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Critiques de Frédéric Dard (1521)
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Passez-moi la Joconde

Neuvième roman de San-Antonio publié en 1954 (dépôt légal 1er trimestre 1954).



L'histoire se déroule dans la région de Grenoble et à Lyon sur une durée d'environ 13 jours, l'année n'est pas précisée.



En vacances, San-Antonio achève un chien blessé avec un drôle de collier qu'il garde pour l'examiner plus tard. Quelques jours plus tard, le collier explose. San-Antonio décide de mener l'enquête ...



Bon roman du même niveau que "des dragées sans baptême" ou "des clientes pour la morgue". L'histoire se déroule sans Bérurier et Pinaud. A noter, pour la première fois, les positions du "kamasutra" de San-Antonio



Voici les informations concernant le commissaire dans ce livre :

- A des cousins qui se prénomment Fanfan et Jules





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Des clientes pour la morgue

Septième roman de San-Antonio publié en 1953 (dépôt légal juin 1953).



L'histoire se déroule à Paris et à Genève sur une durée de 4 jours, l'année n'est pas mentionnée.



San-Antonio surprend un homme sortir des toilettes déguisé en femme, décide de le suivre et se retrouve dans une affaire d'une invention dévastatrice que veut s'approprier plusieurs personnes.



Du même niveau que le précédent, ce roman diffère car il ne s'agit pas d'une mission mais un simple hasard qui le propulse dans une enquête meurtrière.



A noter, pour la première fois une brève apparition de Bérurier.







Voici les informations concernant le commissaire dans ce livre :



- Habite un pavillon au 103 rue de l’église à Neuilly

- Portait une fine moustache mais l’a perdue quand ses vêtements ont pris feu.

- Avait un grand-oncle : Eusèbe, capitaine de Hussard.

- Arme : un luger





Voici les informations concernant Bérurier dans ce livre :



- Décoré d’une médaille suite à une balle reçue en poursuivant les assaillants du consul de Patagonie.

- A un cousin : Jules

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Mes hommages à la donzelle

Quatrième roman de San-Antonio publié en 1952 (dépôt légal 01/07/1952).



L'histoire se déroule à Paris et ses environs en novembre (l'année n'est pas précisé). L'enquête commence un peu avant 16h00 et se termine le lendemain matin.



Sa mission est de trouver un traitre dans l'entourage d'un professeur qui met au point une fusée.



Nous découvrons pour la première fois le chef de San-Antonio qui lui confie la mission et un collègue qui est la préfiguration de Bérurier.



Ce livre comporte les ingrédients qui feront le succès des prochains romans.





Voici les informations concernant le commissaire dans ce livre :



- Poids : près de 100 kg

- Armes : un luger et un gros calibre à balles explosives

- Sa clef passe-partout lui a été donné par Jules-les-Grosses-Pognes

- Sa voiture : une quatre chevaux avec un moteur d’Alfa Roméo qui peut grimper à 160

- Dispose d’un magnétophone qui s’adapte n’importe où.



Voici les informations concernant le chef de San-Antonio dans ce livre :



- Un gringalet de près de de deux mètres

- Chauve



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Les souris ont la peau tendre

Troisième roman de San-Antonio publié en 1951 (dépôt légal août 1951) et qui est une suite du deuxième.



L'histoire se déroule en Belgique en automne ou hiver 1943 et dure 6 jours.



Agent de l'I. S., il doit démasquer et éliminer un traitre d'un réseau belge.



Du même niveau que le précédent avec toujours des facilités, c'est quand même un bon moment de lecture.



Voici les informations concernant le commissaire dans ce livre :



- A un pavillon à St-Cloud (dans le premier roman, le pavillon était à Neuilly)

- Poids : 80 kg

- Ne porte pas la moustache mais se la laisse pousser pour ne pas être reconnu

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Ça tourne au vinaigre

Toujours aussi truculent
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Descendez-le à la prochaine

Truculent
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San-Antonio - Intégrale, tome 1

Les aventures du fameux commissaire San-Antonio enfin réunies dans une intégrale en plusieurs tomes et, surtout, par ordre chronologique !



Naviguer dans l'oeuvre de San-Antonio était très difficile, tant la numérotation des différentes éditions et rééditions était absurde, et les premières histoires (notamment la toute première, celle de 1949) étaient introuvables depuis belle lurette. Il fallait donc se résoudre à lire les histoires dans le désordre, en naviguant entre les décennies, alors que le style de l'auteur (ainsi que la galerie de personnages récurrents) a tellement évolué en 50 ans !



Une collection inestimable pour les fans, et à mon avis un bon point d'entrée pour ceux qui découvrent.
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Romans de la nuit - Omnibus

Nourri au polar anglo-saxon (Peter Cheyney, Raymond Chandler, James Hadley Chase), Dard s'y fait plus sombre et met en scène des personnages au bord de la rupture, des êtres rongés par la jalousie, la frustration ou la douleur.
Lien : http://www.lemonde.fr/le-mag..
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San-Antonio chez les gones

Frédéric Dard a habité Lyon et ce livre est un clin d'œil à cette ville où il fait bon manger. Il en connaît les moindres recoins et quand il cite ou décrit un quartier, vous pouvez vérifier ou vous renseignez, c'est vraiment tel quel que dans le livre.
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Mes hommages à la donzelle

On passe un super moment avec un Directeur plus présent que dans les San Antonio précédent. A lire et à relire sans modération.
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La vieille qui marchait dans la mer

Un couple d’escrocs sur le retour s'entiche d'un jeune gigolo et décide de l'initier à leur "art", dès lors il est embarqué dans une aventure passionnante et irréversible.



