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Critiques de Ernest Hemingway (1191)
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Histoire naturelle des morts et autres nouv..

Pour bien démarrer "mai en nouvelles", j'opte pour ces cinq courts textes de « Papa » Hemingway, qui racontent la guerre dans sa dualité : l'horreur absolue des combats humains et le quotidien banal mais désenchanté des troupes en campagne. L'auteur qui fit la grande guerre et en couvrit plusieurs autres, parle de la mort, des morts et de ceux qui le sont presque, ou juste pas encore. Rien d'étonnant donc à y croiser Nick Adams au détour d'une page, double littéraire à peine caché d'Hemingway.



Dans un style simple et réaliste, avec une épure de mots caractéristique, il décrit les corps gonflés et éparpillés, leurs odeurs, les traces de vie antérieure éparpillées autour des cadavres lorsque les combats cessent. Il revient froidement sur ces choix que les militaires opèrent entre les soldats à sauver et les « presque morts » à abandonner.



Il dit aussi l'autre mort, celle de l'après-guerre, du retour, de l'oubli ou pire, de l'indifférence. La difficile rééducation et réparation des corps mutilés, l'impossible retour à la vie normale, le décalage entre la considération attendue par celui qui revient et celle témoignée par ceux qui l'accueillent.



Mais le plus intéressant dans ces nouvelles est leur construction en deux parties, débutant par des réflexions profondes et froides qui laissent ensuite la place à des dialogues vifs, parfois hors-sol, comme pour mieux illustrer l'absurdité du décalage des soldats avec la réalité qu'ils sont en train de vivre.



Comme Dorgelès et Dos Passos à son époque, ou Larry Brown et Tim O'Brien de nos jours, le réalisme du regard d'Hemingway sur la guerre est affolant. Donc indispensable.
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Le Soleil se lève aussi

Dans la première partie, la jolie Brett, ses admirateurs et ses ex. dont le narrateur Jacob et le juif Cohn que tout le monde déteste, écument les boites de nuits parisiennes et font la fiesta. Dans la deuxième partie, ils font pareil au Pays Basque.



Des dialogues ressort une ambiance 'belle' société années 20. C'est peut-être aussi une description touristique de l'Europe destinée aux Américains avec les 'épatantes' scènes de tauromachie à Pampelune.

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Cinquante mille dollars

J'adore le style 'Hemingway' de ces six nouvelles. Aussi consistant que de la pâte à modeler, aussi visuel qu'un scénario.



Dans la peau de Jack le boxeur has been, dernière course de son vieux aux champs de course de Maison Laffitte, dernière corrida de Manuel, qui refuse de raccrocher, et trois nouvelles de Nick Adam, accouchement par son père au village indien, le noir Bugs qui veille un vieux boxeur fou le long de la voie ferrée, les tueurs attendant le suédois Olsen dans l'estaminet de Georges.

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Pour qui sonne le glas

Enième relecture mais avec laquelle j'ai pris mon temps. Bien que le sujet soit grave et dramatique je trouve que l'écriture (donc la traduction) est toujours aussi brillante et surtout ne donne jamais dans le mélodrame ! La sensibilité et les sentiments sont à fleur de peau ! Quand j'aime vraiment, je me trouve bien en peine de dire grand-chose, si ce n'est que je le relirais !



CHALLENGES PAVES 2020

CHALLENGE SOLIDAIRE 2020
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Le vieil homme et la mer

C’est l’histoire douce-amère d’un vieux pécheur, Santiago, qui prend la mer jour après jour, c’est son métier. Cela fait des jours et des jours qu’il n’a rien attrapé, à tel point que Manolin, son jeune apprenti, est envoyé par ses parents sur un autre bateau. Un matin le vieux prend la mer, bien décidé à affronter le mauvais sort et attraper son poisson.

