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Critiques de Cathy Ytak (502)
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Moi et Ma Bande/ Zelie et Moi

J'ai lu un livre imbriqué (deux histoires dans une) avec deux sens de lecture :

du côté de moi et ma bande, l'histoire est triste au début car il est tout seul mais à la fin, il va avec une bande. Dans l'autre côté il se met au défi de sauter d'un pont.

Léna
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D'un trait de fusain

Les années 1990, ce sont celles où le grand public « découvre » l’épidémie du SIDA, où des associations comme Act’Up voient le jour pour alerter et lutter contre la maladie. C’est dans ce contexte que les personnages imaginés par Cathy Ytak évoluent, entre l’insouciance relative de leur jeunesse et les événements qui vont peu à peu s’immiscer dans leur amitié. C’est principalement Marie-Ange que l’on suit dans le roman, cette jeune fille au prénom poussiéreux et légèrement pompeux, à l’image de ses parents, couple engoncé dans des valeurs familiales rétrogrades où seul le mot « déchéance » rime avec France. On la découvre en ado peu sûre d’elle, cachée dans des pulls informes et puis Marie-Ange devient Mary qui, au contact de Sami et Joos, du monde autour d’elle, se fait plus affirmée, plus engagée. Une évolution non sans peine qui se bâtit en même temps que son regard sur son propre corps, sa sexualité et celle des autres se transforme. Puis vient le temps du combat, de celui pour la reconnaissance, le respect, l’acceptation, l’amour et la vie.



D’un trait de fusain, un titre qui évoque la délicatesse, un art dont Cathy Ytak est maîtresse. Et si elle démontre encore une fois toute sa sensibilité à travers ses personnages profondément humains, tout en failles et en espoirs, c’est aussi la brutalité des émotions, leur force, entre rage de vivre, rage de vaincre et rage d’aimer, qui en font un roman d’une puissance émotionnelle rare ! On s’immerge complètement dans l’époque (même si Bob et Jean-Michel n’étaient que des petiots dans les années 90), on se laisse entraîner par le tourbillon de sentiments et de sensations éprouvées par les personnages. Car au-delà du témoignage d’une époque, D’un trait de fusain c’est aussi une histoire d’amitié, d’amour, de sexualité (d’ailleurs, merci Cathy de parler de masturbation féminine, et d’écrire le mot clitoris sans le faire passer pour un « gros mot » ou d’avoir l’air de t’excuser de l’écrire).



Un roman qui secoue, qui rappelle aussi l’importance des rapports protégés, que la maladie est toujours bien présente, même si on a l’impression qu’on en parle plus, qu’il faut continuer à se battre, à s’engager, à s’aimer, à vivre.

Merci Cathy pour cette fureur de vivre ! ❤
Lien : http://bobetjeanmichel.com/2..
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50 minutes avec toi

Pourquoi le narrateur ne vient-il pas au secours de son père ("Je capitule devant le premier souvenir qui fait mal") ? Qu'est-ce qui a provoqué l'infarctus ("Il a suffi que je te dise "J'arrête, j'arrête tout" pour que tu tombes") ? Voilà les deux mystères qui tiennent ce court mais intense monologue. On se laisse immerger avec lui dans "les douleurs du passé qui remontent en pleine gueule", la première gifle, les premiers coups de pied et pire que tout : les "mots-fouets". L'adolescent s'adresse à son père étendu, inconscient (mort ?), déversant "des miettes de rancœur et de tristesse" dans un texte rempli de tension, un huis-clos oppressant. Il raconte ce "mélange visqueux de peur et de haine" qui l'habite depuis tout petit, s'interroge : "D'où vient la violence et de quoi se nourrit-elle ?". S'il ne recevra pas (et pour cause) de réponses, il comprend que "se défendre, ça n'est pas que physique, c'est aussi dans la tête" et après "50 minutes avec toi, en paix tous les deux", ressortira libéré de cet échange avorté, tronqué : "ma vie, elle est devant moi".
Lien : https://www.takalirsa.fr/50-..
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Libres d'être

