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Critiques de Christine Angot (627)
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Une semaine de vacances

Livre sur le thème de l'inceste père/fille. J'ai un terme qui me vient tout de suite : écœurant.
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Un amour impossible

Petit moment de détente durant ce confinement. Et vous, que faites-vous ?



Christine ANGOT nous relate dans ce récit autobiographique l'histoire d'amour de ses parents et sa relation avec eux.



Fin des années 50 à Châteauroux, Pierre, brillant jeune homme issu d’une famille bourgeoise, féru de culture et de connaissances, et Rachel, belle, juive et modeste employée de bureau vivent une forte histoire d'amour.



Pierre refuse de se marier avec Rachel, qui n'appartient pas à sa classe sociale.



Malgré cela, Rachel sous le charme de Pierre, donnera naissance à leur Christine, que Pierre reconnaîtra au bout de 15 ans de combat.



Malgré le mépris qu'a Pierre pour Rachel, Rachel continuera d'idéaliser cet homme, jusqu'à ce que Pierre confirme ce mépris par l'inceste qu'il fera subir à Christine.



Ce livre est bouleversant, il décrit le bonheur, le malheur, les castes sociales, la lourdeur des secrets sur une vie....



Un livre à lire
Lien : https://www.facebook.com/Cat..
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Une semaine de vacances

Le confinement m'a ramené vers Christine Angot, avec plaisir. J'ai lu ce livre d'une traite même si son thème est dérangeant. J'étais dans un état d'incompréhension de sidération. C'est très déstabilisant ce style froid précis employé pour disséquer cet inseste. Les premières pages sont crues et dès ces premières pages nous comprenons la relation de domination de cet homme sur cette jeune fille. La relation père fille est évacuée seuls des indices nous y ramènent et rend notre position de lecteur très inconfortable.
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Le marché des amants

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Un amour impossible

J'ai vu le film et beaucoup aimé (Virginie Elfira y est magistrale), du coup j'ai lu le livre et j'ai aussi beaucoup aimé. L'écriture est alerte, CA sait écrire et c'est dommage qu'elle ne fasse pas que ça d'ailleurs.
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Un tournant de la vie

Bonjour,

un roman ce matin "Un tournant de la vie" de Christine Angot chez Flammarion. Un roman d'amour, sur les choix peut-on aimer deux hommes (ici en l’occurrence 2 hommes mais la question peut se poser non genrée peut-on aimer 2 personnes en même temps). La narratrice vit depuis 10 ans avec un homme qu'elle aime même si elle lui trouve quelques défauts (qui n'en a pas ) quand elle aperçoit dans la rue son grand amour. Les 2 hommes se connaissent et vont travailler ensemble. Elle sera partagée car il y a de la manipulation des deux côtés. Sera elle capable de faire un choix ?

C'était mon premier livre de Christine Angot et j'ai bien aimé cette approche de la manipulation, du choix dans l'amour, je relirai certainement des écrits de cette auteure.

Quatrième de couv.« Je traversais la rue… Vincent passait sur le trottoir d’en face. Je me suis arrêtée au milieu du carrefour. J’étais là, figée. Le cœur battant. Je regardais son dos qui s’éloignait. Torse large, hanches étroites, il avait une stature impressionnante. J’aurais pu courir, le rattraper. Il a tourné au coin de la rue. Je suis restée debout, les jambes coupées. Les yeux fixés sur la direction qu’il avait prise. Je tremblais. Je n’arrivais plus à respirer. J’ai pris mon téléphone dans mon sac, j’ai appelé une amie. »
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Un tournant de la vie

Apres avoir lu le marché des amants j'ai souhaité m'attaquer a la lecture de ce livre qui est une sorte de trilogie amoureuse si je peux prendre ce terme(le marché des amants 2008-les petits 2013 un tournant de la vie 2018) J'ai eu du mal a le lire des fois je le devorais des fois je m'arretais et je lisais autres choses malgré tout ce livre traite de plusieurs chose : le triangle amoureux la naratrice (christine angot) Alex (Charly son conjoint) et vincent (doc gyneco) , l'amour , la jalousie, le retour d'un amour perdu et la difficulté de choisir entre l'qmoir present et un amour du passé et qui revient dans le present . Ensuite j'ai trouvé ca plutot drole d'avoir changer le nom des personnages car d'un côté on sait qui est qui mais d'un autre côté a t'elle fait ca pour nous faire imaginer autre chose et nous laisser libre de choisir et d'associer ces personnages a autre chose. Cela dit j'ai préféré largement le marché des amants et j'attends une suite avec impatience
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Le marché des amants

Etant une fan de Doc Gyneco j'ai voulu lire ce livre par simple curiosité, je m'attendais a une histoire d'amour comme on le voit dans d'autres romans a l'eau de rose. Et bien la j'ai ete surpris je l'ai lu avec beaucoup de plaisir je me suis completement senti comme si j'ouvrais une porte ou que j'etais teleporté et que j'etais avec eux mais eux ils ne me voient pas jamais un livre m'a fait cet effet la
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La petite foule

Succession de petites histoires agréables mais sans fil conducteur apparent
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Un amour impossible

Un Amour impossible est l'histoire d'une destruction.



