AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Diane Ducret (594)
Lady Scarface

Suite à une émission radio où l'auteure évoquait ce roman, je n'ai qu'une envie : le lire.... voire le dévorer (j'espère!!)
Commenter  J’apprécie          30
L'homme idéal existe, il est Québécois

Si la couverture m’a séduite, le contenu, en revanche, beaucoup moins. Un roman qui se lit tout seul mais qui ne me laissera pas de grands souvenirs. Trop de clichés, trop d’expressions québécoises utilisées, et un humour parfois un peu trop lourd. Une traduction des expressions utilisées n’aurait pas été de refus.
Commenter  J’apprécie          30
L'homme idéal existe, il est Québécois

Le titre de ce livre m’a littéralement accrochée. Non, il ne s'agit pas d'un essai sur l'homo sapiens québécois mais d'une comédie romantique du genre "chick lit". Je ne suis pas vraiment attirée par ce genre de littérature pour filles, mais le titre du dernier roman de Diane Ducret m'a touchée personnellement. Parce que, à 22 ans, j'ai pensé moi aussi que l'homme idéal, ou tout du moins l'homme de ma vie (est-ce la même chose?) était Québécois. La narratrice raconte avec un humour ravageur le choc de deux cultures. La communication dans le couple est déjà difficile, alors imaginez une Française avec un Québécois!
Lien : http://gazettedelau.blogspot..
Commenter  J’apprécie          30
L'homme idéal existe, il est Québécois

«L'homme idéal existe et il est québécois» pousse à son paroxysme le roman d'aérogare mal fichu.

Je m'attendais à un petit roman détaillant de façon humoristique les torts et vertus de l'homo quebecensis, mais à part le délire verbal à la San Antonio de l'auteure et son usage pour le moins singulier du lexique québécois, le propos est mince, très mince.

A-t-elle même déjà mis les pieds au Québec? A-t-elle simlement attrapé un lexique du français québécois et glâné au hasard, pour s'en donner à coeur joie, toute une panoplie d'expressions rares ou ringardes, d'archaïsmes et de régionalismes. Certaines expressions sont bien sûre courantes, mais elles ne sont généralement pas émises par une seule et même personne au cours d'une petite semaine.

Personne ne parle comme ça!

J'aimerais bien rencontrer un seul Québécois correspondant de la sorte aux clichés d'usage. Sauf peut être dans sa déclaration ultime de «Je ne suis pas prêt.»

Et maintenant que notre indécrottable nunuche en a fini avec l'accent québécois, voila-t-y pas qu'elle s'attaque maintenant à l'accent «pelche» (lire belge). À suivre avec «L'Homme idéal existe, il est belge».





Commenter  J’apprécie          30
L'homme idéal existe, il est Québécois

Lecture plaisante et surtout pleine d'humour.

La trame est vraiment trop simple malheureusement à mon goût, tout ce base sur le dialogue du couple lui québécois et elle française, pas mal de quiproquos assez drôle . On découvre également le parlé québécois parfois on ne saisit pas totalement la phrase...

J'ai malgré tout pris du plaisir en lisant ce roman et le conseil pour une lecture légère sans prétention.
Commenter  J’apprécie          30
L'homme idéal existe, il est Québécois

Nous voici donc rassurées Mesdames, l'homme idéal existe ! youpiiiiiiiiii arrêtons nos recherches et prenons toutes un aller simple pour la Terre Promise.



La narratrice tombe par le plus grand des hasards sur un homme qui lui plait et il semble qu'elle lui plaise aussi car il lui propose de passer une semaine chez lui au Québec. Dépaysement touristique et amoureux garanti.



La narratrice nous dépeint son chemin amoureux qui l'a mené jusqu'à cet homme, qu'elle connait à peine mais qui pourtant lui fait traverser l'Atlantique.



Avant d'en arriver là, elle a pris beaucoup d'itinéraire bis avant de se trouver sur la bonne route. On y apprend qu'il n'y a pas qu'une sorte de connard mais bien toute une variété, qu'il est difficile d'être sexy et glamour par -20°C ou alors il faut aimer le polaire et bottes en fourrure.



