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Damien Marie (Autre)Laurent Bonneau (Autre)
EAN : 9782818997819
224 pages
Bamboo Edition (23/08/2023)
3.81/5   171 notes
Résumé :
“Et si votre imagination décidait de prendre corps pour changer votre vie ?”
Élisa est née il y a 5 ans déjà…
Un soir, parce qu’il n’y a pas de livres de contes à disposition pour l’endormir, Fabien invente, avec elle, une histoire fantastique.
Les jours suivants, des événements fortuits le renvoient à l’aventure qu’ils ont créée.
Bien que conscient que ce ne sont que des coïncidences, il y voit le signe qu’il doit changer de vie…
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Critiques, Analyses et Avis (87) Voir plus Ajouter une critique
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On va suivre le parcours d'un homme de la France d'en bas qui travaille dans un abattoir de cochons après avoir raté le coche d'une carrière d'artiste. Son épouse travaille également assez durement dans un hôpital comme personnel soignant.

Ils ont eu du mal à avoir un enfant mais le miracle a fini par arriver. Leur fille constitue le point d'orgue de leur vie accaparé par les contraintes professionnelles. Un soir, il invente une histoire à sa fille et le lendemain, par coïncidence, certains éléments du récit fictif arrivent dans sa vie. Il commence alors à se poser sérieusement des questions quand cela se reproduit les jours suivants. Est-ce un message pour signifier qu'il est temps de porter un autre regard sur ce qui nous entoure ?

La résonance sonne comme un conte qui nous dit qu'il faut changer sa vie et faire ce que l'on aime pour trouver le bonheur. Cependant, il va vite être rattrapé par la dure réalité dans un contexte économique difficile pour la France d'en-bas qui galère chaque jour.

La fin de cette BD est tout simplement horrible car il y a une double conclusion : une heureuse et la réalité. Comme dit, la vie n'est pas un conte de fée. Oui, mais si on lit des BD, c'est justement pour s'évader parfois et avoir un message positif et non d'un pessimisme sans nom.

Les auteurs ont choisi une voie qui est à contre-courant. Je n'ai pas aimé mais je salue ce choix assez audacieux. Bref, cela risque de ne pas plaire à tous les lecteurs.
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Neuf ans après « Ceux qui me restent », Damien Marie et Laurent Bonneau reviennent avec un nouveau one-shot qui invite cette fois à suivre le parcours de Fabien, un jeune homme qui rêvait d'une carrière d'artiste, mais qui doit finalement se contenter d'un travail à la chaîne dans un abattoir de cochons afin de parvenir à boucler les fins de mois difficiles. S'il ne croise plus trop sa femme, qui enchaîne les gardes de nuit dans un hôpital, il s'accroche au petit rayon de soleil qui illumine la vie du couple depuis cinq ans. Arrivée sur le tard, après de nombreuses fausses couches, des inséminations artificielles et des fécondations in vitro, la petite Elisa déborde non seulement d'énergie, mais également d'imagination. Ce sont d'ailleurs les histoires qu'elle invente le soir avant de rejoindre les bras de Morphée qui vont subitement réveiller la flamme artistique qui sommeillait en lui…

Damien Marie, dont je suis grand fan depuis « Welcome to Hope », nous plonge dans la France d'en bas, au coeur de cet engrenage pervers qui pousse les gens à mettre leurs rêves de côté au détriment d'une réalité économique souvent cruelle, obligeant à accepter des métiers à la con pour joindre les deux bouts, tout en s'accrochant aux petits moments de bonheur, allant de bières entres amis au rituel du soir qui permet à son enfant de trouver le sommeil.

Damien Marie rend hommage à ces artistes qui voguent à contre-courant d'une société où l'argent est roi, tout en dénonçant les dérives d'un art devenu lui-même commerce. En suivant les pas d'un ancien étudiant des Arts Appliqués, condamné à tuer des porcs pour survivre, l'auteur met le doigt là où ça fait mal, invitant à réfléchir sur notre société, sur ces familles qui galèrent au seuil de la pauvreté, sur les laissés pour compte, sur l'abrutissement du travail à la chaîne, sur l'élevage intensif et sur la création artistique… pour finalement proposer deux fins alternatives à son récit : une heureuse, imaginée…puis celle, plus probable, qui résulte de la dure réalité.