Une pure merveille! Un petit bijou de littérature, même si c'est un peu cru, Frédéric Dard atteint ici le paroxysme de son art. Les sujets comme la vieillesse et l'amour sont traités avec une grande finesse.



Ce livre a été adapté au cinéma en 1991 par Laurent Heynemann, avec comme acteurs principaux Michel Serrault et Jeanne Moreau.

D'autres avis ici: www://ratdebiblio.overblog.com
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Du bois dont on fait les pipes

Même pour un grand amateur de lecture, il n'est pas toujours facile de suivre les délires de notre protagoniste, car parfois, il s'exprime en son nom, puis il parle à la troisième personne, parfois même, il interpelle directement le lecteur et nous voilà partie prenante de son histoire. L'argot qu'il utilise, ses expressions qu'on ne retrouve plus aujourd'hui, ses néologismes, ça ralentit quand même un peu la lecture. Mais en même temps, quelle maîtrise de la langue française pour faire des pirouettes pareilles ! On voit là un maître dans l'art de la narration et du rythme, qui arrive aisément à nous maintenir en haleine jusqu'au bout de cette course poursuite dans la capitale. Dans l'ensemble, j'ai beaucoup apprécié ce livre, moi qui ne suis pas particulièrement fan des roman policier !
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En peignant la girafe

Première incursion pour moi dans l'univers de San Antonio. A part le fait que j'allais avoir affaire à un roman policier je n'avais pas d'autres informations à son sujet!

Alors j'ai été dérouté par le langage où se mêle l'argot et les néologismes à profusion et l'humour bien particulier du principal protagoniste! Il m'a fallu plus de la moitié du livre pour m'habituer à ce style et je crois qu'il me faudrait le relire pour en saisir toutes les nuances et les richesses. Cependant, je ne crois pas que cela tente réellement et je conserve une impression de perplexité par rapport à ce roman.
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La vieille qui marchait dans la mer

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Le monte-charge

Encore une histoire diabolique de ce cher Frédéric qui n'avait pas encore fusionné totalement avec San-Antonio
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L'archipel des Malotrus

A éviter si on cherche un bon moment à passer. Un San Antonio totalement dispensable, du pur presse-billet. Le nom San Antonio fait vendre, alors pourquoi s'embêter à écrire une bonne histoire ?
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Ces dames du palais Rizzi

Parti faire une enquête pour un projet d’ouvrage sur l’art fasciste en Italie mussolinienne, Jérôme Deuilh, écrivaillon sans talent mais grand baiseur devant l’Eternel, s’arrête à Cuneo, petite ville de Lombardie où il tombe amoureux d’une jeune italienne joueuse de mandoline et de sa tante. Il découvre que ces dames ont la cuisse légère et pratiquent même le plus vieux métier du monde. Mais Deuilh est épris et se sent capable de tous les crimes pour sortir sa dulcinée du marécage où elle patauge. Bien entendu, rien ne s’achèvera comme prévu.

Ici, Frédéric Dard signe San Antonio, mais on sent que l’auteur de polar truculent que l’on connaît, devait être en panne d’inspiration. L’histoire est plate, sans relief, le héros falot et les femmes sans consistance. Manifestement œuvre alimentaire et/ou de commande, ce triste bouquin fait regretter ceux de la grande époque du célèbre commissaire, de Bérurier le gros dégueulasse et des envolées lyriques ou grivoises du maître !

Sans grand intérêt. On peut éviter.
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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Appelez-moi chérie !

Pensez, Sana est en train de tuer le temps avec une petite dans une chambre d'hôtel, quand tout d'un coup le brigadier Poilala vient l'avertir que le patron veut le voir tout de suite.

Mis en contact avec les différents gouverneurs des banques et autres établissement financiers, Sana a pour mission d'aller au Tathmaziz, dans la ville de Mékouyenbar pour ramener un diamant de deux tonnes en France.

Péripéties, priapisme Bérurieriste, gros coup, bagarre et charme font de ce volume un tout bon Sana. Des pages d'anthologie sur les frasques de Béru qui sont parmi les meilleures.

Y a bon Sana.



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Certaines l'aiment chauve

Un meurtre deux compères détectives privés pour trouver le ou les coupables. On se croirais dans un début à la Agatha Christie, mais c'est sans conter sur leur langage chartier pour égayer cette enquête.

Un polar sympa dans son contexte et son suspens, mais j'ai pas du tout accroché et style, et à la constante vulgarité du truc qui finissent par lasser.
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A tue... et à toi

Ca fait du bien un bon vieux San Antonio, parfois!!

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