Doit-on mettre une chemise de bucheron à ses fantasmes pour le voir prendre corps ? Là est la question.



A mon sens l'auteur nous encourage, nous les filles, à explorer des pistes inattendues pour tomber sur le Saint Graal.



Certaines situations sont très drôles et j'avoue avoir pouffer voire éclater de rire dans le tram en lisant le roman. La barrière de la langue et certains mots qui ne veulent pas vraiment dire la même chose occasionne des quiproquos tordants.



J'ai passé un très bon moment et je me suis parfois reconnue dans certaines situations (je ne vous dirais pas si je me suis retrouvée un jour en tenue légère par grand froid....)

Commenter  J’apprécie          30
Femmes de dictateur

La démarche était prometteuse: redécouvrir la vie des principaux dictateurs du XX° siècle par l'intermédiaire des femmes qui ont traversées leur vie.



On y découvre que ces personnages souvent monstreux avec leur peuple, le sont tout autant dans leur vie intime.



Boulimie sexuelle, attirance pour les très jeunes filles, relations incestueuses, violences physiques et verbales,... les histoires d'amour sont le plus souvent passionnées, destructrices, souvent jusqu'au sacrifice ou au suicide.



La tragédie est très marquante chez toutes ces femmes oubliées de l'histoire.



Femmes de l'ombre, femmes traitresses, femmes dévouées, femmes malheureuses, femmes déçues, femmes bafouées... compagnes, épouses, maîtresses... ces femmes sont centrales dans le parcours de ces hommes...



Intéressant, édifiant, dérangeant aussi parfois car malgré leur statut de monstres pétris d'égoïsme, il n'en reste pas moins que ce sont des hommes, souvent dérangés certes, mais des hommes.



Ce rapport à l'humanité m'a un peu fait "flipper" par moment, c'est tellement plus admissible de se dire que seuls des monstres sans humanité pouvaient jeter un peuple dans l'obscurité, la haine et la violence...



Une étude historique qui se lit comme un roman....

Commenter  J’apprécie          30
La chair interdite

Très beau livre pour ne pas oublier toutes les difficultés et les peurs d'être femme à certaines époques ou en certains lieux, les règles douloureuses et honteuses, les grossesses nombreuses et non désirées, les avortements dangereux à plusieurs niveaux, les risques des accouchements, une vie épuisante, pour certaines ......on mesure ici les progrès : découverte de la contraception, de la pilule, du tampon hygiénique, de la vie féminine libérée par la connaissance, un ouvrage utile
Commenter  J’apprécie          30
La chair interdite

Diane Ducret livre un essai instructif sur l'Histoire du sexe féminin de l'Antiquité au XXIe siècle. D'un ton enlevé, elle n'élude aucun tabou.


Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
Commenter  J’apprécie          30
La chair interdite

On y parle d’enfantement, aussi, et d’avortement, mais pas tant que ça, finalement, dans un livre où on comprend pourtant qu’une grande, très grande part du pouvoir imposé aux femmes à travers le temps est un désir de contrôler le pouvoir, encore et toujours magique, de transmettre la vie.
Lien : http://www.ledevoir.com/cult..
Commenter  J’apprécie          30
Femmes de dictateur

Je suis resté sur ma faim après avoir fini le premier volet des femmes de dictateur. On ne peut pas dire que ce soit mal écrit ni mal documenté mais il manque d'analyse et les transitions sont expédiées à la va vite. J'ai souvent du relire des paragraphes pour comprendre le pourquoi du comment, et en ce sens, wikipedia nous en apprend davantage. On a souvent l'impression que l'auteur tend plus à coudre de fils blancs quelques anecdotes tirées de leur contexte plutôt que d'approfondir le portrait biographique de ses dames. En ce sens, le travail à l'air vraiment très bâclé. L'idée est très séduisante, on voit bien que toutes ces femmes ont rêvé du pouvoir pour l'exercer avec tyrannie, piégées par une ambition masculine dans une condition féminine, à l'image de Jiang Qing, un monstre de despotisme. Son portrait est celui qui m'a le plus intéressé, on en ressort chaque fois avec les poils qui se hérissent devant tant de cruauté. Entre jalousie, désir démesuré du pouvoir et vengeance, ces femmes se sont toutes illustrées dans l'exercice de la politique avant de sombrer dans les oubliettes de l'Histoire..
Commenter  J’apprécie          30
Corpus equi

