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Critiques de David Weber (405)
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Le dieu de la guerre, tome 3 : Cavaliers du..

Troisième tome des aventures de Bazhell Bahnakson après Le serment de l'épée et Le Champion de Tomanak.



Petit rappel des épisodes précédents :

Notre champion Hadrani a fait la connaissance d'une autre championne de Tomanak : Kaeritha Seldandottir. Il a crée un orde de Tomanak, le premier a intégrer des Hadranis. Grâce à ce renfort inespéré, il a pu vaincre les avatars d'un des dieux des Ténèbres : Sharna, au temple Navahkien. Sur sa lancée il a stoppé une invasion Sothoï en s'alliant contre toute attente, et après une résistance héroïque et désespérée à un Sothoï plus "raisonnable" : Le comte Tellian.



Au début du roman, Bazhell est l'hôte de ce comte, avec rang d'ambassadeur afin de trouver un terrain d'entente entre Sothoï et Hadranis. Mais un champion Hadrani et une championne, sont deux particularités difficile à accepter pour les Sothoï rétrogrades, phallocrates et qui vouent une haine millénaire aux Hadranis.

D'autant qu'après Sharna, Krahana et Shigu, deux puissants Dieux des Ténèbres, comptent bien semer la discorde et imposer le règne noir au monde des humains. Et ils ont choisi l'empire Sothoï comme point de départ.



Weber utilise la même trame narrative que dans ces derniers romans de sf : Trois quart de mise en place, de politique, et un dernier quart d'action pure qui ne ferait pas honte à Gemmell.

On retrouve également une particularité déjà expérimentée (entre Honor et Nimitz, pour les intimes) : La fusion homme-animal en faisant connaissance de nouveaux personnages : Les cavaliers du vent.



Un roman pour les habitués de Weber qui ont déjà lu les tomes 1 et 2 de la série.
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Honor Harrington, tome 1 : Mission Basilic

Voici un livre que je n’aurais jamais découvert sans aller piquer des idées sur Babélio et pour ce coup en particulier chez Mister Fnitter :-). Je ne risquais pas de tomber dessus par hasard (le livre, pas Fnitter hein !) car il est en attente de réédition. Il n’est plus disponible dans les librairies suisses et j’ai finalement pu commander le dernier exemplaire neuf en vente sur Amazon (ouch c’était moins une !)



Mais alors….comme on dit en Suisse : « Dedjeu c’était bien ! »



Ce qui est évidemment totalement subjectif… mais en ce qui concerne mes goûts c’est vraiment le livre parfait. Tout y est, pas une page de trop, pas une page qui manque, montée d'adrénaline et angoisse assurée !!. Et cerise…cerisier tout entier sur gâteau, l’aventure est loin d’être finie puisque j’ai cru comprendre qu’il y avait 12 tomes en tout :-) gnarf, gnarf, gnarf



Honor Harrington, réalise enfin son rêve en prenant le commandement de l’intrépide, vaisseau spatial de la flotte de Manticore après avoir passé avec brio toutes les étapes de sa formation et de sa jeune carrière.



Cependant les choses démarrent très mal et elle se voit affectée avec son équipage à la surveillance d’un poste douanier au terminus de Basilic qui a été laissé pour compte par la Flotte durant des décennies et qui n’intéresse personne au plan politique sur Manticore.



Délaissée par sa hiérarchie, abandonnée à une tâche dont la charge dépasse de loin les capacités de son seul croiseur dont l’équipage est limité en nombre, elle décide néanmoins de prendre à bras le corps sa mission et de faire respecter les règles de la Flotte dans cette zone de non droit ou les contrebandiers sont légions. La tâche sera d’autant plus ardue qu’elle ne bénéficie pas du soutien de son propre équipage la tenant pour responsable de cette malheureuse affectation alors qu’en plus son propres commandant en second ne rêve que de la voir échouer.



Je n’en dirais pas plus sur l’histoire mais au fil des pages, Honor Harrington sera déterminée, brillante, exemplaire…. Héroïque !!!. Elle saura faire ressortir le meilleur de chacun des membres de son équipage, qui finiront par s’unir et faire corps autour du « pacha » afin de déjouer les plans des infâmes Havriens qui complotent en secret.



Batailles épiques, diplomatie, politique, jeux de pouvoir autour de personnages charismatiques et héroïques au fil d’une histoire pleine de suspens, de tensions et d’incertitudes.



Livre épique… bonne lecture à tous les fans de space opéra :-)
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Honor Harrington, Tome 4 : Au champ du déshon..

Moins d'action dans ce tome.



Quatrième et dernier tome édité en poche, la suite n'étant disponible que chez l'éditeur original.





Suite directe et sans temps mort du tome précédent, le livre s'ouvre sur le procès de Pavel Young, couard à la bataille de Hancock, où Honor s'est, elle, illustrée.

