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Citations de Damien Marie (101)


La putain de bientraitance dont on nous rebat les oreilles; process d’apaisement, réduction des antibios, qualité de la nourriture; élevage sur caillebotis…ou accès à des espaces paillés pour gagner son petit label en optimisant les mètres carrés de production…Qu’est ce que tu veux parler de bientraitance quand la finalité est de te bouffer?
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Dessiner c'est aussi écrire... c'est écrire dans toutes les langues à la fois ma chérie. Certainement le premier langage des hommes. C'est une forme d'expression infinie qui ne sera jamais limitée par un nombre de caractères, ni par des règles de vieux académiciens.
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- Si tu viens avec moi, c'est le vrai sérieux.
- Le vrai sérieux ?
- Je veux une bébé fille who's called Lilie and une maison dans la Normandie pour manger le camembert toute la vie.
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Alors t’as qu’à inventer une histoire, alors ! Je veux dedans : une princesse, un chaton, le loup, un château, un bâton arc-en-ciel, et… et des tout petits mignons cochons ! […] J’veux pas des loups gentils, je sais, je sais, je sais, on a qu’à avoir des cochons méchants qui encerclent le château, des cochons zombis !!!!
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Je tue des cochons du matin au soir, et une semaine sur deux, du soir au matin.
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- Merci, j'ai bien compris qu'on ne guérit pas d'Alzheimer !
- Nous faisons ce que nous pouvons pour...
- Pour quoi, hein ? POUR QUOI ?! Pour empêcher une fin inéluctable ? Pour retarder son isolement dans ses putains de vieux souvenirs à la con ?!
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Pas d’autres contacts, j’ai fouillé dans les réseaux sociaux de mes compagnons d’arts appliqués. Pour le peu que j’ai pu identifier, personne n’a construit une carrière artistique. Personne, à part Célia qui en vend. Je pensais être le seul à avoir raté le coche de mes ambitions. J’ai côtoyé une bonne centaine d’élèves dont il n’y a aucune trace publique de leur passion. Qu’est-ce qui peut bien broyer aussi systématiquement nos rêves ? Qu’est-ce qui ne marche pas avec moi, avec eux ? Nous étions tellement certains de nos destinées, si jeunes et si convaincus. Pourquoi il n’en reste rien ?
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Tu ne vas pas au bout du geste. Le cochon, c’est l’œuvre, il faut en faire quelque chose de fort. Un pitch visuel qui implique toute la démarche dans sa totale crudité. En l’état, je ne comprends pas ce que tu veux exprimer. Hirst l’aurait coulé dans une résine pour immortaliser sa naturalité. Plat le déshabillerait pour en faire une enveloppe formelle vide. Bertholon le composerait en trophées décalés : des demi-corps en taxidermie. Tu comprends la puissance, les messages ? Tu confonds processus de création et sentimentalisme. Tu as toujours été trop fleur bleue. L’art est une pulsion viscérale, tu ne peux représenter le geste d’art brut d’une jolie artiste autiste – super accroche, ça ! – et t’arrêter à une considération éthique.
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Je pense que nos actions dessinent notre devenir, alors en ça oui... ce que vous déterminez aujourd'hui influe sur ce que vous serez.
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Dessiner, c’est aussi écrire… c’est écrire dans toutes les langues à la fois.
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- Pourquoi vous faites ça, vous ? J’veux dire, distribuer des cafés et des madeleines aux paumés…
- Peut-être, parce que j’ai la chance de ne pas être perdue moi-même, et parce que je l’ai décidé. C’est plus simple de ne pas faire de choix, de rester chez soi quand il fait froid. C’est plus simple, mais je ne pense pas que je m’en satisferais.
(Page 121)
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Je pensais être le seul à avoir raté le coche de mes ambitions. J'ai côtoyé une bonne centaine d'élèves dont il n'y a aucune trace publique de leur passion. Qu'est-ce qui peut bien broyer aussi systématiquement nos rêves ? Qu'est-ce qui ne marche pas avec moi... avec eux ? Nous étions tellement certains de nos destinées, si jeunes et si convaincus. Pourquoi il n'en reste rien ?...
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Le monde des esprits est partout autour de toi.
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Je ne savais pas, je ne voyais pas. La question des sans-abris s’était toujours heurtée à mon bouclier de préjugés. La faute aux instances. Ou peut-être qu’ils étaient contraints par je ne sais quelle organisation… J’avais habillé mon malaise, la réalité est plus crue. Ils sont si nombreux, même ici, chacun avec son histoire. La fin de droits, l’expulsion, l’exclusion, la violence, la fuite, l’exil… Des récits douloureux, partagés malgré l’incohérence des propos, la barrière de la langue, malgré le traumatisme.
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5h00 jusqu'à Cherbourg.
Encore 2h00 de voiture et il faudra affronter la maison pleine de Jenny sur tous les murs...
Les meubles ... dans tous les tiroirs ...
Reprendre le travail. Consoler Petite Lilie.
Encore travailler.
Encore consoler Petite Lilie.
Et ne jamais pleurer.
Je suis le refuge.

(pages 22 et 23)
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Dessiner c'est aussi écrire... c'est écrire dans toutes les langues à la fois, ma chérie. Certainement le premier langage des hommes. C'est une forme d'expression infinie qui ne sera jamais limitée par un nombre de caractères, ni par des règles de vieux académiciens.
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Dessiner, c’est aussi écrire… c’est écrire dans toutes les langues à la fois.
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Retenez ça Edwards : un bison mort, c'est un indien affamé ! Venez faire vos photos, que le monde se souvienne des vrais héros américains... On vous paie pour ça !
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- Edwards était à Londres en 1888 pendant la série de meurtres...
- Comme des milliers de Londoniens.
- Il a été arrêté délirant dans Millers Court, à deux pas de chez Mary Jane Kelly. Le lendemain de son assassinat.
Son comportement hystérique lui a valu d'être interné au St Marys Hospital. Plus d'Edwards dans la nature, plus de meurtres.
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Froid dedans, froid dehors… Je regarde l’air que j’expire devenir brouillard. La journée n’est pas si terrible. Je suis à la cour depuis cinq heures. Ça se roule comme au défilé.
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