Voici un roman court, mais dense. Diane Ducret nous conte sa rencontre avec Zascandyl, petit cheval espagnol qui conquiert son coeur lorsqu'elle n'a que 14 ans. Mais Zascandyl n'est pas éternel et l'auteure nous raconte aussi la douleur d'avoir perdu un être cher. La lente descente aux enfers. La solitude qui l'envahit. La culpabilité de ne pas avoir été présente. A travers les mythes liés au cheval, Diane Ducret tisse avec une très belle plume, la joie et la douleur de cet amour.



Je vais avoir beaucoup de mal à vous parler de ce roman. Décontenancée par le style qui peut paraître ampoulé de prime abord, je me suis surprise à le trouver en réalité particulièrement poétique et puissant. Exigeant aussi. Je n'ai pas pu m'empêcher de le dévorer en quelques heures mais il s'agit d'un roman qui doit se déguster lentement. Ce que je ferai... si j'ai le courage de le relire un jour. Parce que c'est une lecture qui fut aussi éprouvante pour moi. Les récits qui parlent de l'amour des chevaux m'attirent comme un aimant, et me rebutent tout autant. De par mon histoire, je me sens proche de ses récits, et refuse pourtant d'y succomber. Je m'étais engagée à lire celui-ci, sinon je l'aurais surement laissé trainer un moment. Tout comme ce billet, que je repousse déjà depuis 4 jours !



Je ne sais si ce texte parlera autant à une personne sans attache avec le monde équestre. Mais pour ma part, je me suis retrouvée ligotée dans les mots de l'auteure et par la puissance des sentiments qu'elle décrit si bien. Difficile de vous en dire trop. Certes, je ne risque pas de vous dévoiler l'intrigue car l'intérêt de ce texte n'est pas là. Il réside dans la beauté des mots et des images, choisis par l'auteur pour illustrer sa relation exceptionnelle avec ce petit cheval déraciné de son pays natal.



Une boule d'émotions, renfermée dans quelques pages...
Lien : http://casentlebrule-sandy.b..
Commenter  J’apprécie          30
Femmes de dictateur, tome 2

Dictateurs plus contemporains, on suit plus facilement leur histoire dans l'Histoire
Commenter  J’apprécie          30
Femmes de dictateur

J'avais quelques craintes en débutant cet ouvrage que notre auteur ne s'axe que sur les histoires sentimentales de nos sombres dictateurs. Mais je dois dire que Diane Ducret n'est jamais tombée dans ce travers et ce à plus grand plaisir. Outre quelques anecdotes alléchantes, l'auteur nous fait observer combien les femmes peuvent tenir leur rôle sur la scène politique. Bien évidemment, tous les personnages de ce bouquin n'ont pas retenu mon attention avec la même intensité mais en règle générale j'ai apprécié cette lecture.
Lien : http://athena1-lire.blogspot..
Commenter  J’apprécie          30
Femmes de dictateur

Je n'ai pas du tout aimé le style de Diane Ducret....la qualité des chapitres varie énormément....Elle ne réussit la plupart du temps pas à me captiver, même si certaines histoires contiennent quelques anecdotes intéressantes....plutot déçevant comme bouquin.
Commenter  J’apprécie          30
Femmes de dictateur



" En politique, il faut avoir l'appui des femmes; les hommes vous suivent tout seuls." disait Hitler. Je n'ai vraiment jamais eu l'occasion de lire sur ce personnage, ni sur les autres dictateurs évoqués dans ce livre. Le plus déroutant dans ces pages, c'est de s'apercevoir que ces hommes séduisaient les foules, mais aussi les femmes. À force de les voir présentés sous l'angle de leurs actes publics, on en oublie qu'ils demeuraient malgré tout des hommes.