Ce procès s'annonce difficile, car le comte de Nord-Aven, père de Young possède une certaine influence politique dans l'opposition, sans compter quelques dossiers secrets bien embarrassants et pèse ainsi sur le gouvernement qui a du mal à déclarer l'état de guerre.

L'issue de ce procès sera d'ailleurs lourd de conséquences.





Pas de batailles spatiales dans ce tome, et d'ailleurs assez peu d'action, mais ce n'est pas une raison pour bouder notre plaisir. Les développements politiques sont très intéressants à lire et Weber nous maintient en tension tout au long du livre, bien qu'on ait aucun doute sur l'issue prévisible.

Un livre charnière, qui marque un tournant dans la carrière de notre Capitaine préféré.

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Honor Harrington, tome 6.2 : Mascarade silési..

La chasse aux pirates en Silésie ! Et oui, c'était le seul moyen pour Honor de retrouver le service actif au sein de la flotte royale manticorienne après avoir été soigneusement évincée par ses pires ennemis dans le tome 4 de la série.



Elle va donc accepter cette affectation mineure et laisser provisoirement son poste d'Amiral, et second de la flotte royale graysonniène pour prendre la tête d'une petite escadre de 4 navires marchands manticoriens qui auront étés préalablement modifiés pour contenir un armement de pointe dans le but de mettre un terme aux actes de piraterie qui se multiplient dans la région marchande de Silésie.



N'imaginez pas une seconde que vous allez vous ennuyer en lisant cette 6ème aventure d'Honor Harrington. Un fois de plus David Weber nous captive de la première à la dernière page, sans relâche. Abordages, attaques surprises, sauvetages, négociations et politique sont au menu de cette aventure épique.



Le livre est plus long que d'habitude avec 600 pages, divisées en 2 tomes par l'éditeur qui manifestement essaie d'arrondir les fins de mois... ce qui ne me dérange pas car finalement c'est bien plus agréable en main qu'un pavée de 600 pages.



David Weber en profite pour encore mieux développer son histoire et ses personnages. Il s'intéresse cette fois de plus près aux problèmes au sein de l'équipage avec un nouveau personnage, Audrey Wanderman, technicien en informatique, un bleu qui reçoit sa première affectation et qui va avoir affaire à la pire racaille qui compose malheureusement le nouvel équipage d'Honor, fait de membres dont leurs anciens commandants ont étés heureux de se débarrasser.



Cette partie de l'histoire est très intéressante et très prenante.



Bref, tout y est pour passer un très très bon moment, alors si vous en êtes déjà au tome 5, n'hésitez pas. Honor Harrignton c'est comme le bon vin, plus les années passent mieux c'est et chaque tome est non seulement au moins aussi bon mais bonifie globalement la série.



Note 6/6

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Le dieu de la guerre, tome 2 : Champions de..

Second tome des aventures de Bazhell Bahnakson après Le serment de l'épée, Tome 1 :.



Petit rappel du background :

Dans une civilisation moyenâgeuse cohabitent plusieurs races d'hommes : les Hommes, les Nains, les Elfes et Mi-elfes (absents de ce tome), gnomes et les Hadranis mesurant environ 2.5m, oreilles de renard et possédant la rage (résultant d'un ensorcellement qui a fait d'eux à l'époque les troupes de chocs des forces du mal) : une fureur meurtrière extrêmement puissante.

Sur tout cela se greffent des dieux (qui interviennent parfois dans les affaires des hommes), dieux de la lumière dont le plus puissant est Tomanak (dieux de la guerre) et dieux des ténèbres, et bien sur un puissant sorcier blanc.



Dans le serment de l'épée, Bazhell, Hadrani des voleurs de chevaux, est contraint de fuir, en compagnie de son fidèle ami Brandark, après avoir sauvé une femme Hadrani des griffes d'un prince malveillant au service des dieux des ténèbres. Chemin faisant, il va devenir le champion de Tomanak, tuer le prince Harnak, fils du roi des épées sanglantes (les deux tribus étant en froid (doux euphémisme)), sauver une autre femme destinée à devenir une puissante magicienne, échapper à la guilde des assassins dépêchés à sa poursuite et terrasser un démon envoyé par les forces des ténèbres.

A la fin du premier roman, il embarque sur un bateau dirigé par des gnomes pour rejoindre le royaume de son père.



Ce second roman raconte son voyage mouvementé, sa prise de contact avec l'ordre de Tomanak (des chevaliers ayant prêté serment à l'épée de Tomanak, défenseurs des faibles et de la justice) et le conflit qui va se dérouler entre les voleurs de chevaux et les épées sanglantes sous le regard (??) des Sothoïs, race d'homme frontalière des Hadranis avec lesquels, les rapports sont pour le moins mouvementés.



