Cornelia Funke

La lecture de ce deuxième tome de la trilogie coeur d'encre m'a paru encore plus captivante que le premier. Cette fois ci, meggie plonge dans le "monde d'encre" et s'en suit nombre de rebondissements.

Nous découvrons ainsi pourquoi doigt de poussière était il si triste d'être loin de chez lui, Ce que Fenoglio est devenu lorsqu'il a disparu dans le tome 1. Nous découvrons aussi Tous les personnage du livre, ce qu'ils deviennent etc. Mais le cours de l'histoire est modifié par ce que son auteur décide d'écrire et ce que les lecteurs peuvent en lire. Histoire qui ne suit pas toujours le cours que veux lui donner fenoglio.

Maintenant il reste le tome 3 à lire en espérant qu'il soit aussi passionnant.

qui n'a jamais rêvé de rencontrer les personnages de ses romans préféréq, qui n'a jamais rêvé de visiter leurs univers, tout ceci est possible pour mortimer, même si lui regrette profondément avoir ce don.

Nous sommes ici dans le premier tome d'une trilogie fantastique qui m'a transporté. Dans un univers, adapté aux jeunes de niveau college, où la magie des livres est à entendre au sens littéral de terme.

J'imagine une trilogie qui me passionera autant que pouvais le faire Pierre Bottero. En ayant déjà entamé le deuxième tome, pour l'instant je ne suis pas décue.

Meggie et ses parents se retrouvent dans l'histoire imaginé par Fenoglio... Ce second tome est plus convaincant que le premier : univers fantasy plus assumé, une intrigue extrêmement mouvante. Fenoglio, lui aussi au coeur de son livre, et Meggie s'emploient à modifier la destinée des personnages de l'histoire avec des conséquences dramatiques.

J'ai lu ce livre il y a très longtemps, je ne me souvient donc plus trop de l'histoire, je me souvient simplement avoir adorer cette lecture, très facile et très accessible.
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Faire sortir des personnages des livres en les lisant à haute voix, qui n’en a jamais rêvé ? Parler à Elisabeth Bennet, rencontrer Peter Pan, interroger Ulysse, voilà un postulat qui offre une infinité de possibilités. Malheureusement, dans le cas de Cœur d’encre, la bonne idée ne fait pas le bon roman… Je m’attendais à de la magie, à des personnages originaux, et surtout à une mise en abyme autour de l’objet livre. Résultat : une magie quasi absente et totalement aléatoire quand elle daigne se manifester, des personnages archétypiques et aucune piste de réflexion profonde autour de la lecture.



Comme vous l’aurez compris, les héros de Cœur d’encre ont le pouvoir de faire sortir les personnages des livres lorsqu’ils lisent à voix haute. En contrepartie, un objet ou personnage du monde réel se retrouve aspiré dans le livre lu… Et c’est tout ! Pas de règle, cette magie se manifeste absolument quand elle veut, tout le temps, une fois sur deux ou jamais pendant plusieurs années ; l’échange de personnages va de la feuille d’arbre à l’épée en passant par le papillon et le facteur sans logique apparente. Aucun personnage ne m’a touchée : niais, pleurnichards, hystériques, ténébreux, tous les caractères m’ont paru clichés et dénués de complexité.



L’ayant lu en allemand, je ne suis pas en mesure d’analyser correctement le style ; néanmoins, j’ai trouvé ce livre démesurément long. L’histoire elle-même ne consiste qu’en de laborieuses allées et venues entre le danger et la sécurité, ponctuées de dialogues creux et délayés. Cornelia Funke a tendance à expliquer au lieu de montrer. Des dizaines de pages sont ainsi consacrées à l’amour des livres ou à la méchanceté de Capricorne : quand ce n’est pas répétitif, cela crée une fausse attente et partant, une déception (l’armée de Capricorne est une bande de motards armés de couteaux…). Aucune analyse sur la différence entre un personnage et un être humain, aucune véritable question philosophique n’est posée dans ce livre : les événements s’enchaînent presque malgré eux, et tout traîne tellement en longueur qu’il ne reste plus aucun suspens.
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L'auteur nous entraîne dans un univers fantastique et dangereux où la réalité se mélange à la fiction. L'intrigue se construit autour d'un livre mystérieux et du pouvoir des mots. Passions de l'écriture et de la lecture sont le fil rouge de ce récit d'aventure.

