales pleine de pep’s ! J’aime vraiment de plus en plus cette commissaire bourrue au grand cœur .



J’en ai également appris beaucoup sur la Course nationale des Serveuses et Garçons de Café et je tiens à saluer le travail de recherches de l’auteure qui nous livre de nombreux détails très intéressants.



↪️ En bref, cette enquête réunit vraiment tous les ingrédients pour nous faire passer un excellent moment de lecture !
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Un polar comme je les aime qui m'a fait passer un très bon moment.



C'est la 8ème enquête de la commissaire Bombardier. Je ne connaissais pas et ça ne m'a pas gênée du tout dans ma lecture. Je me suis très vite fait une idée assez précise des personnages. Mais je pense que j'ai raté quelques petits détails, qui sont sans conséquences sur l'enquête et qui m'auraient permis de mieux connaitre la commissaire.



J'aime beaucoup ce genre de polar. Frais, non dénué d'humour, avec des personnages sympas et parfois un peu atypiques. Ne vous fiez pas à l'apparente légèreté, l'enquête est sérieusement menée, bien pensée, et plus complexe qu'il n'y parait. Bref une lecture divertissante comme on les aime.



La commissaire enquête cette fois dans le domaine du café, au sens large du terme. Une petite start-up, Pleukirote (culture de champignons sur du marc de café) dont les deux patrons ont disparu à 15 jours d'intervalle. Puis quelques jours après, c'est le corps d'un garçon de café qui est découvert. le lien ? La victime, qui se préparait à participer à la traditionnelle course des serveuses et garçons de café, travaillait dans un restaurant où les employés de Pleukirote allaient récupérer le marc de café…



« Les disparus du XVIème » sont-ils victimes d'un tueur en série ?



On va suivre l'enquête « pas à pas », avec la découverte d'indices, de témoignages, de fausses (ou vraies !) pistes et les cogitations de l'équipe de Josiane Bombardier. Un personnage que j'aime beaucoup. La cinquantaine, mère et grand-mère, souvent intransigeante. Fonceuse, et « tête de mule », elle persiste à accompagner son équipe sur le terrain.



Le petit côté vie privée des personnages ajoute encore un peu plus de réalisme à l'ensemble.



Un polar « soft » qui est un excellent divertissement. Tout est réuni pour passer un bon moment. L'écriture est légère et dynamique. L'auteure profite de son intrigue pour nous parler de cette culture de champignons sur marc de café, ce que l'on connait assez peu finalement, et c'est intéressant. Bref, je me suis laissée emporter dans cette intrigue qui réserve quelques surprises…

Une excellente découverte d'une auteure que je n'avais encore jamais lue.

Nouvelle enquête pour notre commissaire Bombardier ! Et pas la plus facile !



Après la découverte d'un corps caché sous des branchages, la commissaire et son équipe vont devoir chercher si ce crime est lié à la disparition de deux hommes dans le XVIe arrondissement. En effet, Tony et Antonio Rinaldi, les gérants de l'entreprise Plokirote, ne donnent plus signe de vie depuis quelques jours. Ont-ils décidé de partir se dorer la pilule dans un autre pays ? Sont-ils ensemble ? Ont-ils trouvé des femmes à draguer et à suivre quelque part leur faisant oublier leurs obligations ? La commissaire est perdue et ne sait pas trop si tout ceci a un lien. Mais tout de même, les cousins et le mort se connaissaient...



Heureusement, la commissaire peut compter sur le soutien de Paul Holo, son adjoint avec qui elle a de très bonnes relations. Ces deux-là s'entendent à merveille et se comprennent facilement. Ce denier va même prouver, lors de cette enquête, qu'il a progressé et qu'il est devenu un grand enquêteur !



J’aime toujours autant cette Josiane cash mais tellement gentille ! J'aime beaucoup sa relation avec Paul Holo et la façon dont elle l'aide à grandir, c'est tendre et tellement bienveillant ! Dans cette nouvelle enquête, son aide sera des plus précieuses, en plus ! Pas facile pour le groupe de démêler le vrai du faux avec tous ces témoins ! Un mort et deux disparus, ça ressemble franchement à une enquête spéciale sur un serial killer !