Nous avons d'abord un premier tome (ou une première partie puisque la séparation en deux tomes est du fait de l'atalante, en vo, le roman est unique) assez lent et un peu trop bavard, centré sur le voyage de Bazhell mais qui permet de se remettre doucement dans le bain et retrouver les différents protagonistes de l'histoire.

Le second tome (seconde partie) est centré sur les différents conflits impliquant les voleurs de chevaux. Il est beaucoup plus nerveux, plus rythmé, plus... tout.



Quelques très belles scènes d'action et de combat. Toujours beaucoup de politique (assez habituel chez Weber). Un ton décontracté et emprunt d'humour. Bref un livre assez divertissant.
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Le dieu de la guerre, tome 1 : Le serment d..

Indécrottable fan de David Weber, j'ai acheté le serment de l'épée avant tout pour son auteur.

Relativement néophyte en Héroic Fantasy, j'ai apprécié ce roman.



Bahzell Bahnakson est puissant mais profondément "humain", droit, avec un sens de l'honneur particulièrement developpé, ce qui va lui attire des ennuis à plusieurs reprises d'ailleurs.

Contraint de s'enfuir, il va vite être rejoint par son meilleur ami, s'engager comme garde d'une caravane de marchand puis garde du corps d'une femme en détresse qui est plus qu'elle ne le laisse paraître.



Tout cela pourchassé par ceux qui ont juré sa perte.

Pas de grandes batailles rangées impliquant des milliers de combattants de toute race et générant des océans d'hémoglobine, mais le récit est ponctué malgré tout de nombreuses scènes à l'épée (vous vous en doutez) de combat individuel ou en petit groupe, superbement décrite par un david Weber en forme...



Le style de weber, la lecture aisée, simple mais pas simpliste. Un nouvel univers developpé de main de maître par Waber.

On s'attache rapidement au héros, l'histoire est agréable à lire, on attend la suite.
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Honor harrington, tome 9.1 : Les cendres de..

Le compte n'y est pas.





Honor est de retour, mais diminuée physiquement. le temps de la remettre d'aplomb, l'amirauté va lui proposer un défi à la hauteur de ses talents : l'enseignement, notamment au CPT (le centre de perfectionnement tactique) au centre de Sagamani.

On parlera des chats sylvestres, suite à la blessure de Nimitz, qui nous amènera sur un virage intéressant quant à leurs capacités.

De la politique manticorienne, havrienne et Graysonniene, du complot.

Heureusement, dans tout cela, on parlera quand même un peu de la flotte (manticorienne et havrienne).





Comme je l'ai dit en titre, le compte n'y est pas. le rythme est trop lent et il faut attendre quasiment la fin du premier tome pour avoir un peu d'action, cette action qui fait tout le sel des romans de Weber sur Honor Harrington.

Alors oui, les repas d'Honor dans son manoir autour d'exercices de tactique sont savoureux. Les manoeuvres politiques de tous bords restent bien tordues, mais il manque à ce roman un équilibre avec l'action au sein de la flotte (pas forcément et uniquement les combats d'ailleurs).





Un additif particulièrement intéressant par contre en début de roman : les plans des SCPC (Super Cuirassé Porteur de Capsules) et une représentation à l'échelle de tous les bâtiments de la flotte du contre-torpilleur au SCPC et leurs munitions.

A suivre donc...
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Honor Harrington, tome 8.1 : La disparue de..

Après un tome (Aux Mains de l Ennemi) un peu décevant (attention, tout est relatif hein ?), on revient ici avec un roman d'enfer.



Honor s'est évadée et va devoir développer des trésors d'imagination pour s'échapper de l'Enfer, la planète prison de la RPH, considérée comme la meilleure prison de l'histoire de l'humanité.

Pendant ce temps, les Manticoriens vont mettre en oeuvre un nouveau matériel : Les Porte-BAL et les BAL (Bâtiment d'assaut léger), un dérivé adapté à l'espace des antiques porte-avions. A titre de comparaison, un porte-avions "moderne" pèse de 40 à 90.000 tonnes et un avion de combat de 9 à 35 tonnes. le P.BAL lui pèse 6 millions de tonnes et un BAL 20.000 tonnes...

Et tout cela sans compter sur Havre qui va mettre enfin, quelqu'un de compétent au ministère de la guerre et des amiraux également compétents et pugnaces qui vont porter la guerre sur le terrain de Manticore.



Vous aurez compris, que sans délaisser le côté politique, on va avoir le droit à de l'action tout azimut. La licence Honor Harrington est désormais bien rodée et malgré des romans toujours plus gros, on ne s'ennuie pas une seconde.

Un excellent opus.
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Honor Harrington, tome 5 : Pavillon de l'exil

Retour de l'action.