Visuellement, Laurent Bonneau propose des planches très aérées, qui permettent de saisir les petits instants de la vie, ces silences et ces non-dits qui capturent les moments de tristesse ou de joie qui jalonnent l'existence. Installant immédiatement l'ambiance adéquate en alternant les teintes au fil du récit, il installe son graphisme au diapason des émotions véhiculées par le scénario. Et que dire de ces planches tout bonnement magnifiques où l'univers onirique de la fillette se superpose à merveille à la réalité du père ?

Quand l'art rend hommage à ceux qui ont le courage de l'exercer, on ne peut qu'applaudir !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Très belle qualité graphique, très bel album relié, soigné dans sa présentation, avec notamment un papier épais qui invite à bien sentir les pages et avec elles l'histoire lorsqu'on les tourne.

J'ai beaucoup aimé ce graphisme, ces personnages taillés à la hache, ce dessin tout en finesse pour les personnages féminins, ces grandes planches en pleine page, et même en double page pour le cerf et toutes ces couleurs changeantes selon l'évolution de l'histoire.

Mais celle-ci m'a laissé à la sortie de l'abattoir, comme ce pauvre homme qui veut quitter son boulot parmi les cochons saignés. Il raconte le soir des histoires à sa fille que j'ai trouvée détestable, une gamine qui veut tout immédiatement, père et mère restant désemparés devant cette gosse qu'ils ont eu beaucoup de mal à concevoir, ils sont donc prêts à satisfaire coûte que coûte ses exigences.

Il me semble qu'il y avait de la matière sur un scénario original et porteur, l'abattoir, la jeune artiste autiste tatoueuse de cochon, les sdf et l'armée du salut, mais ces thèmes sont juste effleurés. le couple de parents est-il encore un couple amoureux, écrasés par les contingences de leurs boulots, l'un travaillant de jour, l'autre de nuit? On peut penser que oui, mais cet aspect de leur vie sentimentale est lui aussi très peu abordé.

On a quand même deux fins alternatives qui sauvent un peu le scénario, ce roman graphique brillant, à mon goût, par l'esthétique et le raffinement de ses dessins qui traduisent jusqu'aux plus petits détails l'atmosphère pesante de la vie de cette famille.
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Fabien raconte une histoire à sa fille Élisa, cinq ans. Cela peut sembler banal, sauf que ce récit fantastique qu'il invente sur le moment semble débouler dans sa vie, de quoi perdre ses repères. Ceci amène cela et voilà que Fabien se pose pas mal de questions. Il a un travail abrutissant aux abattoirs et, soudain, réalise qu'il pourrait changer de vie.
Mais qu'en pense sa femme pour qui la vie aussi est difficile car son quotidien à l'hôpital est épuisant. Pourtant, leur vie va changer, et pas forcément pour le mieux, mais il y aura du rêve, grâce à un porc réformé. L'inattendu peut se cacher dans des choses fortuites et ouvrir grand la fenêtre à d'autres possibles
L'auteur aborde le thème du travail sans avenir et abrutissant, des fins de mois difficiles mais aussi la différence avec une jeune femme autiste. C'est à ses côtés qu'il va reprendre le chemin de l'art, abandonné depuis longtemps. Et si tout pouvait changer ? Et si ce n'était pas trop tard ? On se met à espérer à ses côtés.
Heureusement, au milieu de ce marasme très sombre, on trouve des moments de grâce auprès des amis et de la fillette, et on se prend à rêver à autre chose, comme Fabien.

L'auteur a su décrire une réalité dure, sans avenir dans une société sans concessions.
Les couleurs, qui changent au fil du propos, découpent le texte selon les moments de vie.
J'ai aimé les personnages, et leur façon de s'exprimer. Il y a une émotion tangible à travers les dessins et les dialogues. Tout cela est très réaliste mais aussi laisse sa place au rêve.
Une belle lecture qui m'a touchée.

