Chimamanda Ngozi Adichie

Cet album parle des droits des femmes par rapport au droit des hommes. Chimamanda Ngozi parle de sa vie en tant que femme au quotidien. L’auteur est née au Nigéria et vit aux Etats-Unis. Elle se bat pour les droits des femmes. Les illustrations réalisées par Leire Salaberria sont très bien. Hugo

Le livre Nous sommes tous des Féministes est génial.

Il parle de l'histoire de Chimamanda Ngozi Adichie.

C'est un livre illustrer par Leire Salaberria.

L'histoire se déroule en classe chez elle ect.

Chimamanda est une jeune fille qui parle du féministes.

Ce livre ma beaucoup plus car il apprends beaucoup de choses et il est réaliste.

Ce livre a un intérêt documentaire.

Je recommande ce livre pour ceux qui aiment découvrir d'autres cultures.

Ce court manifeste signé par Chimamanda Ngozi Adichie, écrivaine et militante féministe, nigériane, est écrit comme une longue lettre adressée à une amie pour une éducation féministe.



Cette lettre à cœur ouvert s’adresse à tous.tes., elle est principalement écrite à travers le vécu et le point de vue de Chimamanda Ngozi Adichie, qui a grandi au Nigeria. Néanmoins, ses conseils et suggestions peuvent s’appliquer un peu partout, les interrogations, stéréotypes et enjeux peuvent être les mêmes partout.



Le manifeste est divisé en quinze suggestions, qui met en avant une éducation non genrée (dont je vous parlais dans mon article pour le #partagetonféminisme), d'élever une fille comme être humain et pas comme une fille genrée et stéréotypée ; que l’éducation se fait également à deux avec les deux parents. Pas juste la mère, mais aussi avec le père, ou la 2e mère. Apprendre à son enfant à lire et à interroger le monde et les mots par ellui-même. L’autrice constate et propose des pistes à explorer pour une éducation non-genrée et égalitaire.



Le manifeste est fluide, clair, et efficace. Chimamanda Ngozi Adichie dégomme un par un les stéréotypes, avec une simplicité déconcertante.


Lien : https://mathildelitteraire.b..

L'égalité entre homme et femme



Nous sommes tous des féministes est un livre écrit par CHIMAMANDA NGOZI ADICHIE né au Nigéria le 15 septembre 1977 son premier livre est l'Hibiscus pourpre et son dernier livre est Americanah édition Gallimard

CHIMAMANDA NGOZI ADICHE avait un ami Okoloma qui était la première personne à l'avoir appelée « féministe » elle ne connaissait pas ce mot, mais elle ne voulait pas qu'Okoloma s'en aperçoive. Alors CHIMAMANDA changea de sujet, reparla de ces livres. Quand elle rentra à la maison, CHIMAMANDA courut aller chercher dans le dictionnaire le mot « féministe ».

J'ai aimé ce livre car elle expliquait ce qu'elle pensait mais elle ne le disait pas.

Je recommande ce livre pour ceux qui aiment les livres et ce thème de l'égalité entre homme et femme.

« En 2003, je suis allée au Nigéria pour parler d'un livre que j'ai écrit, L'Hibiscus pourpre. J'y ai rencontré un journaliste très aimable, qui ma regardé tristement et ma dit que mon roman était un livre « féministe ». Il ma ensuite vivement conseillé de ne jamais dire que j'étais féministe, parce que les féministes sont des femmes malheureuses qui ne trouvent pas de mari. A partir de ce jour, j'ai décidé de dire que j'étais une « féministe heureuse ».



Erwan



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LE DESTIN DE CHIMAMANDA NGOZI ADICHIE



L’auteure de Nous sommes tous des féministes est CHIMAMANDA NGOZI ADICHIE. Elle a fait son autobiographie : c’est une nigérienne née en 1977. Elle a écrit aussi : L’hibiscus pourpre , L’autre moitié du soleil et Americanah.