Il s'agit du cinquième et dernier tome publié en un seul livre. Par la suite, l'Atalante coupera systématiquement l'oeuvre de Weber en deux, au grand déplaisir de notre porte-monnaie.





Suite aux événements développés dans Au champ du déshonneur, Honor Harrington s'est volontairement exilée sur Grayson pour y occuper sa fonction de Seigneur. On pouvait penser (craindre ?) alors un roman dans la même veine que le précédent. Il n'en sera rien. Que les "frustrés" par l'absence de batailles spatiales du tome 4 se rassurent, l'auteur se rattrape en nous offrant quelques beaux morceaux de bravoure.





L'histoire se partage entre les tribulations de notre héroïne sur Grayson et son rôle d'Amiral de la flotte de cette planète, désormais à bord d'un Supercuirassé de 8 millions de tonnes, 4 km de long sur 600 mètre de larges, embarquant 6.000 personnes et commandant une escadre de 6 vaisseaux du même tonneau... et l'on compte sur Havre pour persévérer dans son erreur de s'en prendre à ce système stellaire...





Grayson étant un état théocratique, Dieu et la foi prennent une part non négligeable du roman et l'auteur disserte assez longuement sur les considérations religieuses, ce que l'homme peut faire au nom de la foi et les imbroglios des états où gouvernance et religion se mêlent intimement. Il reprendra d'ailleurs ces idées dans d'autres romans comme Les héritiers de l'Empire et surtout dans sa série Sanctuaire et son premier tome : Cap sur l'Armageddon.

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La voie des furies

Décidemment j’adore ce que vous faites Monsieur Weber ! « La voie des furies » est un space opéra époustouflant.



En lisant ce livre je me suis dit que ce serait vraiment un bonne idée qu’il y ait un jour un film retraçant une aventure épique sur le « Faucon millenium » (vaisseau de contrebande de Han Solo dans Star Wars) avec à son bord Han Solo et Lando Clarissian qui partiraient à l’aventure contre les pirates et les contrebandiers en tout genre.



Eh bien dans la voie des furies c’est encore mieux ! Nous voici dans un univers très proche de la série d’Honor Harrington en compagnie d’Alicia De Vries, jeune et jolie (voir la couv) capitaine du Cadre Impérial (forces spéciales) et déjà à la retraite pour des raisons que vous découvrirez en lisant le livre.



Alors qu’elle vit paisiblement sur une planète très calme, au sein de sa famille, entourée de ses proches, sa vie va basculer alors que des pirates attaquent le village et détruisent toute présence humaine. Alicia s’en sort miraculeusement grâce à Tisiphone, un esprit bienveillant qui pénètre son propre esprit et va la maintenir en vie jusqu’à l’arrivée des secours.



Une fois soignée par les équipes du Cadre, Alicia n’aura de cesse de se venger à tout prix et Tisiphone, la Furie qui vit en elle, compte bien l’aider dans sa quête.



Alors que la Flotte Impériale vient de sortir le dernier né de ses vaisseaux de guerre, un Synth Alpha Impérial, vaisseau doté d’une Intelligence artificielle de la plus haute technologie et armé jusqu’au dents, Alicia et Tsiphone vont le voler non sans mettre une panade incroyable au sein même des installations militaires de l’empire.



Ce qui rend ce vaisseau unique et redoutable tient dans le fait que son commandant doit fusionner son esprit avec celui de l’IA et autant vous dire qu’entre la Furie et l’IA ce ne sera pas l’amour fou. Cela va d’ailleurs apporter beaucoup d’humour à ce livre et certains passages sont très drôles.



Dès lors, Alicia est recherchée mort ou vive par les forces de l’empire pour haute trahison alors qu’elle même et « sa petite équipe » vont, sous couverture, infiltrer au plus profond les réseaux de contrebandes pour remonter jusqu’au sommet de la hiérarchie dans le but de détruire ceux qui ont tués les siens.



Pour ceux qui aiment ce type de lecture, jeter-vous dessus, vous allez adorer ! Livre estampillé « aventure épique inside » par Wiitoo

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Honor Harrington, tome 6.1 : Mascarade silési..

Sixième opus des aventures de notre héroïne préférée désormais publiées en deux tomes.





Honor Harrington était depuis le tome précédent, réduit à la demi-solde, sans commandement et "en exil" à Grayson.

Grâce à quelques manoeuvres politiques de Karl Hauptman et Réginald Houseman, des "ennemis" de son propre camp, elle se voit attribuer le commandement d'une mission dangereuse : Une chasse aux pirates dans la confédération silésienne, délaissée par l'Amirauté. Faute de pouvoir lui attribuer des vaisseaux de guerre, tous monopolisés par le conflit contre Havre, elle se voit confier quelques navires Q, des vaisseaux de transport de marchandises, fragiles, sans blindage mais armés comme des cuirassés.