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Après des années de tentatives, Fabien et Aude sont, enfin, les parents de la petite Élisa, qui, aujourd'hui, a presque 6 ans. Un bonheur qui enchante leur quotidien pas toujours rose. Elle travaille à l'hôpital public, arrangeant ses gardes en fonction de Fabien qui, lui, tue des cochons du matin au soir ou du soir au matin. Une situation qui fait qu'ils ne se voient pas beaucoup. de plus, Fabien ne s'épanouit pas du tout dans son travail qui ne devait être que temporaire. le soir, Fabien s'octroie un moment rien qu'avec sa fille au cours duquel il lui lit une histoire ou parfois en invente à partir de personnages imaginés par celle-ci. Or, le cerf majestueux de l'histoire, Fabien le croise, étonnamment, le lendemain. Et lorsque, plus tard, sa fille imagine un cochon avec un beau tatouage de coeur, Fabien n'en revient pas, alors qu'il se tient au poste de contrôle de l'arrivée des animaux depuis les fermes voisines, d'en voir justement un...

L'imagination d'une petite fille peut-elle faire dévier le cours de la vie ? Quel sens donner à sa vie, partagés que nous sommes, parfois, entre la passion et la raison ? Après l'émouvant « Ceux qui me restent », le duo, Damien Marie et Laurent Bonneau, revient avec un roman graphique tout aussi fort et poignant, à la fois contemporain et fantastique. À partir de cette famille soumise aux contraintes de la vie, lui trouvant son travail à l'abattoir de plus en plus pénible et dur, elle devant faire face au peu de moyens de l'hôpital public, l'auteur nous plonge dans une chronique sociale introspective, teintée d'une certaine mélancolie. Fabien veut donner un nouveau sens à sa vie et à son travail. En cela, l'imagination de sa fille et sa rencontre avec cette gamine autiste et artiste vont l'y aider. Si les personnages sont remarquables de réalisme, les dialogues n'en sont que plus forts tant chaque mot semble pesé. Graphiquement, Laurent Bonneau donne vie à ce scénario. le trait, lui aussi réaliste et tout en finesse, a su capter toutes les émotions et l'ambiance, tour à tour réelle ou évocatrice. Ses planches, en bichromie, originales et puissantes, sont juste magnifiques.
Un album sensible...