J'ai appris dans ce livre des détails sur les personnalités de ces êtres, comme par exemple d'Hitler, qui reçu plus de lettres d"admiratrices" que les Beatles et Mick Jagger confondus. Ou que Staline, avant devenir le personnage que l'on a découvert dans nos livres d'histoire, était un braqueur de banques, qui donnait à Lénine ses butins afin d'aider à construire son parti.



Le plus déroutant et dérangeant est néanmoins de constater que la sexualité est en effet " l' un des ressorts du pouvoir absolu" comme le dit la quatrième de couverture. Ces hommes électrisaient les êtres qui les entouraient tels des gourous, avec en plus une tension primitive, quelque chose d'animal, que je ne soupçonnait pas chez la plupart.

Souvent on retrouve dans leur entourage deux types de femmes: celles qui veulent changer le cours des choses et utilisent le pouvoir de leur mari pour satisfaire leur propre soif de pouvoir, et celles qui veulent plaire, complètement subjuguées par la personnalité obscure de leur conjoint. Certaines femmes supportent les pires humiliations, parfois pour obtenir en échange des égards, ou de l'argent, d'autres sont réellement amoureuses, enfin certaines sont hallucinées, comme Martha Goebbels, qui voit en Hitler le sauveur suprême. Je fais toujours le rapprochement avec des victimes de sectes. Comment certaines de ces femmes, dont cette dernière, par ailleurs cultivées et intelligentes, pouvaient-elles suivre et cautionner de tels actes. Je suis sidérée par l'incohérence de leur soi-disant lutte. Martha Goebbels avait des origines juives par sa mère. Comment est elle arrivée à la place qu'elle occupait? Comment peut-on oublier ce que l'on est à ce point? Soif de pouvoir? Mal être? Faiblesse? Je comprends par contre que l'on puisse être endoctrinée, car ces personnages, à leur façon abjecte et monstrueuse, fascinaient les gens, et les femmes.



Point de vue intéressant, donc, que celui choisit par Diane Ducret. On y découvre certaines des fragilités de ces hommes que l'on ne soupçonnait plus d'être des hommes, des tragédies. Certaines des conjointes d'Hitler, par exemple, se sont données la mort, fatiguées d'être traitées avec autant de mépris. On découvre aussi que si certains de ces hommes ont acquis beaucoup de pouvoir, c'est grâce à des femmes qui les ont façonnés, qui les ont même parfois éduqués, comme Mussolini.



Certaines de ces femmes avaient de fortes personnalités, étaient même pires que leur maris dans leur mégalomanie (le passage sur Elena Ceausescu est édifiant), d'autres subissaient les mauvais traitements de tyrans qui les meurtrissaient, enfermées qu'elles étaient dans des relations masochistes au possible.



Livre intéressant, mais pas livre d'histoire. Plus un livre sur les sentiments qui rendent insondable l'âme humaine.
Commenter  J’apprécie          30
Femmes de dictateur

Un livre trouvé au hasard d'un bouquiniste qui m'a laissé un souvenir mitigé. J'aime beaucoup l'Histoire et les destins de femmes, je pensais donc apprécier cette lecture et apprendre beaucoup de choses, j'ai malheureusement eu du mal à terminer le livre. Le style est fluide mais peut être trop factuel et répétitif, le lecteur reste à distance de ces histoires et commence rapidement à se lasser. Afin de rester dans le thème, l'auteur fait l'impasse ou synthétise certains évènements historiques, qui certes, ne concernaient pas les femmes des dictateurs mais qui restreint la compréhension de l'événement en question. Il manquait peut être une partie "analyse" car certains évènements, contextes, traits, ou dynamiques relationnels semblent émergés du portrait de plusieurs des dictateurs, mais aucun commentaire n'est fait, l'auteur se bornant au récit historique. J'ai appris des choses sur les dictateurs et leurs compagnes, mais cette lecture a été laborieuse, je ne pense pas lire le second volume.
Commenter  J’apprécie          20
L'homme idéal existe, il est Québécois

Roman très léger, voir trop léger.