La technologie et les astuces utilisées pour armer ses vaisseaux, modifieront par ailleurs la doctrine de la FRM dans l'avenir.





Cette fois-ci, très peu de politique et beaucoup d'action. On découvre aussi des commandants de vaisseaux de Havre (mais oui, encore et toujours eux), professionnels et très humains, attachés à leur devoir mais respectueux du code de la guerre.

Pour la première fois également, on s'attarde assez longuement sur les officiers mariniers et les matelots, leurs histoires et déboires, rendant ainsi les vaisseaux d'Honor plus humains, remplaçant ainsi les habituelles listes de pertes se chiffrant par milliers.





Décidément, Mascarade silésienne est et reste mon tome préféré.
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Honor Harrington, tome 1 : Mission Basilic

Et me voici partie pour la saga Honor Harrington, cette série de science-fiction militaire qui a gagné sa réputation de référence dans le genre. Militaire, car en plus d’être un space-opera, le cœur du récit suit un équipage spatial, et surtout sa capitaine Honor Harrington, décrit avec minutie et cohérence les élaborations de plan de campagne (y compris sur terre), et bien sûr met en scène des combats qui durent plusieurs chapitres. Et c’est un point crucial : habituellement, les longues batailles me gonflent, notamment en fantasy. Mais là, j’ai dévoré ! Je dois avoir plus d’attirance pour les vaisseaux spatiaux se balançant des missiles les uns sur les autres, que pour les charges de cavaliers ou les manœuvres de fantassins.



Mais commençons par le commencement. Honor Harrington, (relativement) jeune femme officier de l’armée du Royaume de Manticore, se voit attribuer sa première affectation depuis sa promotion : l’Intrépide, petit croiseur militaire. Elle apprend trop tard que son vaisseau a été modifié pour tester une nouvelle arme, ce qui laisse l’appareil sans grande défense. Après quelques péripéties, elle est envoyée à Basilic, aux confins du Royaume de Manticore, un territoire délaissé par le pouvoir.



Et c’est là qu’entrent en jeu la politique et la géopolitique de l’univers crée par l’auteur, et plus particulièrement l’animosité entre Manticore et Havre. Le Royaume de Manticore a la maîtrise du nœud de trous de ver lui assurant des richesses liées aux droits de passage ; ses rouages sociaux et politiques sont fortement inspirés par l’Empire britannique. La République du Havre, quant à elle, est plutôt va-t-en-guerre, et a des visées expansionnistes pour financer sa politique dispendieuse envers ses citoyens.



Revenons à Honor : ses débuts en tant que capitaine de frégate sont difficiles, avec un équipage qui lui en veut pour des exercices d’entraînement où son croiseur ne pouvait pas gagner, puis pour son affectation à Basilic en guise de punition. Elle est un pion entre les mains de plus puissants qu’elle. Dans le système de Basilic, elle décide d’exécuter sa mission contrairement à ses prédécesseurs à ce poste, collabore avec les responsables civils de Manticore sur place, contrôle les chargements des cargos, saisit les biens de contrebandes… Et provoque des remous. Le lecteur entrevoie au passage les courants dans l’Amirauté et les politiciens, car l’auteur a su créer un monde réaliste avec des opposants et des liens complexes entre les personnes, ce qui ajoute de la saveur au roman : libéraux, conservateurs, haute noblesse, roturiers talentueux, militaires de carrière, lords dépravés, diplomates, et j’en passe. Honor reste fidèle à sa mission, collabore avec les civils manticoriens à Basilic, sans se douter de ce que trame la république du Havre.



Un mot sur les sciences et les technologies de l’univers : elles sont beaucoup inventées, même si parfois inspirées de théories bien connues (comme les trous de ver). Toutefois, l’auteur a su créer un schéma cohérent, complexe, et des contraintes fortes dont on devine qu’elles pourraient donner lieu à bien d’autres histoires.



Ce roman se dévore (je l’ai déjà dit) grâce aux enjeux, aux mécanismes de cet univers, mais aussi grâce aux personnages eux-mêmes, et en premier lieu Honor Harrington (et son chat), image d’une commandante surdouée, aux prises avec les subtilités de l’Amirauté et un équipage pas si facile à s’attacher même s’il exécute les ordres. La bataille finale est captivante, je n’ai pas pu lâcher le livre avant d’en connaître la conclusion.



Un petit regret cependant : la prose est fluide pour plus de 95 % du roman, mais certains paragraphes d’explications techniques ou scientifiques souffrent de lourdeurs et sont saccadés, comme si l’auteur (ou le traducteur ?) avait du mal à retranscrire en langue littéraire ces sujets-là.