D'une lutte des classes qui a pour terrain la sphère privée et pour objectif la perte, la perdition, la pulvérisation d'une cellule rebelle, coupable d'infiltration dans un monde qui n'est pas le sien: celle d' une mère célibataire et de sa fille, pauvres, sans protection, mais fortes de l'amour qui les unit, de l'espoir qu'elles mettent dans leurs capacités intellectuelles, de la foi qu'elles ont dans leur bon droit.



Un Amour impossible est l'histoire d'une manipulation, d'une entreprise de désagrégation qui manque de réussir. Par le plus atroce des procédés : l'inceste.



Christine , sa mère et sa grand-mère constituent une sorte de monade féminine. Elles habitent en province, à Châteauroux, dans une petite maison, inconfortable et délabrée . Mais elles s'aiment et y sont heureuses.

La grand-mère, de santé fragile, et pauvre,  a été abandonnée par son mari et Rachel, la mère , est une fille sans père. 



Au moins en porte-t-elle le nom.



Aussi, n'a-t-elle de cesse que de faire reconnaître Christine, sa fille, par son père,  Pierre Angot,  qui a voulu comme elle cette enfant mais l'a toujours prévenue qu'il ne l'épouserait pas. Autant pour préserver sa liberté que pour éviter ce qu'il a bien  garde d'appeler une mésalliance ..même si c'est bien le fond de sa pensée.



Un Amour impossible c'est d'abord celui-là : une "rencontre inévitable"entre deux êtres que ni leur milieu, ni leur éducation, ni leur mode de vie ne destinaient l'un à l'autre.



D'ailleurs, assez vite après la naissance de Christine, leurs rapports s'espacent.



Rachel, femme indépendante, passe concours et examens qui lui font prendre du galon , de même que l'indispensable permis de conduire, et pousse son désir d'affranchissement jusqu'à changer de ville , de logement, de travail. Il devient de plus en plus pressant, à ses yeux, que Christine , qui va entrer dans une nouvelle école, porte le nom de son père.  Aussi, passant sur le chagrin qu'elle a éprouvé en apprenant le mariage de Pierre, ce célibataire soi-disant irréductible , lui demande-t-elle instamment de la reconnaître,  ce que la nouvelle loi sur les enfants nés hors mariage permet facilement désormais.



Pierre Angot, de mauvaise grâce,  finit par s'exécuter.



Mais, dans le même temps où il renoue avec  Rachel qui veut que sa fille connaisse ce père, vu seulement trois fois en 12 ans,  et qu'il rentre officiellement dans la vie de Christine,   il entreprend un viol long, lent, cynique et calculé de cette enfant de treize ans aussi intimidée qu' enthousiasmée par ce  père si savant, si intelligent , si différent.



Un Amour impossible, on l' a compris.



Le livre, pudique, ne détaille rien de cet odieux travail de sape. Il faudra lire  Une semaine de vacances qui en expose , avec une terrifiante objectivité, l'ultime étape.



Mais la troisième acception du titre résulte de  l'attentat perpétré contre la mère et la fille -  si soudées, si admiratives, si confiantes, si tendres l'une avec l'autre.



Pendant des années, après la révélation de l'inceste, Un Amour impossible ce sera le leur.



C'est le coeur broyé qu'on suit la destruction de leur entente, minée par la culpabilité de la mère, qui s'en veut de n'avoir rien vu et par la colère de la fille,  ulcérée que sa mère n'ait rien fait pour la protéger, pour la défendre, puis rien dit , rien fait pour châtier le coupable.



Même le nom de "maman" devient imprononçable.



Jusqu'à leur explication finale,  mère et fille en face à face,  qui met les points sur les i ,  démonte la manipulation du père , son entreprise de destruction de la mère par la fille, et identifie enfin la "punition" infligée à ces deux "femmes de peu"  qui se sont avisées de s'infiltrer dans la sphère bourgeoise par le truchement d'un nom.

 

Un livre poignant mais toujours factuel et retenu, qui réserve ses coups, maîtrise ses effets, et tient serrées les rênes de l'émotion, laissant se dérouler son implacable  démonstration.





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Une semaine de vacances

Une semaine de vacances.



Une heure de lecture, une heure insoutenable.



Ni tenants, ni aboutissants, pas de présentations, pas de mise en place, ou de mise en garde. Pas d'analyse psychologique, pas  de commentaire scandalisé, apitoyé, moral, graveleux, égrillard , ou cynique.