Un très joli conte sur le destin, le travail, la ténacité, le sens de la vie, la transmission, les épreuves, le courage, la résistance et bien d’autres thèmes encore.
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Le vieil homme et la mer

J’ai lu Le vieil homme et la mer dans le cadre du challenge Multi défi 2016 Babelio avec ma copinaute Pat. Alors je vais être honnête avec vous si on ne me l’avait pas prêté ce livre je ne l’aurais peut-être jamais lu. Pas le genre de lecture pour moi Ernest Hemingway pourtant il est mondialement connu et fut récompensé.

Donc Le vieil Homme et la mer faut se l’avouer c’est une jolie histoire entre la relation de Santiago et sa malchance dans sa relation avec l’océan. C’est un combat tout le long de du roman entre la nature et l’homme et c’est vrai que l’intensité de l’histoire se joue sur le gagnant ce cette traque acharnée.

Je me suis prise d’affection pour le gamin et ce vieil homme au final nous touche. C’est une histoire simple, un plume qui change de ce que je lis d’habitude mais un très belle histoire de passion et d’affection. J’ai ressenti le combat de cet homme et sa vie liée à l’océan. J’étais avec lui dans cette barque à prier qu’il prouve qu’il n’a pas perdu la main mais surtout qu’il rentre avec toute sa dignité.

Ce n’est pas un coup de cœur. C’est juste une histoire sans fioritures qui change de mes romances contemporaines qui font palpiter mon petit cœur de romantique. Parfois c’est bien de changer de lecture et de voir des plumes qui ont été primés et ont marqué une génération.

Agréable moment partagé avec Monsieur Hemingway.
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Le vieil homme et la mer

"Le vieil homme et la mer ":ce livre d 'Ernest Hemingway décrit l 'histoire d'un

vieux pécheur aux prises avec un grand poisson . Ce livre est considéré comme un chef-d'oeuvre de cet auteur .Si je dois donner un avis sur cette oeuvre ,cet avis ne sera que mitigé . l''ayant lu étant très jeune ,ce qui m 'attira d 'abord vers ce livre c 'est le titre ;"Le vieil Homme et la mer". Donc pour moi , les antagonistes du récit sont là et il s 'agit d 'un vieil homme et de la mer .

Lisant vieil homme ,j ' ai traduit un homme pauvre ,usé par la vie , faible ,ténu qui fait face à la mer synonyme de l' immensité ,de la grandeur ,de la force (les vagues ) alors nous assistons à un combat où les armes sont inégales .

d''un côté la mer ,force aveugle ,de l 'autre côté l ' homme ténu ,petit mais sa force il la tient de sa raison et de son courage ! le récit en lui-même ,il s' agit d ' un vieil homme qui part de bon matin sur sa frêle barque à la pêche .

l'' hameçon est jeté à la mer .Après quelques jours ,trois exactement ,le gros poisson est ferré . S 'ensuit ,alors, une lutte entre le pêcheur et la proie .

Après tant d 'efforts ,le poisson est bien pris . le pêcheur retourne avec son poisson vers la terre ferme .

En cours de route , les requins arrivent et entourent la barque voulant festoyer avec le gros poisson ! le pêcheur se défendra autant qu ' il peut pour défendre son bien son capital ) des mâchoires des requins .

Ici il faut ,peut être ,voir une allégorie par laquelle ,

l' auteur veut montrer que dans la vie il y a des hommes honnêtes et probes qui travaillent ,suent mais à la fin sont détroussés ,escroqués ,volés ,exploités par une faune de gens malins ( les requins ) embusqués dans tous les rouages de la société !

Arrivé au sol , du poisson il ne reste que les arêtes ! IL a été détroussé de son bien en quelque sorte !

En résumé ce livre prête à plusieurs lectures et à chacun d ' adopter celle qui lui convient .