[...]« Libres d’être ». Tout est dit par cette phrase qui résume parfaitement le message de ce petit livre contenant deux textes intercalés, alternés, poétiques, interprétés en écho par deux virtuoses Cathy Ytak et Thomas Scotto. Deux textes d’une grande justesse, d’une grande sincérité, d’une grande perspicacité, d’une grande force, d’une grande profondeur. Deux textes engagés, vibrants d’émotion, portés par les mots mûrs, ciselés, exquis, choisis avec soin et finesse. Avec tendresse aussi, pour nous, les filles d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Deux textes qui racontent, qui partagent, qui questionnent, qui étonnent, qui expliquent… Qui lancent un défi, qui font tomber les masques, qui appellent les choses par leur nom, qui redonnent l’espoir, qui revendiquent sans compromis la LIBERTÉ, l’ÉGALITÉ et la LAÏCITÉ. Un vrai concerto pour mots et réflexions qui en trois mouvements et en une seule respiration, offre une musique puissante et mémorable qui sonne encore dans l’air et dans notre esprit après avoir tourné la dernière page.

Un ouvrage inspiré et précieux, appuyé par les beaux collages symboliques de Thomas Scotto, publié par la formidable maison d’édition Du Pourquoi Pas. A mettre entre toutes les mains, jeunes et moins jeunes, filles et garçons, femmes et hommes, pour ne pas oublier les vérités fondamentales.[...]

[Chronique complète en cliquant sur le lien]
Lien : http://www.baladenpage.com/c..
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Les mains dans la terre

Dans cette nouvelle destinée essentiellement aux adolescents, Mathias écrit une lettre à ses parents dans laquelle il explique sa décision d’arrêter les études qu’ils lui ont choisi, quitte à les décevoir. Publiée par les éditions du Muscadier que j’adore, le texte de Cathy Ytak porte un message fort de liberté, de déconditionnement, de sobriété et d’antimatérialisme. Un livre que je ne manquerai pas d’offrir autour de moi lorsque l’occasion se présentera.

Mathias, vingt ans, écrit une longue lettre à ses parents dans laquelle il explique sa décision d’arrêter ses études qu’ils lui ont choisi et de partir, quitte à les décevoir.



Il explique son cheminement, avec pour point de départ un séjour au Brésil, avec ses parents, dans un hôtel de luxe implanté en bordure d’une ville très pauvre sans eau courante ni électricité. À partir du moment où il se détourne de ce tourisme détestable, Mathias prend conscience que ses parents ont tracé pour lui une voie qui ne lui convient pas.



Non, il ne veut pas reprendre l’entreprise de son père ; non, il ne veut pas étudier la finance et amasser de l’argent pour amasser des biens matériels dont il se fiche. Non, il ne cèdera pas à la pression sociale, même s’il sait qu’il décevra ses parents.



Voilà une nouvelle qui m’a convaincue, d’abord par les valeurs fortes qu’elle porte, à savoir la sobriété, la décroissance et l’antimatérialisme. Elle fait écho à mes lectures sur les alternatives, la multiplicité des possibles hors de la croissance économique, loin d’idéologie de l’argent et du travail.



Par ailleurs, le récit de Mathias est emblématique, il a une valeur d’illustration très forte de l’écart culturel et politique, parfois insurmontable, entre deux mondes : celui des parents et de l’enfant. La société produit certainement de nombreux Mathias, qui sont parvenus à s’affranchir des codes ou qui sont restés coincés et malheureux dans le modèle de vie normé. Cette histoire m’a touchée, tout simplement parce qu’elle raisonne intimement en moi, chaque jour.



Je pense que cette nouvelle n’est pas moraliste et qu’elle s’adresse aux adolescents en tant que jeunes personnes : l’enfant devenu adulte mène sa vie comme il l’entend, il se « déconditionne » de ce que la société et ses parents lui ont inculqué, et ces derniers peuvent accueillir avec amour et tolérance ses choix. Cathy Ytak (joli jeu) ne parle pas du difficile chemin des retrouvailles entre ces deux mondes qui ne se côtoient pas, mais je me doute que Mathias, s’il sait qu’il perdra peut-être la reconnaissance et l’amour de ses parents, aura gagné sa propre estime, sa propre liberté. C’est au fond ce qui compte le plus, non ?



À mon avis, Les Mains dans la terre s’adresse avec justesse aux adolescents : il fournit un point de départ de réflexion sur le sens de la vie, il peut aider à mettre les mots sur un malaise, désamorcer une situation familiale compliquée. Je ne doute pas que cette lecture puisse marquer la vie d’une jeune personne comme la lecture de La Désobéissance d’Alberto Moravia a marqué mon adolescence.