Rien.



On est balancé dans l'horreur du purement  factuel.



Pour le récit, une langue classique, ni tenue, ni relâchée. Une langue courante, correcte.  La froide objectivité,  le recul de la troisième personne. Il. Elle. Peu ou pas de dialogue, du discours rapporté. 



Au fil des pages, on comprend qu'"Elle" est une enfant qui lit Cesbron, Ivanhoe.

 Qu'"Il " est son père .



Que ces scènes de sexe, imposé,  contraint, extorqué , répété,  humiliant, sont le programme d'Une semaine de vacances entre un père et sa fille de moins de seize ans.



Je n'aime pas le personnage public, médiatique, de Christine Angot,  son agressivité maladroite, son exhibitionnisme pathétique.



 Mais là, mais là, je reste sans voix devant son courage. Devant la radicalité de son choix d'écrivain, de femme rompue, de fille bafouée.



On ne pouvait mieux parler de l'inceste qu'elle ne l'a fait.

On ne pouvait le faire autrement.

L'inceste n'est pas un sujet romanesque. C'est un constat. C'est un crime.



Une semaine de vacances , c'est un constat criminel.



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Quitter la ville

Il est des livres qui façonnent méticuleusement la médiocrité pour l'élever au rang d'un art plein et revendiqué. Car il en faut de l'abnégation pour écrire autant de niaiseries sans flancher. L'auteur doit sans cesse repousser ses atermoiements pour aller toujours plus loin dans la nullité, quitte à défricher lui-même de nouveaux territoires où nul n'avait auparavant oser sérieusement s'aventurer. Christine Angot, elle, ne se pose pas de question. Elle avance, sûre de son talent à produire du navrant et à le porter bien haut sans la moindre once de honte. C'est à des gens comme cette femme que l'on doit d'avoir enfin une échelle de valeur parfaitement complétée. Avant "quitter la ville", l'ouvrage le plus médiocre que j'avais eu à lire était un super piscou géant spécial Rapetous....Un peu juste, vous l'avouerez.
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Un amour impossible

Encore un livre sur l'inceste ? Christine Angot remue le passé. Réflexe de catharsis ? "Un amour impossible" est cru et se veut choquant. Bien sûr, personne ne peut chercher à justifier le comportement d'un père abuseur et, mille fois il mérite la prison. Aujourd'hui, la justice est impitoyable envers les sales types qui confondent tout. Les abus sexuels sur Christine sont ici, présentés ici comme un outil d'humiliation supplémentaire en vue d'anéantir la mère… aimée par l'enfant. l'écriture est à l'image du contenu : violente et extrêmement dure. J'ai du m'accrocher pour tenir jusqu'au dernier chapitre. A ne pas mettre entre les mains des lectrices trop sensibles.
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Un amour impossible

Un roman à consonance autobiographique, qui est avant tout une thérapie pour l'autrice, qui tente de venir à bout des démons qui l'habitent depuis un demi-siècle. C'est divinement bien écrit, mais le début du roman est soporifique. Les chapitres trop longs. La deuxième partie du roman, dès le moment où elle parle des violences sexuelles qu'elle a subies, est passionnante. Le changement de comportement à l'égard de sa mère, puis leur réconciliation qui clôt le roman, sont très intéressantes. Bouleversantes, même. Cette autodestruction est celle de toutes les personnes violées, abusées, qui plus est par le patriarche qui nie et renie.



Christine Angot est une grande autrice, mais je m'accorde seulement la moyenne car j'ai trouvé le début du roman très lourd. Heureusement que j'ai insisté, car la deuxième partie est vraiment passionnante.
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Un tournant de la vie

Une femme partagée entre l'amour de deux hommes;Vincent qu"elle a aimé et qui refait surface après dix ans et Alex avec qui elle vit depuis neuf ans .Les deux hommes sont amis et travaillent dans la musique.

Un roman dont on peut se passer !
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Une semaine de vacances

Verdict: zéro pointé.



Nul, nul, et nul. Le style, le thème, l'histoire ; le fond, la forme. Rien à dire. C'est dérangeant sans être provocateur, c'est du bon français mais c'est mal écrit, c'est un thème important sur une histoire idiote. La question n'est pas de savoir comment Angot fait pour publier, mais comment elle fait pour vendre... Inexplicable.
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Une semaine de vacances

Christine Angot peut être agaçante mais elle écrit vraiment très bien. Pourtant, on n'aimerait qu'"Une semaine de vacances" comme ça n'existe pas.

Ce roman peut choquer par sa crudité et sa description détaillée des rapports sexuelles mais ce n'est ni un livre porno ni un livre vulgaire. Loin de là, car on comprend vite que les rapports sont incestueux et on a envie que ça se termine le plus vite possible parce que c'est insupportable. On retourne le thème récurrent des livres de Christine Angot, l'inceste, mais cette fois-ci avec une puissance figurative traumatisante.