Les 3 employés de l’entreprise Plokirote m'ont également beaucoup fait rire, on les sent tellement impliquées mais naïfs... J'ai cru découvrir le coupable, mais je me suis trompée, bravo à l'auteure pour ce suspense !



J'ai déjà hâte de lire une nouvelle enquête !
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Quel plaisir de retrouver la Commissaire Bombardier, Josiane pour les intimes.

Pour rappel, je n'ai pas lu les 6 premiers tomes et cela ne m'a pas gêné dans la découverte du tome 7. De même, ici, l'histoire est indépendante (une enquête par livre),et peut donc se lire indépendamment (mais je vous invite a découvrir toute la série).



J'ai adoré l'univers décrit dans ce tome. Nous enquêtons ici dans l'univers du recyclage (de café pour faire des champignons) et donc des bistrots qui fournissent la matière première : le marc de café.



Le patron de cette petite entreprise disparaît subitement, puis une seconde personne, puis une troisième qui deviendront "les disparus du XVIeme". Combien vont encore disparaître ? Et pourquoi? Quel est le lien entre les disparus ?



J'ai aimé ce polar frais, plein d'humour, de bonne humeur, de jeux de mots.



Les personnages sont toujours aussi attachants et nous suivront les histoires de cœur de notre chère Commissions (on en savait un peu dans le précédent tome).



J'ai aimé découvrir cette culture de champignons dans Paris, cette Course Nationale des Serveuses et Garçons de café.

C'est original, c'est frais, sans prise de tête mais avec une réelle enquête.



Ne vous méprenez pas, ce n'est pas parce que ce n'est pas un polar noir que l'enquête n'est pas élaborée. Elle est suffisamment complexe pour ne pas découvrir la vérité avant que l'auteure ne l'ait décidé.



Bref une lecture que j'ai dévorée en moins de 24 heures et que je vous conseille vivement.

Merci à Catherine de m'avoir envoyé le texte de ce livre. Dans ce nouvel épisode des enquêtes de la commissaire Bombardier, ce n'est pas elle qui mène l'enquête, mais plutôt son adjoint, Paul Holo, Polo. Parti en vacances à Orléans, dans les lieux où il a grandi, il va également devoir aller à la recherche de son passé. Cela avait été évoqué dans les opus précédents, mais commencer par ce roman ne gêne absolument pas, Catherine Secq sait rappeler l'essentiel pour que le lecteur comprenne et possède tous les éléments utiles.

Cet aspect du roman ajoute de la sensibilité et de l'humanité à un récit remarquable également par la bienveillance dont l'auteure fait preuve envers ses personnages.

Il m'a paru amusant qu'elle ait parsemé le texte d'expressions en rapport avec les oiseaux ! C'est vraiment un procédé original.

J'ai également apprécié la façon délicate avec laquelle elle met en valeur le patrimoine local. La corporation de la Saint-Fiacre, les festivités organisées chaque année par les membres de l'association. Rien d'étonnant pour une ancienne ingénieure en horticulture direz-vous ; mais cela est fait avec humour, légèreté et donne envie de se rendre aux prochaines fêtes de Saint-Fiacre ; elles se sont déroulées le dernier weekend d'août, mais rien n'est perdu, vous pourrez y assister l'annnée prochaine !

Le 5ème volet des enquêtes de la commissaire Bombardier nous emmène parmi les roses, fleurs de l'amour par excellence, mais qui ici auraient plutôt un côté dévastateur.



Cette fois encore l'auteure va prendre prétexte d'une enquête de police pour aborder d'autres sujets, toujours importants.

Ici ce sera les écologistes, le terrorisme, le satanisme et l'environnement. Avec en point fort cette aberration commerciale qui consiste à vendre des roses en plein hiver.

Une réflexion finement amenée et brillamment documentée.



Comme d'habitude, Catherine nous mène par le bout du nez, nous balade dans de fausses pistes, nous fait entrevoir des coupables dans cette affaire épineuse.

Une fois de plus il faudra attendre la fin pour découvrir le pot aux roses.

L'auteure manie à merveille l'art du suspense sur un sujet très bien maîtrisé.



Une écriture toujours fluide et dynamique, toujours ces petites touches d'humour, et toujours ces jolis dessins qui parsèment des chapitres courts pour une lecture addictive.



Une enquête qui, même s'il y a meurtre, ne comporte aucune scène violente.