La collection "Flash fiction", adaptée aux "petits" lecteurs et/ou aux enfants dyslexiques, se dote d'un titre plus gros (180 pages) afin de suivre les progrès des jeunes lecteurs et de permettre le passage à des romans "normaux". Si les dessins sont un peu simplistes et l'histoire sans surprise, on suit avec intérêt la transformation progressive du héros. Celui-ci est à la fois fasciné par ses facultés nouvelles - son ouïe, son odorat et même sa vision nocturne sont sur-développés - et le dégoût que son nouvel instinct de loup lui procure. Il y a notamment une scène très réussie à ce sujet, lorsque Matt, affamé, est à deux doigts de croquer un lapin : "J'ai failli le tuer ! Le tuer et le manger. Tout cru.". Cet épisode où "il se faisait horreur" est déterminant pour la suite : Lisa s'appuiera sur la part d'humanité de son ami pour le sauver. Malgré tout, "je crois que je vais regretter le loup. Ce sera pas facile de redevenir petit, faible et lâche"... L'expérience aura néanmoins marqué à jamais le jeune garçon qui ne sera "plus tout à fait comme avant"...
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"Cœur d’encre" m’a été vivement conseillé par mon neveu et je me suis laissée tenter… et je suis ravie de la découverte. Bien que catalogué "Littérature jeunesse", j’y ai largement trouvé mon compte. J’ai retrouvé la même magie, le même plaisir, la même atmosphère que j’avais énormément aimés dans les livres de Pierre Bottero (les différentes séries des Marchombres ou d’Ewilan), le passage d’un monde à l’autre, de belles valeurs... Et puis, le thème principal, ici, ce sont les livres, l’amour des livres, des mots et des histoires qui sortent de ces amis de papier et d’encre. Et dans Cœur d’encre, sortir des livres est pris aussi au sens littéral du terme. Je me suis fortement attachée à la petite équipe d’amoureux des livres, Meggie, la jeune héroïne, son père Mo aussi appelé par certains (ceux du livre Cœur d’encre), Langue Magique, et Elinor, la grande tante de Meggie, excentrique, un peu dure d’apparence mais au cœur tendre et à la tête d’une collection absolument incroyable de livres dans sa grande maison. Ce trio va basculer à cause d’un livre très spécial (toujours le fameux Cœur d’encre) dans un drôle d’univers, celui de l’histoire du livre Cœur d’encre, que la voix de Mo a fait surgir des pages du livre. Et dans cet univers, dangereux, beaucoup de méchants, Capricorne en tout premier lieu, au cœur très noir, sans pitié, au cœur d’encre, et ses hommes de main, Basta, Nez aplati, Cockcrell… mais aussi Mortola, sa mère, Doigt de poussière, un saltimbanque maître du feu et sa drôle de martre à cornes, Gwinn. Un monde violent, sans foi ni loi qui s’adapte à notre monde à sa façon.

C’est très agréable à lire, le suspense est bien mené jusqu’au bout. Cœur d’encre est le premier tome d’une trilogie que je lirai bien évidemment car c’est pour moi un joli coup de cœur !


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Un très bon livre, qui nous permet de découvrir ce que cela ferait d'être plongé dans nos livres préférés ou de les voir prendre vie.

J'ai désormais fini le troisième et dernier tome de la trilogie et cela m'attriste beaucoup. En effet, cette histoire m'a beaucoup plu même si ce n'est pas ma favorite sur toutes celles que j'ai déjà lu. Ce tome a été plus sombre et triste que les autres mais il y avait aussi davantage d'action, ce qui nous tenait en haleine. Cependant, j'ai un peu moins accroché pour ce dernier tome que pour les deux premiers, je ne sais pas trop pourquoi. Je n'avais pas trop la motivation et l'envie de lire ces derniers temps et donc j'ai eu un peu de mal à m'immerger dans l'histoire. Les coupures que je faisais m'ont empêchée de m'abandonner à une lecture profonde de l'histoire. Mes critiques ne sont donc peut-être pas fondées.