Le livre commence par décrire un homme en érection qui demande à une femme de faire l'amour, ce qui n'est pas surprenant en vacances puisque le sexe fait partie des moments de plaisir. Sauf que très vite on se rend compte que ce n'est pas une femme mais une jeune fille et qu'il s'agit de sa propre fille. Cela devient vite très écoeurant. On a vraiment envie qu'il s'arrête de tripoter, de toucher, de malaxer ce corps qui ne lui appartient pas mais qu'il domine de façon sournoise. Il n'arrête pas, il est obsédé et oblige insidieusement sa fille à acquiescer, à lui obéir. Et le pire est que ce pervers se débrouille pour la rendre coupable de ne pas faire plaisir à son père lorsqu'elle pleure parce qu'il lui fait mal en la sodomisant.

Angot montre avec peu de mots, la soumission de la jeune fille, la passivité de celle qui subit en regardant les détails de ce qui l'entoure, enfermée dans une maison de vacances : il y a les lunettes sur la table de nuit et un sac de voyage par terre, le jardin vu à travers les rideaux. Un calvaire qu'il faut dénoncer et Christine Angot le fait par la fiction tant la réalité est insoutenable.





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Un tournant de la vie

Bon, je l'avoue, j'ai lu ce livre parce que je voulais vraiment voir si c'était le nanar promis, avec la certitude que si ce n'était pas le cas, la surprise me serait agréable, et que si c'était le cas, je passerai un franc moment de rigolade, car adorant les nanars au cinéma, il n'y a pas de raison que ce ne soit pas le cas en livre.



Et bien j'ai l'insigne honneur (mais je ne suis pas le premier) de confirmer qu'Angot a probablement écrit le meilleur nanar littéraire de la décennie. Elle a avoué elle-même avoir vécu l'écriture de ce livre comme une longue période laborieuse, et avoir "accouché" difficilement de son roman, et bien on sent tout à fait qu'elle a peiné pour venir à bout de cet objet. Vacuité du fond, abus de dialogues inutiles (le dialogue c'est pratique lorsqu'on manque d'inspiration ; on noircit des pages et on a l'impression d'avancer, encore faut-il qu'ils soient justifiés), platitude de l'écriture qui traduit un manque d'inspiration et d'entrain criant, tout est proche du néant. Un robot n'aurait pas fait pire tant on sent que l'alignement des mots est mécanique, que la crédibilité des situations ou la richesse du cadre ont été mis aux oubliettes. Angot n'avait aucune motivation, et ça se sent dans ce livre pâteux duquel n'émane que l'ennui abyssal qui a touché l'autrice pendant son travail d'écriture.



Néanmoins, pour celui qui ne s'effraiera pas du massacre littéraire, ni de l'image de marque particulièrement écornée de l'édition classique qui ose considérer un tel livre comme une oeuvre achevée (et après les personnes comme Jean-Yves Mollier viendront parler de livres "mal fignolés" pour parler de l'autoédition!), c'est un grand moment de non-littérature avec ce que cela peut avoir de plaisir coupable. Puis pour l'auteur néophyte, c'est aussi un bon guide de ce qu'il ne faut surtout pas faire pour écrire un roman! Encore que, puisqu'on peut être édité par un grand éditeur avec ça, pourquoi pas l'imiter...



Enfin, inutile d'aller plus loin, et si vous voulez rire, à la limite restreignez-vous à l'extrait gratuit sur amazon. L'effet sera immédiat et ça ne fera pas cher le fou rire (il y a la médiathèque aussi, mais là faut pas être gêné de passer devant la bibliothécaire avec l'objet).





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Un tournant de la vie

Le roman décrit bien l'irrésolution dont peut souffrir une personne qui a deux amours, et qui tourne perpétuellement en boucle, avec tout ce que cela peut comporter de culpabilité et de cruauté. La narratrice oscille en permanence entre l'un qui incarne la sécurité, et l'autre qui incarne la passion et le désir. C'est écrit sans fard ni mièvrerie, et cela caractérise bien le style de l'écrivaine dont je n'ai lu qu'un seul roman : Un Amour Impossible, que j'ai beaucoup aimé.

Je trouve les critiques plutôt injustes, même si ce dernier roman n'est pas à la hauteur du précédent. Il y a trop souvent confusion dans l'analyse, entre la personne qu'incarne Christine Angot et ses personnages de roman.

J'ai parfois lu bien d'autres romans d'autres écrivains, prévisibles et d'une grande niaiserie, mais qui avaient les faveurs des lecteurs.

Au moins, avec Madame Angot, on est dans la vraie vie.
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Rendez-vous

Quand Angot était encore une véritable écrivaine...mais ça, c'était avant ...
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