Personnellement , je salue le courage et l 'abnégation de ce brave vieil Homme !
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Le vieil homme et la mer

Santagio, le vieux loup de mer misérable rêve de croiser Le Poisson, celui qui hante l’imaginaire de tous les pêcheurs. Ni celui-là ni de plus ordinaires godailles ne sont au rendez-vous : il pourrait mourir de faim si Manolin, un jeune garçon admiratif du vieil homme et de sa science, ne prenait soin de lui.



A l’instar d’un joueur, convaincu que la chance lui sourira à la crête d’une vague , au hasard d’un courant, il part , seul sur son embarcation sommaire. Le montage des lignes et leur installation sont des tâches maîtrisées, précises, nécessaires. Puis l’attente se fait longue, la vigilance est acérée, à la quête du moindre indice, vol d’un oiseau, trajet d’un banc de dauphin, essor furtif des exocets...Quelques espoirs déçus, un petit thon se fait prendre, bel appât pour de futures prises. Et brusquement Il est là, piégé, Le Poisson! ... Piégé ou piégeur? Le bateau est désormais entraîné au large par sa proie. Et c’est le début d’une longue dérive, au cours de laquelle Santiago souffre, de faim, de froid, de soif et des blessures dues à la traction de la ligne. C’est confronté à cette solitude douloureuse que surgissent les pensées intimes, la méditation aux frontières du délire, la conscience aigüe du danger vital imminent, et la lutte pour la survie, tout entière vouée au combat ultime et incontournable.





Je ne peux aller plus loin dans le développement du récit, sous peine d’ôter une part du plaisir au lecteur qui ne connaitrait pas la suite (malgré le million d’exemplaires vendu rien qu’en France). Cette partie finale est particulièrement dense et émouvante.



Lu en VO, et améliorant de ce fait considérablement mon lexique de la faune maritime et des termes techniques marins (c’est la principale difficulté de traduction), ce roman est un incontournable joyau : la sobriété de la trame contraste avec la profondeur de la réflexion.



Sur le blog, suit un court métrage remarquable, réalisé par le peintre russe Alexandre Petrov et qui illustre à mon avis parfaitement l'ambiance du roman








Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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L'Adieu aux armes

Deux êtres face à leur destin: comme le fut Ernest Hemingway, le héros, Frederic Henry, est ambulancier pendant la Première guerre. Il est engagé sur le front italien et s'éprend d'une infirmière britannique. Il est ensuite transféré dans un hôpital de Milan avec elle. Plus tard, il désertera et s'enfuira en Suisse avec Catherine, vivra avec elle le "don de soi" avant qu'elle ne meure en couches.

Un texte beau et sincère qui illustre un monde chaotique. L'illustration parfaite de ce que Hemingway appelait la "grace under pressure", le cran, une manière de résister aux pressions.

La grâce donnée à des héros tourmentés...
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Le vieil homme et la mer

Hemingway fait découvrir au lecteur, à travers son roman, une histoire profondément touchante.



On y découvre diverses thématiques : la vieillesse, la pauvreté, l'amitié.



Mais on y décèle avant tout un message, porteur d'amour, qui lie les deux personnages principaux, Santiago et Manolin.



« Cette œuvre est l’histoire du courage humain, de la dignité, du respect, de l’amour. C’est la condition même de l’homme qui est écrite. L’homme seul face à la grandeur et la puissance de la nature, l’homme digne malgré sa condition et son sort. »
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Pour qui sonne le glas

Ce roman raconte un moment de la guerre d'Espagne, un moment comme il y en eut tant d'autres.

Un américain Robert Jordan est chargé de faire sauter un pont pour soutenir une attaque des Républicains. Pendant les quelques jours qui précèdent l'opération, il va partager la vie des partisans locaux.

Ce moment de vie va révéler les sentiments et les personnalités de chacun des protagonistes les moments de courage les instants de lâcheté, de peur et de doute, la confiance partagée avec l'un ou l'autre des compagnons. Puis il y a l'amour que Robert et Maria partagent qui est d'autant plus fort qu'ils savent l'un et l'autre que le temps est compté.