De plus, j'ai trouvé les personnages moins attachants que précédemment, ils ont tous des choses à se reprocher et ne s'entendent plus du tout comme avant.

En outre, certains éléments de la fin m'ont un peu attristée, j'espérais d'autres événements finaux.

Mais bon chacun a ses préférences sur le déroulement des histoires et sûrement que beaucoup de gens ont apprécié cette histoire avec ce déroulement.



Malgré mes critiques je conseille vivement cette série, le deux premiers tomes en valent le coup à 100 % et le dernier aussi.

attendez.. ce livre est si peu connu que ça??

et je viens d'apprendre qu'il a étais adapter en film??

j'en ai loupé des choses depuis que je l'ai lu...

je me souviens d'avoir tellement aimé ce live que parfois j'y pense et mes pensées se tourne vers celui-ci.



pardonnez moi les fautes d'ortographe, je n'ai jamais étais ami avec celle-ci.



Je souhaite juste dire que coeur d'encre est magique.

littéralement.

il démontre que les mots sont forts, puissant.

et peut faire prendre conscience de choses.



lisez-le, vous ne le regretterais pas.

J'avais très envie de découvrir cette histoire, le résumé m'intriguait et je ne parvenais pas à me décider de l'emprunter. J'ai profité du déstockage de la bibliothèque associative pour l'acheter et le lire quasiment dans la foulée. Je l'incorpore au challenge de l'été organisé par Saefiel. Après lecture, je dois dire qu'il est particulier et que j'en garderais un bon souvenir, je suis même ultra curieuse de découvrir la suite.



Premier point qui m'a de suite séduite, c'est l'ambiance. C'est sombre, loin d'être très rose et joyeux, on navigue en plein fantastique, dans une atmosphère de course contre la montre, d'urgence, de perte, de malédictions... C'est très noir et l'ambiance ne conviendra pas à tout le monde, d'autant plus que les rares moments d'humour et de joie sont aussitôt contre-balancé par des révélations, des découvertes ou des avancées peu réjouissantes. Malgré cela, je suis très fan de cette atmosphère pesante et oppressante, elle correspond avec l'ambiance des contes d'origines, ce fantastique un peu lugubre et inquiétant.



Ensuite, on sent l'importance de plusieurs influences. L'Allemagne, dans les paysages, dans les références à la mythologie germanique, à cet aspect un poil nordique. La plus grande partie des références concernent les frères Grimm et leurs contes, connus ou méconnus, Cornelia Funke pose des petites choses çà et là qui m'ont enchantées, captivées. Je ne ferais pas toute la liste, mais j'ai apprécié cet apport culturel propre aux origines de l'autrice.



L'histoire m'a séduite. Elle possède des longueurs et des chapitres peu intéressants pour moi, toutefois, j'ai passé un excellent moment avec cette intrigue qui me rappelle fortement un conte. Nous avons une situation de départ, une quête menée par Jacob, un élément perturbateur (son frère), des affaires de malédictions, des rencontres avec des créatures fantastiques absolument inquiétantes et terrifiantes, de l'amour et des trahisons. Ce que j'aime, c'est cette sensation curieuse de savoir qu'il existait un avant. Jacob connaît ce monde alternatif au-delà du miroir, et même si on découvre cet univers via Clara et Will, on sent le lien qui rattache Jacob, on a de belles anecdotes... L'histoire est une belle promenade entre paysages enchanteurs, créatures magiques, rebondissements, émotions et actions.