Quoiqu’il en soit, je suis très curieuse de connaître la suite des aventures d’Honor. J’avais repéré que la série comptait 14 tomes, mais je viens de lire le guide de lecture d’Honorverse d’Apophis qui m’apprend que deux séries dérivées sont indispensables à partir du tome 10 ! Je pars donc sur 21 tomes. Mouiiiiiii ! Et l’auteur écrit souvent des pavés. Mouhahaha !


Lien : https://feygirl.home.blog/20..
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Honor Harrington, Tome 4 : Au champ du déshon..

4ème roman des aventures d’Honor Harrington magistralement écrit par David Weber qui nous surprend au bon moment en donnant plus de profondeur à ce cycle par une histoire qui va se dérouler sur la planète Héphaïstos (Capitale) de Manticore.



Pas de combats spatiaux dans ce tome, le HMS Victoire est au radoub pour réparations à la suite des importants dommages subits à Hancock.



Mais il ne faut pas sous-estimer David Weber qui saura nous captiver tout au long de ce terrible et inattendu défit auquel va devoir faire face Honor.



On retrouvera, avec grand plaisir, tous les personnages marquants que nous avons suivis dans les trois premiers tomes. Nous en saurons plus sur la vie à Manticore, sur ses amis et ses ennemis, et en particulier sur les aspects politiques de la capitale. Nous ferons également un tour sur Grayson ou Honor pourra y découvrir son nouveau fief et ainsi assumer sa tâche de Seigneur, en devenant membre du gouvernement de la planète.



Toujours accompagnée de son fidèle chat sylvestre, grand amateur de branches de céleri, cette aventure ne sera pas sans conséquences durables pour nos deux héros.

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La couronne des esclaves, tome 2 : Torche d..

Comme à son habitude, L'atalante a séparé le roman de Weber et Flint pourtant publié un seul tome en VO, en deux.

C'est pénible, d'autant que le coût est lui aussi multiplié par deux. Quand on aime on ne compte pas, mais bon....



Ce nouvel opus dans l'univers d'Honor Harrington est la suite de La couronne des esclaves.

Il couvre une période plus grande qu'habituellement dans les romans de cet univers partant de la fin de Plaies d'honneur, dans le temps de Coûte que coûte et la fin se situe juste avant le début de En mission, tout en évoquant des faits survenus dans L'Ombre de Saganami. Ouf...



Donc, et pour résumer : La lecture de La couronne des esclaves est indispensable et ce roman DOIT être lu avant En mission (bien que ce roman soit paru en France avant), la lecture des autres romans de l'univers d'Honor Harrington n'est pas indispensable à la bonne compréhension du texte.



Pour les moins assidus, un petit lexique de tous les noms des personnages se trouve à la fin du roman, cela peut aider. Car le livre met en scène nombres de personnages du royaume de Torche, du système de Maya, d'Erewhon, du Théâtre Audubon, de l'alignement Mesan. sans compter les personnages Manticorien et Havrien. Bref, tous des noms familiers aux adeptes de l'univers d'Honor, mais au bout d'un moment, la tentation (bien involontaire) de s'embrouiller devient grande.



L'histoire donc : Zilwicki analyste chevronné des services secrets Manticorien, associé à Cachat, spécialiste de l'action directe et Barbouze du Havre, tous deux au service de Torche, royaume d'anciens esclaves vouant une haine féroce à Manpower société située dans le système Mesan, vont monter une opération d'infiltration sur Mesa dont les résultats seront ... pour le moins spectaculaires.



Encore un tome très bavard (peut être un peu trop), qui met en scène longuement les personnages au détriment parfois de l'action. Mais quand cette dernière arrive (tardivement, trop tardivement), dieux que c'est efficace.

Je dois avouer, et pourtant, qu'est ce que j'aime Weber, qu'on aimerait un peu moins de digression et un peu plus d'action, retrouver le côté percutant des premiers opus d'Honor Harrington, mais la série n'en prend pas le chemin. Enfin....



En conclusion : Une nouvelle histoire, trop bavarde, mais indispensable aux aficionados.

On attend maintenant la traduction de A Rising Thunder et l'écriture de Shadow of freedom.
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Sanctuaire, tome 3 : À armes inégales

Tome 3. Lu en anglais



L'église prépare sa contre-attaque, dont une flotte capable de vaincre le roi Cayleb et le royaume de Charis. Mais Cayleb ne s'est pas assis sur ses lauriers; il s'est trouvé des alliés avec le royaume de Chisholm, le royaume de sa femme, la reine Sharleyan, ainsi que l'île d'Émeraude, le domaine de son ancien ennemi, pour former l'empire de Charis sans compter qu'il a confirmé le schisme avec l'église. Et là, Cayleb entreprend la conquête de Corisande, le royaume d'Hector, son ennemi juré.