C’est l’histoire de la jeune Chimamanda tout juste âgée de 14 ans qui, s’amusant avec son meilleur ami Okoloma, fait la découverte du mot « féministe ». Elle ne se doutait pas que ce mot allait bouleverser sa vie à tout jamais.



Naomie

L'autrice nous fait quinze suggestions pour inculquer aux filles qu'elles valent autant que les gars.

Il ne s'agit que de piqûres de rappel relativement évidentes pour tout parent un peu féministe mais elles sont satisfaisantes à relire.



À mettre entre les mains de tous les jeunes parents !

Si tu aimes les débats et que tu t’intéresses aux droits des femmes, à la question d’égalité entre les hommes et les femmes, alors lance toi sans hésitation dans la lecture de ce livre.

Okoloma était le meilleur ami d’enfance de Chimamanda, jusqu’au jour où celui-ci lui reproche d’être « féministe ». Alors ignorante de la définition du mot « féministe », Chimamanda comprend malgré tout que son ami ne lui fait pas un compliment. Devenue adulte, Chimamanda assume son féminisme et publie plusieurs livres dont « l’Hibiscus pourpre » une œuvre pleinement « féministe ». En 2003 l’autrice part au Nigéria, à Lagos, pour défendre le féminisme ; elle se définit comme « une féministe africaine heureuse qui ne déteste pas les hommes et qui aime mettre du brillant à lèvres et des talons hauts pour son plaisir, non pour séduire les hommes ». Il s’agit d’un roman autobiographique où elle dénonce les injustices faites aux femmes africaines.

Ce livre m’a beaucoup plu car j’ai trouvé que tous les mots, toutes les phrases et tous les textes qu’elle écrivait étaient justes. Cette femme est très courageuse et j’aime beaucoup les femmes qui ont cette qualité. Ce livre permet également de reconnaître ce qu’il se passe dans d’autres pays, les problèmes, les injustices et les difficultés de la vie.

Je recommande ce livre aux personnes à qui les débats, les injustices et les problèmes pouvant exister à travers le monde intéressent.



Louise

Bref mais intense. Ce livre est aussi puissant que son sujet. Comme un punch ligne en pleine figure, il m'a marqué de sa véracité si réelle. L'écriture simple mais efficace soutient le rythme que nous impose la souffrance du chagrin de la perte d'un être cher.

Immense coup de coeur et découverte pour ma part d'une auteur engagée, Americana retrace un pan de vie de Ifemelu, jeune étudiante parachutée du Nigeria pour Philadelphie. Le roman pose les questions des différences entre les noirs américains et les noirs africain fraichement arrivés, tant d'un point de vue de la culture que des traditions parfois malmenées et des ajustements de chacun. On y (re)découvre un contexte fortement marqué par le racisme et la discrimination hiérarchisée entre les origines de chacun. L'auteur aborde également le fossé culturel creusé lors du retour dans sa famille, ceux qui nous ont attendu, ceux qui ont vécu leur vie, les choix que l'on fait et le chemin sur lequel la vie nous mène, parfois surprenante, vacharde, mais aussi colorée, vivifiante et belle à sa manière.

un très beau roman que j'ai lu avec grand plaisir. L'histoire d'une jeune fille et de son jeune frère partagés entre le monde rigide et traditionaliste de leurs parents (et les maltraitances de leur père) et la joie de vivre spontanée et plus libérée de leur tante et cousins. Deux mondes si différents, un parcours initiatique à la découverte d'une autre façon de vivre qui ébranle les certitudes du mode de vie que l'on a toujours connu et dans lequel on a grandi.

"Je suis la fille de mon père" clame dans un cri d'amour intime et fragile Chimamanda Ngozi Adichi dans ces Notes sur le chagrin à son père emporté par la pandémie. Un témoignage beau, triste et propre au vécu de l'autrice en ces terribles mois de 2020. Cela rentre en résonance avec le même vécu même si chaque histoire, chaque perte est unique. Un écrit, des mots pour ne pas oublier.