Je suis avec grand intérêt les publications des éditions du Muscadier qui, au-delà d’une collection ado de grande qualité, proposent toute une série de livres d’essais et de débats sociétaux dont je vous parle depuis plusieurs années déjà. Je ne peux que chaleureusement recommander le remarquable catalogue de cet éditeur !



L'article sur Bibliolingus :

http://www.bibliolingus.fr/les-mains-dans-la-terre-cathy-ytak-a127450554
Lien : http://www.bibliolingus.fr/l..
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50 minutes avec toi

C'est un livre avec beaucoup d'émotion mais ce n'est pas un coup de coeur. Les thèmes abordés sont pourtant très sérieux, tel que la violence d'un père sur son fils, que ce soit une violence physique, que psychologique ; l'homosexualité y est également mentionnée.

Le roman peut aider à comprendre ce qu'un enfant ressent lorsqu'il reçoit un coup mais je m'attendais à plus de profondeur en lisant la 4e de couverture.

En conclusion, il se lit très vite mais je ne le qualifierai pas de coup de coeur.
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La seule façon de te parler

Que fait Nine ? Rien, elle est dans le néant avec sa boule au ventre et son ennui, elle se sent incomprise même si Célia est gentille avec elle. Une élève de collège peut-elle être amoureuse d'un surveillant surtout s'il est très gentil et très attentif ? Oui, mais c'est sans espoir ! D'ailleurs Ulysse n'en donne aucun à Nine. En revanche, il a un jeune frère Noah scolarisé au collège dans la classe des malentendants car Noah est sourd. Il ne fréquente aucun élève non sourd et se met en colère parfois après eux qui n'y comprennent rien. Et si pour Nine entrer en relation avec Noah était un moyen d'approcher Ulysse ? Il faut apprendre à signer et c'est apprendre une nouvelle langue ! Au cours Nine rencontre Marion et parvient bientôt à parler, avec beaucoup d'erreurs, avec Noah. Nine découvre un autre monde et sort de son ennui et de son désespoir. Sa vie vie être bouleversée. Une belle histoire d'amitié et d'amour, pleine de justesse grâce à une écriture douce et sobre !
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La seule façon de te parler

Un récit court que j'ai apprécié car d'une part il dédramatise le monde du handicap en intégrant des jeunes sourds ou mal-entendants et le langage des signes et d'autre part, présente une histoire d'amour entre une jeune fille blanche et un garçon noir. Des thèmes plutôt rares et bienvenus.

Bienvenu aussi le thème du mal-être de Nine et Noah :

- l'oppression qu'elle ressent en entrant au collège,

- le sentiment de se noyer lorsqu'il doit écrire, lire

- l'impression d'étouffer,

- leur terreur de se sentir aller droit dans un mur sans perspective d'avenir.

Ce livre montre qu'il suffit parfois de pas grand chose, un déclic pour s'engouffrer dans une faille et s'ouvrir à la vie.

Un ouvrage qui fait réfléchir, constructif et optimiste. A mettre dans les mains dès la 6ème. Très chouette roman !
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Rien que ta peau

J'ai acheté ce livre pour le CDI du collège en vue de préparer des siestes littéraires. Cette collection D'une seule voix se prête particulièrement à cet exercice.

L'histoire de Cathy Itak est très forte. Elle met en scène deux jeunes un peu particuliers dont l'héroïne a été "victime" des effets néfastes de la toxoplasmose sur les fœtus. Indécise, très lente, un peu simple d'esprit en apparence, Louvine est pourtant tombée amoureuse de Mathis. Un amour fort, romantique, tendre qui doit finir par une fusion des corps. C'est la première fois pour elle. Mais pour les parents elle s'est faite abusée, c'est certain, car elle est trop fragile et elle ne peut pas décider elle-même si elle voulait faire l'amour.

L'histoire est très belle, l'amour naissant et culminant entre Mathis et Louvine est exaltant, frais et tendre. La fin peut-être interprétée de deux manières, l'histoire du verre à moitié vide ou plein. Les optimistes le verront plein (comme moi), tandis que les pessimistes le verront vide. On appelle ça une fin sacrément ouverte.

Le texte est beau, tout comme l'écriture. Un texte coup de poing comme souvent dans cette collection. En revanche je ne suis pas sûr de le lire aux élèves, à voix haute, car la scène de "sexe" est peut-être un peu forte pour des collégiens. A moins de réserver la sieste littéraire à des 3èmes ? Qu'en pensez-vous ?