Dans ce tome, on a droit à des batailles d'infanterie avec un ennemi (Corisande) qui a réussit à copier une partie des avancements technologiques de Charis. Et il y l'église qui veut faire éclater les alliances de Charis pour aussi empêcher leur propagation à d'autres royaumes. Mais Merlin, le garde et ami de Cayleb, est là avec ses connaissances d'une technologie oubliée et ses moyens techniques avancés pour aider Charis.



Une bonne histoire rythmée avec de belles batailles, des méchants haïssables et une tension soutenue.



J'ai aimé ce tome bien plus que le précédent qui faisant office de transition. Mais j'ai encore et encore la même déception, car je préfère une science-fiction avec une technologie futuriste, et, de loin, les batailles spatiales aux batailles passées. Pour mon malheur, Weber se cantonne à cet époque pour les livres suivants. Je vais donc passer à autre chose avant de poursuivre la série.
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L'option Excalibur

Au 14 ième siècle, une flotte anglaise, en route vers la France, est prise dans une monstrueuse tempête. Les bateaux chavirent les uns après les autres; tous vont mourir noyés. Soudain, un vaisseau spatial gigantesque apparait et sauve les derniers survivants. Mais, ce n'est pas par charité. Le maître du vaisseau les oblige à combattre, à répétition, des extraterrestres primitifs sur différentes planètes. Tant bien que mal, les anglais s'adaptent. Bientôt, ils comprennent que leur esprit d'innovation et leur facultés d'adaptation vont finir par menacer la stabilité de l'empire de leurs maîtres et, qu'alors, ceux-ci n'hésiteront pas à les éliminer, et probablement aussi la Terre pour ne pas prendre de risque. Comment s'en sortir ?



Un roman probablement inspiré des Croisés du cosmos de Poul Anderson. Cela commence pas des combats avec des archers et des combattants en armure contre des primitifs extraterrestres armés de façon primaire et sans grande connaissance des stratégies de bataille. Donc, de l'action qui ressemble un peu à des combats du moyen âge avec des extraterrestres de toutes sortes en plus. Puis, la prise de conscience de leur condition; des combats sans fin jusqu'à leur élimination par leurs maître. Il faut en apprendre le plus possible pour découvrir la faille qui leur permettrait de s'en sortir. Et là, le roman passe à un autre niveau.



J'ai pour ma part beaucoup aimé, car le roman est divertissant et plein d'action. C'est intéressant aussi de mettre en situation des gens du moyen âge face à une technologie futuriste qu'ils peinent à appréhender.
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Honor Harrington, tome 2 : Pour l'honneur d..

Wouaaaaaaaa ce livre est ÉNORME !!! Un pur petit bijou de Space Opéra militaire.



C'est décidé, dès maintenant je ne bois plus que des chocolats froids pour faire comme mon héroïne préférée, Honor Harrington. :-)



Dans ce deuxième tome de la série, Honor est envoyée en mission d'escorte diplomatique vers deux planètes stratégiquement très importantes puisqu'elles se situent au beau milieu de la trajectoire entre Manticore et le Havre (ennemis jurés des manticoriens).



Dès l'arrivée des vaisseaux manticoriens dans cette région, la situation va très très vite se dégrader et après une petite centaine de pages pour poser les bases de cette histoire épique les 400 suivantes vont vous couper le souffle. De l'action, du suspens, des batailles spatiales et à terre, des montées d'adrénalines... Moi j'ai fais de la tachycardie durant toute la lecture. Là je vous écrit depuis l'hôpital ou j'ai été admis en urgence. Maintenant que j'ai fini le livre les médecins m'ont dit que je pouvais rentrer... :-)



Bref, vous l'aurez compris, je suis très fan de cette perle écrite par David Weber.
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Starfire - Intégrale : The stars at war (1-3)

Une édition omnibus .. d'une série vraiment excellente ..

Lecture d’avril 2010 .



Quatre romans de David Weber et Steve White ... réunis en deux volumes ( The stars at war I et II ) ..

Celui-ci est le premier .



C'est vraiment bon , touffu et cette impression est encore accentuée par le plan de construction de l'ensemble .

Il y a de nombreux personnages et impossible de savoir s'ils seront toujours là deux pages plus loin et ce pour de bonnes raisons , car c’est un univers mouvementé ...



C'est un univers complexe doté d'une longue histoire de conflits et de rapports inter-espèce .

Grâce au talent des deux auteurs nous parcourons la plus grandes partie des guerres et conflits qui ont secoué sur un siècle ( un peu moins ) cet univers soigné et crédible .



A un moment donné l'humanité subit un choc frontal de plein fouet avec les forces d'invasions extraterrestres .

Énormément de tensions ... de désespoir .. et d'ampleur ! On est soufflé par le rythme , du moins ce fut mon cas .



Un bon contexte tactique et stratégique .. renseignement .. décisions politiques et situations militaires ...

Il y a également une gestion très fine de la sortie de crise , un rebondissement avenant et plausible de plus aux milieux de nombreux rebondissements .