Les chapitres sont plutôt courts et le final est totalement génial. Surprenant, horrible et captivant en quelque sorte, il donne très envie d'avoir la suite. La plume de Cornelia Funke est fluide, travaillée et précise, très détaillée et parfois envoûtante. J'ai adoré, c'est même un petit coup de cœur, ses illustrations en début de chapitre, elles entourent la page et forment un cadre autour du texte. Ce sont des illustrations en noir et blanc, simples et parfaites pour le récit, ça ajoute un petit plus dans le côté « conte » de la série.



Je finirais avec les personnages qui sont très sympathiques à découvrir. Les Goyls sont passionnants ; ce sont des créatures à la peau faite avec de la roche ou des pierres précieuses. J'ai beaucoup aimé en apprendre plus sur eux, sur la Sorcière qui accompagne le roi. Hentzau est particulièrement mystérieux, pareil pour Will dont la transformation est effrayante dans sa partie psychologique. Je suis très fan de la relation entre Jacob et Valiant, le marchand nain loin d'être une figure amicale. C'est une relation de travail, bourrée de haine, de rancune, de cynisme et pourtant, elle m'amuse. En ce qui concerne les protagonistes féminins, Fox m'a de suite enchantée, pareil pour l'impératrice que j'ai adoré. Jacob est certainement l'atout majeur de ce premier opus, tout en complexité, en nuances, c'est un antihéros intéressant à suivre.



En conclusion, tout est atypique dans ce roman qui ne plaira pas à tout le monde. Il lui manque un peu de joie de vivre, d'optimisme et de couleurs ; j'ai failli ne pas adhérer. C'est l'univers fascinant, l'intrigue bien menée, les références aux contes, à l'Allemagne et le traitement des personnages qui m'a donné envie de poursuivre cette lecture. On est loin d'être dans un coup de cœur, même si je le classe dans mes inoubliables. Cette ambiance sombre, j'ai mis du temps à l'apprécier et à voir les rares instants de beauté, de calme, d'amour comme de petites pépites à savourer. Je reste donc sur une très bonne découverte dont j'ai hâte de lire la suite.
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Dans la même lignée que Les royaumes du Nord ou Narnia, nous avons eu beaucoup de plaisir mon fils et moi à lire ce premier tome d’une trilogie. Beaucoup d’imagination dans ce tome et une belle affection pour les livres qui comporte son lot de surprises et de drames.

Ce livre parle de dragons qui sont dans une caverne, dans une vallée. Les hommes prévoient d’inonder cette vallée. Le plus vieux des dragons leur dit qu’il existe une autre cachette que les hommes ne connaissent pas, la lisière du ciel. Les autres dragons n’y croient pas et souhaitent essayer de repousser les hommes. Un seul dragon, Long, le croit. Il part chercher la lisière du ciel avec Fleur-de-Souffre, son amie kobolde. Ils sont rejoints par Ben, un enfant. Le roman raconte leurs aventures. Il réserve beaucoup de bonnes et de mauvaises surprises !

Ce livre m’a fait rêver et m’a donné envie de voyager : j’aimerais bien être à la place de Ben ! Certains passages m’ont fait rire. J’ai bien aimé les personnages de Fleur-de-Souffre, de Long et certaines créatures dont je ne parle pas pour ne pas dévoiler le livre ! Je l’ai vraiment aimé et je n’ai pas de critique.

Je recommanderais Le cavalier du dragon aux bons lecteurs qui aiment le fantastique, le suspense et l’aventure.

Lu à voix haute en avril/mai 2018



Loin des créatures menaçantes qui peuplent l’imaginaire des humains, les dragons de ce roman sont des êtres majestueux et inoffensifs qui se nourrissent exclusivement de lumière de lune. Alors qu’ils n’aspirent qu’à vivre paisiblement à l’écart des hommes, ils apprennent un jour que ces derniers s’apprêtent à inonder leur vallée. Où se replier ? La seule issue pourrait être la lisière du ciel, lieu légendaire dont se souviennent les ancêtres mais auquel personne n’ose croire. Personne ? Long, un jeune dragon, accompagné de son amie kobolde Fleur-de-Souffre entreprend un voyage long et hasardeux pour trouver ce havre de paix. Le périple sera rythmé par les rencontres – avec toutes sortes de créatures magiques, mais aussi avec Ben, un jeune garçon qui deviendra le cavalier du dragon. Long et ses amis devront faire preuve d’astuce, de courage et de solidarité pour faire face aux dangers et échapper au féroce Ortimore, le dragon doré, sans se faire remarquer par les humains…