J'adore voir l'évolution de ce duo d'enquêteurs, toujours aussi complémentaires, développant une certaine complicité.



A noter que ne pas les lire dans l'ordre, ou commencer par celui-ci ne gênera en rien la compréhension du lecteur.

Je retrouve pour la 3ème fois et toujours avec autant de plaisir la commissaire Bombardier et son adjoint Holo pour ce 3ème opus qui se déroule entre Paris et les forêts du Morvan à l'approche des fêtes de Noël.



J'apprécie toujours ces personnages, la manière dont l'auteure mène ses intrigues et nous partage quelques réflexions écologiques et économiques.



On continu dans ces polars loin des meurtres sanglants, mais plutôt tournés vers un style policier humoristique, même si l'enquête n'en reste pas moins très bien imaginée et montée avec sa petite dose de suspense qui rend la lecture toujours prenante.



Lecture d'autant plus appréciée que le style un peu déjanté est toujours aussi divertissant, quoique je l'ai trouvé un chouia moins prononcé dans ce tome ci, dommage.



Une bonne intrigue et des rebondissements qui vont nous mener jusqu'à la dernière page avant de connaître enfin l'identité du coupable, même si Catherine s'est ingéniée à nous les faire tous soupçonner.



Ma lecture m'a laissé comme une impression d'évolution au niveau des personnages et du style d'écriture. La plume s'affine et prend de la maturité.



Une histoire légère et prenante, un polar bien mené, une lecture agréable avec ces petites touches d'humour.

6ème enquête de la commissaire Josiane Bombardier et de son fidèle adjoint Paul Holo. Nous voilà de retour sur Paris après une escale à Gaillac dans le Sud-Ouest. Un corps est retrouvé dans le cimetière de Paradis, près de Montmartre. Pour Josiane quand on va au cimetière c’est pour soit visiter les morts soit parce qu’on est mort, mais pas pour y mourir ! Et elle est bien la seule à croire au meurtre. Vous la connaissez maintenant, quand elle a quelque chose en tête elle ne la pas ailleurs. Qu’importe les pressions de sa hiérarchie, les menaces elle ira au bout de cette enquête, fera éclaté la vérité et vous serez surpris par le final !

Une fois de plus je me suis délecté de ma lecture, c’est drôle, bien ficelé distrayant et l’intrigue est originale. J’adore le style d’écriture de l’auteure qui me procure toujours autant de plaisir et ça par les temps qui courent c’est que du bonheur. Mention spéciale pour la magnifique couverture.




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Être enterré le jour des Morts au cimetière du Paradis, cela vendrait presque du rêve (je dis presque parce que bon, personne n’a envie de mourir prématurément !). Seulement pour ce mort-ci, tout le monde s’accorde sur un suicide et cela arrangerait les affaires de beaucoup de personnes. A commencer par l’assurance qui a engagé un détective privé haut en couleurs, puis le procureur pour qui bousculer des personnes influentes est la dernière des lubies… Mais la commissaire Josiane Bombardier ne lâche jamais quand elle a une idée dans la tête. Si elle trouve que la mort est suspecte, elle fera tout pour le prouver, même si elle doit se mettre le gratin des riches parisiens sur le dos !



Avec Une mort paradisiaque, c’est un plaisir de retrouver et de suivre Josiane, Paul Holo et leurs équipiers dans leurs investigations. D’autant plus qu’en parallèle, Josiane mène l’enquête pour découvrir les origines de Polo. Le fait d’avoir un nouveau fil rouge entre les romans (la demande de Polo date du précédent roman) donne encore plus d’intérêt à la série. On suit réellement les personnes, maintenant que nous sommes attachés à eux, on les voit évoluer. Cependant, même s’il y a des références aux romans précédents, chaque enquête peut se lire indépendamment les unes des autres.



Comme toujours, malgré une ambiance a priori sombre (on parle quand même d’un homme mort), la plume de Catherine Secq reste pleine d’humour, acérée. Le personnage de Josiane est un boute-en-train, n’hésitant pas à dire tout haut ce que les convenances voudraient que l’on garde intérieurement. Si le genre premier est du polar, l’humour suit de près. Comme à chaque fois que je referme une enquête de la commissaire Bombardier, il me tarde de connaître la suite de ses aventures.
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