J'ai beaucoup aimé ce texte. A lire sans modération !
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La seule façon de te parler

Nine est une jeune fille assez mal dans sa peau car elle ne sent pas bien au collège. Elle est folle amoureuse d'Ulysse, le pion du collège. Pour essayer de l'approcher et surtout pour mieux le connaître, Nine décide de devenir amie avec le petit frère d'Ulysse, Noah, également collégien. Problème : Noah est sourd et Nine ne connaît pas la langue des signes. Après un début laborieux, elle décide de s'y mettre !



Même si le prétexte de Nine pour s'approcher de Noah n'est pas terrible, j'ai aimé le courage et la persévérance de ce personnage. Elle va apprendre à "signer" petit à petit et se rapprocher de plus en plus de Noah. Pas la peine de vous dire la suite, c'est clairement explicite... C'est normal de deviner dès le début, je suis trop vieille pour ce genre de roman, mais je suis persuadée qu'il plaira à pas mal d'ados.



Déjà on y aborde le mal-être à l'école. C'est assez peu décrit dans la littérature jeunesse, et le personnage de Nine (mais également de Noah) l'incarne assez bien. Puis ensuite, la majorité du bouquin nous parle des sourds et plus précisément de leur manière de communiquer à savoir, la langue des signes. C'est toujours quelque chose que j'aurais voulu apprendre, mais je n'ai jamais eu réellement en l'occasion...



Bref, un petit roman sympa à découvrir !


Lien : http://lespetitslivresdelizo..
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La seule façon de te parler

L’itinéraire de l’héroïne, sa lente prise de conscience intéresseront des lecteurs adolescents qui y trouveront matière à réflexion.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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Rien que ta peau

Un texte court et fort, à lire d'un seul trait, d'un seul souffle, celui de Ludivine & Mathis dont les coeurs battent à l'unisson. Ludivine n'est pas une adolescente comme les autres car elle est "lente"et fréquente un institut spécialisé. Mais lorsqu'elle tombe amoureuse, elle nous fait partager ses émois et sa première fois comme une adolescente.
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Pas couché

JE NE COUCHE PAS AVEC TIMOTHEE!!! Voici se que s' efforce de faire comprendre Manon à ses amies, ses camardes de classe!!!



Manon et Timothée vivent un amitié qui dérange, une amitié forte et belle. Ils se sont rencontrés un jour, par hasard, comme ça. Et ils se sont vite découvert une passion commune. Et quelle passion! Une passion peu commune : les vinyles et les vieux standards de la chanson française. Voilà se qui les unie! Cette passion et l'amitié qui va avec et rien d'autre. A la grande surprise et incompréhension des autres. Comment comprendre qu'ils sont capables de rester une soirée entière, dans la pénombre d'une chambre à coucher, à écouter des vieux standards et que rien, hormis, des liens d'amitié forts ne se passent!!!



Manon et Timothée, bien qu'ayant ces liens d'amitié si forts vivent leur vie d'adolescents. Lui a une petite amie, Manon en est très heureuse...Elle aussi vit sa vie. Ils n'éprouvennt aucune attirance physique l'un pour l'autre "Timothée peut être beau sur papier , dans la réalité son corps ne me touche pas!..." Ce qui la touche c'est son amitié, c'est cette amitié fille-garçon que tout le monde qualifie d'impossible...Et c'est la place de Timothée dans sa vie, ses textos du matin, ces moments passés ensemble.... " Il ne nous manque rien. On se comprend sans rien se dire, on pense en connivence. On est heureux. on rit beaucoup, on ne se fait jamais de mal...Entre l'amour et l'amitié, il n'y a qu'un lit...."







Jusqu' à cette soirée chez Quentin, durant laquelle Timothée va prendre de la drogue. Sous l'effet de celle-ci des sentiments nouveaux vont apparaîtrent, des sentiments envers Manon qu'il ne connaissait pas et qui vont les effrayer tous les deux!!!!







Catht Ytak nous propose avec ce roman, une plaidoyer pour l'amitié, pour l'amitié fille-garçon. Et oui cela est possible! Elle nous le dit au travers des mots de Manon. Une jeune fille qui sait ce qu'elle veut et surtout ce qu'elle ne veut pas. Qui exprime ce qu'elle veut de façon, quelque fois un peu irrévérencieuse, mais de façon si délicieuse. Un roman plein de bons sentiments, qui tord le coup à certaines idées reçues. Un roman sur la différence, si difficile à appréhender quand on est ado!