Cet album est l’adaptation du discours de Chimamanda Ngozi, elle est née en 1977. Elle prononce son discours Nous sommes tous des féministes en 2012.

Ce texte a pour but de l’égalité entre les hommes et les femmes.

J’aime beaucoup ce livre que je n’ai pas lâché et je me suis plongé dedans. C’est un album que tout le monde devrait lire !

Ylan

Le livre est incroyable car j'aime comment l'auteure parle de son histoire et du fait que les filles ou les femmes se font rejeter par la société juste à cause de leur sexe ou parce que la femme proteste contre cette inégalité des sexes.

Cela fait que c'est un livre qui fait vraiment réfléchir sur la vie en tant que femme ou fille qui te montre comment certains garçons ou hommes sont mauvais ou extraordinaires face aux filles ou femmes et comment l'auteur nous parle de ces culture et ces projets.

Au tout départ je n'ai pas trop accroché mais après je le lisais très facilement, cela m'a donné plus envie de vous le conseiller!

Je vous le conseille vivement femme homme fille garçons foncez !!!

MADJOULA

Ce livre parle de la vie Chima-manda, des injustices qu'elle a vécu en tant que femme dans son pays. Ce livre m'a plu car ce sont des cas qui arrivent partout dans le monde. Je conseille ce livre à tous ceux qui aiment le féminisme.



Linaa109

Cet album est très beau et explique bien aux enfants ce que cause la différence de genre fille/garçon. C’est un livre qui mérite d’être lu avec soin et compréhension. L’auteure met très en valeur ce qu’elle ressent, et je trouve cela très émotif. Album recommandé à tout collégien.

Chimamanda Ngozie Adichie a perdu son père en pleine période de confinement. Vivant aux États-Unis, l'écrivaine nigériane n'a pu assister physiquement aux derniers jours de son géniteur qui habite lui au Nigeria. De ce deuil, l'autrice choisit de livrer 30 « notes sur le chagrin ». De la part de l'autrice de grands livres comme L'Hibiscus pourpre ou Americanah, on pouvait s'attendre à quelque chose d'assez ambitieux en termes littéraires et formel, une façon d'appréhender la secousse que consiste la perte d'un être aimé qui soit transcendé par la littérature. Ici, rien de tout ça si ce n'est effectivement un petit carnet de notes très bref avec quelques souvenirs et détails à peine esquissés pour emporter avec lui le lecteur. Gageons que Adichie saura trouver dans un prochain livre une résonance plus forte de cet événement intime.

Au début une jeune fille nous présente son entourage. Elle nous dit qu'elle est africaine et elle nous raconte ce que c'est d'être une femme en Afrique.

J'ai aimé ce livre car toutes ces injustices me touchent. J'ai trouvé ce livre émouvant car c'est réel, triste et intéressant.

Je conseille ce livre à ceux qui aiment être en colère et être triste .

La phrase que j'ai bien aimé: « A chaque fois que je vais au restaurant nigérian avec un homme le serveur lui souhaite la bienvenue à lui et fait comme si je n'existais pas. »

Enola Holmse

Assez léger, rien de très nouveau ou très fouillé pour quelqu'un de féministe, mais il s'agit justement d'un joli livre à acheter à des futurs parents (ou oncles, ou tantes, ou parrains, ou marraines...) qui ne sont pas nécessairement très impliqués dans les questions de genre ou ne savent simplement pas trop comment le mettre en mots. Comme toujours, Chimamanda Ngozi Adichie a un vrai sens de la formule.