L'auteur nous fait partager la vie de ses compagnons républicains comme une immersion totale dans ce monde d'engagement au fil d'une discussion, d’une question, on découvre combien ces hommes sont tous tourmentés par les actions auxquelles ils participent mais aussi à leurs conséquences. La mort les hantent, celle qu’ils donnent au hasard de leurs combats, celle qu’ils côtoient mais aussi celle qu'ils attendent.

Une belle lecture profonde, philosophique par moment, mais surtout d'une grande humanité.
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Le vieil homme et la mer

Enfin relu ce classique, d’autant qu’il est court. 4 personnages principaux : un vieux et un jeune pêcheurs, un espadon et la mer. Les premières pages sont d’une grande tendresse avec cet enfant qui prend soin du vieil homme qui lui a appris à pêcher. Puis, on assiste à un grand combat d’un vieux pêcheur dans sa petite barque. Je ne sais pas comment il peut être perçu par les enfants de notre époque qui sont sensibles à la cause des animaux.
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Le vieil homme et la mer

La première fois que j'ai lu Le Vieil Homme et la mer, j'y ai vu une allégorie de la lutte des classes: ce pauvre pêcheur qui lutte pour sa survie et qui voit le fruit de son éreintant labeur dévoré par des requins sans avoir pu en jouir... c'était forcément politique non? J'avais 16 ans. La seconde fois, j'avais 30 ans, j'y ai surtout vu la lutte, vouée à l'échec, d'un vieil homme qui tente de vaincre la vieillesse et la décrépitude et qui ne sera sauvé que par la grâce de la transmission de savoir et la main tendue du jeune garçon. Aujourd'hui j'ai 40 ans et je le relis pour la troisième fois et, est-ce l'effet de l'âge ou de l'actualité, j'y vois surtout la lutte de l'homme contre la nature et à quel point, celle-ci qu'on a cru vaincue peut tout vous reprendre et vous vaincre de manière extrêmement violente
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Le vieil homme et la mer



Le vieil homme n’a pas pêché de poisson depuis des semaines. Jour après jour, il est revenu bredouille. Le 65ème jour, il décide que ce sera le bon. Il va alors engager une lutte acharnée avec un énorme poisson qui se prendra à sa ligne.

Magnifique texte sur la lutte, l’orgueil et la ténacité.

Je l’ai (re)lu dans sa dernière traduction parue en 2016 chez Gallimard. Dans la préface, le traducteur apporte beaucoup d’élément d’explications sur l’épuration du style conférant au récit une portée universelle et intemporelle.

Incontournable

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Paris est une fête

Suite aux attentats du 13 Novembre, Danielle, une septuagénaire interviewée dans la rue, nous incitait à lire et relire "Paris est une fête". J'ai attendu sept mois pour m'en acquitter. Histoire de prendre un peu de recul avant de l'ouvrir, ne souhaitant pas l'associer de quelque manière que ce soit à cette tragédie.

C'est donc apaisée que j'ai découvert ce roman. Et j'ai passé un agréable moment. Sans plus. Certains passages m'ont vraiment enthousiasmée, d'autres beaucoup moins. L'ensemble m'a néanmoins touchée car, même si j'y suis née trente années plus tard, j'ai retrouvé "mon" Paris.

Donc, voilà, 3/5. Mais ce n'est que la mesure du plaisir que j'ai éprouvé et en aucun cas un jugement de valeur sur le livre en lui-même.



N.B. : En lisant les excellentes critiques d'autres lecteurs (Piatka et Marple, particulièrement), j'ai eu la confirmation de ce que je pressentais après avoir rédigé la mienne : je l'ai joué petits bras.