Ce roman sympathique et original a particulièrement plu à mes enfants qui ont été captivés par les péripéties des héros. Il s’inscrit dans un registre merveilleux assez classique avec un univers manichéen peuplé de créatures fantastiques dans lequel nous suivons une quête initiatique rythmée par les aventures. Le Cavalier du Dragon se distingue pourtant à plusieurs égards : les être fabuleux empruntent au folklore germanique (les kobolds) et nordique (les nains de roche), aux légendes autour de l’alchimie (les homoncules), mais aussi aux contes des mille et une nuits (les djinns) et à la mythologie grecque (le basilic et le cheval Pégase). Ces inspirations composent un univers insolite, dépaysant et souvent drôle.



Elles sont, curieusement, ancrées dans le monde réel, avec des repères géographiques et sociaux assez précis pour pouvoir suivre Long et ses amis de l’Écosse à l’Himalaya. Nous avons lu le roman avec le globe terrestre à portée de main pour suivre le voyage que nous avons beaucoup apprécié. Des Alpes Suisses aux monastères bouddhistes d’Inde en passant par les chantiers de fouille archéologiques égyptiens, cette découverte du monde à dos de dragon s’est révélée tout à fait réjouissante.



La perspective est originale puisqu’il s’agit de venir en aide aux dragons et puisqu’il n’y a pas de héro à proprement parler, mais plutôt des amis qui parviennent à conjuguer leurs forces, les plus petits prêtant souvent main forte aux plus grands.



Mes garçons ont donc énormément aimé ce roman et ont ri de bon cœur des répliques de Fleur-de-Soufre et de sa passion pour les champignons. De mon côté, j’ai regretté, comme cela avait déjà été le cas dans Cœur d’encre, des méchants très caricaturaux et peut-être quelques longueurs. Ce livre offre aux jeunes amateurs du genre fantastique une parenthèse de rêve. À recommander aux bons lecteurs capables de digérer les 520 pages de ce pavé – en espérant que ce best-seller mondial soit bientôt réédité en français !
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Malgré une histoire étonnante, je n'ai pas réussi à terminer ma lecture ! L'intrigue traine en longueur avec une kyrielle de personnages secondaires, qui font perdre le fil conducteur...

Même après une longue attente, je me suis de nouveau laisser transporter de l’autre côté du miroir. C’était un vrai plaisir de retrouver Jacob et Fox, même s’ils traversent des évènements difficiles. Le récit est toujours aussi sombre et envoutant.  Et l’espoir essaie de tenir tête au suspense  et au mystère que fait planer l’auteure.

J’ai adoré l’intrigue pleine de rebondissements ainsi  la quête de Jacob et Fox. L’auteure exploite plus les personnages et on en apprend encore davantage sur l’univers qui est de l’autre côté du miroir. Il y a plus de légendes et de créatures à découvrir.

Jacob et Fox sont pour moi de plus en plus attachants et j’adore les suivre dans leur aventures passionnantes. On en apprend d’ailleurs plus sur la jeune fille, découvrant son passé. Et l’évolution de leur relation est parfaitement dosée. Petit à petit, ils prennent conscience des sentiments qu’ils ont l’un envers l’autre, sans devenir trop mielleux. On ressent vraiment qu’ils ont un lien spécial et unique.

Il me tarde de lire le troisième tome qui attend sagement dans ma bibliothèque. J’ai hâte de retourner de l’autre côté du miroir. Mais en même temps, je retarde ce moment car je n’ai pas envie de finir cette trilogie. Et de devoir quitter Jacob et Fox.

Un livre visuellement attrayant, une couverture mystérieuse et la plume de Cornélia Funke, voilà comment je me suis retrouvée de l’autre côté du miroir. Et dès le départ on est plongé dans l’univers  fantastique de Cornélia et les sublimes illustrations de l’auteure en début de chapitre ne fait qu’accentuer la magie et la beauté du récit.