Un très bon moment de lecture. Encore une fois la collection "d'une seule voix" propose un roman de grande qualité. Petit bémol pour la couverture!!! Dommage!


Lien : http://biblioado.canalblog.c..
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Petits ruisseaux

Tout en poésie et délicatesse, un très bel album sur le thème du "Pipi au lit". A lire pour déculpabiliser l'enfant qui rêve aussi de petits ruisseaux !
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Les aventures du Livre de géographie qui voul..

Cette courte pièce de théâtre pleine d'humour est destinée à être jouée par une classe d'élèves d'école primaire.

Le soir, quand la bibliothécaire s'en va, les livres peuvent enfin vivre leur vie ! On découvre les aventures du Livre de Géographie sur les rayonnages, au milieu de ses divers congénères. Il rencontre notamment le Livre de la Police de l'Air et des Frontières, peu commode, qui ne veut pas le laisser se promener. Il finira par trouver un peu de repos aux côtés du Livre de Poésie, avant que tous les livres, le chat et le poêle se souhaitent en choeur une bonne nuit.

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Appel en absence

Un livre que je n'ai pas pu lâcher. Un train qui déraille et Lucas qui appelle plein d'angoisse son meilleur ami Lucas pour savoir si tout va bien. Mais Lucas ne répond toujours pas. Alors l'angoisse monte, la panique, la peur de perdre son mailleur ami.

Benjamin le prend tout le temps ce train. Et les infos qui s'en mêlent , qui tournent en boucle . Lucas ne sait pas et c'est ça qui est le plus terrible. J'ai d'abord écouté le livre. Je n'ai pas lâché le podcast. Puis je l'ai vraiment lu. Merci de penser à ceux qui ont du mal à lire. Grâce à l'audio, j'ai pu me passionner pour cette histoire palpitante.
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Appel en absence

Un train déraille, pile celui que prend son meilleur ami tous les vendredi et en plus il ne répond pas au téléphone. Commence alors des heures d'angoisse...

Comme toujours dans cette collection, les histoires sont intenses, ancrées dans le réel et très bien écrites. On suit un seul personnage au fil de cette soirée particulière, ses pensées, ses inquiétudes, ses regrets face à la mort possible de son ami. Une belle réussite.
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Appel en absence

C’est l’histoire de deux amis un soir de week-end comme depuis toujours.l’ami du personnage principal avait pour habitude de prendre le train tout les vendredi soir pour aller voir son ami sauf que cette fois ci un accident arriva le train déraille et s’écrase contre un mur son ami étais persuader il étais dans le train l’ors de l’accident…



Je n’ai pas trop aimée le livre car je trouve que le suspense et trop long et que je trouve que c’est trop de répétition envers le personnage principal et que parfois je trouve que le livre et spécial….
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Appel en absence

J'ai trouvé ce roman très bouleversant car il y a beaucoup de suspense dans ce roman, avec des hauts et des bat .Je vous conseille ce livre si vous chercher des livres a suspense pour adolescent ou adulte de 13-14 ans a tout âge



.Le personnage principal s'adresse a son ami Benjamin dans sa tête comme si il était devant lui. (le long de l'histoire du livre Benjamin n'est pas en face de lui). L'histoire raconte un accident de train (tout le monde pense que Benjamin est mort dans l'accident de train.)



Le narrateur parle à la première personne l'auteur met en place le système des personnages est bien trouver Benjamin est il mort telle-est la question ,je conseille ce livre pour les jeunes dès l'âge de 13 ans pour bien comprendre l'histoire de suspense

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Appel en absence

Appel en absence est un très court roman haletant.

Lucas vient d'apprendre qu'un train a déraillé, et c'est juste à cet endroit que son ami Benjamin devait prendre son train habituel. Une coïncidence bien trop flagrante pour Lucas qui essaye dans arrêt de joindre son ami. Mais Benjamin reste injoignable et Lucas inquiet ne peu pas dormir sans être sûr que son meilleur ami est toujours en vie.

Mon avis sur ce livre:

Ce très court roman se lit d'une traite et je n'ai pas pu m'arrêter comme on ne savait pas si Benjamin était en vie. Dans ce roman on lit souvent des retours en arrière et surtout les pensées de Lucas. J'ai beaucoup aimé le suspense, et l'histoire des deux amis.

Un livre pour les fans de romans courts, de suspense et d'amitié.
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