A ma décharge, je dirais que, ainsi qu'elles l'ont relevé l'une et l'autre, le style d'écriture d'Hemingway dans ce récit est épuré, froid... Voilà, sans doute, pourquoi je n'ai pu restituer dans ma critique une émotion que je n'ai pas ressentie à la lecture.
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Pour qui sonne le glas

Entre une atmosphère de guerre, l'odeur permanente de la mort, la peur d'un lendemain incertain, des souvenirs de massacres, des boucheries humaines, Ernest Hemingway fait éclore une petite histoire d'amour de trois jours qui va pallier aux atrocités dont il est question dans ce livre.

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L'Adieu aux armes

La plupart accuse Hemingway d’avoir peu d’émotions, ou du moins de ne pas les montrer dans ses œuvres. Mais, pour moi, ce roman autobiographique nous dit le contraire. Peut-être que c’est parce qu’il l’a écrit au début de sa carrière, il n’avait pas encore été ‘ endurci’ par la vie. A travers ce livre, vous pouvez sentir sa solitude et ses luttes internes à propos de la guerre.



Le passage le plus humain est lorsque Catherine annonce qu’elle est enceinte, et qu’ils s’échappent sur un bateau de fortune pour la Suisse. L’idée d’utiliser le parapluie comme voile est ingénieux et émouvant à la fois.



Hemingway donne des jours heureux au couple avant de les plonger dans le cauchemar ultime. L’aspect qui m’a le plus troublé est lorsque le protagoniste reproche la mort de son amie à l’enfant, mais cela reste la vision d’Hemingway sur la vie.

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Le vieil homme et la mer

Une histoire courte et simple que nous conte Hemingway, qui prend pour anti-héros Santiago; Un vieux pêcheur fatigué qui part à sa propre rencontre, lors d'une bataille effrénée avec la nature et lui même. Et malgré les épreuves que lui enverra la vie, il restera combatif jusqu'à la fin. Un beau roman qui traite du dépassement de soi, de la volonté farouche d'un seul homme au delà des multiples blessures qu'il lui seront infligées.

Excellent roman.

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Le vieil homme et la mer

Ce livre est certainement une des premières lectures de ma jeunesse pour le plaisir ..en dehors des classiques.

J'ai adoré ce thème de vieillesse et solitude car si l'on cherche plus loin ce livre est beaucoup plus subtil qu'une simple histoire de pêche.

Cet ouvrage raconte la belle histoire d'amitié entre un viel homme et un enfant, Augustin ...on aurait pu croire à un choc des générations et bien non ...une passion commune la pêche et le respect qui est omniprésent ..

Si l'on compare la société actuelle qui laisse mourir ces personnes âgées ...la on voit tout le contraire et c'est une bouffée d'oxygène!!!

cet ouvrage commence comme un conte .."il était une fois"

Santiago ,ce vieux pêcheur cubain est à la détresse , il ne ramène rien au port, Angolin le jeune qui est très sensitif , demande à ses parents l'autorisation d'aller avec Santiago..la réponse est non.

Cependant l'intimité entre les deux protagonistes est émouvante.Hemingway a retracer une complicité extrême entre les deux générations.

Parfois Santiago agit un peut comme un enfant il partira seul en mer et affrontera un espadon durant 3 jours et deux nuits.

Son amour pour la mer est plus fort que tout, au risque d'y perdre sa vie.

Le ciel homme parle au poisson , il l'humanise entièrement..on a un trait de philosophie .

Le vieil homme donnera tout, il mènera un combat acharné et arrivera à gagner ..cependant l'arrivée des requins va tout perturber.

Pour moi ce livre est un Hymne à la mer ..cette mer que j'adore tellement. Santiago ira contre vents et marées pour parvenir à son objectif..

Quand à Angolin, il est considéré comme un sauveur..

Un point que je voulais ajouté c'est quand même l'humour ..quand Santiago parle au poisson.

Cet ouvrage



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Le vieil homme et la mer

J'ai bien aimé partir pêcher avec le vieil homme. Une sorte de leçon de courage, d'abnégation, mais aussi d'orgueil comme il le dit lui-même...une leçon de vie. En tous les cas une histoire à lire. Un classique de la littérature américaine.
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