L’intrigue est mouvementée  de péripéties, et il n’y a pas un seul moment où l’on s’ennuie. Les aventures de Jacob ne sont pas de tout repos. Et le suspense dur tout au long du roman, nous rendant difficile le moment de refermer le livre. Bien qu’il y ait des références de célèbres contes pour enfants, le monde de l’autre côté du miroir est sombre et dangereux.

Ce livre permet l’évasion, comme toujours l’auteure a su me transporter dans un autre monde, un univers différent peuplé de créatures fantastiques et de personnages intéressants. Jacob et Fox sont très attachants et sont mes protagonistes favoris.

Un vrai plaisir d’avoir retrouvé la plume de Cornélia. Elle a un style d’écriture captivant et je n’en attendais pas moins de l’écrivain de Cœur d’encre. Pour moi c’est un véritable coup de cœur, un pur bonheur de l’avoir dans ma bibliothèque.

Résumé : Tom doit descendre à la cave, alors qu’il déteste y aller, car il a l’impression qu’il y a des milliers d’araignées qui le guettent à l’intérieur. Et là, pas de chance, il rencontre un fantôme qui lui file une trouille énorme ! Personne ne le croit, sauf sa grand-mère qui l’envoie chez une amie qui pourrait l’aider à chasser son fantôme. Mais dans l’aventure, il va falloir aider le fantôme à chasser l’intrus qui habite dans sa maison… Tom en aura-t-il le courage ?



Mon avis : On passe un bon moment de lecture avec cette histoire de fantôme fort sympathique !



Tom est un petit garçon plutôt peureux, mais il frôle la crise cardiaque quand il rencontre un fantôme dans sa cave ! Et le fait qu’il découvre que ce fantôme, qui s’appelle Hugo, est un FMS, un Fantôme Moyennement Sinistre, ne le rassure pas pour autant.



Avec l’aide d’une amie de sa grand-mère, il va essayer de le chasser, sauf qu’Hugo n’a plus de maison à hanter, car il en a été délogé par un FIR, un Fantôme Incroyablement Répugnant, hautement dangereux et difficile à chasser !



Tom va devoir rassembler tout son courage pour aider Hugo à chasser l’intrus de chez lui et ainsi quitter sa cave !



J’ai trouvé ce roman facile à lire, sur le thème des fantômes qui est toujours accrocheur.



Les descriptions des fantômes, les traces baveuses et collantes qu’ils laissent, leur odeur de moisi, ou les procédés pour les chasser, comme le miroir ou le parfum de violette sont bien trouvés, ainsi que les différentes familles de fantômes.



Et surtout Tom va apprendre à grandir et à dépasser ses peurs pour venir en aide à Hugo.



Un roman pour frissonner tranquillement et grandir.
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Il était un roi, qui avait trois fils, qu’il élevait à la dure, pour devenir de preux chevaliers. Le jour où son quatrième enfant vint au monde, ce fut une fille. Mais la reine mourut en accouchant. Ne sachant comment élever une fille, il lui donna le même traitement qu’à ses fils. C’est pourquoi, lorsqu’elle eut seize ans et que son père voulu la marier au chevalier qui gagnerait le tournoi, la jeune fille ne l’entendit pas de cette oreille. Cachée sous une armure noire, elle participa au concours pour gagner sa propre main et avoir le droit de choisir son destin.



On commence notre sélection par un album particulier où le chevalier est une damoiselle ! Parce qu’après tout, les rôles de héros servant sont un peu trop souvent donnés aux hommes ; un récit où c’est la dame qui porte la culotte ne fait donc pas de mal. De plus, je suis sure que cette histoire n’est pas sans vous rappeler celle de Disney et de sa Mérida. Mais cet album a été écrit bien avant. Comme quoi, les idées viennent de partout.



Pour découvrir d'autres histoires de chevaliers, rendez-vous sur notre site !
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