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critiques presse (5)
BDGest
12 septembre 2023
Dix ans après "Ceux qui me restent", avec un album de la même veine, superbement rempli des riens de la vie. [...] "Ceux qui me touchent" est de ces albums à côté desquels il serait dommage de passer !
Lire la critique sur le site : BDGest
LeMonde
28 août 2023
L’ouvrage reste longtemps à l’esprit.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LigneClaire
23 août 2023
La mise en scène, les ambiances, la profondeur des regards, la tristesse ou la joie, les petits bonheurs, les espoirs, 224 pages qui ont une force émotionnelle incroyable.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
BDZoom
22 août 2023
Un ouvrage qui frappe fort, puisqu’il nous parle, en mettant le doigt où ça fait mal, à la fois du processus de la création artistique, de la condition animale, et de l’abrutissement du travail à la chaîne.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Bedeo
31 juillet 2023
"Ceux qui me touchent" est une BD qui frappe fort et qui touche juste, l’histoire d’un homme à la dérive, d’un couple, d’une famille, et un regard lucide sur notre société, celle qui a opté pour l’économie au prix de nombreux humains abandonnés sur le bas-côté de la route de la réussite.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
Des barreaux pour entrer, ou pour que rien ne sorte… La grande fabrique de viande. À droite, des centaines de milliers de barquettes alléchantes s’entassent dans les camions frigo pour rejoindre de lumineux rayons. À gauche, des camions à bestiaux de trois étages déversent leur cargaison de porcs qui ont été engraissés au plus vite, avec bientraitance bien sûr. La putain de bientraitance dont on nous rebat les oreilles ; process d’apaisement, réduction des antibios, qualité de la nourriture ; élevage sur caillebotis, ou avec accès à des espaces paillés pour gagner son petit label en optimisant les mètres carrés de production. Qu’est-ce que tu veux parler de bientraitance quand la finalité est de te bouffer ? J’ai rien d’un végétarien, j’en mange ma part, mais qu’on vienne pas me bassiner avec un marketing de bonne conscience. Venez ici, faites une petite visite guidée du marché de la mort avant de parler du bien-être animal, ça laisse rarement indifférent. Avec la réfrigération, l’odeur devient épaisse, graisseuse. Elle s’infiltre dans tout. Le bruit continue de la chaîne de carcasses qui défilent devant vous ; des milliers de carcasses chaque jour. Ça vous hante les rétines, le frigo de Dante et Bosch. Je redoute toujours la promiscuité du vestiaire. Silencieux. Pas de blagues graveleuses, pas de posters à la con. Juste des yeux qui s’éteignent. Des morts qui sont vivants quand même. T’as mille fois raison, ma puce. Doublure molletonnée, combinaison, tablier, bouchons d’oreilles, charlotte, casque, masque, bottes, désinfection des bottes ; le process, encore le process. Alain, le chef d’équipe, m’indique mon poste du jour : le crachoir. C’est pas pire. À l’extérieur, les cochons avancent enclos par enclos ; stabulation et diète pour une phase de destress. Cherchez pas d’empathie là non plus, le stress, c’est surtout mauvais pour la qualité du rôti et vingt-quatre heures sans bouffer c’est aussi moins de merde à vider. J’vous ai pas promis du rêve. Puis les cochons sont poussés vers les tunnels d’électrocution. Le tapis roulant les entraine à chevaucher un pont sous leur ventre qui finit par les soulever pour qu’ils ne touchent plus le sol. En lévitation dans le canon d’un revolver. Alors leurs 110 kilos engraissés en six mois reçoivent une décharge de chaque côté de la tête et sur le cœur. Leur corps se raidit, le choc les anesthésie instantanément. Le crachoir les jette, tête en bas, sur un toboggan, comme des valises à l’aéroport ils dégringolent vers moi qui leur enfonce le trocart dans la carotide. Un aspirateur à sang pour les vider de leurs 5 à 7 litres en quelques secondes. Pas plus. Le crachoir jette un porc sur le toboggan environ toutes les 10 secondes, 16 heures par jour, 5 jours sur 7. 25.000 cochons tout roses par semaine. J’ai à côté de moi mon aiguillon électrique pour les bêtes qui bougent encore trop. C’est souvent. Je vous jure, c’est pas le pire poste. L’éviscération, je ne vous en parlerai pas.
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C’est au départ assez simple. Deux humains… Souvent un lit et quelques minutes de sueur. Quelque chose qu’on ne contrôle plus. Des corps qui parlent. C’est assez simple. Mais ça ne l’a pas été. Alors, j’ai arrêté de fumer… Spermogramme, bilans de fertilité… Recherche de facteurs génétiques. Et puis Aude a morflé ; insémination artificielle, fécondation in vitro… Une fois, deux fois, trois fois… Espoir, fausses couches, encore et encore… Les putains de fausses couches. Et puis les gamins des autres, partout des mômes qui naissent comme une pluie de bonheur, un bonheur qu’on te précise ne pas pouvoir imaginer. Et les jeunes papas au bar te dégueulent la vraie chance que tu as d’avoir tes nuits à toi, de ne pas connaître l’enfer des biberons et des couches.
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Dessiner, c’est aussi écrire. C’est écrire dans toutes les langues à la fois, ma chérie. Certainement le premier langage des hommes. C’est une forme d’expression infinie qui ne sera jamais limitée par un nombre de caractères, ni par des règles de vieux académiciens. En dessinant, tu pourras toujours te faire comprendre.
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Tu ne vas pas au bout du geste. Le cochon, c’est l’œuvre, il faut en faire quelque chose de fort. Un pitch visuel qui implique toute la démarche dans sa totale crudité. En l’état, je ne comprends pas ce que tu veux exprimer. Hirst l’aurait coulé dans une résine pour immortaliser sa naturalité. Plat le déshabillerait pour en faire une enveloppe formelle vide. Bertholon le composerait en trophées décalés : des demi-corps en taxidermie. Tu comprends la puissance, les messages ? Tu confonds processus de création et sentimentalisme. Tu as toujours été trop fleur bleue. L’art est une pulsion viscérale, tu ne peux représenter le geste d’art brut d’une jolie artiste autiste – super accroche, ça ! – et t’arrêter à une considération éthique.
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Alors, il était une fois une princesse si belle et si douce que même son chaton n’était pas si doux. Mais les murs de son château étaient devenus sa prison depuis que la forêt grouillait de cochons zombis qui passaient leur journée à gratter la terre à la recherche de choses à dévorer. Tous les jours, leurs sabots frappaient aux portes du château. Seul le chevalier à la baguette arc-en-ciel, qui avait déjà fait fuir le loup, pourrait la libérer.
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