J’ai adoré tout simplement. Je suis une grande fan de livres et essais féministes et celui-ci est particulièrement réussi. En une cinquantaine de page, l’auteure nous explique pourquoi il est essentiel aujourd’hui de se dire féministe et d’agir comme tel. Elle aborde diverses questions essentielles comme l’éducation genrée, le poids mis sur les femmes dans leurs vies personnelles et professionnelles. La charge de devoir faire attention à sa manière d’être ou de vivre, d’être exclue de certains cercles masculins ou encore d’être invisibilisée dans l’espace public… Elle exprime son avis en se basant sur ses vécus et ceux de ses ami.e.s. Cela rend l’essai très facile à lire et rempli d’exemples concrets. Une entrée facile dans le féminisme pour celles et ceux qui serait curieux de lire un premier ouvrage féministe. Je le trouve très abordable au niveau du vocabulaire (contrairement à des ouvrages comme ceux de Mona Chollet, parfois plus complexe) et de la mise en perspective de la réflexion.

Le meilleur ami d'une jeune fille lui il dit un jour qu'elle est féministe. Mais elle ne savait pas ce que cela voulait dire, être féministe. Elle a donc fait beaucoup recherches jusqu'à le trouver.

Ce livre est très bien et il faut juste avoir du vocabulaire car certains mots sont assez durs à comprendre. Ce livre est génial. Les dessins sont très jolis,colorés et très bien représentés . Je le conseille vraiment à tout le monde. Il nous présente un peu une morale des choses.

Notes sur le chagrin de chez Gallimard



Comment dire Adieu ?

Suite au décès brutal de son père, Adichie Chimamanda Ngozi couche sur le papier, ses pensées souvenirs et sa douleur qui se transformeront en court chapitre de ce petit livre si intime et si précieux.

« J’écris sur mon père au passé et je n’arrive pas à croire que j’écris sur mon père au passé ».

Une dissection du chagrin qui empêche de respirer, qui fait mal et rend difficile un regard sur demain : « Je ne savais pas qu’on pleurait avec les muscles » qui permet enfin de rendre les larmes humaines et non plus, comme j’ai pu l’entende récemment : « si tu as envie de pleurer, respires et contrôle ta respiration » alors que l’ami Jean-Marc dhaniaut écrit que les larmes viennent du cœur.²



Un texte sur le chagrin, sur la narration d’une vie pour pouvoir dire au revoir avec les mots.

« La forme de la famille est changée pour toujours »

Le chagrin qui éclaire et met en valeur une vie construite par des parents qui ont su faire entrer leurs enfants dans ce siècle tout en gardant leurs identités africaines : le Nigéria et son histoire qui a travers les générations et une volonté de garder ses coutumes, nous donne ici un aperçu d’une richesse affective et intellectuelle et d’une volonté de transmettre l’identité Igbo que l’on retrouve souvent dans les romans de l’auteur. Et c’est aussi la peur de perdre cette identité, les souvenirs non écrits que l’on trouve à travers le deuil.

Malheureusement nous ne pouvons pas oublié aussi le contexte de ce corona qui est en fond de toile de ce roman et qui fixe l’action dans le temps mais je n’ai pas envie de m’y attardé. Une phrase :

« Le virus avait rapproché la possiblité de la mort, rappelé sa banalité …la mort pouvait vous tomber dessus à n’importe quel moment… »



Des souvenirs qui nous font découvrir un homme de grande valeur : que ce soient ses livres brûlés durant la guerre de Biofra et remplacés ses collègues universitaires, sa fierté du parcours professionnel de sa femme et de ses enfants mettant en valeur une volonté presque matriacale de la famille. Je ne souhaite pas employer le mot : « féministe » qui ne veut plus rien dire, vu la sauce dans laquelle ce mot est noyé.

Justement abordant les mots : les mots si importants pour moi qui ne les maitrise pas assez pour pouvoir les écrire.

Omekannia/ Oyilimnia : la fille de son père.

Ogbata Ogu Ebie : celle dont l’arrivé met fin à la bataille



Et le plus beau : Nwoke Neli : celle qui équivaut à de nombreux hommes.

Finalement il s’agit d’un livre sur la chance d’avoir été aimé et d’avoir aimé.