Il se veut surement très humouristique : mais je pense que je suis passée à côté.



Une comédie romantique, ca c'est certain : mais manque beaucoup de finesse pour dire que c'est une bonne comédie romantique.



Il reste tout de même bien écrit, assez court, parfait pour passer un moment sur la plage

Commenter  J’apprécie          20
La Dictatrice

On pourrait qualifier cet ouvrage de roman utopique, fantastique, mais au vue des actualités des ces dernières années, je dirai que ce que je croyais impensable peut nous surprendre à tout moment.



Diane Ducret met habilement en scène la mise en place d'une dictature, de manière effrayante. J'ai dû me poser des questions et me rendre compte à quel point une situation peut vite dégénérer et prendre des proportions faramineuses... Comme l'a écrit Saint Bernard de Clairvaux déjà au XIIe siècle : "L'enfer est pavé de bonnes intentions" ! En effet ! Au départ, il me semblait que les causes étaient justes, saines et voir même nécessaires, mais très vite mes idées sont ébranlées. Où se trouve le fil invisible qui sépare la dictature et la démocratie, car ici, la frontière entre les deux semble fragilement franchissable... La notoriété, le succès, le progrès, le pouvoir qui font que même la personne la mieux intentionnée peut devenir la personne la plus dangereuse. Il est démontré également ici, qu'il est impossible de faire abstraction de ses sentiments et de son vécu dans le développement de ses idéaux. Nos failles, notre passé, nos erreurs et nos souffrances prennent toujours le pas sur notre avenir.



Ce roman est dérangeant ! Il remet en question les idées que l'on peut se faire d'un monde idéal, dirigé par un homme ou une femme, ce n'est pas à cette question que cela se joue, mais plutôt aux limites qui ne doivent pas être dépassées même si au premier abord, il est question de sauver un peuple, une planète.



Le personnage principal, Aurore Henri, n'est pas sans rappeler un dictateur célèbre, d'ailleurs aux mêmes initiales qui traverse des situations similaires dans la détention notamment. Quant aux autres personnages, l'histoire démontre à quel point l'intérêt personnel reprend vite le dessus.



Sur quoi se repose l'esprit de sacrifice, que ce soit à grande ou petite échelle ? Peut-on instaurer une dictature sous prétexte de vouloir le bien de tous ? Peut-on résister à la notoriété, au pouvoir ? Peut-on imposer ses choix en dépit de tout ? Voilà quelques unes des questions qui reviennent en lisant ce roman...
Lien : https://pasionlivres.blogspo..
Commenter  J’apprécie          23
Le maître de l'océan

Diane Ducret nous propose ici un roman poétique et philosophique, accès sur la nature et notre rapport à l'environnement.



L'auteure fait montre d'une bonne connaissance du taoïsme, notion/philosophie/religion chinoise extrêmement complexe. J'ai été impressionnée par son savoir et la façon dont elle nous l'a transmis. Plusieurs passages étaient d'ailleurs emplis de sagesse et méritent que l'on y médite.



J'ai donc été particulièrement marquée par cette philosophie bien décrite, mais également par la connaissance de la culture chinoise plus généralement : leur façon de faire, leur attitude en diverses situations, leur pondérance ainsi que plusieurs légendes.



La plume de l'auteure est d'une grande poésie, très agréable à lire. Nous nous laissons porter par ses mots et voguons dans une bulle hors du temps, semblable à un cocon.



J'ai trouvé très intéressant le chemin parcouru par ce jeune moine pour essayer de trouver des réponses à ses questions et surtout pour tenter d'apaiser la colère qui bout en lui. Il est très touchant, notamment lorsqu'il évoque sa mère et son besoin d'amour.



Lecture poétique, philosophique et complentative qui nous permet donc de nous évader un moment.
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Diane Ducret (2558)Voir plus


{* *}