Le contexte technologique du bouquin , avec des personnages assez attachants et crédibles , en font un excellent moment ..

Un univers crédible et soigné , du souffle et du rythme ..

C'est assez exceptionnel dans le genre SF militaire ... ( bien écrit ) .



Manifestement l'auteur a mobilisé des connaissances historiques sur la situation militaire et politique des States pendant la deuxième guerre mondiale , en partie au moins et sur un front en particulier ..

Pour les autres conflits il y a également des références historiques certaines , mais je crois que c'est au lecteur de les retrouver .. non ?



Personnellement je préfère définitivement Weber en coauteur qu’en single ...

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Sanctuaire, tome 1 : Cap sur l'Armageddon

Lu en anglais



Les extraterrestres Gbaba ont entrepris d'exterminer la race humaine qui commençait son expansion dans les étoiles. Est-ce la fin ! Non, par un tour de passe-passe, une petite partie de l'humanité s'est trouvé un refuge sur une planète éloignée pour recommencer à zéro. En dormance d'abord pour ne pas se signaler aux Gbaba, et pour ensuite reprendre son développement technologique en espérant dépasser le niveau des GBaba dont la technologie plafonne depuis des millénaires. Mais, les administrateurs en chef du refuge ne l'entendent pas ainsi. Ils mettent en place une religion toute puissante, ainsi qu'un lavage de cerveau pour tous les futurs habitants, qui met à l'index tout nouveau développement, ce qui entraîne une stagnation complète de la colonie. Mais certains administrateurs, en désaccord, avaient prévu une parade, une espèce de cheval de Troie. C'est donc l'église toute puissante contre un petit royaume où l'innovation est la plus présente.



Un roman qui commence dans un futur de centaines d'années avec des batailles spatiales pour se retrouver ensuite dans un futur encore plus lointain sur une planète où on se retrouve avec un avancement scientifique qui ressemble à notre 17 ou 18 ième siècle avec des navires à rameurs et à voiles, peu d'armes à feu et de canons, donc des épées, des armures et des hallebardes.



Une bonne histoire remplie de prélats tout-puissants, de rois ambitieux et de batailles sur terre et sur mer comme les batailles entre la France, l'Espagne et l'Angleterre à cette époque.



J'ai beaucoup aimé, car l'histoire est passionnante et Weber prend la peine de renseigner sur les époques concernées (Navires, armes, etc.). Mais j'ai tout de même une déception, car je préfère une science-fiction avec une technologie futuriste, et, de loin, les batailles spatiales aux anciennes batailles maritimes. Pour mon malheur, Weber a l'air de se cantonner à cet époque pour les livres suivants.



Et hop ! Le prochain dans la série.
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Out of the Dark

Une invasion extraterrestre !



L'humanité est observée par l'Hégémonie, une fédération de plusieurs races extraterrestres. La dernière fois, en 1415, lors de la bataille d'Azincourt, entre les français et les anglais, qui a complétement horrifié les Barthoni, une race extraterrestre herbivore et pacifique. Mais ce sont maintenant les Shongairi, une race extraterrestre carnivore et agressive, qui se présentent, car l'Hégémonie leur a octroyée quelques planètes dont la Terre. Première surprise pour les Shongairi, c'est l'évolution très rapide des terriens qui en sont à un niveau de civilisation (niveau2) qui fait que l'Hégémonie interdit normalement toute conquête aux races affiliées. Qu'à cela ne tienne, la cible est trop belle et les terriens peuvent fournir des ouvriers qualifiés, et servir de nourriture, sans compter qu'une fois éduqués, ils peuvent apporter leur talent pour améliorer la technologie des Shongairi. L'important c'est de ne pas laisser de traces compromettantes. De toute façon, les Shongairi, de l'espace, peuvent bombarder la terre de rochers avec une énergie cinétique équivalent à des bombes nucléaires. Oui, mais sur terre, c'est une autre paire de manches. Les terriens, de par leurs guerres incessantes, ont développé des armes et des tactiques souvent supérieures à celles des Shongairi. Sans compter que plusieurs terriens ont une revanche à prendre, dont le sergent Steven Buchevsky, un vétéran de l'Afghanistan, dont l'avion s'est écrasé dans les Balkans et qui a perdu toute sa famille, ou l'ancien marine Dave Dvorak qui avait, comme survivaliste, aménagé un refuge dans une région isolée sans oublier le pilote de F22 Dan Torino qui est maintenant chef d'un groupe de résistants. Mais les Shongairi sont prêts à tout pour en finir.



De l'action à revendre avec toujours les informations détaillées de David Weber sur les armes utilisées, du chasseur aérien F22 Raptor aux fusils d'assaut.



J'ai beaucoup aimé même si la fin fait appel aux Deus ex machina et intègre du fantastique.
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